Pique Nique

Pique nique


J'aimais bien cette fille Héléna on nous avait présenté quelques temps plus tôt. Un ami commun nous avait mis en contact, on avait passé une très agréable soirée tous les trois. Denis m'avait prévenu, qu'elle n'était ni timide ni timorée.

Ce dimanche là était très beau, nous étions au milieu de la saison chaude et Héléna m'avait téléphoné pour me proposer un pique nique. Je n'avais rien de prévu, je me suis facilement laissé convaincre. Elle me demandais seulement de prévoir le vin et comme je n'en bois pas, elle m'indiquait quel vins il faudrait. J'ai suivi son conseil, c'était du bon.

Bien sûr c'est moi qui conduisait, on y allait avec ma voiture. Oh elle avait choisi un endroit charmant, une rivière chantait pas loin, elle connaissait très bien les lieux. On s'installait, elle avait une jolie jupe campagnarde, très légère, très élégante. J'avais mis ma tenue d'Indiana Jones très mâle très viril …

– Mais c'est que tu es très beau comme ça ! Me disait-elle.

Ce compliment en invitant un autre, je me trouvais obligé de lui répondre.

– Vous êtes très élégantes mademoiselle. Puis-je prendre votre panier ? … Qu'est-ce que tu as préparé à bouffer ?

Oui je sais la dernière partie de la phrase manquait un peu de romantisme mais bon, il faut me comprendre … On parle de bouffe là, c'est une affaire sérieuse … Nous nous retrouvions donc confortablement installés sur une large couverture avec un parasol, qui nous apportait juste la fraîcheur nécessaire pour notre plus grand confort et on faisait connaissance.

Elle restait sage pendant un long moment puis on a ouvert le panier, mon vin était conservé à température idéale dans un emballage isotherme, elle avait prévu quelques charcuteries, du rôtis qui peut aussi se manger froid comme chacun sait … Enfin il y avait tout ce qu'il faut pour ce genre de situation.

Elle s'allongeait tout contre moi, posant sa tête sur mon ventre, elle me trouvait confortable et me faisait rire, c'était peut être le vin.

On parlait bas, le bruit de la rivière et des oiseaux nous berçait.

– J'ai chaud ! Me disait-elle.

Puis elle se relevait et retirait le haut de son costume, elle se retrouvait torse nue. Elle reprenait alors sa position. Je finissait à mon tour par me mettre torse nue. On somnolait. Elle me prenait alors la main et me la posait sur son sein.

– Tu veux bien me caresser les seins ? Me demandait-elle le plus naturellement du monde. Tout doucement s'il te plaît, tu serais mignon.

Comment lui refuser, elle avait utilisé les mots magiques. Le '' S'il te plaît '' suivi par le '' Tu serais mignon '' m'interdisaient de le lui refuser. Je me suis sacrifié, mais c'était de bon cœur. Elle avait deux petits seins qui étaient fermes doux. Son corps aussi était doux, bein oui j'ai un peu débordé, je n'ai pas caressé que ses seins. Je sais mais bon, c'était pour faire plaisir …

J'aime bien ce genre de moment, on avait l'impression d'être à la campagne, mais ça c'est peut être parce qu'on y était. On avait l'impression que le temps s'était arrêté, quelques minutes de silence peuvent sembler des heures, et quelques heures peuvent passer comme des secondes.

Je ne l'avais pas vu en arrivant mais à moins de dix mètres de l'endroit ou on était il y avait un petit lac, les abords étaient très propres et l'eau y était claire. Il ne fallait à Héléna que quelques secondes pour se retrouvée nue, elle courait vers l'eau et m'invitait à la suivre.

En quelques secondes je me retrouvais nu également, enfin presque, je ne gardais sur moi que ce dispositif de chasteté que je ne pouvais pas retirer. Elle venait de plonger quand j'arrivais, je suivais. On ressortait de l'eau, elle était face à moi et me prenait dans ses bras.

Elle m'a embrassé tendrement, je me suis laissé faire, c'est pas dans mes habitudes ça, mais c'était peut être le vin. Ensuite on a nagé, on a profité de la fraîcheur. Quand on est revenu sur le bord du lac, c'était un tout petit lac mais je dis lac quand même, elle me regardait longuement des pieds à la tête.
Ses yeux s'arrêtaient sur mon dispositif, il est totalement invisible sous mes vêtements mais quand je n'en ai pas on le voit bien.

Justement là, à ce moment je n'en portais pas. Elle m'a pris la main et m'a entraîné ver la large couverture qui nous avait servi de table. Elle s'allongeait m'invitait à faire de même. Ce devait être le vin, je sentais comme une contraction au niveau de ma cage de chasteté, un peu comme si elle devenait trop petite, à moins que … Non c'est pas la cage qui changeait de taille, c'était bien ma queue qui se faisait remarquer.

A part ce petit détail je me sentais totalement décontracté …

– C'est Denis qui a la clé ? Me demandait-elle.

