Le Mariage De Joclyne

Le Mariage de Jocelyne.
Je dormis… dormis… dormis… pratiquement tout le dimanche. Quand je me réveillais je fus étonnée de ne pas me trouver chez moi. Puis je réalisais… les souvenirs revinrent en masse. J'ouvris péniblement un œil, puis l'autre Monsieur Guy était assis sur son fauteuil roulant et me regardais dormir. Il me sourit. Ce sourire me chaud au cœur et me rassura. Ça au moins je ne l'avais par rêvé ! Prise par l'émotion, je me mis à sangloter, puis à pleurer à chaudes larmes… de bonheur. Me caressant la tête il me consola, m'assurant de son amour. A ce moment là je voulu bouger… aie, aie…aie ! Ouille, ouille…ouille… je n'étais plus qu'une courbature. Je poussais des gémissements à chaque geste. Cela amusa Monsieur Guy qui trouva que "je manquais d'entraînement"…merci bien ! Il me conseilla de rester allongée et alla me chercher un plateau repas qu'il avait confectionné avec les restes du buffet de la veille. Il était vrai que je n'avais pas eu le loisir d'y toucher beaucoup. Là aussi il me fallut faire des efforts. Ma mâchoire, comme le reste, était fort endolorie. Plus je me réveillais, plus j'avais mal partout mais s'était sur tout en bas que je dégustais. Je sentais que mon sexe était tout enflammé et mon anus me brûlait également terriblement. Je parvins quand même à manger un peu. Je voulus aller aux toilettes… c'est à peine si mes jambes me portaient, je flageolais. Arrivée aux toilettes je pus faire le constat des dégâts. Ouuuhh, je n'avais pas été épargnée ! Mais j'avais tellement joui…. Il allait me falloir quelques jours pour être à nouveau comestible, sans parler de la sale gueule que je me trimballais…. En regagnant la chambre, ou Monsieur Guy m'attendais, je fus prise d'une angoisse… demain…. Demain comment allais-je faire pour aller au travail. Cela me m'apparaissait pas possible dans un tel état. J'en fis part à Monsieur Guy. Il me dit de ne pas m'inquiéter. Son ami Fred, celui que je surnommais le vicieux, était médecin.

Il avait laissé à mon intention un certificat d'arrêt de travail de huit jours… quelle prévoyance ! Revenant un peu sur la soirée d'hier, il me dit que j'avais beaucoup plus à ce Fred et qu'il lui avait fait part de son souhait de me revoir (enfin…revoir…). Monsieur Guy pensait que l'idée n'était pas mauvaise. Un jour il l'inviterait… en même temps que Bertrand… et devant lui, je serais prise en sandwich par ces deux meilleurs amis. Ceux là ne l'avaient jamais laissé tomber à cause de son infirmité. D'ailleurs, Fred était désormais son médecin traitant. Cette idée me rasséréna sur une pensée que je n'avais encore pas eu le temps d'avoir. A priori, épouser Monsieur Guy, ne signifiait pas pour lui, lui jurer fidélité…. De toute façon comment aurais-je pus maintenant redevenir comme avant… le train était en marche.
Ce soir là et les jours qui suivirent, nous permirent d'organiser notre vie commune. Je fus disons, rassurée sur sa façon de voir les choses. L'amour ne l'avait pas rendu exclusif et a ce point de nos relations il souhait que mon dévergondage perdure à charge pour lui d'en être le complice complaisant ou le témoin ou mieux encore l'instigateur. Il ne voulait pas qu'ayant deviné "ma nature et mes aptitudes de salope", que je me mue en bobonne ménagère. Je lui redis que je me doutais bien qu'il était l'inspirateur des mes découvertes réalisées avec le concours Bertrand. Il me dit qu'effectivement, j'avais raison et quand voyant mes "bonnes dispositions" il avait décidé de me proposer de m'épouser pour peu que je sois devenue une belle cochonne. Lors de cette dernière soirée il avait put constater qu'il ne s'était pas trompé. Il m'avertit que ma plongée dans le vice n'était pas finie. Il me semblait pourtant avoir franchie beaucoup d'étape. Il m'affirma que j'allais encore repousser les limites. Il me rappela que je lui avait dit :" Je suis une pute ! " et aussi que " j'étais franchement d’accord pour être débauchée, prêtée, offerte et tout ce qu'il pourrait imaginer".
Il ajouta :
"Eh bien c'est pour bientôt !"
J'espérais simplement qu'il avait bien compris "je suis TA pute" et que cela lui était réservé. Enfin à lui … et ses amis….
Nous nous mîmes d'accord. Désormais j'habiterais chez lui. Il me demanda de cesser de travailler puisque ces placements lui rapportaient énormément et qu'ils pourraient largement (très, très largement je le vis par la suite) subvenir à nos besoins. Cette dépendance me gênait un peu. Il m'assura que c'était ridicule, qu'il souhait une "infirmière dévouée" a ses cotés et qu'il se ferait un plaisir de m'entretenir. Il ajouta en plaisantant, comme il aimait le faire avec un air d'en avoir deux (mais plaisantait-il toujours vraiment ?) qu'en plus d'être sa chose, étant dépendante de lui je deviendrais son esclave…. Il fut convenu que la location de mon pavillon et mon repassage (que je continuerais à faire) assurerait mon argent de poche. Il me précisa à nouveau qu'il m'avait déjà informé de ses moyens capables de m'assurer quelques subsides pour mes petites dépenses. Il est vrai qu'au début de nos relations, à l'époque j'avais dédaignés la chose. Il me demanda de reconsidérer la question sous un autre angle, que comme au début de nos relations avec le repassage nue, si je ne le faisais par intérêts, je n'en avais plus besoins, je pouvais toujours le faire par vice…. Vu sous cet angle, je fus moins catégorique. En fin de compte j'acceptais de plus travailler et envoyant ma lettre de démission. En revanche, je lui arrachais le renvoi de l'aide ménagère qui venait chez lui trois fois par semaine. Elle était jeune, grande, pas mal faite et … et j'en étais très, mais très jalouse.
