Le Jour De Mon Mariage ...

Rien n’est plus doux qu’un libertinage assumé. Et assumé dès le début de ce qui, pour certains esprits étriqués et médiocres, en sonne le glas : le mariage.

Je voulais être l’homme le plus prompt de l’histoire à tromper sa femme. Cette perspective m’enthousiasmait au-delà des mots. Je voulais que cette conne, Léa, qui allait devenir ma tendre épouse, soit – à son insu – humiliée plus vite et plus fort que quiconque le fut jusqu’alors.

Le stratagème a fonctionné à merveille et se déroula sans accroc le jour de note union sacrée. Pendant que le nous étions cote à cote, Léa et moi, devant le maire qui célébrait la cérémonie, je commençais à imaginer que cette pute serait bientôt cocue. Cela me fit instantanément bander. Il fallait que je sois prêt pour ce qui allait suivre. Mon sexe s’est tendu si fort que je craignais d’attirer l’attention. Je ne pensais plus du tout aux mots prononcés par l’officiant, mon esprit entièrement tendu vers le vice délicieux de ce qui avait été échafaudé. Je m’étais arrangé pour que la cérémonie se termine juste après les mots fatidiques prononçant le mariage. Dès que nous passons nos alliances à nos doigts, que nous sommes officiellement mari et femme, je déclenche donc secrètement le chronomètre de ma montre. J’embrasse ma jeune, très belle et très pure épouse en lui murmurant à l’oreille « je suis à toi seule pour toujours, aucune autre femme ne comptera jamais pour moi ». Je pus alors lire un ravissement confiant sur son visage qui me fit bander au-delà de l’imaginable, sachant ce qui allait advenir.

Quelques secondes plus tard, nous sortons avec les convives de la salle d’office pour nous rendre dans celle, voisine, où était installé le buffet de la réception. Avec un sourire, je précise à Léa qu’il me faut m’absenter quelques instants pour satisfaire un besoin pressant.

Pressant, le besoin l’était en effet ! Mon sexe tendu comme jamais n’en pouvait plus.

Je courre jusqu’aux toilettes situées pourtant à moins de 10 mètres. Là, Louise, la sœur cadette de Léa, âgée de tout juste 18 ans et complice de ma manigance, m’attend. Sur ses talons immenses, vêtue d’une jupe bleu électrique insolemment courte et d’un chemisier ne parvenant pas à dissimuler sa large poitrine encore naissante, elle me regarde avec une sublime perversité. Nous entrons dans la cabine « femmes », j’ouvre ma braguette aussi vite que je le peux. Louise se penche en avant, me laissant admirer ses trous non dissimulés par la moindre culotte, entièrement offerts, et dit avec sourire mutin et malin :
- va dans mon cul, c’est plus serré, tu déchargeras plus vite. Je viens de me lubrifier à la mouille. Sodomise moi comme un porc.
Sans mot dire je plonge vigoureusement ma queue d’un coup de rein sec et puissant au plus profond de son fion en interrompant mon chronomètre : 58 secondes ! Moins d’une minute après mon mariage j’avais réussi à tromper ma femme. Cette pensée m’excitait plus encore que le corps sublime de Léa qui se penchait au-dessus des chiottes pour me laisser le loisir de l’enculer sans frein.
- penser à ma sœur, si romantique et si heureuse de son mariage, suffirait presque à me faire jouir, suffoque-t-elle entre deux couinement de chienne. Défonce moi. Putain, c’est si bon de savoir que tu viens de te marier et que tu me bourres sans limite alors que ta connasse de femme t’attend avec tous les invités à quelques mètres … Jouis vite maintenant, tu dois y retourner …
J’att les longs cheveux blonds de la jeune Louise, je les tire brutalement en arrière, et laisse un vif jet de foutre emplir son cul bien serré. Je regarde à nouveau ma montre : tout juste 2 minutes et 7 secondes après l’union ! Je souris de fierté. Louise commente :
- ce que nous avons accompli touche au sublime. Mais tu as été si brutal, je vais avoir du mal à m’asseoir pour la suite de la fête ! J’adore quand tu me détruits l’anus comme ça. Je reste ici quelques instants : je vais me finir à la main, il faut que je me branle la moule maintenant, c’est vital …
- Bien, lui dis-je.
Suce d’abord ma bite pour me nettoyer, que je puisse ma rhabiller.
Elle s’exécute, passant méticuleusement sa langue sur mon gland et aspirant les gouttelettes de sperme qui perlaient encore.
- Tu es vraiment la dernière des putes, Louise.
- Merci, me répond-elle avec un sourire extatique qui illumine son visage encore juvénile. Va retrouver Léa, ta petite femme.

