Myriam (1)

Myriam est une amie du temps de mes 20 ans que je n’ai plus vue depuis plus de 45 ans, la vie, les mariages, les divorces, les déménagements ont fait que nous ne sommes plus vu, elle a 70 ans maintenant et est veuve depuis 15 ans.
Lors d’une fête au village voisin où je suis invité je retrouve Myriam. Les années ont passés pour tous les deux et c’est tout juste si je la reconnais, il en est de même pour elle. Néanmoins, on discute et pourquoi pas une petite danse, cela rapproche souvent les êtres.
A la fin de la soirée, elle retourne chez elle accompagnée de son amie et me demande de les suivre ; je n’hésite pas n’ayant pas d’obligation de rentrer puisque je vis seul.
On monte dans son appart et on se prend un café tous ensemble, son amie n’aime pas rouler la nuit et elle nous quitte, un second café et on continue nos souvenirs.
Vers 22h, je décide de la quitter et avant d’ouvrir la porte je tente de l’embrasser sur la bouche, un peu réticente mais finalement sa bouche s’ouvre et nos langues se nouent ; pas mal mais je voudrais plus mais ce ne sera pas pour aujourd’hui je le sens.
Que fais-tu dimanche, me dit-elle ; je n’ai rien de prévu et lui file mon numéro de téléphone ; où cela me mènera, je n’en sais rien.
Quelques jours et sonnerie du téléphone, c’est Myriam
Dimanche, on pourrait aller à un thé dansant, tu viens nous rejoindre et elle me donne l’adresse ; zut la copine sera sans doute présente
J’y vais et effectivement la copine est là, je suis obligé de me mettre au bout de la table, la pot de colle ne lâche rien ! Quelques danses quand même et elle se serre contre moi.
L’heure du retour et elle me dit tu repasses quand mon amie est partie.
Je surveille de ma voiture planquée dans un endroit discret, la pot de colle partie, je me gare chez elle, je n’ai pas le temps de sonner que sa porte s’ouvre, immédiatement elle me roule un patin, c’est vrai que je l’avais un peu chauffée au thé dansant.


On monte et de nouveau elle se colle à moi, elle a envie mais cela va trop vite, elle hésite, on se prend un verre et je décide de la laisser. Avant de partir on s’embrasse et passe quand même ma main sous son chemisier vers ses seins que je caresse doucement, elle accepte mais pas plus.
La semaine suivante même topo, toujours la copine et le même scénario pour repasser chez elle ;
Toujours les baisers et les caresses sur ses seins, à quand plus ?
La semaine suivante elle me dit que sa copine ne vient pas et me demande d’aller la chercher, je sens que cette fois je dois passer à l’attaque
On écourte le thé dansant et on revient vite fait, dès la rentrée à l’appart elle se serre contre moi chaude comme la braise, je plonge dans son soutien et lui malaxe les seins, elle adore ; non content, je descends lentement sur son corps et relève doucement sa robe, elle ne dit rien et continue à me serrer, je défait les boutons de cette robe qui me gêne, c’est sans problème que le tissus s’écroule au sol, la voilà en soutien et petite culotte, je continue mes voyages sur sa peau sans savoir quand elle m’arrêtera, une main sur son sein et l’autre descend vers sa culotte, stop, pas grave, ce sera pour la prochaine mais non, elle me fait partir vers sa chambre et nous continuons nos explorations et elle s’y met, ouvre ma braguette et caresse ma queue qui prend du volume, quelques minutes et nous nous retrouvons nus sur le lit, moi sur le dos et elle qui vient se poser sur moi, elle descend sa bouche tout le long de mon corps et fini par prendre ma bite en bouche, ce n’est pas terrible, elle ne doit jamais l’avoir fait, je lui apprendrais.
Je la prend et la retourne, à mon tour de lécher ce corps, ses seins dont je suce ses bouts qui raidissent, je continue à descendre et m’insinue vers sa chatte, je lèche son petit bouton, l’intérieur de sa chatte, elle mouille, un doigt dans son minou et elle jouit comme jamais, elle m’enserre la tête et l’appuie avec ses mains pour que je continue encore plus fort, elle hurle sa jouissance, je ne m’arrête pas, je veux qu’elle me supplie ; plusieurs minutes de ce traitement et elle lâche prise, sa cyprine coule dans ma bouche par gros flot, elle est en transe, je réduis le rythme tout en laissant mon doigt à l’intérieur de son vagin, « je n’ai jamais joui aussi fort de toute ma vie, tu es vraiment fait pour l’amour, il y a 15 ans que je n’ai plus connu un homme depuis la mort de mon mari ! » me dit-elle, je n’y crois pas trop mais qu’importe.

