Elise Et Cécile.

Histoire écrite grâce aux confidences d’une amie qui a vécu / vit ces événements coquins (c’est un peu « romancé »).

Elise raconte :



Il y a quelques temps, Anne, une amie m’a permis de faire la connaissance d’un couple d’une quarantaine d’années avec lequel je viens de passer un weekend très prolongé, weekend qui aura une suite… j’en suis certaine



Auparavant, j’avais eu avec Cécile pas mal d’échanges sur la toile puis quelques appels téléphoniques et des SMS sur mon portable… Elle était de plus en plus intéressée par notre rencontre future.
Je ne sais pas comment elle avait pu connaître mon orientation sexuelle mais je pense que cette amie qui nous avait mises en contact n’y était pas étrangère : Cécile voulait que je l’initie aux relations saphiques !



Donc, il y a une quinzaine de jours, je rencontrais Cécile en tête à tête pour faire connaissance…
Nous avions fait chacune un bout de chemin pour nous retrouver à l’heure dite dans un salon de thé d’une grande ville qui nous assurait un certain anonymat. Mais cela ne me gênait pas de m’afficher ainsi en tête-à-tête plutôt intime avec une autre femme.
Nous avons passé près de deux heures à bavarder comme deux vieilles copines qui se retrouvent après une séparation trop longue…
C’est ainsi que Cécile me confie cette envie refoulée depuis trop longtemps à son goût !
J’avoue que cela ne me déplaisait pas…
Bisexuelle depuis toujours mais avec une très nette préférence pour les relations saphiques, ce ne serait pas une première fois pour moi…
J’avais déjà initié plusieurs femmes, généralement plus jeunes que moi… mais là, avec cette femme de 40 ans, brune qui ressemble beaucoup à une célèbre actrice de cinéma, j’étais flattée et un peu anxieuse.
Nous avons donc convenu de nous retrouver en milieu de la semaine suivante dans le studio de mon amie, chacune étant libre le jeudi après-midi.


Le rendez-vous était fixé non loin, sur la place de la Comédie.



J’attendais depuis un quart d’heure quand Cécile est arrivée…
Elle était vraiment bandante dans sa robe printanière avec un décolleté discret, serrée à la taille par une large ceinture de cuir. La jupe qui s’arrêtait au dessus du genou laissait apparaître des jambes fuselées, chaussées d’escarpins à haut talon.
Après les salutations d’usage qui ressemblaient vraiment aux retrouvailles de deux amies de longue date, nous nous sommes dirigées bras dessus bras dessous vers le studio d’Anne où nous serions tranquilles jusque tard dans la soirée.
Anne avait fait les choses bien…
Sur la table basse, il y avait une bouteille de vin rosé à rafraîchir dans un seau à glace, des biscuits étaient disposés dans une coupe en cristal… et les fenêtres étaient masquées par des rideaux en toile colorée qui créaient une ambiance chaude mais intime…