"Je ne veux plus la voir ici à tourner-virer près de vous Monsieur Guy ! Après tout, je vais devenir votre femme, je peux donc m'occuper de l'entretien de la maison. Et moi je le ferais dans la tenue que vous voudrez… et même sans tenue du tout !"
Là je savais que j'allais toucher juste… gagné ! Cela le fit même rire.
Il m'expliqua qu'il l'avait choisie effectivement pour son physique qu'il reluquait à la dérobée. Mais à ces dires, et je le crus, il n'y avait jamais le début du commencement d'un petit quelque chose. Il n'avait décelé en elle aucune des "qualités" qui me valaient d'être près de lui aujourd'hui. Donc exit l'aide ménagère ! Pendant les jours qui suivirent, je fis mon petit déménagement. Une des choses qui fut particulièrement vite faite fut le transfert de ma garde robe. Monsieur Guy vint chez moi (enfin ex chez moi) m'aider à en faire l'inventaire. Il fut effaré !... et peu (vraiment très peu) de choses trouvèrent grâce à ses yeux. Une fois de plus il prit les choses en main et muni de catalogue plus ou moins spécialisés il me fit voir ce qu'il désirait que porte désormais. Tous ce qu'il me montra était pour le moins très orienté "sexe". Il me précisa au surplus, que ce que je voyais n'étaient que des tenues d'extérieur… et qu'à notre domicile il désirait que je ne sois qu'en tenues encore plus affriolantes voir nue. Cela n'allais pas être facile tous les jours…. Il faisait déjà souvent très chaud chez Monsieur Guy, et ce à cause de son informité. Mais je crois que les dépenses de chauffages allaient encore augmenter. Bref, à la maison se serait bas, avec ou sans porte-jarretelles, guêpière ou nuisettes de tous type et à l'extérieur, en raison de la longueur ou des fentes on me verrais toujours la moitié des cuisses. De même pour le haut je me doutais qu'il ne serait satisfait que quand on me verrait la moitié des seins. Durant les semaines qui précédaient, je m'étais faite à l'idée de me montrer davantage et je dois l'avouer, cela ne me gênais plus trop de m'exhiber un peu et puis… et puis à qui avais-je des comptes à rendre ? A personne, sauf à Monsieur Guy qui tenait à me voir ainsi accoutrée… alors ! Que m'importait, lorsque nous sortirions ensemble, que l'on parle de nous comme de "l'infirme et sa pute". On croirait le titre d'une fable… érotique à n'en pas douter.

J'acceptais donc ses caprices et lui promis dès le lendemain de partir pour une expédition d'emplettes. Il fut ravi. Je lui en rajoutais un peu en disant que de plus, je serais toujours bien coiffée et savamment maquillée comme il aimait. Il m'ouvrit immédiatement un crédit coiffeur illimité. Donc désormais je serais définitivement blonde….
C'est sûrement ce qui frappa mon employeur et mes "délicieuses" collègues, lorsqu'au lieu de la Jocelyne terne qu'ils côtoyaient habituellement, ce fut une blonde assez sexy qui revint une ultime fois chercher ses affaires. Histoire de mettre de l'ambiance, je mentis effrontément à mon patron en disant que c'était à cause de mes collègues que je mettais un terme à ma "fabuleuse" carrière dans les assurances. Je lui précisais aussi que j'allais à titre personnel changer au plus vite de compagnie… bye bye les assurances !
Le problème se posa de mon pavillon. Je ne voulais pas vendre. Par ailleurs je ne voulais pas le louer au premier venu et souhaitait pour remiser dans une partie des combles ce que je n'emmènerais pas chez Monsieur Guy. La solution vint facilement grâce à Bertrand. Laurent et Stéphanie, son neveu et son amie cherchaient un autre logement. Le leur était exigu et cherchaient autre chose. Ils furent tout heureux de se voir proposer carrément un pavillon à un prix que je fixais modeste en raison de notre récente intimité. Je vous reparlerais bientôt de la perception de ces loyers.
Tout ceci une fois en place, il fallut nous inquiéter de notre cérémonie de mariage. Pas de famille, ni d'un coté, ni de l'autre, donc…. Je n'avais pas d'amis ni de relation, donc…. Monsieur Guy désirait que cette cérémonie soit intime, donc…. Il choisit Bertrand comme témoin, et invita Fred ainsi que son amie. Pour ma part, je choisis Stéphanie comme témoin car (en plus de faire des prouesses avec sa langue) elle était vraiment très gentille. Elle viendrait bien sûr avec Laurent. Je me chargeais de la paperasse. Tout était en ordre il nous faudrait attendre les dix jours incompressibles de publications des bans. Cela nous permis deux choses : prévoir un repas à l'auberge ou Bertrand m'avait déjà invitée. Hervé le patron promis de se distinguer et obtenir in extremis un rendez-vous chez le notaire. J'emmenais en voiture Monsieur Guy chez le notaire. En arrivant chez celui-ci je demeurais pétrifiée. Au moment où nous allions entrer une femme nous tint la porte pour nous faire entrer et héla le notaire en l'appelant par son prénom.