Je faisais oui de la tête tout en m'installant confortablement sur le dos.

Elle s'installait perpendiculaire à moi, posait de nouveau sa tête sur mon ventre. De nouveau elle posait ma main sur sa poitrine, de nouveau je lui caressait la poitrine avec douceur.

– C'est vraiment dommage que tu sois PD ! Me lançait-elle.
– Voilà qui est dit avec beaucoup d'élégance ! Traite moi de grosse tafiole pendant que tu y es.
– Non mon doudou tu n'est pas gros, tu es confortable c'est tout !
– Confortable ?
– Comme un beau nounours !

Que voulez-vous que je réponde à ça. C'était dit sur un ton tellement naturel. Je reprenais, je somnolais à moitié, sa poitrine était ferme et douce. Je continuais à lui caresser les seins, ça me calmais, je ne suis pas du genre à m'exciter parce que je caresse les sein d'une femme, non c'est pas du tout mon genre ça.

Elle le savait. Denis lui avait raconté, il lui avait aussi raconté pour mon dispositif, c'est pour cela qu'elle n'avait pas eu l'air surprise.

Je somnolais à moitié. Si j'avais eu un moment une petite tension au niveau de ma cage c'était fini, j'avais retrouvé mon calme. Elle me réveillait brusquement, se relevait, se retournait et en une seconde elle se retrouvait allongée sur moi, ses jambes bien écartées, son corps collé au mien, ses seins écrasés sur ma poitrine, elle m'embrassait en passant ses bras autour de mon cou.
Elle ne m'a même pas laissé le temps de réagir.

J'ai sursauté mais que faire ? Je suis d'un naturel serviable aussi j'ai fait un câlin. Son corps était doux et léger, c'était pas désagréable mais ça ne m’excitait pas vraiment pour autant, sexuellement je veux dire, ça ne m’excitait pas du tout même, pour être précis ...

Elle semblait prendre du plaisir et s'amusait avec moi. Elle glissait avec légèreté sur mon corps, elle me couvrait de baisers, me mordillait les tétons, je ne vous raconte pas dans quel état j'aurais été si ça avait été un mec …

Mais alors là … rien ! C'est un contact doux, douillet, confortable , tiens pareil je vais dire qu'elle est confortable elle aussi, ça lui apprendra … Elle me faisait rire, elle me chatouillait et mes réactions l’amusait.

Elle se retournait vers son sac, elle avait un sac du genre de ceux qu'on prend pour aller à la plage, il y a de la place dans ce genre de sac. Elle fouillait au fond et en sortait un sacoche, l'ouvrait et triomphalement en sortait un gode ceinture.

– Oua ! Tu délires là. Lui lançais-je.
– On va juste s'amuser un peu …

Je regardais le gode de très près, sa taille me convenait, il était bien, pas trop gros mais pas ridicule non plus. J'étais partant à ce jeux, vous imaginez bien. Une fille avec une queue, même en plastique, j'étais partant.

Mais voilà elle ne voyait pas les choses sous cet angle. Je m'en suis vite rendu compte. Elle me sautait dessus.

– Allez relève toi !

Je la regardais d'un air pas convaincu.

– Enfile moi ça !
– Ouai ! Mais euh ! On pourrait pas jouer dans l'autre sens ?
– Non.
– C'est pas juste, c'est toujours les mêmes qui …
– Si tu me donnes du plaisir on inversera les rôles.

Elle me faisait un petit sourire vicieux et bien sûr je cédais. Elles sont marrantes les filles, c'est pas la première qui me fait le coup. A chaque fois je cède mais c'est pas une raison ça …

J'enfilais le dispositif, elle s'assurait que les sangles étaient bien ajustées puis me prenait dans ses bras.


Ce qui est bien dans cette histoire c'est que comme ça ne m'excite pas vraiment cette affaire, je ne bande que très moyennement. Je bande toujours un peu mais pas trop, le dispositif de chasteté n'est pas plus difficile à supporter. Avec des mecs il y a des fois ou c'est plus dur mais avec des fille, ça va !

Je la prenais dans mes bras également, je l'embrassais, je caressais sa peau. Elle était douce et son visage également était doux. Ça me fait toujours tout drôle un visage doux, d'habitude il y a de la barbe.

Elle s'allongeait de tout son poids plume sur moi. Je sentais tout de suite que les choses devenaient sérieuses. Jusque là ça n'avaient été que des petite caresses, genre papouilles et guili-guili mais là, tout de suite c'était plus intense.

De tous son corps elle me caressait, au début je la laissait faire puis je me disais qu'il faudrait peut être que je fasse quelque chose. Je lui caressait les bras, puis passais à son dos et finalement la prenait dans mes bras. Mes mains se promenaient rapidement et avec légèreté sur tout son dos et j'entendais ses murmures de plaisir.