Quelle n’a pas été ma surprise lorsque Cécile m’a dit d’un ton péremptoire :
• Déshabille-toi vite fait ! Maintenant c’est moi qui commande ! Ne brûle pas les étapes !
Le ton employé ne me laissait pas d’autre choix… J’ôtai ma veste légère portée à même la peau, découvrant ma poitrine menue emprisonnée dans un soutien gorge léger en dentelle. Je voulais enlever ma jupe lentement mais Cécile, toujours avec ce ton bref a continué :
• Allez… Ne lambine pas… Ta jupe à terre… que je vois comment tu es foutue !
Désormais je ne portais plus que mes sous-vêtements et mes chaussures…
• Maintenant, c’est à toi de me déshabiller… Attention… C’est dans un ordre précis !
Lorsque Cécile a été à égalité avec moi, elle s’est allongée sur le divan en me disant que je savais ce que j’avais à faire…
Je ne m’étais pas trompée dans l’ordre du déshabillage… dans le cas contraire, ayant deviné que j’avais à faire à une dominatrice, qu’aurait elle fait ?
Par-dessus ses sous-vêtements, je suis partie à la découverte de son corps aux formes très agréablement rebondies.
J’ai tout d’abord frôlé les seins emprisonnés dans un soutien gorge de dentelle ivoire qui tranchait sur la peau mate de Cécile puis j’ai approché ma bouche de ses globes somptueux et j’ai soufflé longuement au point de faire saillir les tétons que je devinai alors sous le tissu…
Il n’était plus temps d’hésiter…
J’ai passé mes mains derrière le dos de Cécile et j’ai dégrafé puis ôté cette pièce de vêtement devenue inutile…
Nous nous sommes embrassées langoureusement… nos langues se livrant une sorte de duel humide alors que d’une main j’empaumais un sein, pinçant le téton dardé entre mes doigts.
Le souffle de Cécile s’accélérait…
Ma bouche descendit jusqu’à son nombril orné d’un petit bijou…
Ma langue joua avec quelques temps…
Puis je continuai à descendre…
Je mordillai au passage le cordon élastique du string…
Je posai ma bouche sur le Mont de Vénus…
Je soufflai longuement au travers de la dentelle…
Puis je tirai vers le bas ce dernier obstacle, découvrant un pubis orné d’une petite touffe de poils et sombre car le pilosité devait être abondante à l’origine…
Ma bouche fureteuse se posa aussitôt sur le capuchon du clitoris.
Je dardai ma langue entre les lèvres intimes et je débusquai ce bourgeon turgescent…
Je le pris entre mes lèvres pour le mordiller doucement…
Le souffle de Cécile était de plus en plus rapide.
Cécile ne disait rien…
A ces mouvements, je pensais qu’elle faisait aller sa tête dans tous les sens…
Je précisai ma caresse…
Ma langue s’infiltra entre les lèvres intimes et entrepris un ballet de plus en plus rapide…
A sentir la cyprine qui s’écoulait du vagin dans lequel j’avais introduit deux doigts, je savais que Cécile appréciait ce que je lui faisais subir.
Soudain son plaisir éclata… Elle poussa un feulement rauque avant d’avouer :
• Que c’est bon !

Au cours des deux heures qui on suivi, j’ai effectivement initié Cécile aux caresses saphiques… La jouissance l’a emportée à plusieurs reprises…
Désormais, elle savait comment les recevoir et les donner…
Je restais sur ma faim… J’étais excitée moi aussi… et je n’avais joui qu’une seule fois…
Avant de nous quitter, Cécile m’a dit qu’elle comptait ABSOLUMENT sur moi le weekend de la semaine suivante et que son mari assisterait à nos ébats sans y participer !
• Débrouille-toi comme tu veux… Tu DOIS être libre !

Elle me décrit rapidement son homme : grand brun, mince et sportif, il exerce la profession de comptable dans une entreprise familiale de la région.
Ils s’entendent merveilleusement bien dans tous les domaines et il la satisfait pleinement en matière sexuelle, même si de temps à autres ils fréquentent les clubs échangistes.
C’est lors d’une confidence sur l’oreiller que Cécile avait fait part de son envie à Marc…qui ne voyait pas d’inconvénient pourvu qu’il assiste… comme il le fait en club quand elle se fait « saillir » come elle l’avoue !
Bref, elle va organiser tout pour le weekend de la semaine suivante ! Quelques échanges téléphoniques plus tard, je commence à penser qu’elle ne doit pas être à son coup d’essai tant elle est directive… décrivant par le détail mon entrée en scène (si je peux dire…).

Dès que j’ai été seule dans le studio d’Anne, je suis passée sous la douche pour me détendre mais cela n’a pas suffi… Je savais où mon amie rangeait ses jouets et j’ai choisi un beau gode vibrant que j’ai rapporté sous la douche… et vous savez quoi ? Je me suis envoyée en l’air en moins de deux minutes… J’ai pris un pied terrible !