"Jean-Charles vos client sont arrivés !"
Maître Jean-Charles d'H, sortit de son bureau.
"Ah bien, je croyais, Chérie, que vous avez oublié quelque chose !".
Il y avait de quoi être estomaquée. Cette femme n'était autre que celle dont nous avions visionné les ébats avec Monsieur Guy et qui m'avait assez tapé dans l'œil… la femme du notaire ! Comment se faisait-il que…. Remarquez, il doit bien y avoir des cochonnes dans toutes les couches sociales…. Mais maintenant je savais qui elle était.
Très courtois maître d'H nous présenta Marie-Hélène Agnès son épouse avant de nous faire entre dans son étude. Le contrat fut vite signé dans le protocole habituel notarial habituel. J'avoue que pendant tout son bla-bla j'étais distraite. Maître d'H était plutôt bel homme. Savait-il que son épouse… était-il complice….
Pour le jour de la cérémonie je m'étais acheté un tailleur beige clair/ivoire (décemment je n'allais pas me marier en robe blanche). Ce tailleur était très ajusté, jupe au dessus du genou et veste moyennement échancrée. J'avais décidé de ne rien porter d'autre ce jour là que ce tailleur et une paire de bas fumés. En début de matinée coiffeur puis je me laissais aller au main de Stéphanie qui exerça avec talent son savoir faire de maquilleuse. J'étais belle comme une jeune mariée…. Monsieur Guy ou plutôt Guy allait être content. Il voulait que je cesse de l'appeler Monsieur Guy et de le vouvoyer. J'avais du mal….Tout le monde était sur son trente et un, magnifique ! Je fis connaissance d'Annick l'amie de Fred. Une belle plante peut être un peu plus jeune que moi mais aussi peu frileuse vu son décolleté. J'aurais juré qu'elle savait que son ami m'avait déjà baisée (entre autre). Sauf erreur grossière, elle ne paraissait pas avoir froid aux yeux. Bertrand étant conseiller municipal, nous eûmes les honneurs de la belle salle des mariages et de la présence du maire de la ville lui-même. Passage classique à la mairie où quand même, je remarquais que Monsieur le Maire avait tendance à scruter avec insistance le décolleté d'Annick et les longues jambes de Stéphanie. Il devait lui aussi bien aimer les femmes. J'en fut sûre quand il vint ma faire une bise (un peu appuyée) en lorgnant à l'intérieur de ma veste.
Le cours trajet nous amena à l'auberge ou le patron nous attendais et nous fit les honneurs d'un salon particulier ou précisa-t-il "nous ne serions pas dérangés". Il nous présenta les deux garçons qui assureraient le service indiquant encore qu'ils étaient à notre entière disposition. Question repas, Hervé avait fait des merveilles, sublime et succulent, vraiment parfait, des mets et des vins raffinés qui donnaient à ce repas une ambiance très chaleureuse. Tellement chaleureuse que Monsieur Guy assis à ma droite avait remonté ma jupe au dessus de mes bas et que Bertrand assis à ma gauche caressait tout à loisir. De l'autre coté de mon mari était installé Stéphanie. Un peu infirme, certes, Monsieur Guy n'était pas aveugle et avait vite vu que la jupe de Stéphanie ne fermait que par un unique bouton. Sa jupe était vaguement portefeuille et pouvait s'ouvrir facilement. Tellement facilement que Guy en avait écarté largement les pans et qu'elle avait le sexe à l'air. Sexe qu'il doigtait en attendant le service. En face de moi Annick avait des problèmes. Son décolleté prodigieux permettait déjà de voir ses aréoles et la partie ne semblait vouloir qu'une chose : s'échapper du tissus. Assis en face d'elle inutile de vous préciser que Monsieur Guy et Bertrand était radieux. Son autre souci avait l'air d'être sous la table ou Laurent et Fred avait l'air de jouer une partition à deux mains entre les cuisses de la belle. D'après ce que j'avais compris, Annick, Laurent et Stéphanie se connaissaient. Curieuse, il me faudrait interroger Stéphanie. Stéphanie dont je rencontrais parfois la main sur la braguette de Monsieur Guy. Donc tout se passait avec légèreté en actions et aussi en paroles jusqu'à ce que les garçons amènent le dessert. Les serveurs qui jusqu'ici avaient maté plus ou moins discrètement (plutôt moins) les agissements de chacun apportèrent le gâteau de la mariée. D'habitude ce gâteau est surmonté de deux sujets figurant les mariées. Il en était de même ce jour là… si l'on veut ! En effet au lieu de représenter les mariés au sortir de l'église, ils étaient représentés différemment. D'abord au niveau du costume, puisque la mariée était nue. Non seulement nue mais positionnée à quatre pattes avec son époux qui le prenait en levrette. Le moment de stupeur passé tout le monde applaudit cette "délicate" surprise. Alors que l'un des serveurs s'apprêtait à découper la pièce montée, Fred fit remarquer que la scène était bien différente de la réalité. L'assistance en convint. Il poursuivit en regrettant le manque de ressemblance avec moi. Il continua en argumentant que s'il était impossible de vêtir la figurine, par contre, il était aisé que je fusse dévêtue pour y ressembler. L'assistance (sauf moi) en convint derechef et il y eu quelques voix pou demander :
"A poil la mariée !".
