Pic-Nique

Je vais vous raconter une histoire qui m’est arrivée un début d’été caniculaire …
J’étais tranquillement en train de réparer mon scooter sur une petite place très fréquentée le week-end, là un homme la trentaine bien avancée, l’air sérieux, s’approche et me tend un post'it ou une carte de visite, je ne sais plus, sur lequel figurait un n°. Tout en me tendant le papier il me dit :
- si tu veux connaître la femme de ta vie appelle ce n°…
je fus surpris, il le vit, mon indécision à prendre le papier le poussa à ajouter… je te promets que ce n’est pas mon n° !!! Rassuré (lol) je le pris… et c’est à ce moment là que tout devient intéressant…
Je me remis dans la révision de mon 2 roues… puis retournant à la maison, je repris le papier me demandant ce que c’était encore que cette connerie mais relativement curieux de savoir ce que c’était je le remis dans ma poche en me disant que j’appellerai plus tard…
La fin de l’après midi approchait tout comme le moment où je devais amener ma femme à la gare pour qu’elle aille en vacance, ma société me demande un travail assez soutenu même en été donc elle partit seule qq semaines en vacances.
Le premier soir, je voyais des amis donc l’idée du papier me sortait de la tête… mais le lendemain au réveil en ce dimanche d’été une certaine flemme bien connue des gens qui se couchent très tard s’installait et au bout de trois heures de « commatage » dans le salon à réessayer tous les jeux de la Xbox 360, à boire des cafés, changer le disque de la hi fi, zapper sur toutes les conneries de ce putain de câble, l’idée me vint de prendre une douche et enfin de mettre un jean… et comme par hasard en palpant les poches je retombait sur le fameux n°… enfin mon dimanche voyait un intérêt… je pris mon portable composait les 10 chiffres du n° et tombais sur une messagerie… une voix suave m’expliquait comment laisser un message sur le répondeur et qu'elle se ferait un plaisir de me rappeler si je laissais mes coordonnées… chose que je ne fis pas… mais technologie oblige 1heure plus tard et grâce à la présentation du n° la même voix m’appelait ! allooo vous avez cherché à me joindre mais je ne connais pas votre n° que me voulez vouuus… surpris par cette voix pimentée, suave, chaude enfin bref qui m’excitait, je lui répondis
- un ami à vous m’a laissé votre n°, il m’a dit que vous m’aviez trouvé pas mal et qu’il fallait absolument que je vous invite à boire un verre…
Elle me répondit qu’elle ne se souvenait plus d’avoir fait ça mais que ca ne l’intéressait pas.

Elle me remercia et raccrocha… après ce que j’appelle un méga zef je finis par retourné à mes occupations géniales et décidais d’aller taper un squash avec un pote… à la sortie des vestiaires je fus surpris de voir un texto qui me disait que c’était la fameuse voix sensuelle, qu’elle était désolé pour sa réaction mais qu’elle ne savait pas quoi dire alors elle avait vite coupé court à la discussion… Elle me proposait un verre ou un dîner le soir même… enfin mon dimanche prenait une tournure plus intéressante. J’avais le choix du resto, je sors beaucoup pour savoir que rencontrer quelqu'un dans un resto n’est pas terrible, qu’on finit souvent par écouter ce que disent les tables d’à côté alors je lui proposais de pique-niquer dans un parc mais vu que notre rendez vous était assez tardif vers 22h00 je dû trouver un parc ouvert la nuit ou au moins facile d’accès pour ne pas avoir à galérer… mon choix se fit sur un tout petit parc aux grilles très basses qui s’enjambent facilement… elle hésita un moment avant d’accepter de diner avec un homme qu’elle n’avait vu qu’une seconde et qui lui ne l’avait jamais vu dans un parc fermé le soir… mais elle accepta et m’avoua par la suite qu’elle ne saura jamais pourquoi elle le fit…
Mon pique nique passait par la case course, là je fis les choses bien, que du léger, salades, légumes frais, vin blanc liquoreux, puis Pessac Léognan, champagne Mangues, framboises enfin tout ce qu’une femme peut aimer…
Nous nous retrouvâmes donc à 22h devant notre parc un peu gênés tous les deux de cette rencontre un peu bizarre ou plutôt extra ordinaire et commençâmes à dîner, le vin, la chaleur et l’ambiance bougies dans le parc nous fit commencer à parler librement, de chose assez personnelles, je lui dis que j’avais une femme, elle me questionna sur le pourquoi de ma venue si je tenais à elle, je lui répondais par un besoin de rencontrer du monde pour relancer régulièrement mon couple, enfin, que je ne savais pas… et ceci et cela…
Elle était très directe, parlait de ses amis comme si nous nous connaissions de longue date.
