La Gifle

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

LA GIFLE

Dans une soirée anniversaire bien arrosée chez des amis, ma femme était passablement éméchée. Elle flirtait d’une manière excessive avec un jeune type que je ne connaissais pas, ils s’échangeaient leurs numéros de portable.
Je les rejoignis et demandai à ma femme, Justine, d’arrêter ce cirque et qu’il était temps de rentrer ! Elle me jeta un regard assassin, haineux. Le jeune type n’a pas demandé son reste et nous a laissés. La tirant par le coude, elle résista un peu puis me suivit, évitant ainsi un esclandre en public tout en me traitant de pauvre type.
Il faut dire que nos rapports étaient très tendus ces derniers jours. Depuis un mois, je rentrais très tard dans la nuit, prétextant un projet important à préparer dans le cadre de mon travail. Par la suite, je lui dis que j’avais besoin de me détendre : je proposais à ma femme, Justine, de m’accompagner chez un ami, habitant près de Grenoble, pour un long week-end de spéléologie. Justine détestant la spéléologie et cet ami, il était certain qu’elle ne m’accompagnerait pas, c’était gagné d’avance.
En fait, je m’envoyais en l’air avec une jeune femme, Juliette, une poupée mignonne et nymphomane de surcroît. Je l’avais rencontrée lors d’une sortie entre hommes ! Un mois de sexe sans aucun tabou, une experte toujours prête pour tailler une pipe, offrir sa chatte et surtout sa rondelle dans toutes les positions possibles. Elle me titillait l’anus, employait des mots crus lors de nos ébats, c’était nouveau pour moi et très excitant. Elle m’avait même proposé de me sodomiser avec un godemichet, mais j’ai décliné poliment sa proposition. Elle m’appelait souvent durant mes heures de travail et j’allais la rejoindre prétextant une réunion à mes collègues. Lors de notre Week-end, elle a voulu que mon ami participe à nos ébats. Elle nous synchronisait : quand l’un s’enfonçait, l’autre reculait, et vice versa.

Ce n’était pas très agréable pour nous, trop de concentration, par contre elle, elle a pris un pied d’enfer. C’est elle qui m’a initié à la sodomie, je ne l’avais jamais pratiquée avec ma femme.
Nous nous sommes connus jeunes avec Justine, je l’avais déflorée à 18 ans, ayant moi-même peu d’expérience en matière de sexe. Depuis nous vivions ensemble. Lors de nos études supérieures, nos parents nous payaient la location d’un meublé, puis nous nous nous mariâmes. Lorsque nous faisions l’amour, elle était insatiable de caresses sur le corps. Je connaissais ses zones érogènes. Nous pratiquions la fellation, le cunnilingus jusqu’au désir de coït lors de nos ébats. Elle me disait qu’elle était clitoridienne : je l’avais remarqué elle caressait son clitoris pendant la pénétration, pour suppléer à son absence d’orgasme. Je tentais à chaque fois de l’entraîner vers une autre voie du plaisir, la sodomie. Elle manifestait son contentement lorsque je lui léchais l’anus en gémissant et en avançant sa croupe ostensiblement, pour que ma langue s’enfonce autant que faire se peut dans son petit orifice. Elle acceptait que je fasse les préliminaires avec mes doigts humidifiés de sa mouille, mais pas plus : elle ne voulait pas se faire sodomiser, elle me disait qu’elle n’était pas prête encore, que cela demandait une préparation. Au fil des années, notre vie sexuelle s’est peu à peu flétrie, mais nos sentiments sont restés forts et intellectuellement on ne s’est jamais ennuyé.