Ce fut repris, y compris par mon époux, sur l'air des lampions. Regardant Guy je lui fis comprendre que j'étais d'accord. Pour procéder à mon effeuillage, il fit semblant d'hésiter entre les convives. Tous étaient volontaires…. Pour ne vexer personne, il choisit le statu quo et pria les deux serveur d'officier précisant que les privautés n'étaient non pas seulement permises mais encouragées. Théâtralement, ils vinrent vers moi, chacun me prit une main, avec douceur ils me firent lever pour que de quelques pas je m'éloigne de la table et que la noce put observer ce striptease. Ils m'encadrèrent et commencèrent par me mettre la main aux fesses histoire de me faire un peu gigoter. Ils se rapprochèrent ensuite et avec un bel ensemble firent sauter les boutons de ma veste de tailleur. Ils en prirent chacun un pan et l'écartèrent faisant admirer ma lourde poitrine. Chacun d'eux posa la main sur un sein et elles remontèrent jusqu'à mes épaules qui furent dénudées. Avec lenteur ils firent glisser ma veste le long de mes bras pour finir de m'en priver. Toujours agissant avec la même unité, ils se chargèrent de la fermeture éclair de ma jupe l'un tirant la fermeture éclair et l'autre la retenant. Ils furent les premiers à lorgner ainsi la raie de mes fesses nues. Quand la fermeture fut complètement défaite ils lâchèrent la jupe qui tomba au sol autour de mes chevilles. Une fois nue, ils s'emparèrent chacun d'un sein et s'employèrent à me faire raidir les tétons et à bien me les étirer. Cette opération faite sous les yeux de mes amis me fit immanquablement mouiller. Un peu comme des boys de revue, il me prirent par les mains et m'écartèrent les bras. Ils me guidèrent ainsi sur jusqu'à ma chaise en ayant six paires d'yeux braqué sur mes lolos qui tanguaient en cadence. Je me rassis et ils servirent le dessert. Avant que je ne puisse goûter cette magnifique pâtisserie, la voix der Guy se fit entendre :
"Ma Chérie, avant de savourer ton dessert, je suis sûr qu'il y a une autre sorte de crème avec laquelle tu voudrais te régaler ! Si tu faisais une pipe à ces jeunes gens pour les remercier de leur parfait service !".
Tous le monde trouva que c'était une bonne idée que la marié paie de se personne. Et puisque Monsieur Guy me le demandait…. Deux qui avaient l'air particulièrement intéressés, c'était les serveurs…. Comme ils l'avaient fait tout à l'heure. Ils se placèrent de chaque coté de moi et ouvrirent leur pantalon d'ou ils sortirent leurs outils. J'en pris un dans chaque main et les portais à mes lèvres pour les embrasser. La raideur vint vite et se fut au tour de ma langue de rentre en action. Je les léchais tout au long de la hampe, puis ma langue recouvrit leurs glands de salive. Lorsqu'ils furent bien brillants j'embouchais le premier qui lâcha un râle. Je le délaissais vite pour appliquer le même traitement à l'autre. Et ainsi de suite sous les remarques égrillardes de la tablée. Tablée ou les choses avaient évolué. Peu de dessert avait consommé. Les convives aveint l'esprit ailleurs. Stéphanie avait dénudé le membre de Guy et le flattait du bout des doigts. Bertrand, lui avait sortit sa queue et se l'astiquait mollement en me regardant pomper. En face, c'était enfin fait Fred et Laurent avaient enfin sortis les nichons d'Annick et les lui pelotaient avec soin. Elle, avait les deux mains sous la table, invisibles. Aux mouvements qu'elle faisait pourtant assez discrètement on devinait aisément à quoi elle s'activait. La fin du repas dégénérait… comment, vu le genre de personne présentes en aurait-il été autrement. Remarquez, je ne connaissais pas Annick mais quelque chose me disait qu'il ne fallait pas lui ne promettre. De mon coté je m'appliquais bien sur les deux bites qui m'étaient dévolues. Je ne voulais pas faire cela à la vas vite. Je suçais lentement, les aspirant bien à fond, je les embouchais aussi ensemble. Ils voulurent jouir ensemble pour me gaver. Je les laissais donc faire et ils se mirent à se branler devant ma figure. Ils me prévinrent au moment critique et j'ouvris grand la bouche et tirais la langue pour qu'ils s'y épanchent. Double pipe, double ration… les jet fusèrent… sur ma langue, à l'intérieur de ma bouche, en dehors aussi ratant l'objectif. Il m'en goutta même sur les seins. Quand ils eurent fini, je leur fit le coup de la gourmande et me passais ma langue engluée sur les lèvres avant de tout ingérer. J'eus enfin le droit à mon gâteau et au champagne.
Au café, Annick demanda d'un air pensif :
"Dans les mariage, après le repas, souvent des jeux sont organisés... et aujourd'hui ?"
Avec un sourire libidineux Bertrand fit remarquer :
"Comme il n'y as pas d's… nous pouvons jouer à des jeux d'adultes !"
Des précisions lui firent demandées. Il répondit :
"Mes amis, ils ne faut pas oublier que nous sommes ici pour fêter les mariés. Excuses-moi Guy, mais je pense surtout à fêter LA mariée…. Je propose donc que tous les hommes présents enculent la mariée !... et immédiatement !"