Donc ce vendredi, guidée fidèlement par le navigateur de ma voiture et après deux bonnes heures de route, j’arrive vers 22 heures devant une belle villa noyée dans la végétation dans l’arrière pays…
Le portail est ouvert… c’était prévu…
J’entre et je me gare au pied de quelques marches…
Je pense immédiatement que Cécile devait attendre mon arrivée car elle apparaît dans l’encadrement, nimbée de la lumière qui brille derrière elle !
Sa silhouette se découpe comme une ombre chinoise et je vois aussitôt que celle-ci ne semble rien porter sous ses vêtements… Au travers de sa longue jupe en voile, je distingue ses jambes fuselées et une ombre au niveau de son Mont de Vénus indique d’elle ne porte rien d’autre. Les aréoles des seins qui se dessinent au travers du tissu du chemisier ! Waouh ! Elle est vraiment canon. Puis Marc apparaît à ses côtés et descend les quelques marches et dit :
- Soyez la bienvenue… Je prends votre valise et montons.


Cécile et Marc sont bien assortis… Une silhouette longiligne, une peau mate, un sourire sur les lèvres et les yeux rieurs marqués par de fines rides d’expression. Il est lui aussi vêtu d’une manière très décontractée : Pantalon de toile ample, polo siglé au crocodile, nu pied dans ses sandales. Bref, un beau mec que je me ferais bien si les circonstances n’étaient autres…
Il nous invite à entrer :
• Venez nous allons déposer vos affaires dans l’entrée, vous les retrouverez après.
Puis nous entrons tous les trois dans une immense pièce à vivre meublées de profonds divans, de poufs multicolores et dans un angle un feu brûle derrière l’insert de la cheminée.
• J’ai allumé le feu car le temps était incertain en fin d’après-midi… Il ne faudrait pas prendre froid car les soirées sont encore fraîches.
• Tu as raison mon Chéri... Surtout que nous allons nous mettre à l’aise !
• Elise… vous permettez que je vous appelle ainsi, n’est-ce pas ? Nous allons trinquer à notre rencontre et faire plus amplement connaissance.
• Oh oui… ce sera plus simple ! Pour moi, vous êtes MARC !
Sur table basse trône un seau à glace avec plusieurs bouteilles qui sont en train de rafraîchir. Après avoir débouché la bouteille de Champagne rosé, Bruno me tend une des coupes en disant d’un air coquin :
• Mes chéries… A vos amours… Profitons bien de cette soirée !
• Merci mon chéri… Tout pour ton plaisir !
C’est à ce moment que je comprends que si Cécile veut une relation saphique, c’est aussi pour faire plaisir à son homme qui va jouer les candaulistes en assistant au spectacle.
Marc est assis dans un des fauteuils au-delà de la table basse…
Son épouse est près de moi sur un immense divan, large et profond.
Je sens la chaleur de sa cuisse contre la mienne… Je crois que le moment est venu…
Je me penche vers elle…
Mes lèvres courent dans son cou…
Ma langue vrille son oreille droite…
Je mordille le lobe de l’oreille…
D’une main, je défais un à un les boutons de son chemisier…
Je glisse mes doigts dans l’ouverture…
Je pars à la découverte de sa fabuleuse poitrine qui est libre de toute entrave…
C’est chaud et doux…
Les tétons sont déjà bien bandés…
Je fais rouler entre mes doigts celui qui est le plus accessible…
Cécile se pâme et exhale un long soupir en disant :
• Oh… Tu as su débusquer l’un de mes points sensibles… Continue je t’en supplie !



Je me redresse et à deux mains, je fais glisser pour l’ôter le chemisier de Cécile… Waouh… Quelle jolie paire de seins… Mon amie ne m’avait pas menti et ce que j’avais découvert lors de notre rendez-vous se confirmait à nouveau !
Cécile a une poitrine fabuleusement belle, généreuse bien plus que la mienne, avec des globes fièrement dressés (et qui ne doivent rien au passage d’un quelconque bistouri…) que j’ai bien du mal à empaumer.
Mais les jeux de mains ne sont pas tout…
Je me penche sur le sein droit et je prends le téton entre mes lèvres pour le pincer doucement…
Je le mordille…
Je joue avec le bout de ma langue pour l’agacer…
Je l’enduis de salive…
Dès que de ma main triture le second téton, Cécile se pâme à nouveau… Elle est hypersensible de la poitrine… Mais nous n’en sommes qu’aux prémices…
Je quitte la poitrine et je descends vers le nombril que je découvre orné d’un petit bijou en forme de cœur… Ces ornements bien plus que les tatouages sont des signes que la personne est ouverte et adepte du sexe… pour ne pas dire accro !