Ma relation avec Rose prit fin assez brutalement. Son mari m’a contacté pour me dire qu’il ne voyait aucun d’inconvénient pour qu’elle vive avec moi, mais que je devais bien en prendre soin : bref, il voulait se débarrasser de sa femme nymphomane en douceur, il était cool, mais il en avait assez et voulait probablement profiter de l’aubaine…
— Aie ! Je n’avais pas prévu cela…
Avec Rose, nous nous sommes vus une dernière fois dans une chambre d’hôtel, un après-midi. Après la dernière séance de sodomie, en beau salaud, je lui fis part de mon intention d’arrêter là notre relation, car j’aimais ma femme, je n’arrivais plus à me concentrer dans mon travail, j’en avais assez de mentir, etc.
J’aurais pu ajouter qu’intellectuellement ça ne pouvait pas coller entre nous, mais je me suis abstenu.
Elle est entrée dans une colère subite, elle m’a insulté de divers noms d’oiseaux, m’a dit que de toute façon je n’étais pas un bon coup, qu’elle préférait que je l’encule parce qu’elle ne sentait rien quand je trempais mon haricot de merde dans sa chatte, que j’avais une petite bite de lopette et que j’étais finalement bon qu’à me faire enculer. J’ai quitté lâchement l’hôtel la tête basse : elle avait dit tout cela en hurlant...
— Ouf ! Je m’en tire bien, pensais-je !
Le soir, en rentrant chez moi, ma femme détourna la tête lorsque je voulus l’embrasser.
— Que se passe-t-il ?
— Une femme est venue me voir cet après-midi, Rose, tu la connais ? Elle m’a raconté tous vos sales trucs avec une vulgarité incroyable. Tu t’es bien moqué de moi ! Dire que j’ai fait tout mon possible pour te rendre la vie agréable ces derniers temps, j’ai accepté tes week-ends spéléo pensant que tu avais besoin de décompresser à cause de ton travail ! Et sans préservatif en plus ! Non, mais je rêve… Je suis une vraie conne…
— Bon, d’accord elle se venge, j’ai rompu avec elle ce matin, elle …
— Ferme-la ! Tu n’as aucun respect pour moi. Je ne t’aime plus ! Tu me dégoûtes. Et ne t’avise pas de rentrer dans la chambre sinon je hurle et j’ameute tout le quartier.
Elle en était capable dans cet état ! Elle prit de quoi manger, m’intima de dormir dans la chambre d’ami et s’enferma dans notre chambre. Elle m’évita les deux jours suivants.
Puis vint la fameuse soirée d’anniversaire d’une amie commune. Elle habitait à quelques rues de notre appartement.
Elle sortit de la chambre dans une nouvelle tenue très aguichante et chic. Elle avait dû faire chauffer la carte de crédit !
— On y va ensemble ?
— D’accord, mais je ne veux pas t’entendre pendant le trajet, me répondit-elle sévèrement.
— Ok.
Nous avons évolué chacun de notre côté dans la soirée jusqu’au moment où je suis intervenu pour interrompre ce flirt outrancier.
Nous sommes sortis.

Après quelques minutes de marche dans la rue, je lui dis que je regrettais profondément tout cela, que c’est elle que j’aimais. Je la pris dans mes bras pour tenter de l’embrasser, elle détourna la tête et me repoussa brutalement en me griffant le visage.
— Laisse-moi, tu me dégoûtes ! Tu n’es qu’un enfoiré ! dit-elle.
Je la giflais sous l’effet de la douleur, et regrettant aussitôt mon geste, je tentais encore une fois de l’embrasser en m’excusant, la coinçant contre une porte cochère, elle s’est débattue et la porte cochère s’est ouverte. Elle s’accrocha à la porte en s’affaissant à moitié, reprit son équilibre et s’enfuit au fond de la cour. Je voulus la suivre, mais je m’étalai par terre en trébuchant contre le bas de la porte cochère. Une douleur très vive au genou changea le cours de mes préoccupations. Je me relevai, mais j’arrivais à peine à marcher. Je me suis maintenu en m’appuyant sur le mur quelque temps.