Les hommes furent immédiatement d'accord et moi… aussi. Les deux qui firent grises mines furent Stéphanie et Annick. A leur intention Bertrand continua :
"Et puisque notre petite Jocelyne est vraiment vaillante et n'aime pas rester à rien faire, je propose qu'elle bouffe la chatte de nos deux autres délicieuses salopes pendant que nous nous occuperons de son adorable petit cul…. En suite je vous propose de venir chez moi continuer la fête !".
La motion fut immédiatement adoptée. On me fit accouder à une des tables, jambes écartées. Stéphanie en sa qualité de témoin eut la charge de me préparer la rondelle. Elle le fit bien. S langue d'abord et ses doigts ensuite m'accommodèrent à "recevoir" ses messieurs. Pendant cette préparation, Annick ne resta pas inactive. Pour me faire perdre un peu plus la tête, après s'être mise nue, elle aussi, elle vint à coté de moi me rouler des pelles enfiévrées cependant que ses doigts frottaient mon clitoris ou s'égaraient dans ma grotte ruisselante. J'étais bien ouverte désormais et Stéphanie me distendait avec trois doigts. Je murmurais que j'avais très envie d'être prise…. La posture se format. A tout seigneur, tout honneur, Bertrand et Fred vinrent soutenir Monsieur Guy qui ainsi pu prendre appui sur sa jambe a peu près valide. Me retournant, je vis Annick s'emparer de son membre et venir le pointer vers mes fesses. Ella allait procéder à notre jonction. Elle appuya le gland sur mon anus qui le laissa doucement pénétrer puis l'encouragea :
"Vas-y pousse… encule ta petite pute de femme !"
Toujours soutenu Guy, effectivement, poussa pour un bonheur qui me parut ineffable. Stéphanie avait, pendant l'introduction, grimpé sur la table et s'y était allongée jambes écartées. Poussant son bassin vers l'avant, elle ne s'arrêta que quand ma bouche fut au contact de son sexe. Je n'eus qu'à tirer la langue…. Mon "mari" ne me laissa pas beaucoup de répit. Il se mit immédiatement à me bourrer. Je ne lui en voulus pas… la situation devait lui paraître aussi inhabituelle qu'excitante. Notre tension à tous les deux montait graduellement. Nous allions connaître le plaisir ensemble. Cela me fit délaisser quelque peu mon amie. L'orgasme me surprit presque et je serrais bien les fesses pour entraîner mon époux dans ce tourbillon, ce qui ne manqua pas. Pour la deuxième fois je le sentis merveilleusement me jouir dans les intestins me gratifiant de quelques ultimes coups de reins farouches. Il se retira et ses amis le rassirent sur son fauteuil. Pendant que Stéphanie se rappelait à mon bon souvenir j'entendais les hommes déterminer leur ordre de passage. Ils finirent par jouer mon postérieur à la courte paille. Fred serait le suivant, puis Bertrand et enfin Laurent. A l'instar de Bertrand, Fred, volontairement outrait ses propos et je fus prévenue que j'allais en prendre plein les miches. Effectivement !... encore plus ouverte par ma précédente sodomie, il s'engouffra en moi avec aisance de toute sa longueur. Il me parut plus gros et plus long que lors de la soirée chez Monsieur Guy ou "nous avions fait connaissance". Pourtant sa queue se mit à coulisser très facilement aidé par le foutre de Guy. Lui aussi était "expérimenté" et me pilonnait fort bien. Je m'activais sur Stéphanie et elle me barbouilla le visage de sa mouille quand elle jouit. Fred me secouait de plus en plus vite et n'omettait pas de me claquer les fesses de temps à autres pour solliciter de ma part que j'aille au devant de cette bite qui me pourfendait. Il éjacula en m'insultant copieusement. A peine m'avait-il quittée que la grosse trique de Bertrand prit le relais. C'était toujours à vous couper le souffle, même quand on l'avait pratiqué…. Annick se prépara à s'installer à son tour et me dit :
"Ah c'est à mon tour… j'espère que tu vas bien me faire jouir petite pute !"
Je lui promis de faire de mon mieux et pendant que ma langue se mettait en action mes doigts se mirent en branle. Si tout à l'heure pour "gâter" Stéphanie, je m'étais aidée d'un doigt dans se chatte et d'un pouce dans son arrière train. Je changeais de stratégie devant cette gourmande avec un pouce devant et deux doigts bien enfoncés dans son petit cul. Elle commença à gigoter et je lui imprimais un rythme identique à celui que Bertrand me faisait subir en me sodomisant comme un enragé. Il me fit jouir deux fois coup sur coup. Moi aussi je fis prendre son pied à Annick. J'en avais toute la figure maculée de mouille. Comme Laurent se préparait pour prendre la place de oncle lorsque ce dernier eut giclé dans "le fion de la femme de son pote", elle décida de rester en place et que je devais lui donner à nouveau de plaisir. A cet effet, elle "m'obligea" à faire pénétrer ma langue profondément dans son con. Voyant cela, mon conjoint m'enjoignit de faire de même dans l'autre trou. Donc je me retrouvais avec ma langue dans l'anus d'Annick quand Laurent me demanda d'écarter mes fesses à deux mains. Il annonça qu'il allait "me faire ça sans les mains". De fait il posa son gros gland à l'ouverture de mes reins et, effectivement, sans me tenir, ni tenir son membre, il poussa pour me farcir le boyau pour la quatrième fois consécutive. La poussée était lente mais inexorable et sa pine de hardeur s'enfonça loin et sans rémission. Devant le succès déclanché par cette prise de possession, il recommença…. Je dus rester ainsi dans le même position pendant qu'il contentait s'assistance. La langue dans le cul de l'autre, le mien écarté, puis farcis. Enfin il posa les mains sur ma taille pour devenir plus fougueux et me dit :
"Tiens, je rends tes mains pour que tu t'occupes de l'autre salope !"