C’est désormais Cécile qui prend l’initiative… Elle ouvre la veste de mon tailleur que je porte à même la peau (J’aime…cette sensation du cuir en contact direct…) et trouve mes seins soutenus par un soutien gorge à demi bonnet, laissant apparaître la plus grande partie de l’aréole et le téton encore rentré. Ma veste vole sur le dossier du divan et Cécile se penche vers moi… m’embrasse lascivement puis ses lèvres descendent vers ma poitrine… Quelques baisers et succions plus tard, mes tétons sont sortis et pour être à égalité… j’ôte mon soutif…
• Tu as une bien jolie poitrine… La mienne me gêne parfois quand le regard des hommes ne peut s’en détacher !
• Je te comprends… Certainement qu’ils fantasment, qu’ils imaginent des choses coquines…
• Oui… Je ne pourrais pas porter un soutien-gorge comme le tien… Mes tétons sont trop sensibles et ils seraient bandés en permanence !
Nous nous embrassons à nouveau…
Nos langues se livrent une sorte de duel humide dans lequel nos salives se mélangent…
Nos mains descendent…
Je dégrafe la jupe de Cécile pendant qu’elle va empaumer mon sexe en remontant ma minijupe de cuir.
• Quelle chaleur !
• Oui… la température monte vite…Tu es si belle !
Cécile se débarrasse de sa longue jupe de voile et elle m’apparaît dans sa splendide nudité, la peau mate, intégralement bronzée. Je fais glisser ma jupe et mon tanga et nous sommes nues toutes les deux. Marc, qui jusqu’alors, était resté muet à nous regarder, dit soudain :
• Que vous êtes belles… Elise avec ta blondeur diaphane et toi, Cécile dans la plénitude de la maturité qui te va si bien ! Je n’aurais pas espéré meilleur choix pour cette soirée !
• Merci Marc, tu es un galant homme !
• Oui, cette amie commune m’avait bien dit qu’Elise était très jolie !