J’étais dans une cour d’immeuble en chantier, aucune lumière dans les étages, les fenêtres étaient grandes ouvertes sauf dans un logement au fond de la cour. Lorsque la douleur fut moins vive, je m’avançais vers celui-ci en boitillant. Sur le seuil de la porte, je vis ma femme assise dans la pièce, un verre dans la main, avec quatre types costauds, tatoués, blonds, probablement les ouvriers du chantier. Je les saluais, et demandais à ma femme de venir avec moi.
— Va-t’en ! Fous-moi la paix connard, me dit-elle !
Je m’approche et la tire par le coude sans ménagement, elle résiste.
— Lâche-moi salopard !

Le type assis à côté de ma femme se leva et me mit une énorme baffe qui me sonna, je voulus me rebiffer et je me pris une autre baffe qui m’envoya valdinguer dans le fond de la pièce. Le type s’approcha l’œil mauvais.
— Non, assez, j’ai compris, implorais-je les larmes aux yeux.
— Ah ! C’est plus facile de frapper les femmes, hein ? Elle a raison ta pétasse, tu n’es qu’une lopette.
Tire-toi, crie Justine, laisse-le partir Agueï !
— Je vais prévenir les flics ! dis-je en me dirigeant vers la porte.

J’avais eu tort de leur dire cela, c’était probablement des clandestins. Les quatre types m’entourèrent avec des regards mauvais, m’empêchant de sortir. Je me repris une baffe, un des types me tira par les cheveux, me tordit le bras et m’obligea à me mettre à genou.
Un autre noua mes mains avec une attache en plastique.
— Ne t’inquiète pas, dit Agueï à ma femme, ça va le faire réfléchir.
Ils discutèrent entre eux en slave. Puis un des types me prit par le col et me traîna dans un coin de la pièce qui devait servir de piaule, la séparation consistant en une couverture plus ou moins tendue sur un fil.
Il tira sur le haut de mon pantalon, les boutons cédèrent. Il le baissa avec mon boxer et les plia en boule sur mes chevilles pour les immobiliser. Il m’obligea à me mettre à genoux en me disant dans un mauvais français avec un accent slave.
— Toi, pas bouger !
En rejoignant les autres, il leur dit quelque chose en slave, ils se marrèrent et décidèrent de s’envoyer un grand verre de vodka en l’honneur de Justine. Je pouvais voir la scène à travers l’interstice de la couverture. Elle but cul sec comme les autres. Puis ils se levèrent et vinrent me voir en rigolant : ils observaient mon sexe, encore plus petit que la normale au vu des circonstances, et se marrèrent. Ma femme me fixa dans les yeux, avec un air dédaigneux, sans pitié… Le plus vieux déboutonna sa braguette et sortit son sexe, très épais, au moins le double du mien et plus long aussi. Il s’approcha et il me la frotta sur le visage. Je tournais la tête et regardais ma femme d’un air implorant, elle paraissait subjuguée….
Ils retournèrent se mettre à table et se resservirent une vodka. Je n’entendais pas la conversation. Justine riait beaucoup : la vodka faisait son effet…

Au bout d’un moment, Agueï prit la main de Justine et la posa sur son bras. Elle observa, puis caressa son tatouage. Il se leva et enleva sa chemise. Il avait des tatouages partout sur le corps, jusqu’au cou.
— Touche, touche ! dit-il en riant à ma femme.
Elle suivait les contours des dessins avec ses doigts en posant des questions. Puis il prit la main de Justine fermement et la posa sur son sexe.
— Là aussi, j’ai des tatouages, dit-il.
Il bandait, son pantalon était tendu. Il guidait sa main en la forçant un peu, la faisant aller et venir sur tout le long de son sexe.
— Arrête Justine, ne fais pas cela ! je t’en prie, dis-je d’une voix tremblante.