Puis venu le moment du dessert… quelques Framboises et là fut ma première approche un peu physique, je lui mis une framboise dans la bouche. Elle fut un peu étonnée de mon geste, me sourit et fit de même, me glissa un morceau de mangue entre les lèvres en prenant soin de bien insinuer délicatement son doigt à l’entrée de ma bouche et à les frôler délicatement… ce fut électrisant. Mais c’était surtout pour moi un accord mutuel à un jeu qui allait nous emmener loin sur les chemins intarissables de l’érotisme.
Ensuite après un petit répi, je me saisi de son pied en lui disant que chez une femme, contrairement à beaucoup, ce que je préférai ce sont les pieds et les épaules… elle me dit que les siens étaient très beaux et qu’elle ne voyait aucune gène à ce que je lui ôte sa chaussure pour vérifier… je pris délicatement son pied, le posa sur ma cuisse et ôtais la lanière de cuir qui faisait le tour de la cheville tout en prenant soin de bien laisser traîner mes doigts pour lui caresser le mollet… j’avais son pied dans les mains et au bout d’une seconde je le mis un peu plus en hauteur ce qui me donnait une vue plutôt agréable sur ses cuisses et la dentelle de ses dessous… là s’en était déjà trop… mais que faire ? louper une occasion de passer un des moments qui restera comme un des meilleurs de ma vie ou alors sous prétexte de morale judéo chrétienne rester fidèle… je pris vite la résolution qu’on ne vivait qu’une fois et que je retrouverai jamais une autre expérience comme celle là car elles sont toutes uniques.
Je lui massais donc le pied délicatement, ses yeux se plissaient, sa respiration changea de rythme, selon moi c’est là qu’une femme est mûre, quand sa respiration change c’est qu’elle rentre dans la peau de la bête qui somnole en elle. Elle devient tigresse et tendre à la fois… ma main remontait délicatement le long de son mollet mais stoppait pour le moment jusqu’au genou… après quelques instants je me levais pour aller chercher du champagne qui refroidissait un peu plus loin sur la rambarde du parc d’où l’on avait une vue magnifique sur la seine et les quais ou quelques personnes se promenaient.

Elle m’a rejoint, nous étions l’un à coté de l’autre, je me suis approché encore, je l’ai regardé dans les yeux et embrassée tout doucement, sans aucune contrainte. Elle m’a rendu ce baiser puis m’en a redonnée un plus sensuel encore, je l’ai prise par la taille puis lui ai caressé le ventre, le dos, toujours délicatement pour en venir à ses seins, deux jolies petits seins qui sous les caresses pointaient. Ses tétons étaient de feu sous mes caresses, plus je les malaxaient plus ils durcissaient, ma bouche parcourait son cou, mon autre main prenait position sur ses fesses pour les cajoler, les caresser sous la jupe de mousseline blanche, elle frissonnait malgré la chaleur, la moiteur de ses cuisses en disait long sur son excitation. Ses cuisses justement que je caressait puis malaxait pour enfin les serrer dans mes mains. Mes caresses approchaient de son sexe brûlant jusqu’au moment où ma main commença à délicatement l’effleurer. Je faisais de légers cercles autour de son bouton sur la dentelle de son string, elle me dit que mes caresses lui faisaient du bien, qu’elle adorait qu’on s’occupe de son clito bouton comme ça…
Je commençai à sentir la cyprine humecter le tissu, je continuai ces caresses de haut en bas tout le long de son sexe, la dentelle ne faisait plus qu’un avec les lèvres et commençaient à s’immiscer entre elles. Son sexe était chaud, je mis délicatement le tissu sur le coté pour enfin, de mes doigts, caresser son clito. Grande fut ma surprise de ne trouver sur ce sexe aucune toison mais une douceur inégalable, surtout avec la cyprine qui commençait à couler abondamment.
Mes doigts étaient aspirés par l’intérieur de son sexe, ils y pénétrèrent comme dans du beurre laissé au soleil.
Elle était de dos, collé contre moi, j’avais une main sur ses seins, l’autre qui commençait un va et viens irrégulier dans son con. Elle mit la tête en arrière, me mordit l’oreille et commençait à soupirer de plaisir pour au bout de quelques minutes planter ses ongles dans ma cuisse et jouir dans des cris étouffés par ma main qu’elle mordait à pleine dents….
Elle reprit ses esprits, allait entreprendre de me donner mon plaisir quand elle sursauta et me dit :
« je crois que quelqu'un nous regarde »
elle prit peur et me dit :
"prend les affaires on se casse…"
Effectivement quelqu'un nous regardait, il avait sortit sa queue et se la caressait, caché derrière un arbre…
Dans ma tête je pensais que ce con venait de me niquer mon coup et je l’avais un peu mauvaise, surtout que ma queue elle n’était pas caressée et qu’elle en avait bien besoin pour dégonfler.