J’allonge Cécile sur le divan et je me couche sur elle pour lui prendre les lèvres, puis je laisse descendre ma bouche sur sa fabuleuse poitrine pour mordiller tour à tour les tétons…
Je joue quelques instants avec le bijou du nombril.
Ma bouche lisse ensuite le joli toupet brun qui orne le pubis avant de débusquer du bout de ma langue le bourgeon d’amour qui pointe sous son capuchon…
D’elle-même, Cécile ouvre les cuisses et je peux atteindre les lèvres vaginales que j’ouvre de mes doigts…
C’est chaud et humide…
Elle mouille comme ce n’est pas possible…
Elle est certainement autant excitée que moi…
J’introduis un doigt, puis deux, puis les quatre dans le puits d’amour qui s’offre à moi…
Et j’entreprends un mouvement de va et vient, lent, puis de plus en plus rapide au fur et à mesure que je sens le plaisir de Cécile monter…
Son souffle est de plus en plus rapide…
Elle apprécie à mi-voix :
• Oh oui… c’est bon… continue…
• Lâche-toi ! Laisse-toi aller sous les caresses d’Elise. C’est certainement bien meilleur que tes masturbations solitaires et secrètes… Je t’ai observée en cachette…
• Oh… oui… c’est bien meilleur… Elise a des doigts de fée !
Soudain la jouissance déferle dans le corps de Cécile qui se tétanise en lâchant un cri rauque… et je me redresse : Pour le moment, c’est assez…
Je la laisse récupérer de son orgasme et Marc nous sert une nouvelle coupe de champagne. Nous faisons plus ample connaissance…
Marc explique qu’il a fait découvrir le libertinage à Cécile il y a quelques années. Tous deux naturistes convaincus, ils n’étaient pas choqués ou freinés d’évoluer nus ou presque dans ces lieux coquins que sont les clubs libertins.
C’est d’un commun accord qu’ils s’y étaient rendus, observant les couples qui faisaient l’amour, changeaient de partenaire au gré de leurs envies.
Les premières fois, ils s’étaient contentés de se livrer au mélangisme et n‘avaient sauté le pas de l’échangisme que l’an passé.
Cécile expliqua que son homme avait flashé sur une jolie asiatique qui ressemblait beaucoup à une célèbre actrice X, elle l’avait incité à tenter sa chance auprès d’elle.
Marc lui avait dit qu’il était d’accord, que cette fille lui faisait vraiment envie mais que si elle trouvait un homme à son goût, elle ne devrait pas se priver et succomber.
En fait, ils s’étaient retrouvés pour une partie à quatre plus d’une heure plus tard.
Depuis, ils fréquentaient les clubs une fois par mois environ, s’offrant à chaque sortie deux partenaires différents mais c’est avec beaucoup de tendresse qu’ils faisaient l’amour ensemble, rentrés à la maison et douchés, ils se retrouvaient plus amoureux qu’avant…
• Mais comment en es-tu venue à cette envie d’une relation saphique ?
• En club, je n’ai jamais osé aborder une femme pour faire l’amour avec elle… J’ai trouvé que dans l’intimité de la maison… je serais plus libérée.
• Tu as raison… Après notre première de jeudi, c’est mieux. Mais tout à l’heure Marc parlait de tes masturbations secrètes… Cela t’arrive souvent ?
• Non… Car mon homme est un sacré baiseur…Tu n’as pas vu sa queue… Il est insatiable... en plus il est inventif… ce qui fait que je suis satisfaite…
• Et alors ?
• Quand je suis seule et que je pense à lui, je ne peux m’empêcher de me caresser… Tu as vu, j’ai les seins très sensibles, je commence à m’exciter en les caressant et quand ma chatte est bien humide, je me sers de mes doigts…
• Tu n’as pas de jouets ?
• Non, mes doigts me suffisent !
• Laissez-moi cinq minutes… J’ai mes jouets avec moi… je ne m’en sépare jamais quand je voyage !
• Oh oui… Montre les moi…



Je vais dans mon sac de voyage et je prends mes sextoys… un beau gode vibrant, un double dong et un gode ceinture. Je ramène le tout au salon… et Cécile ouvre de grands yeux.
• Tu voyages avec tout cela ?
• Oui… et encore, là c’est un minimum !



Cécile est adossée au divan, les cuisses largement ouvertes… Elle écarquille les yeux et tend la main vers le gode vibrant que je viens de mettre en route :
• Oh… ces vibrations… ce doit être bon de le sentir au plus profond !
• Et bien… qu’attends-tu pour les sentir vraiment.
Elle interroge son homme d’un regard :
• Je peux ?
• Oui bien sur, vas-y, çà ta fait envie…
Elle ne semble plus aussi directive que jeudi dernier…
Je relance le mécanisme vibratoire et je place le jouet dans la main de Cécile que je guide jusqu’à sa fourche intime…
Je joue quelques instants entre les lèvres et le bourgeon d’amour puis je lâche la main de mon amie…
• Vas-y, découvre le plaisir ainsi… Tu vas voir, c’est bien meilleur qu’avec les doigts…
Avec Marc, nous regardons comment Cécile se fait plaisir.
Elle fait aller la pointe du gode entre ses lèvres intimes, la laisse quelques instants au contact du clitoris avant de descendre et caresser le périnée.
Finalement elle l’introduit dans son sexe et commence des va-et-vient de plus en plus rapides qui font monter sa jouissance une nouvelle fois.
La jouissance de Cécile est dantesque… elle crie haut et fort son plaisir, se tord dans tous les sens, soulevant son bassin du divan lorsqu’elle se tétanise…
Marc pendant ce temps s’était approché du divan et avait sorti son vit de son pantalon sous lequel il ne portait rien d’autre. Il se branlait doucement d’une main tout en passant l’autre dans la longue chevelure de sa femme et il l’encourageait :
• Oui…
• Plus profond…
• Moins vite…
• Plus vite…
• Ouvre tes lèvres avec ton autre main…