Agueï se retourna et avança dans ma direction, résolu à me bastonner. Justine le rattrapa par le bras et posa délibérément sa main sur son sexe et le caressa. De ses grosses mains, il lui malaxa la croupe profondément. Elle continuait de le caresser et se serra tout contre lui. Elle l’embrassa sur les lèvres. Puis, prenant probablement conscience du spectacle qu’elle donnait aux trois autres types, qui bandaient comme des Slaves sans en perdre une miette, elle lui dit quelque chose à l’oreille.
En regardant cela, je ressentais une humiliation et en même temps, une espèce d’excitation. Je ne bandais pas, mais je mouillais, une étrange sensation, j’étais fasciné et étonné par ma femme, elle si prude en temps normal : des larmes coulèrent sur mes joues… Ils se dirigèrent dans ma direction. Agueï me prit par le col pour m’éjecter.
— Laisse-le, comme ça il sera sûr d’être cocu, lui dit-elle.

J’étais à peine à un mètre d’eux toujours sur les genoux. Je la fermais pour ne pas me prendre une nouvelle baffe.
Il la prit dans ses bras pour l’embrasser et lui pétrir le cul, elle caressait son gros membre. Il la souleva et l’assit sur le lit. Il lui releva sa jupe sur le bassin. Elle portait un collant mi-cuisse et un string. Malgré mes demandes répétées, elle n’avait jamais voulu porter ce genre de sous-vêtement. Avait-elle décidée par avance de me tromper ce soir.
Il enleva et jeta le string qui me tomba sur les genoux. Le sexe de Justine perlait déjà, il était gonflé d’excitation. Il lui léchait la rondelle et remontant vers sa chatte, lui titillait son clitoris avec des petits coups de langue et recommençait en s’attardant maintenant sur chaque orifice. Elle gémissais de plaisir. Elle écarta grand les jambes et s’arc-bouta pour que la langue de Agueï s’enfonce plus profondément.
— Attends, attends, lui dit-elle.
Il se redressa. Elle se mit à genou devant lui et s’empressa de déboutonner sa braguette frénétiquement. Elle sortit son membre épais et long. Il était effectivement tatoué : un serpent s’enroulait autour de son sexe. Justine le lécha de la hampe jusqu’au gland, adorative devant ce totem, puis elle l’engloutit dans sa bouche tendue et commençait une succion lente et de plus en plus profonde, ses mains s’agrippaient à la verge. Je ne reconnaissais plus ma femme, jamais elle n’avait pris de telles initiatives avec autant d’ardeur…
Au comble de l’excitation, Agueï relève Justine. Ils se déshabillèrent fébrilement. Elle se mit en levrette et lui dit de faire doucement. Il plaça son sexe à l’entrée de sa vulve et força un peu, elle écarta ses fesses au maximum pour faciliter la pénétration.
- Fais doucement, lui dit-elle, doucement. OOOH !
Son gland entra, il marqua une pause et s’enfonça tout doucement aux trois quarts. Son sexe me paraissait encore plus impressionnant dans ce vagin tendu à l’extrême. Il commença un lent va-et-vient, mais Justine lui demanda de changer de position, car ça lui faisait mal. Elle se mit en amazone sur le ventre de Agueï et introduisit son sexe avec précaution. Elle dirigeait la pénétration. Elle s’enfonçait et se relevait voluptueusement, lentement en prenant appui sur les hanches de Agueï, la tête renversée et son regard voilé de jouissance. Elle rayonnait de plaisir, elle était belle.
Je mouillais de plus en plus et mon sexe durcissait un peu, mais sans érection, j’étais humilié au plus haut point.
Puis la cadence s’accéléra, ses aspirations étaient bruyantes et ses expirations s’accompagnaient d’interjections sonores. Levant et baissant sa croupe pour s’enfoncer davantage, ses seins fermes tremblaient à chaque secousse. Sa respiration devint saccadée, son bassin tremblait. Agueï donnait aussi des coups de reins, ses mains s’agrippaient sur ses hanches de Justine. Ces allées et venues me parurent durer une éternité. Elle s’arc-bouta dans un long cri et rentra ses ongles sur le torse de Agueï : ma femme jouissait ! Elle jouissait comme je ne l’avais jamais vu jouir, elle avait des spasmes : c’était un orgasme, son premier orgasme...