Sur cette aventure bizarre, nous partîmes prendre un verre (il était déjà presque 3h00 du matin) dans un bar assez connu du boulevard St Germain et là elle me disait qu’elle avait rarement joui sous des caresses, qu’en général elle arrivait à atteindre un plaisir intense mais jamais de jouir et de fondre comme ce qu’elle avait ressenti.
Ses mains devenaient baladeused et commençaient à venir frôler mon sexe tout en me parlant de sujets assez directs… puis après la commande passée et les coupes amenées, elle vérifia que sa main agile ne pouvait être vue puis commença à dégrafer les boutons de mon pantalon pour atteindre mon boxer déformé par ma queue prête à l’emploi… elle attrapa l’élastique de celui-ci, le fit descendre légèrement et put enfin voir la tête de mon gland pour me dire en rigolant
- j’aurai mis ma main à couper que tu étais juif…
Sur ces mots elle remit l’élastique, remit la ceinture et me dit :
« on s’en va j’en ai marre… »
Encore une fois je crus que jamais mon sexe n’aurait sa part de plaisir….
J’allais la ramener chez elle puis elle me dit :
- tu connais le Louvres au petit matin ? …
D’un coup de guidon nous primes la route du Palais et allâmes nous installer dans une des alcôves pour apprécier le futur lever de soleil mais nous avions du temps. Presque une heure avant que le soleil ne pointe le bout de son nez donc je repris mes baisers langoureux, mes caresses expressives… ma bouche commença à embrasser son ventre, ses seins qui redevenaient durs comme auparavant. Ma main lui caressait le sexe et à nouveau celui-ci faisait jaillir ce miel cher à mon cœur, c’est alors que ma bouche s’approcha de ses cuisses, je commençais à les lui mordiller puis je mis le tissu du string sur le coté pour enfin goûter cette fille. Ma langue dans un premier temps ne s’attardait que sur son bouton que je faisais ressortir par une pression au dessus de celui-ci, je le léchais sagement pour ensuite commencer à le titiller plus violemment avec la langue.
Cette langue s’insinuait partout entre les lèvres, sous celles-ci, derrière, pour rentrer dans le sexe et en sortir ce liquide épicé et sucré, humide et si parfumé qu’est la cyprine, ce liquide est pour moi une énigme gustative, comment une sécrétion peut-elle être aussi agréable au goût, aussi délicieusement sucrée et acre à la fois.
Enfin arriva ce qui devait arriver, elle jouit pour la deuxième fois de la nuit en plaquant de ces deux mains ma tête sur son sexe inondé de plaisir et cette fois ci rien ne l’empêchait de pousser quelques petits cris qui me paraissaient résonner dans toute la cour du Louvre…
Je relavais la tête et vis sur son visage que le plaisir fut intense, ses yeux encore fermés s’ouvraient pour me dire merci, ses mains vinrent encore une fois attr ma tete pour cette fois un baiser extraordinaire, mes lèvres encore gorgées de cyprine glissaient le long des siennes… notre baiser se stoppa sur ces mots
« à mon tour maintenant »
Elle se mit à genoux, quelques marches plus bas, m’écarta les jambes, ôta ma ceinture, fit descendre mon boxer à mi cuisse, je me retrouvait là, au milieu de la cour du Louvre, avec ces dizaines de statues témoins de l’histoire de paris qui allaient être là pendant que je me faisais sucer, j’étais déjà comblé alors que sa bouche n’avait même pas commencé son délicieux labeur.