Il suivait la montée du plaisir chez sa femme tant et si bien qu’il a déchargé sur le ventre de celle-ci d’abondantes giclées de sperme au moment où elle-même était emportée par la jouissance… En voyant le vit de Marc, je ne m’étonnai plus que tous les deux soient accros au sexe… Il possédait un braquemart digne d’un hardeur de films X. longs, noueux et des belles proportions… au bas mot il devait approcher les 30cm de longueur et j’aurais eu de mal à en faire le tour avec ma main !
Je me sentais quelque peu frustrée… Cécile avait déjà joui deux fois et Marc venait de s’offrir une bien belle branlette.
Mais n’étais-je pas là pour continuer à initier Cécile aux plaisirs lesbiens ???
Je savais que la soirée n’était pas terminée… et j’avais encore beaucoup de choses à faire partager à Cécile…



Nous profitons ensuite d’une pause pour manger un peu et continuer à vider la bouteille de champagne Nous sommes nus tous les trois… Le sexe de Marc se balance doucement et je pense en moi-même que c’est vraiment un bel engin. Cécile est toute émoustillée car soudain elle s’écrie :
• A mon tour de te faire plaisir… Maintenant que j’ai vu comment faire ! Viens près de moi et allonge-toi sur le divan !

Je m’allonge en effet et Cécile m’enjambe pour se placer en position de 6 9 au-dessus de moi… J’ai une vue terriblement excitante sur son sexe aux lèvres gorgées de sang et au clitoris bien sorti de son capuchon. Je lisse d’une main le petit toupet de poils puis, je glisse mon majeur et mon index dans l’ouverture qui s’offre à moi. Je sens le souffle de Cécile sur mon entrejambe et ses mains qui ouvrent mes lèvres vaginales :
• Ta chatte m’excite, je vais m’en régaler !
• Fais… ma belle, je vais t’en faire autant !

J’ôte ma main et j’applique ma bouche sur ce sexe aux lèvres gorgées de sang et qui s’ouvre encore plus…
Ma langue frétille sur le clitoris avant de plonger dans ce puits d’amour chaud et humide…
C’est bon et je m’enivre des effluves qui s’en échappent.
Cécile ne reste pas inactive…
Sa bouche s’est collée elle aussi sur mon sexe et je sens sa langue tenter de pénétrer au plus loin dans mon vagin… Elle a retenu la leçon…
Notre plaisir monte progressivement et je sens que Marc monte lui aussi sur le divan…
Je vois ses genoux de part et d’autre de ma tête et son immense phallus dressé chercher à pénétrer le sexe de sa femme…
Ses bourses imberbes, bien rondes et charnues se balancent au dessus de mon visage et son épieu pénètre lentement… lentement le sexe de Cécile qui l’accueille avec un grand soupir :
• Aahhhh ! J’attendais avec impatience ! Vas-y baise moi à fond !

Pour ne pas être en reste, je caresse les bourses de Marc…
Je fais rouler les testicules l’un contre l’autre…
La scène doit être torride à regarder !
Je vois en gros plan le va et vient de ce mandrin de chair…
Il sort presque à chaque fois…
Il entre à nouveau en puissance…
Je sens sa poussée par l’intermédiaire du corps de Cécile…
Elle ne cesse pas pour autant de me manger la chatte…
Je sens le plaisir monter dans notre trio…
Quand il éclate chez Cécile, je me libère aussi et Marc jouit instantanément dans le sexe de sa femme !
Quelle partie !
Marc se dégage…
Cécile se retourne pour emboucher le sexe de son homme et lui faire une toilette détaillée…
Et me dire :
• Si tu veux… je te l’offre… Dans cinq minutes, il sera à nouveau en pleine forme !
• D’accord… Je vais t’y aider !
Et Marc ajoute :
• Une pipe à deux bouches, çà ne se refuse pas !