Je me rhabille, elle reste nue et de la mouille coule encore de sa chatte
Un super baiser et je sors, « claque la porte » me crie Myriam
A peine à la maison, mon téléphone sonne, « tu m’as vraiment mise ko, je suis toujours dans la même position, à très vite » ; je lui réponds « c’est quand tu veux »
Le mercredi, soit trois jours plus tard, Myriam m’appelle et me demande ce que je fais ce soir, comme rien n’est prévu je propose de passer chez elle vers 21h, elle me dit ok, je sais qu’à cette heure, il ne me sera sans doute pas possible de revenir et passer toute la nuit avec elle me trotte.
21h pille je sonne, elle m’ouvre en peignoir, je ne m’y attendais pas si vite, il est vrai que la mise à nu me plaisait bien mais disons que l’on gagne du temps et c’est direct à la chambre qu’elle m’attire. A peine rentré que déjà elle me déverrouille, fait tout tomber et m’att la bite, il n’en faut pas plus pour que je bande ; de son côté elle laisse tomber le peignoir et est nue, on s’écroule sur le lit et de suite je lui mets un doigt sur la chatte qui est déjà humide. Ma langue se faufile sur son bouton et je m’empresse de la mettre en condition, chaude comme elle est déjà, il ne faut pas longtemps pour qu’elle grimpe au rideau toujours en appuyant ma tête contre sa chatte pour lui en donner plus ; ma queue est maintenant dure comme une barre de fer et je remonte son corps bien décidé à la pénétrer et c’est sans difficulté que je m’insinue dans ce vagin brulant et dégoulinant de mouille, elle s’active et se pousse vers moi pour que je la perfore en profondeur, elle plie ses jambes sur elle, me tire par les fesses et je butte à fond dans ce con qui m’aspire, encore quelques coups et je sens que très vite je vais partir, c’est vraiment divin et je lui remplis la cavité en plusieurs jets de mon précieux liquide, elle ne veut pas que je sorte et tout en lui roulant une pelle d’enfer elle m’annonce que depuis le temps que tout lui a été fermé nous n’avons aucune précaution à prendre.

L’heure avance, 23h30, que faire et elle me serre toujours contre elle ; je ne bouge pas et attends sa réaction !
« Reste je t’en supplie, on a toute la nuit » me dit-elle
C’est bien ce que j’espérais et je compte bien en profiter de cette nuit
On se repose un peu, on retourne vers la cuisine pour se rafraîchir devant un verre et dans notre état de sueur une douche est la bienvenue.
Vu la grandeur de sa douche on y rentre à deux et on s’y prélasse un bon moment non sans se frotter l’un l’autre, elle me frotte ma bite et moi sa chatte et ses seins, on s’essuie et retour sur son lit, il est déjà 1h du mat et je n’ai pas envie de dormir, je crois qu’elle non plus d’ailleurs, elle me serre dans ses bras et continue de me triturer ma bite qui remonte en vigueur, de mon côté mes doigts poursuivent leur chemin vers sa grotte.
Ma queue est divinement dressée et elle en profite pour se mettre à genou autour de moi et de se laisser tomber en s’empalant, quel plaisir, c’est elle qui maintenant fait le boulot, elle se la met au plus profond à chaque fois et c’est d’un coup une jouissance exceptionnelle pour nous deux, je la rempli de nouveau et la maintien pour qu’elle n’en perde pas une goutte.
On fini par s’étendre face à face, on s’embrasse et on se dit bonne fin de nuit, il est 4h30 !
6h, le réveil sonne, il faut penser à rentrer chez moi mais j’ai une trique d’enfer, je n’hésite pas une seconde et je la reprends par derrière, je ne peux m’arrêter, elle adore et se recule pour mieux se faire pénétrer au plus profond, je ne résiste pas longtemps et je rempli de nouveau cette chatte si accueillante.
Ce n’est pas moi qui fait la lessive mais les draps sont remplis de mouille et de sperme !
Je me rhabille et on se dirige vers la porte de sortie, elle me roule un baiser langoureux et on se jure de remettre cela bientôt.
Hélas, ce confinement et surtout le couvre-feu nous a empêché de remettre ça mais j’attends impatiemment, cela fait quelques mois déjà et mes boules sont hyper remplies, la petite branlette ne me suffit plus.

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