Sacrée Myriam

Je suis Myriam, 45 ans, maman et mariée. Guadeloupéenne vivant en région Toulousaine, si vous voulez connaître ma description physique, il vous suffit de lire l’histoire « Myriam se révèle »… Parlons plutôt de mon beau-frère. Il est plus jeune que moi puisqu’il n’a que 32 ans. Il 5 ans de moins que ma jeune sœur, son épouse. Ils attendent d’ailleurs leur premier puisque ma sœur est enceinte de 5 mois en ce début d’été. Mon beau-frère est un véritable « beau gosse ». Des cheveux bruns très courts, un visage anguleux avec une mâchoire puissante, un sourire in qui lui dessine d’adorables fossettes et surtout, des yeux d’un bleu profond. Ajoutez à cela, un corps bien fait et de magnifiques fesses de footeux. Nous sommes 5 sœurs (je suis la deuxième) et l’ainée et la petite dernière sont les seules à avoir mis le grappin sur un « blanc ». Les trois autres avons choisi des antillais.

Cet été, avec ma petite sœur et nos maris, nous avons décidé de partir ensemble pour trois semaines en Guadeloupe dans la grande maison de notre tante Lucie. C’est une des sœurs de notre mère. Elle a 67 ans et vit seule dans une grande maison depuis son divorce. Le cadre sera parfait pour un retour aux sources. Mes filles pourront profiter de la mer et ma jeune sœur poursuivre sa grossesse tranquillement. Ma fille aînée vient d’avoir 14 ans et elle est littéralement amoureuse de son oncle. Elle en parle sans cesse et le prend souvent discrètement en photo lors des repas de famille pour le montrer à ses copines. Ce bellâtre est loin de se douter du nombre de petites culottes qu’il rend humides en faisant couler ces petites chattes à peine poilues. Autant dire que j’ai dû calmer l’ardeur de la jeune fille au moment de la laisser choisir ses maillots de bain pour accompagner son oncle à la plage. J’ai dû lui interdire les modèles échancrés avec de simples lacets sur le haut des cuisses. Interdits aussi, les hauts minuscules et tellement fins qu’à peine mouillés, ils épousent sans rien cacher de la forme de ses jeunes mamelons naissant.

Les négociations furent tendues mais elle a quand même obtenu deux jolis deux pièces de « petite femme ». Mon beau-frère de toute façon considère ma fille comme une , au grand drame de celle-ci.

Par un concours de circonstances incroyables, je vais finalement me retrouver seule en vacances avec lui pendant quelques jours et me rendre compte que s’il n’a aucune mauvaise intention avec ma fille, c’est parce qu’il préfère… sa mère ; donc moi !

Deux jours avant le départ, ma belle-mère décède brutalement d’une crise cardiaque. Je suis fâchée avec elle depuis mon mariage donc hors de question que je retarde mon départ pour ses obsèques. En revanche, mon mari vient de perdre sa mère et mes s, leur grand-mère. Ils partiront donc six jours plus tard.
Le lendemain, ma sœur se retrouve confrontée à un problème d’envergure au travail. Elle ne pourra pas tout régler à temps avant le départ. Elle refuse que son mari l’attende et profite du départ différé de mon mari et des s pour se joindre à eux.

Bref, nous voici à l’aéroport, mon beau-frère Mikaël et moi… Mon mari et mes filles m’ont accompagnés et ma grande ne cesse d’allumer son oncle qui ne remarque rien. Elle m’implore de la laisser partir avec nous allant jusqu’à me jurer qu’elle détestait sa grand-mère.