Elle m'embrassait. Là j'étais un peu surpris, je ne m'y attendait pas. Remarquez j'aurais du y penser, mais je suis resté très digne et je lui ai rendu son baiser … Ses baisers … Bein oui elle a insisté !

Là je me disais que finalement … Comme je n'aurais pas besoin de bander et de la pénétrer, non parce que là je ne peux pas, là non ! Comme finalement je n'aurais rien à faire de ce côté, je pouvais faire une effort et tenter de lui faire plaisir. J'éviterai bien sûr de mettre mes doigt n'importe où mais à part ça … Déjà je sentait que ma cage devenait plus spacieuse, c'est sûr là je ne bandais pas.

Enfin je vous imagine tous dans les bras d'une fille, ça doit être pareil pour vous, non ?

Donc je me détendais et la caressait. Quand mes doigts arrivaient à ses fesses, je glissais mes doigts dans cette grosse ride qui, je vous le jure, était sa seule ride. Je n'insistai pas trop, on m'a déjà prévenu que les filles ça ne marche pas comme les garçons. Avec un garçon, c'est pas bien compliqué on lui met un doigt dans le cul directe, avec une fille le plus souvent tu te prends une gifle dans la figure …

Je la retenais contre moi et je l'aidais même à glisser sur moi, en fait je la guidait moins que je ne la suivais et la laissais faire, je l'aidais même. Elle voulait m'embrasser, je lui tendais mes lèvres. Elle voulait me faire un gros baiser dans le cou, je penchais ma tête dans l'autre sens. Elle a voulu me faire un suçon, je couinais très fort mais je la laissais faire. J'ai vu le résultat le soir à la maison, je ne vous dis pas, elle ne m'avait pas loupé !

C'est elle qui décidait du mouvement, c'est elle qui relevait le bassin, elle s'était longuement masturbé sur le gros gode qu'elle m'avait installé, elle se soulevait et c'est elle qui s'installait, elle finissait par s'enfiler le gode dans son vagin, elle s’asseyait dessus, je voyais le gode disparaître entre ses cuisses. Je ne sentais rien, ça fait bizarre, ça fait toujours bizarre, à chaque fois mais c'est cool tout de même.

Elle se laissait tomber sur moi. Je refermais alors fermement mes bras sur elle et commençait des mouvements du bassin, tout doucement au départ puis plus ample, plus fort, plus vite. Je suivais un mouvement régulier, elle l’amplifiait même de ses propres mouvements.

Ses seins me chatouillaient le torse, c'était doux mais je m'en serais bien passé. Ce qu'il ne faut pas faire pour faire plaisir tout de même !

Son visage se déformait. Elle faisait des grimaces de plaisir. En fait moi je ne faisait pas grand chose, je suivais le mouvement … Je restais très concentré, c'est vrai que je voulais faire bonne impression et puis quand on fait quelque chose, autant le faire bien.

Elle se penchait d'un côté et semblait m'attirer, là encore je suivais, elle se retrouvais sur le dos et moi allongé dessus. Bingo, c'est ce qu'elle voulait. Je ne vous dis pas mais c'est du boulot ! Ceux qui ne me croient pas n'ont qu'à essayer, ils verront bien !

Elle refermait ses jambes derrière mes cuisses et je continuais à la limer. Je restais très attentif à ses réactions. C'est elle qui me guidait, en fait, ça ne se voyait peut être pas du premier coup d’œil mais c'est elle qui était aux commandes. Et elle semblait apprécier.

Elle me repoussait doucement en me disant '' Retourne toi ! '' et dans la seconde qui suivait j'étais sur le dos et elle allongé sur moi. '' Ne bouge plus '', je devenais inerte … '' Caresse moi le dos tout de même '', mon corps restait inerte mais mes bras la caressait avec toute la douceur que je connais.

Elle se relevait et repliait les jambes sur mes côté. '' Caresse moi les seins !''. Avec force et douceur mes mains lui massaient les seins et la sentais frémir. Elle recommençait à se relever et à se laisser retomber. Elle relevait la tête, mes mains se promenaient partout sur son torse, ses seins, son dos, elles redescendaient sur son ventre et finalement sur ses cuisses et entre ses cuisses.

Javais pourtant juré que je ne mettrais pas mes doigts n'importe ou !

Elle ne frémissait plus, elle tremblait. Elle tremblait de plus en plus, elle à joui sur moi, c'était un peu surprenant, je ne m'y attendais pas. Surtout que moi, comme je vous disais, je ne ressentais rien, en tout cas au niveau sexuel. Et je ne bandais pas du tout avec tous ça moi.

Elle me prenait alors les mains, se laissait aller, s'allongeait sur moi en écartant mes bras. Elle me donnait un baiser sur le torse. Elle avait l'air contente.

On est resté encore un long moment au soleil, elle ne m'avait pas vraiment excité et je ne bandait pas du tout, du tout.

Il faudra que j'en touche un mot à Denis, je me demande s'ils n'ont pas comploté cette après midi à la campagne ensemble, ces deux là.



N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!