Quelques temps plus tard, Marc s’allonge sur le divan, la bite dressée comme un « I » et me dit :
• Je pense qu’elle a tout pour te satisfaire… Je devine que tu es gourmande à la manière que tu l’as sucée !
• Oh oui… Je ne suis pas contre… Un beau mâle de temps en temps, cela ne me fait pas peur !
• Viens en amazone, comme cela tu pourras te pénétrer à ta guise ! Je sais que parfois j’ai du mal à faire entrer mon vit !

Cécile maintient le sexe de son homme pendant que je me laisse glisser sur ce mandrin surdimensionné.
Je sens mes chairs intimes s’écarter…
J’ai chaud…
J’ai froid…
Vais-je supporter cette longueur et cette taille ?
Cécile retire sa main…
Je retiens mon souffle…
C’est fait…
Mon sexe a absorbé toute la longueur…
Je suis remplie…
C’est dantesque tellement c’est bon…
Je tourne le dos à Marc, mes mains en appui sur ses cuisses…
Les siennes sont sous mes fesses…
Il me soulève et me laisse retomber plusieurs fois…
Ma chatte s’est habituée à cette intromission…
Désormais, c’est moi qui effectue le va et vient sur ce sceptre de chair…
Mon plaisir monte rapidement tant je suis excitée et un peu en manque de jouissance…
Cécile caresse ma poitrine, m’embrasse en disant :
• Vas-y, laisse toi aller… Je sens que tu ne va pas tarder à jouir !
• Ouiiiiiiiiii çà vient, je viens…
• C’est boooooon !
Heureusement que Cécile est face à moi, sinon je me serais effondrée entre les jambes de Marc, tant cette jouissance était terrible… Mais lui, il me semble qu’il est resté sur sa faim…
Je m’étonne :
• Mais Marc, tu n’as pas joui !
• Mais c’est très bien comme cela ! Récupère un peu, nous allons changer de position…
Cécile dit alors :
• Je sais ce qu’il veut… Il va te baiser en levrette… c’est sa position préférée.
• C’est la mienne aussi quand je baise avec un homme !
• Alors tout est bien… Mets-toi en position !
Aussitôt dit, aussitôt fait. Je prends appui sur le dossier du divan pendant que Cécile fait le tour et vient se placer devant moi. Je sens les mains de son homme caresser mes hanches, écarter mes fesses… puis c’est son mandrin qui musarde entre mes jambes… Je pense soudain : « Oh non, il ne va pas me sodomiser ! »
NON… Je sens l’extrémité s’introduire entre mes lèvres intimes, entrer lentement, très lentement bien que mon vagin n’ait pas eu le temps de se replier, jusqu’à ce que je sente le pubis de Marc coller contre mes fesses…
Il met ses mains à ma taille et je sens les mouvements de va et vient commencer… lentement, puis de plus en plus rapides.
Cécile me caresse les cheveux et me dit doucement :
• N’est-ce pas que mon homme est un bon coup… Cela aurait été dommage que je ne t’en fasse pas profiter… ce que tu m’as fait découvrir, c’est tellement bon…
Du bout de lèvres je lui envoie un baiser…
Je ne peux rien exprimer d’autre tant je suis prise par le plaisir que si déroule dans mon ventre, remontant de mes reins jusqu’aux épaules…
Marc me baise de plus en plus vite… son piston de chair est de plus en plus rapide…
Je sens que de nouveau je pars… Ouuuiiiiiiiii !
C’est bon…
La jouissance m’emporte au point que je manque de m’évanouir au moment où je sens les salves du sperme frapper ma matrice…
Que c’est bon…
Sentir cette crème chaude m’inonder… alors que le sexe de Marc est encore ancré au fond de moi…
Quelques minutes après je sens qu’il se dégage…
Je jette un coup d’œil en arrière et je vois ce sceptre qui m’a perforée, luisant de nos sécrétions…
Puis Cécile revient sur le devant et essuie doucement le sexe de son homme, lequel en profite pour lui titiller les bouts des seins.
• Non… cela suffit pour l’instant… Allons nous doucher et nous coucher… Demain est un autre jour !



Nous avons passé la nuit à trois dans leur immense lit… Mais ce qui s’est passé au réveil est une autre histoire… Tout comme les jours qui ont suivi…

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