Une fois la sécurité passait, nous voici seuls et je demande à Mikaël s’il n’a pas remarqué à quel point ma fille est sous son charme. Il est très étonné et ne sait quoi répondre. Il se confond même en excuses de l’avoir pris dans ses bras pour lui dire au revoir et lui présenter ses condoléances.
« Ne t’inquiète pas, je sais bien que tu n’as aucune mauvaise pensée et que tu la vois comme une petite fille mais je suis certaine que tes deux câlins ont dû la mettre dans tous ses états et qu’elle doit déjà en discuter sur Snapchat avec ses copines ! »
« Ben dis donc, elle est précoce la miss ! »
« Elle a 14 ans tu sais, les hormones la travaillent. Tu vois bien qu’elle commence à être formée.
Elle est réglée depuis un an donc, c’est souvent que je récupère des petites culottes humides dans le bac de linge sale le soir ! »
« C’est dans les gènes peut-être ? Faudra que je demande à ma femme si elle avait un tonton sur lequel elle fantasmait à 14 ans… Et toi, tu étais aussi précoce ? »

La conversation commence à devenir gênante mais elle me procure aussi une boule de chaleur dans le ventre. En parlant de culotte, je sens que si la conversation se précise encore, la mienne ne va pas rester impeccable bien longtemps. Je devrais couper court et lui dire que ça ne le regarde pas mais n’ayant pas eu de rapports depuis plusieurs semaines, je me sens toute émoustillée.
« Moi ? … Euh, je ne sais plus trop… Mes 14 ans sont très loin, tu sais… Mais oui, je crois me souvenir que je fantasmais beaucoup sur deux « pions » et sur mon prof d’espagnol au collège. Je me souviens que j’avais une copine qui fantasmait sur le prof de gym et du coup, elle ne mettait pas de culotte sous ses leggings pour les cours de gym… Les garçons de la classe étaient ravis ! » J’éclate de rire mais la diversion ne prend pas.
« C’était des antillais les pions et ton prof ? »
« Non, des métros, pourquoi ? »
« Je ne pensais pas que tu trouvais du charme aux blancs… »
« Dis tout de suite que je suis raciste aussi ! » Cette fois nous rions ensemble et nous nous frôlons de plus en plus souvent. L’ambiance devient électrique et sexuellement chargée entre nous. Chaque fois que sa cuisse touche la mienne ou que son bras frôle le mien, je sens mon vagin se gorger de cyprine qui commence à débordé dans ma culotte. Je suis trempée et je sens son regard sur moi changé également. Il se jette à l’eau sans aucune hésitation, preuve qu’il sait lire les femmes.
« Moi, au moins, tu sais que j’aime les jolies antillaises puisque je suis avec ta sœur… »
« Oui mais tu les aimes plus jeunes que moi ? »
« Ta sœur est plus âgée que moi je te signale, donc j’aime les femmes belles et désirables, tout simplement ! »
« … et tu me mettrais dans cette catégorie ? »
Son sourire devient presque lubrique et sa réponse me transperce.

« … Je te la mettrais bien, tout court, Mymy ! »

Il me prend alors dans ses bras et cette fois, ma culotte est une trempée. Il se penche et m’embrasse à pleine bouche. Je me laisse aller et lui rend son baiser et lui offre ma langue à dévorer. Il mange ma bouche, mord mes lèvres épaisses, une de ses mains glisse dans mon dos et me procure des frissons, je mouille encore un peu plus quand elle empoigne ma fesse légèrement décollée de mon siège. A travers mon jeans il me pelote le cul divinement bien. A cet instant, en lui rendant ses baisers de plus en plus fougueux, je devrais penser à ma jeune sœur que je cocufie et je devrais m’en vouloir à mort. Au lieu de cela, je suis au bord de l’extase, je me délecte de ses attouchements et je pense à ma fille qui ait pour être à ma place. Sa deuxième main est maintenant remontée sous mon pull et il touche mes tétons à travers le satin de mon soutien-gorge. Je suis en transe, je n’en peux plus, j’halète comme une chienne quand sa bouche laisse un répit à la mienne. Il se montre encore plus audacieux et sa main pétrissant mon cul se glisse maintenant entre le haut de mon jeans et ma peau. Ce sont ses doigts que je sens dans le sillon de mes fesses. Je n’y tiens plus. Je prends les devants et me décolle de lui. Il me regarde avec une certaine peur que je décide d’en rester là. Aucune crainte. Je lui souffle en m’efforçant de ne pas crier tellement je suis proche de l’extase :
« Je trop envie que tu me sautes… »
« On va aux chiottes et je te démonte ma jolie ! »