Ce que je fis immédiatement. Je la fis jouir une seconde fois et ce démon de Laurent différa mon plaisir jusqu'à ce que lui aussi parte pour le septième ciel et nous nous unissions dans l'orgasme. Ouuuh qu'est ce que j'avais pris… j'avais le derrière un peu endolori. Sodomisée quatre fois sans que personne ne passe par la case craquette… cela ne m'était encore jamais arrivé ! Il est vrais beaucoup de choses ne m'étaient pas encore arrivé.
Comme annoncé Bertrand repris la direction des opérations.
"Allez les filles ! Faites vous belles, faites vous pute… on va chez moi !"
Pendant que nous nous rhabillions, et que nous nous refaisions une beauté, je vis Bertrand, Monsieur Guy et Hervé, le patron discuter puis me faire signe de les rejoindre. Monsieur Guy s'adressa à moi :
"Tu sais, ce cher Hervé compte beaucoup sur ta venue un de ces soirs pour te présenter à quelques un de ses bons clients. Sachant que tu n'y verrais pas d'objection j'ai accepté pour toi…. J'ai bien fait ?"
Je crois qu'en fait bien que ce fut la même personne, mon mari allait être plus salaud que mon amant. Je hochais la tête assez peu convaincue. En fait j'y retournais quatre fois. Une première pour "animer" un après-midi du personnel (patron, serveurs, cuisiniers) qui exerça son droit de cuissage sur ma personne. Un deuxième ou Hervé m'ayant réservée une table seule, me "présenta" à trois bons clients qui me firent monter illico dans une des chambres pour me soumettre à leurs caprices vicieux. Une autre fois, je dus attendre la venue d'un client sous sa table pour le sucer tout le temps qu'il dînait (et il prit son temps…) et la dernière ou il m'offrit à deux clients qui tinrent absolument à me ligoter dans des postures inconfortable pour me baiser et m'enculer après m'avoir fessée impitoyablement et giflé les seins regrettant que le patron ne mette pas de fouet à la disposition des clients. Je ne voulus plus y retourner et Monsieur Guy ne m'y contraignit pas trop. En causant avec des "copines" qui avaient, comme moi, avaient été envoyée en ce lieu pour y jouer les prostituées, je m'aperçus qu'elles non plus ne souhaitaient pas trop y retourner, l'établissement devenant franchement un repaire pour sado-maso. Pourtant, certaine d'entre-elles, Marie-Agnès, Nathalie, Annick ou encore Stéphanie n'avaient pas froid ni aux yeux ni ailleurs.
Pour l'heure, nous étions prêtes et prêt pour nous rendre chez Bertrand. La question du trajet se posa. Guy était venu avec Bertrand et Laurent, Fred et Annick ensemble et moi avec mon témoin Stéphanie. Ce fut Fred qui demanda à Guy la permission que je fasse le voyage avec eux. Permission accordée… et Laurent s'invita immédiatement comme passager supplémentaire. Stéphanie fit un peu la gueule mais parti seule, suivie par la voiture de Bertrand avec Guy à son bord. Je m'apprêtais à monter en voiture quand je vis le sourire goguenard de Fred. Il me dit :
"Qu'est que tu fais ?"
"Euh… je monte en voiture !"
"Tu ne penses pas monter dans cette tenue ?"
Vêtue de mon beau tailleur, je le fixais sans comprendre.
"Allez à poil, vite ! Enlève moi tout ça ! Annick chérie ouvre le coffre ! Tu as compris, toi, mets tes fringues dans le coffre !"
Ils voulaient que je fasse le trajet toute nue ! Laurent renchérit :
"N'aie pas peur, cela m'étonnerais que tu att froid !"
Même Annick se mit de la partie :
"Ben mes salaud ! Vous n'allez pas vous ennuyer …"
Je compris que si je voulais partir, il fallais que j'obtempère. À toute vitesse, par peur d'être vue sur ce parking, je jetais ma jupe et ma veste dans le coffre et je m'engouffrais à l'arrière de la voiture… entre Fred et Laurent. À peine installée, et le contact mis mes deux compagnons de route se saisirent de mes gros nénés pour jouer avec et les sucer. Puis ils s'attaquèrent au soubassement et me branlèrent le clitoris en enfonçant leurs doigts dans ma chatte affamée. Pour mieux prendre leur aise, ils se débraguettèrent et je m'emparais de leurs bâtons de chair. Laurent m'attira la tête pour une pipe. Il était vrai que je ne leur avais pas encore fait les honneurs de mes lèvres. Afin de pouvoir mieux continuer son entreprise, Fred voulu que je m'agenouille sur la banquette. Donc fesse en l'air je me mis comme demander pour qu'il continue ses investigations pendant que je pompais son comparse du moment. Ils voulurent inverser les rôles. Cela dura un petit moment. J'entendais Annick les encourager. À l'entendre elle avait trop envie de bite et avait hâte d'arriver chez Bertrand. Les premières maisons annonciatrices des faubourgs dessinaient leurs silhouettes quand les hommes me demandèrent de m'agenouiller sur le sol, entre eux deux. S'orientant vers moi je les pris un dans chaque main pour les sucer. Les passants, pour peu qu'il y en ait eu à cette heure tardive, allaient se payer un beau jeton. Je ne fus pas la seule à avoir cette idée car Fred, et là je m'aperçus que j'avais eu raison de le considérer comme un vicieux (et je n'avais pas tout vu), car il s'adressa à Annick :
"Nous avons cinq minutes ! Verrouilles les portières et arrêtes nous sur parking de … voir s'il y a du monde."