Sa bouche commença par se poser sur mes bourses qu’elle faisait glisser entre ses lèvres, cette sensation d’aspiration était magique elle n’avait toujours pas touché mon membre à proprement parler… puis après une petite minute elle se mit en scelle pour un travail minutieux, juste avec sa langue elle fit de petits cercles sur mon prépuce pas encore décalotté mais qui était prêt à exploser dans cette poche trop petite pour sa taille, chose qu’elle fit d’une manière nouvelle pour moi, en me masturbant avec la bouche de coté, en fait elle fit descendre la peau le long de ma queue avec sa bouche sur le coté, c’était pas mal, je la sentais inventive, sûre d’elle, pas du genre à te dire à un moment
« tu me préviens quand ça vient hein !!! »
non, elle faisait partie de ces femmes qui, même entre vos cuisses à vous sucer le sexe, maîtrisent tout et surtout vous maîtrise à vous. En effet, j’étais à sa merci, je n’attendais qu’une chose c’est qu’elle accélère pour me faire jouir et pour ça j’aurais tout fait…C’est alors qu’elle prit mon membre dans sa bouche, d’abord juste le bout pour jouer autour puis sa mâchoire commença à coulisser le long de mon chibre, elle allait et venait de haut en bas, avec sa main elle me caressait les boules et la raie de fesses, c’était au tour de mes yeux de se plisser et au tour de ma respiration de devenir haletante, elle entoura mon sexe de sa main et commença à le branler tout en le suçant, le plaisir montait en moi, cela faisait un petit moment qu’elle me suçait, elle me demanda si c’était risqué de la baiser là contre le mur… moi je ne savais pas quoi faire, de toute façon il fallait qu’elle me fasse jouir sinon à la première pénétration je lui aurait inondé le vagin de mon foutre… je lui répondis que je lui ferais l’amour dans quelques minutes mais que j’adorais la façon dont elle s’occupait de moi pour le moment… elle me répondit à son tour
" ne t’inquiète pas j’avais pas l’intention que tu ne viennes pas dans ma bouche… "
et elle repris sa pipe avec ingéniosité jusqu’au moment où, dans un râle de plaisir, je lui ai vidé ma semence dans la gorge, cette semence venait par grosses giclées, il y en eu au moins quinze, je n’en croyais pas mes yeux, je venais de cracher au moins 10 cl de sperme dans la bouche de cette inconnue avec qui le feeling était immense… je pensais qu’elle s’arrêterait là mais pas du tout, elle continuait à me sucer malgré ce qu’elle venait de prendre et toujours très activement, à tel point que je croyais que j’allais réjouir et bien c’est ce qui se passa, moins d’une minute après rien ne venait de mon sexe mais je ressentais un orgasme profond, mes couilles étaient vides mais les spasmes de mon sexe prouvaient que je jouissais une seconde fois, ce fut un grand moment de plaisir, j’étais lessivé mais pas elle apparemment, elle revint vers moi, m’embrassa, sa bouche qui venait me donner tant de plaisir était douce et chaude, sentait le sperme, je trouvais ça si sensuel… de ses mains expertes elle entreprit deux masturbations, la mienne et la sienne. Elle voulait redonner vigueur à ma queue et recommencer à mouiller. Quant elle vit que mon sexe était assez dur pour la prendre, elle se leva et me dit
" viens me faire l’amour s'il te plait "
elle se tenait là, devant moi, avec sa jupe blanche, son top un peu froissé par les cabrioles fraîchement survenues… sa taille nous permettait de faire l’amour debout et de face mais le jour commençait à venir et je pensais qu’on serait moins visibles si je la prenais par derrière, on pourrait feinter un simple baiser j’étais derrière elle, elle se cambra, mit une main sur le mur en l’air, l’autre attrapa mon sexe, le mit en face de sa fente et elle fit un mouvement de pression arrière pour que je la pénètre. J’en croyais pas mes yeux, en trois mouvements cette experte du sexe venait de se servir de ma queue… je n’ai rien eu à faire pour rentrer en elle. Elle commença même les mouvements de va et viens.. Mais laàje repris les commandes de la relation, je lui attrapais le bassin, juste là où la prise est la meilleure et j’entamais un mouvement régulier et léger qui se finissait toujours par un soupir de sa part. Puis j’ai commencé à changer de rythme, un petit mouvement rapide suivit d’un lourd qui vient percuter le fond de son vagin, avec tout le bien que ça lui fait. Enfin au bout d’un quart d’heure elle n’en pouvait plus, moi non plus d’ailleurs, mais je savais que quand j’ai déjà joui ça peux durer un sacré moment, mais on n’avait pas tout le temps qu’on voulait… alors j’ai commencé à accélérer vraiment la cadence de mes pénétrations dans son sexe qui s’humidifiait de plus en plus, mon ventre venait claquer sur son cul, mes couilles sur son bas ventre, mes mouvement devenaient violents, elle se penchait de plus en plus jusqu'à faire un angle droit tout en se tenant sur le mur, je lui tournais la tête vers moi pour voir son visage réagir à mes coups de butoirs ses dents se serraients ses yeux fermés et dans une dernier assaut sa mâchoire s’est détendue pour s’ouvrir en grand et laisser échapper des cris de plaisirs forts, si puissants que je pensais qu’elle allait réveiller quelqu'un. Tout en criant elle me disait :
" continue continu continu aaaaaaaahhhhhhhhhhh. "
Je vins quelques minutes après dans sa chatte brûlante, un orgasme inoubliable, quand je me suis retiré d’elle et qu’elle s’est retournée, son mascaras avait coulé, ses yeux étaient encore pleins de larmes, je l’avais faite pleurer de plaisir… je l’ai ramené chez elle puis elle m’a embrassé et on s’est revue à plusieurs reprises. Aujourd’hui cette jeune inconnue est devenue ma femme, nous sommes partis vivre sur une île paradisiaque où nous avons ouvert un hôtel 5 étoiles et où nous faisons l’amour depuis presque 20 ans…


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