La plupart des autres passagers qui patientent avec nous n’ont pas perdu une miette de notre effusion et je vois du vice et de l’envie dans les yeux des hommes et de certaines femmes qui me regardent marcher hâtivement vers les toilettes en tenant la main de mon futur étalon. Horreur, les toilettes femmes sont en cours d’entretien et il y a trop de monde dans les toilettes hommes. Nous n’avons plus assez de temps pour trouver un autre endroit avant l’embarquement.
Nous allons donc passer huit heures côte à côte en avion en débordant d’un désir charnel inassouvi l’un pour l’autre. Comme c’est un vol de nuit, nous aurons peut-être l’opportunité de passer à l’acte mais rien n’est moins sûr.

En montant dans l’avion, je le sens, pressant derrière moi, ses mains empoignent mon cul dès qu’il en a l’occasion. Sa bouche prend la mienne dès que je me retourne. Je ne cesse de l’aguicher, de me pencher en avant pour lui tendre ma croupe de femelle en chaleur. Nous sommes un couple en rut et nous nous installons. Par chance nous sommes sur une rangée du bord, de trois sièges et il n’y a personne sur le troisième siège qui était réservé à ma sœur initialement. Nous recommençons à nous peloter et nous embrasser de plus belle. Je lui murmure :
« Dès que tout le monde est endormi, je me planque la tête sous une couverture et je te suce à fond. »
« Depuis que ta sœur est enceinte, je n’ai droit qu’à une pipe de temps en temps donc même si tu es la reine des suceuses, ce n’est pas ça qui va me calmer. Ce que je veux, c’est fourrer ta grosse chatte ! »
Il prononce cela en malaxant mon entre jambe à travers mon jeans. Ma vulve dégouline de cyprine comme une éponge. Je déboutonne mon jeans afin de lui donner l’accès à ma chatte. Il me se fait pas prier et glisse sa main dans ma culotte. Il enfonce ses doigts dans mon con et me regarde avec malice :
« Tu es dans un de ces états ma coquine… Il y bien longtemps que je n’ai pas touché une moule aussi mouillée. J’ai envie de te gouter. »
Il ressort ses deux doigts luisant et les suce langoureusement. Pendant ce temps, je branle sa queue à travers son pantalon et la taille que je devine me fait très envie. Nous décollons enfin. Une hôtesse qui a remarqué nos attouchements nous distribue en priorité trois couvertures avec un sourire très ambigu. Peu nous importe. Aussitôt nos corps un peu camouflés, je sors enfin sa bite pour l’astiquer à plein main. Il remonte mon pull et déballe mes seins pour les triturer à sa guise. Je baisse mon jeans et ma culotte à mi-cuisse pour offrir mon intimité la plus crue à ses doigts audacieux. Ces derniers chérissent onctueusement mon clitoris gonflé et sorti de son capuchon depuis bien longtemps. Comme nous ne pouvons pas vraiment nous emboiter, nous commençons à parler de sexe.

Ainsi, je lui avoue que mon mari ne me baise pas suffisamment et que je vais voir ailleurs de temps à autre. Il est un peu déçu d’apprendre qu’il ne sera le premier « blanc » à visiter ma grotte. Il m’avoue que ma sœur est une gourmande mais que depuis sa grossesse, elle ne veut pas entendre parler de sexe. Il m’avoue quelques aventures avec des femmes de tous âges. Il commence à me raconter ses parties de baise en détail. Je fais de même et lui avoue certains de mes péchés mignons comme les fessées, les doigts dans l’anus ou une bonne gifle au moment où je commence à jouir. Il se montre très précis sur les différentes façons dont il honore ma jeune sœur puis d’enchaîner sur les différentes situations dans lesquelles il a déjà envisagé me monter dessus. Il me raconte ses fantasmes sur moi, mes autres sœurs, notre mère et même Tante Lucie qui va nous héberger. Il me fait me livrer de plus en plus et je lui raconte mon dépucelage, mes masturbations d’adolescentes. Nous nous racontons tout cela en nous branlant mutuellement tandis que tout l’avion dort enfin.