Agueï poussa un long râle : il déchargea ce qui électrisa encore Justine…
Ils restèrent l’un dans l’autre un moment. Justine inondait le torse de son étalon de petits baisers en pleurant, comblée et reconnaissante.
— Merci, merci.
Les autres vinrent pour avoir leur part, mais ma femme se recouvrit rapidement et dit à Agueï qu’elle ne voulait pas les voir là, qu’elle voulait rester seule avec lui. Agueï parla en Slave à ses gars, tout en me désignant d’un mouvement de menton.
Les types se marraient et m’ont traîné dans la salle par le col de ma veste, à côté de la table, toujours à genoux. Le plus vieux s’avança vers moi et frotta sa braguette sur mon visage. Je baissai la tête, la détournai pour qu’il s’arrête et je reçus encore une énorme baffe. Il prit une bouteille de vodka, but une longue rasade et me mit le goulot dans la bouche, en me menaçant de me casser les dents si je refusais, il tira sur mes cheveux : j’avalais le reste de boisson et manquais de m’. Il fit un va-et-vient dans ma bouche avec le goulot. Ils riaient.
Il déboutonna sa braguette et me passa son sexe sur mon visage. Mes yeux sont grands ouverts, il me fixa d’un air méchant et résolu en me tirant les cheveux vers l’arrière.
— Suce !
Il appuya sur mon menton et me déposa son sexe mou dans la bouche. Les larmes coulèrent sur mes joues. Il faisait des allées et venues avec ma tête en tirant sur ma crinière comme si ma bouche lui servait de sexe.
— Regarde-moi, dit-il.
Je le regardais dans les yeux, son membre commençait à durcir, je le sentais s’épaissir et s’enfoncer aux tréfonds de ma gorge, je m’étouffais à moitié. Un des types tira sur mon pantalon, je reculai et dus faire mal au vieux qui me mit encore une baffe. J’étais cul nu avec ma veste et ma cravate qui pendouillait. Je comprenais alors ce que leur avait dit ce salaud de Agueï maintenant…
Le vieux s’assit sur une chaise et me fit reprendre la fellation. Un des types me malaxa le cul en écartant ma raie des fesses. Il tenta de rentrer directement sa grosse bite dans mon cul. J’eus un mouvement de recul, mais le vieux tira encore plus sur les cheveux. Il tenta de me l’enfoncer encore sans résultat. Je gueulais tant que je pouvais, mais le vieux m’enfonçait son sexe dans la bouche. Le vieux parla en slave, et le troisième rapporta une bouteille d’huile. Il s’enduit les doigts et a commença à me travailler la rosette, un doigt, puis deux, je pleure. Le vieux se lève, stoppant la fellation, son collègue prend sa place, il bandait déjà. Son sexe était plus petit et l’homme était plus doux. Il posa sa main sur le côté de mon visage et m’invita à le sucer docilement. Autant faire de mon mieux pensais-je. J’avais quand même des hauts le cœur quand il donnait un petit coup de reins, il riait, mais restait doux tout en me parlant en slave. Je m’appliquais…
C’est le vieux qui s’occupait de ma rondelle maintenant. Je n’osais pas m’imaginer sa grosse queue dans mon cul, je faisais déjà un gros effort pour que son sexe tienne dans ma bouche distendue, douloureuse. Il savait y faire le salaud. Il me branla tout en travaillant ma rosette qui devint de plus en plus sensible, il arrivait même à me soustraire des petits frissons corporels, il s’en amusa.
- Khorosho, khorosho, dit le vieux.
Il me tira la tête en arrière brutalement en tirant sur mes cheveux, stoppant net la fellation.
— Aie, arrête, implorais-je, tu me fais mal !
