Myriam (2)

Cela fait 7 mois maintenant que ce fichu corona nous bloque tous entre nos murs et cela devient vraiment pénible.
Un coup de téléphone et Myriam me dit qu’elle a reçu son premier vaccin, je m’en fous de ce truc, c’est la retrouver que je veux et elle m’annonce que ce ne sera pas avant son deuxième soit encore un mois ! Encore heureux que d’autres de mes activités me permettent de faire de belles rencontres.
Enfin l’appel de Myriam ; et c’est avec joie que je me dirige vers sa maison, elle m’ouvre et c’est dans le salon que nous nous posons.
Elle est habillée d’une blouse légère et d’une jupe tout aussi légère, on se bécote et ma main se dirige vers ses seins sur le tissus de la blouse, les trois boutons ne résistent pas longtemps de même que le soutien et c’est ses bouts qui se retrouvent entre mes doigts, elle se rapproche et pose ses jambes sur mes genoux, la jupe remonte et c’est tout naturellement que ma main glisse sur sa cuisse en direction de sa chatte. Et quelle n’est pas ma surprise de ne trouver aucun rempart, elle est nue sous cette jupe ! Mon doigt lui frotte les lèvres et déjà elle commence à apprécier ; je remonte la fermeture éclair et son vêtement s’ouvre et m’offre une vue imprenable sur sa chatte parfaitement épilée ce qui n’était pas le cas la fois passée, je lâche ses seins et libère ma queue qui se trouve vraiment trop serrée dans mon short ; Myriam relève ses genoux contre son ventre et je plonge ma tête sur son clito qui n’attend que ça, je lèche, aspire et fouille l’entrée de son vagin avec ma langue au plus profond possible ce que je sais si bien faire; il ne faut que quelques minutes de ce traitement et déjà l’effet se fait sentir, elle force sur ma tête pour que je continue et je ne me fait pas prier pour lui donner son plaisir.
Nous nous allongeons sur le tapis devant le fauteuil et je rentre dans son vagin avec deux doigts, il est déjà trempé à souhait et ma bite dressée se rapproche et c’est pour moi une joie de pourfendre cet antre dans toute sa profondeur, Myriam me serre avec ses jambes dans mon dos et se force ma pine dans son ventre, quel délice, et quelques violents coups et mon sperme s’écrase dans les profondeurs de son utérus.

Toujours bien calé on se roule une pelle d’enfer et sa jouissance retombe lentement. Je n’ai pas envie de partir de suite et un passage par son petit trou me ferait plaisir ; comme sa mouille et mon sperme coule le long de sa raie, j’approche un doigt de sa rosette et c’est un non catégorique. Je me redresse et avance ma queue vers sa bouche et c’est sans problème qu’elle la nettoie ce qui a pour effet de faire reprendre vigueur à ma verge.
Myriam me présente son dos et avec ses mains, pousse ma queue dans sa chatte, elle provoque les mouvements dans sa foufoune en y allant de plus en plus fort ; il ne faut pas longtemps de ce traitement que je tapisse son intérieur, elle me tient les chevilles et reste empalée avant de se coucher en arrière sur moi, ma bite molle sort et je sens le sperme sortir de sa vulve. Nous restons encore quelques temps dans cette position ce qui me permet de lui reprendre les seins et de bien les frotter. Elle adore et sa jouissance remonte d’un cran, elle se retourne et me resuce la queue, elle a vraiment envie de ne pas perdre la moindre goutte.
Elle remet en place sa jupe et on se prend une boisson. Je lui dit qu’elle s’est épilée depuis mon dernier passage et elle me déclare « J’ai fait cela ce matin, je voulais connaître cette sensation et déjà en le faisant, j’ai joui, tu as aimé ? » « Non, j’ai adoré » lui dis-je.
Elle est assise sur mes genoux et je peux à loisir encore lui manger les seins et surtout frotter son clito.
L’heure avance et c’est à regret que je me décide à rentrer chez moi en sachant déjà que dans très peu de temps je pourrais de nouveau m’occuper de Myriam.

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