Seule l’hôtesse vicieuse passe régulièrement nous demander si tout va bien. Nous nous en amusons et commençons à fantasmer un plan à trois. Je lui avoue alors quelques attirances pour certaines femmes même si je ne suis jamais passé à l’acte. Nos caresses montent d’un cran et il se met en tête de me faire jouir avec ses doigts. J’ambitionne de le faire éjaculer dans ma main. Il pistonne mon vagin avec trois doigts tandis que son pouce clique mon clitoris. Il a enfoui sa tête sous la couverture et il suce mes bouts de seins bandés au point d’en être douloureux. Je le branle avec une énergie folle et meurt d’envie de le prendre en bouche. Au lieu de cela, je lui murmure à l’oreille que je rêve qu’il me défonce, que je suis sa putain, sa salope pour quelques jours. Je pense déjà à la baise à laquelle nous allons nous livrer en débarquant. Il remonte et me glisse à l’oreille à quel point il désire mon cul depuis qu’il me connaît, combien il envie mon mari, combien il me trouve bonne, combien il meurt d’envie de me troncher dans tous les sens. Cette fois, j’explose, je me mords le bras pour ne pas hurler. Ma chatte coule à n’en plus finir. C’est le moment qu’il choisit pour sortir ses doigts de mon vagin et en enfoncer deux dans mon trou du cul. J’empale mon fessier sur ses doigts insolents qui fouillent mon conduis et je jouis de plus belle. Sa deuxième main m’agrippe la nuque et tire ma tête vers sa queue. Je comprends sa requête et aspire sa jolie tige. Je pompe vigoureusement et je sens le nœud se gonfler dans ma bouche puis exploser en flots de sperme chaud et épais. Je bois jusqu’à la dernière goutte la liqueur de cet homme que je désire tant. Je relève la tête au moment où il ouvre les yeux et l’hôtesse se tient souriante face à nous.

Les couvertures sont tombées et je suis la chatte et les seins à l’air. Mikaël, débande à peine et sa bite est aussi à l’air libre.
« Je vois que le voyage se passe bien Messieurs Dames ! Je vais juste vous demanderai juste de vous couvrir un peu pour ne pas dissiper les autres passagers. »

Nous sommes honteux mais enfin calmés. Je remonte ma culotte et mon jean. Sous mes fesses, mon siège est trempé comme une soupe. Le prochain passager à s’assoir à cette place gardera sur sa jupe ou son pantalon mes effluves les plus intimes. Nous somnolons blottis l’un contre l’autre. Le désir ne tarde pas à se faire sentir à nouveau et les mains redeviennent baladeuses. Le voyage se passe ainsi chaud et excitant. A notre arrivée à Pointe à Pitre, nous ne pensons qu’à baiser pour de bon. Ma tante nous fait la bonne surprise de nous attendre. Nous devrons donc attendre encore un peu nous aussi. Tante Lucie qui est aussi ma marraine nous accueille chaleureusement. Je la trouve très en beauté cette petite bonne femme avec encore un joli popotin serré dans un pantalon blanc et un top fleuri bien décolleté. On dirait vraiment que le temps n’a pas de prise sur elle et je sens une petite pointe de jalousie quand je la vois prendre Mikaël dans ces bras. Surtout que ce dernier voyant mon attitude se gausse de faire semblant de lui toucher le cul pendant l’accolade. Nous roulons vers la maison et tante Lucie semble se douter de quelques choses vu les regards qu’elle me lance grâce au rétroviseur.