Elle renauda, protestant de son envie à elle. Le trajet se poursuivi. Après quelques minutes, j'entendis Laurent dire :
"Super il y a du monde !"
Je ne savais pas où nous trouvions, agenouillée au fond du véhicule. Je fus vite renseignée par Annick.
"Suces les bien Jocelyne, tu as des spectateurs…"
D'un coup d'œil je vis des silhouettes de voyeurs autour de la voiture. Cela eut pour effet de me doper. Du coup je me mis à les pomper avec entrain. L'exhibition dura quelque instant, puis Annick se lassa et décida de rejoindre les autres. Fred et Laurent me firent relever et envoyer des baisers aux voyeurs. Ils s'enquirent de savoir si j'avais été déjà offerte à tous ces pervers. Je répondis négativement. Fred m'informa qu'Annick n'avait pas été encore soumise non plus à cette dépravation mais qu'il caressait l'idée de la proposer aux attouchements et autres caprices de ces hommes. Dans le rétroviseur, je vis les yeux d'Annick briller dans le noir. Nous arrivâmes vite chez Bertrand. Comme vous l'imaginez aisément, mes effets ne me furent pas rendus, et c'est uniquement en porte jarretelles que je dus sortir de la voiture et m'engouffrer dans son immeuble avec la promesse d'être vite, très vite réchauffée. Effectivement dans le hall d'abord, puis dans l'ascenseur Fred fut insupportable. Laurent, lui avait retroussé Annick et lui pelotait les fesses en attendant mieux. Après que Bertrand nous eut ouvert nous pénétrâmes chez lui. Stéphanie était déjà "en tenue" et s'était débarrassée de ses vêtements. Nos quatre amis trouvèrent que nous avions mis trop de temps. Annick mentit effrontément en racontant que j'avais absolument voulu sucer les deux autres devant les voyeurs. Personne ne fut dupe mais tous firent semblant de la croire.
"C'est pour cela que tu n'as plus de rouge à lèvre !"
Constata Monsieur Guy et compris qu'il fallait que je remédie à cela. En revenant de la salle de bains je les vis comploter. Très vite je fus entourée par les hommes. Je m'attendais à quelques privautés. Au lieu de cela, l'un d'eux me saisit les poignets me lés réunis dans le dos et je sentis que l'on me passait des menottes. Monsieur Guy m'expliqua :
"Stéphanie et Annick en ont assez qu'il n'y en ait que pour toi ! Cela va être à ton tour de jouer les spectatrices…."
Entravée comme je l'étais le contraire aurait été, surprenant. Annick et Stéphanie m'entourèrent.
"Comme on est pas de mauvaises filles, on va quand même faire quelque chose pour toi !"
Elles me firent mettre le pied sur une chaise et pencher en avant. Ainsi on pouvait accéder facilement à mon entre jambe. Je vis Bertrand revenir avec une petite valise qu'il leur tendit. Elle l'ouvrirent sans que j'en voie le contenu et en sortirent triomphalement un trio des belles boules de geisha. Enfin quand je dis belles, j'entends grosses. Elles me les firent lécher, histoire de les humidifier puis me les insérèrent dans la chatte. Elles me remirent debout et je dus pour éprouver ces nouvelles sensation arpenter la pièce sous les grossièretés de tous les participants. L'effet était surprenant sentir les billes rouler dans les sphères ou cogner contre les parois était super. Sans conteste les porter, devait procurer un orgasme à assez court délai.
Pendant que je parcourais le salon, d'une part, tous les participants s'étaient déshabillés et d'autre part mes deux " chères copines" avait avisé une chaise et y avait fixé un god-ventouse ou je devrais plutôt dire un plug-ventouse. Visiblement il m'était destiné et comme les boules m'obstruaient le vagin…. Annick pris le plug en main et le tira vers le haut. La ventouse joua parfaitement son rôle et ne lâcha pas. C fut la chaise qui se souleva dur sol. Avec un sourire vicieux elle me dit :
"Tu vois… tu vas pouvoir gigoter !
De près il me parut plus gros que je ne l'aurais pensé… à peu près facilement six centimètres de diamètre dans la partie la plus large…. De quoi défoncer un beau petit cul… et c'était le mien qui allait l'être…. Elle m'entraînèrent vers le siège, me firent me positionner au dessus de l'objet, me firent passer les bras par dessus le dossier et me mirent la rondelle au contact du plug avec pour mission de m'y empaler. J'avais raison le truc était de bonne taille et sans l'aide des mains l'intromission n'était pas aisée. Mes petites camarades vinrent m'aider… en pesant de toute leur force sur mes épaules…. Le viol de mes entrailles me fit pousser un cri et leurs ricanements y firent écho. Mon anus se referma sagement sur la partie étroite de l'objet ne laissant dépasser que la base empêchant le jouet d'être "avalé". Stéphanie s'esquiva puis revint rapidement munie d'une paire de pince à linge qu'elle m'agita sous le nez. Je protestais et suppliais mes compagnes et aussi les hommes de m'épargner cela. Rien y fit et chacune munie d'une pince Annick et Stéphanie me firent raidir le bout des nichons avant d'y fixer les pinces. Celles-ci n'avaient pas été détendues. A la longue il était certain que j'allais souffrir, même si cela n'était pas trop le cas au début. Pour faire bonne mesure elles me firent bouger les seins m'arrachant des gémissements. Elles se reculèrent pour admirer leur œuvre, contente d'elles même. Pendant qu'Annick m'enfonçait sa langue dans la bouche, j'entendis Stéphanie dire :
"Nous, on va se faire les garçons… amuses-toi bien !".