Je rejoins rapidement l’assemblée des invités. Serre quelques mains. Échange quelques mondanités. Goutes les gâteaux d’apéritif. Quelques minutes plus tard, Louise rejoint la foule qui se presse autour du buffet. Sa tenue si provocante ne manque pas d’attirer les regards. A commencer par ses talons interminables qui n’entravent en rien sa démarche sensuellement nonchalante. Elle s’approche de moi et, discrètement, passe son doigt manifestement trempé sur mes lèvres.
- je voulais que tu aies mon jus de chatte sur les lèvres quand tu embrasseras Léa. Ma conne de sœur ne s’en rendra pas compte, j’en suis certaine !
Émoustillée par cette belle idée, je me presse vers mon épouse. Je lui déclare mon amour éternel et exclusif. Je lui jure une fidélité sans faille et l’embrasse tendrement. Elle s’accroche à mes lèvres avec passion et suce ainsi, en l’ignorant, la cyprine encore chaude de sa petite sœur. Je recommence instantanément à bander …

Mon téléphone vibre. Louise m’a envoyé un SMS : « regarde ma cuisse droite, regarde la goute qui coule dessus. Je mouille tellement de ce que nous venons de faire que sans culotte je ne parviens plus à contenir … ». Mon ravissement atteint son apogé. Elle marche vers moi et, juste en passant, susurre à mon oreille :
- je m’isole 3 minutes, tu vas aimer …
Ces quelques minutes d’attente me semblent durer une éternité. Je regarde Léa, ma tendre femme, et me délecte déjà à l’idée de la baiser violemment tout à l’heure. Elle comprendra que je vais la traiter comme une chienne. Une esclave. J’imagine le raffinement des humiliations à laquelle je la soumettrai pour notre nuit de noce.
Je la veux absolument soumise et suppliante. J’ai d’ailleurs déjà déposé la laisse sur sa table de nuit. Elle verra bien assez tôt …
Mais Louise revient vers moi, arborant cette petite moue boudeuse de très jeune fille, et interrompt mes rêveries :
- tout ton sperme était encore dans mon cul, me dit-elle doucement. Je viens de me doigter pour le recueillir. J’ai écarté à fond avec deux doigts de la main droite et il a coulé dans ma main gauche. Tu en avais déchargé tellement ! J’ai tout avalé dit-elle en approchant son visage de moi. Tu sens comme mon haleine est celle de ton foutre ?
À cette instant Léa d’approche de nous :
- Je suis si heureuse et émue que vous vous entendiez bien, dit-elle ! Mon petit mari adoré et ma jeune sœur sont amis, c’est merveilleux !
- Oui, je suis touché par votre bonheur, déclare Louise en approchant outrageusement son visage de celui de Léa, cherchant manifestement à lui exhaler à la face la fragrance douce de mon sperme juste ingéré après avoir séjournée une dizaine de minutes dans son cul.
Louise, doucement, chante alors à Léa une chanson de leur enfance. Prétexte pour que ma femme respire son haleine saturée d’odeur de foutre. Léa semble infiniment touchée, tout en candeur, tandis que Louise me regarde avec la perversité absolue de son visage d’ange.
- Traite ta femme comme une merde, mon doux, me murmure-t-elle en retournant vers le buffet. Il faut que cette pauvre conne comprenne. Sois un salaud méchant et impitoyable. Fais chialer ma sœur quand tu la tringleras comme une trainée. Commence par lui foutre ta grosse queue en « gorge profonde », fais la , fais-le dégueuler. Sois le dernier des porcs.
En prononçant ces mots si touchants, avec un sourire innocent dirigé vers Léa, Louise se cambre légèrement et je constate que non contente de s’être privée de culotte et s’est aussi dispensée de soutien gorge. Tout juste majeure, cette jeune pute est une salope très prometteuse.
- Très douce idée mon ange, lui réponds-je.
Plus tard dans la nuit, quand ma petite femme sera trop cassée pour servir encore, je viendrai dans ta chambre me vider les couilles sur ta face de princesse. Je veux décharger sur tes yeux ouverts.


Je suis satisfait de la première heure qui a suivi mon mariage. J’ai traité ma femme comme toute femme mérite de l’être : en esclave, en salope, en éponge à sperme.

(N'hésitez pas à laisser vos commentaires. Mesdames, dites-moi si vous avez mouillé !)

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