Elle n’y va pas par quatre chemins et nous assène, avec son accent Antillais à couper au couteau :
« Pas la peine que je vous prépare deux lits différents à ce que je vois ? »
Je réagis la première :
« Mais pour quoi ça, Marraine ? »
« Tu me prends pour une idiote ou quoi ? ça sent le sexe à plein nez entre vous ! Tu sens la morue, toi ma petite fille ! Et toi, grand nigaud, tu crois que je ne vois pas la bosse dans ton pantalon ? Et tu crois que je ne t’ai pas vu lui tâter les fesses quand elle est montée en voiture ? »

Nous sommes choqués et nous baissons les yeux comme deux adolescents honteux d’avouer à leurs parents qu’ils ont menti… Tante Lucie reprend la main :
« Moi, ça ne me regarde pas et ça ne me gêne pas. Je ne me suis jamais privée d’utiliser les hommes des autres. Mais je ne veux pas d’histoires ! Vous faites ce que vous avez à faire tant que vous êtes tous les deux mais vous avez intérêt de vous tenir tranquilles et de tout arrêter quand les autres débarquent ! »

L’espoir renaît et nous voici fous de joie à l’idée de pouvoir nous envoyer en l’air pendant cinq jours et cinq nuits sans avoir à nos cacher. Tandis que Mikaël décharge nos bagages, Tante Lucie me parle en aparté :
« Je t’envie ma chérie. C’est vrai qu’il est beau. Malgré mon âge, chaque fois que je le vois, j’ai envie de passer à la casserole, glousse-t-elle. Tu sais, même ta mère m’a avoué un jour après plusieurs verres de punch coco qu’elle le laisserait bien jouer avec sa foufoune ! »
Un peu éberluée par ce que je viens d’entendre, je réponds quand même à ma tante dont je suis très proche :
« Tu sais Marraine, prenons ces 5 jours à venir comme une parenthèse qui n’existera plus ensuite. Donc s’il est d’accord et que l’occasion se présente, n’hésite pas. »
« Faut pas me le dire deux fois ma petite fille. Garde bien ton Jules parce que ta Marraine va se faire un plaisir de l’épuiser ! »

Mikaël nous surprend riant toutes les deux mais il n’y prête guère attention. Il m’enlace et recommence à me peloter en me tirant vers la chambre.
« On y va ma chérie Mymy ? »
Ses mots me font trembler de désir et je le précède tandis que sa main à déjà déboutonner mon jeans. J’ai à peine franchi le seuil que mon pantalon tombe à mi cuisses. Il m’empêche d’avancer d’avantage et écarte de mes fesses ma culotte épouvantablement souillée. Je sens sa bite nue sur mes fesses. Il fléchit ses jambes et je sens son membre passer sous mes fesses. Je comprends qu’il va me saillir debout, dans l’encadrement de la porte et devant ma tante qui n’en perd pas une miette. Je souffle :
« Laisse-moi me mettre à quatre pattes sur le lit… »
« Pas le temps, j’ai trop envie de ton cul et puisque ta Tante est au courant, autant qu’elle se rince l’œil ! ça fait 10 heures que je rêve de t’enfiler comme une chienne et que tu en meurs d’envie toi aussi. On aura toute la nuit et tous les autres jours pour baiser comme il faut mais là, je veux juste te tringler comme une bonne poufiasse ! »

Ses mots me mettent dans un état complétement liquide (encore une fois) et je cambre mes reins, donne ma croupe de jument, je me mets sur la pointe des pieds pour lui offrir le chemin de ma grosse chatte pourpre déjà béante, aux chairs visqueuses déjà dehors. Il m’empale enfin et commence à me limer avec une ardeur bestiale. A chaque coup de queue, je bondis un peu plus en avant. Je suis tellement ouverte que sa bite, d’un fort beau calibre, me fouille avec une immense profondeur. Encore, un grand coup de rein avec beaucoup d’élan et cette fois je sens son gland qui bute contre l’entrée de mon utérus. J’ai rarement été défoncée de la sorte. Je crie, je joui, je perds pieds. Je me jette en avant, pose mes mains au sol. Il me tient bien par les hanches comme si j’étais une brouette et il continue de me pilonner comme un fou. Je remarque à peine que Tante Lucie s’est approchée de nous et nous regarde en se touchant discrètement les seins.
« Encule-la ! » Lui commande-t-elle