De fait je la vis prendre Fred par la taille et l'entraîner vers mon mari qu avait été assis sur un canapé. Elle se coula entre ses jambes et se mit à le sucer alternativement avec Fred. J'eus comme un sentiment de jalousie. Jamais je n'avais vu Monsieur Guy recevoir du plaisir de quelqu'un d'autre et il fallait que ce soit mon amie Stéphanie. J'enrageais et lu en voulu un peu. Oh, juste un peu car la perversité de la situation pris le pas sur mon dépit… et la frustration allait prendre sa place. Annick avait de même en s'agenouillant entre Bertrand et Laurent se réjouissant à l'avance de se faire tirer par les deux plus grosses pines de la soirée.
Stéphanie continuait sa pipe sur Guy, mais Fred s'était agenouillé derrière elle et la baisait avec vigueur tout en lui doigtant l'anus avec la promesse de la sodomiser bientôt. En entendant cela Bertrand dit à Fred :
"Mon vieux, je préviens, si tu encule la copine de mon neveu… je fais la même chose à ta gonzesse !"
"Mais… je t'en prie, cher ami…."
Tout le monde éclata de rire sachant que les deux intéressées ne demandaient que cela. La seule à ne pas ce fut moi. J'aurais tellement été désireuse de participer à l'orgie… et surtout qu'on me délivre car j'étais prise dans un cercle infernal. Par devant les boules ne demandaient qu'à êtres agitées pour que les billes fassent leur office auprès des muqueuses enflammées de ma chatte qui les baignaient de cyprine. Si je les agitais, il me fallait remuer sur ma chaise et à chaque fois faire passer à mon sphincter la partie la plus large du plug. Dans cette entreprise, inévitablement, mes lolos oscillaient irradiés de douleur par les pinces qui m'enserraient les tétons. Le pire était que pour oublier ces instruments diaboliques, je recherchais le plaisir en matant les autres, ce qui immanquablement me donnait envie de faire jouer les boules dans mon ventre et ainsi de suite….
Devant mes yeux dépités, je vis Fred s'enfoncer profondément dans les reins de Stéphanie en la faisant râler. Oh, peu de temps car la prenant par les cheveux il la fit de nouveau pomper Monsieur Guy.
Voyant la scène Bertrand fit relever Annick en disant :
"Bob ! Chose promise…."
Laurent l'interrompis et vint s'asseoir sur le même canapé de Guy en disant à Bertrand :
"Attends, on la tire à deux…."
Bien sûr Annick avait compris et se précipita pour chevaucher Laurent tendant bien ses fesses en arrière et les maintenant écartées à deux mains… la chienne ! Comme annoncé, Bertrand vint derrière elle et s'engagea dans son étroit conduit. Visiblement elle avait l'habitude de recevoir de la visite par cette petite porte. Bertrand s'y introduisit voluptueusement et l'oncle et le neveu se mirent à pilonner la belle Annick. Regardant son amie, Laurent suggéra :
"Stéph monte donc sur Guy !"
Comprenant qu'elle devait se faire prendre, elle aussi doublement, je la vis se soustraire à l'emprise de Fred, s'agenouiller de part et d'autre de Guy (j'étais mariée et cocue le même jour…), prendre sa queue en main et se la mettre dans le vagin. Une fois bien en place, elle jeta un coup d'œil par-dessus son épaule et avec des oeil très coquins demanda à Fred :
"C'est quand tu veux !"
Il voulut tout de suite…. Donc devant mes yeux écarquillés une superbe scène de double sandwich se déroula dans des concerts d'ahanements, de soupirs et de gémissements divers (sans oublier les vulgarités de circonstances). Le temps me parut interminable de voir mes deux amies (deux salope, oui !) se faire défoncer par les quatre hommes. Finalement tout ce beau monde se mit à jouir avec plus ou moins de retenue et plus ou moins de synchronisation. Bertrand, Fred et Laurent se succédèrent dans ma bouche pour se faire nettoyer leurs bites. Maigre consolation pour moi !... surtout que je voyais Stéphanie et Annick laper celle de Monsieur Guy pour le rendre nickel. Elle vinrent ensuite vers moi et avec un bel ensemble me retirèrent les pinces des bouts de mes seins. La circulation reprit, j'en eus presque les larmes aux yeux. Elle se mirent à genoux près de moi et me mirent à me téter les seins pendant que les hommes m'encourageaient à me secouer sur le plug. C'est le cul bien dilaté que j'eus le dernier orgasme de ma journée de mariage….
Sodomisée par les invités, ayant dégusté les invitées, ayant été entravée puis le plaisir offert par trois boules bien enchâssées… comme jour de noces, je me demande si je ne détenais pas la palme de l'originalité….
Tout le monde était un peu fatigué et d'un commun accord, nous décidâmes d'en rester là… pour cette fois. Nous fûmes reconduit… chez nous par Laurent et Stéphanie.
Le lendemain, ma nouvelle vie de femme mariée allait débuter… dans le bonheur !
Peut être vous en raconterais-je quelques épisodes… croustillants….
A bientôt donc !.... peut être et si vous le souhaitez !.
Flo

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