Je sens son sexe sur ma rosette, il força, il appuya sur mes reins pour me cambrer, mais sa queue ne rentrait pas. Il parla alors à son collègue qui le remplaça. Il posa sa bite sur mon anus, força un peu et entra d’un seul coup. J’ai poussé un cri et je me cambrais. Il resta un moment enfoncé complètement. J’écartai les jambes et mon derrière pour relâcher l’étreinte de mon anus sur son sexe. Il commença son va-et-vient et me prit par les hanches pour régler la cadence.
L’autre me leva la tête et je repris la fellation. Tout comme Isabelle quand on l’avait baisée à deux, je synchronisais ma respiration et mes mouvements de bouche et de hanche…
C’est moi qui dirigeais le mouvement de va-et-vient maintenant. Le vieux dit quelque chose en se marrant. Je continuais en m’appliquant. La ressenti de sa bite dans mon fondement me faisait vibrer, ce n’est plus désagréable...
Le collègue du vieux me gicla dans la bouche à ce moment-là en me tenant fermement la tête, sa bite enfoncée au fond de ma gorge, j’avalai tout. Je m’arrêtai d’onduler manquant de m’, il retira sa queue. L’autre me reprit par les hanches et me pilonna dans un rythme rapide et saccadé. Je fus secoué comme un pantin. Je l’accompagnais en haletant et en poussant de cris à chaque coup de boutoir. Ses couilles s’entrechoquaient sur les miennes. Le rythme était endiablé. Il gicla toute sa sauce rapidement. Il se retira brutalement, je me redressai en poussant un cri et il vint s’asseoir sur la chaise pour que je le nettoie avec ma bouche. Je repris ma respiration, et lui demandais de me détacher, il accepta et on coupa mes liens. Pour prouver ma bonne foi je lui pris la bite et la glissa dans la bouche, je le nettoyais avec application, ce n’était pas agréable, mais c’était le prix de ma liberté. Je sentais le sperme couler sur mes cuisses. Le vieux posa alors son gland sur ma rosette et força pour rentrer, il a une plus grosse bite, aie, ça faisait mal, je paniquais. Il ajouta de l’huile et reprit sa besogne.
En rentrant d’un seul coup dans mon cul, près de la rupture, il m’arracha un cri de douleur. Il commençait doucement à me limer, j’écartais mes fesses avec mes mains pour élargir mon petit trou et j’accompagnais ses mouvements tout en poussant des râles de douleur. Il était endurant le vieux, son sexe glissait facilement dans ma corolle maintenant depuis plusieurs minutes, la douleur fit place au contentement, le contentement au plaisir. Il me possédait et je l’assumais : mes râles n’avaient plus la même signification…
— Bonne pute, me dit le vieux.
Mon cul faisait un bruit de succion à chaque aller-retour, j’étais complètement ouvert, j’étais son objet sexuel. Il me lima un long moment encore puis me branla, gicla dans mon fondement, en s’enfonçant au profondément, m’arrachant un grand cri final quand j’éjacula.
— Un petit sourire !
Je tournai la tête. Ma femme me filmait avec son portable.
Elle me dit avant de partir que je trouverai ma valise devant la porte et me souhaita une longue vie de lopette à petite bite en se marrant.
Elle semblait épanouie, rayonnante. Elle embrassa Agueï sur la bouche et dit bye aux autres. Elle me laissait là, le sexe du vieux dans mon cul. Agueï m’apporta un grand verre de vodka, me donna l’ordre de le boire cul sec. Il me présenta sa grosse bite molle, et me dit :
— Suce la queue de ta femme, lopette !
Ils avaient dû faire l’amour une seconde fois, car sa bite était encore humide de sperme et de cyprine.
J’exécutais mon travail comme une bonne lopette puis ils me laissèrent. Assommé par l’alcool, le trou du cul en choux fleur, le sperme dégoulinant de mon anus, je m’endormais à même le sol, épuisé et meurtri.

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