Mikaël libère alors ma chatte. Je me jette sur le lit en position d’attente de la sodomie à venir et ne retiens plus mes supplications :
« Viens me casser le cul mon chéri ! Je suis prête, viens me démolir l’anus mon cœur… »
Je le trouve long à arriver et quand je tourne la tête pour voir ce qu’il fabrique, je le vois en train de manger la bouche de Tante Lucie en lui pétrissant l’arrière train. Quelle vieille salope celle-ci. Il la repousse avec difficulté tellement la sexagénaire s’accroche et lui dit :
« Je m’occuperai de toi aussi ma vieille mais d’abord, je dois finir de fendre ta nièce ! »

Il se jette sur mon dos, agrippe mes seins à pleine main et m’enfonce son bâton dans le rectum. Pour moi, un énième orgasme fulgurant me transperce. Il me défonce le cul, me besogne l’arrière train sans retenu ni ménagement. Je crie comme une folle et des jets de cyprine s’échappent de mon con pour inonder le lit. Tante Lucie s’est basculée sur un fauteuil dans un coin de la chambre nous faisant face et, une main dans la culotte et l’autre pinçant ses tétines échappées de son haut, elle se donne du plaisir bruyamment.

L’étalon finit par se vider dans mon rectum et mon anus déborde lorsqu’il se retire laissant couler une vague de sperme de ma raie du cul à l‘entrée de ma chatte. Je reste comme ça, le cul en l’air pendant de longues minutes, cassée de plaisir, morte de bonheur et incapable de dire le nombre d’orgasmes que j’ai ressenti.


Quand je reprends mes esprits, je suis seule dans la chambre mais j’entends la douche couler dans la pièce voisine. Je compte y rejoindre mon amant pour une éventuelle revanche mais je suis stupéfaite en entrant. Contre la vitre de la douche, je vois les jolis seins de Tante Lucie écrasés, juste au-dessus, la joue de ma Marraine écrasée elle aussi contre la vitre et ma chère Tatie de 67 ans, en train de se faire ramoner par derrière sous la douche. M’apercevant, Mikaël me fait signe d’approcher. Je les rejoins et constate l’accouplement tout aussi bestial que le mien quelques minutes auparavant.
« Tu vois, j’avais raison, ta vielle tante est une bonne grosse salope ! Hein ma Lucie ?! » Demande-t-il en lui claquant férocement le cul moelleux et rebondi.
« Ouiiii, je suis une bonne salope, vas-y baise moi encore, je veux encore ta grosse queue ! » supplie la mamie.

Mikaël continue de saillir ma Marraine en m’embrassant tendrement. C’est un paradoxe étonnant et terriblement excitant : il m’embrasse avec douceur tandis qu’il la fourre et lui claque le cul et les seins sans ménagement ; il me dit qu’il me trouve belle et déguste doucement mes seins tandis qu’il la pilonne comme si sa vie en dépendait.
D’un coup, il s’interrompt et invite ma Tante :
« Allez, je vais jouir la vieille, fais voir ta frimousse de vieille pute que je l’arrose ! »
Aux ordres et comme possédée, ma tante se jette à genoux, bouche ouverte sous la douche qui nous trempe tous les trois. Tandis qu’il me tient par la taille me suce tendrement l’oreille, de l’autre main, il gifle violemment le visage de ma Tante avec sa queue et finit par l’asperger de foutre.

Les quatre jours qui viennent semblent pleins de promesses…

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