Elise

Elise était joyeuse. Marion, une ancienne collègue, devenue une amie proche depuis qu’elle avait quitté l’entreprise quelques mois plus tôt, était de passage dans la région et lui avait donné rendez-vous pour prendre un verre. Les deux jeunes femmes (la trentaine dépassée depuis peu), s’étaient donné rendez vous à la terrasse d’un café, dans un parc, non loin de l’hôtel où résidait Marion. Elise avait passé une semaine exécrable, entre les tracasseries administratives associées à la clôture de sa récente procédure de divorce et un mois de juin particulièrement chargé au bureau. Elle avait donc hâte de souffler et de plaisanter avec sa nouvelle amie.

Elle était vêtue d’une légère robe d’été à fleurs, qui mettait en valeur sa silhouette mince et réussissait à souligner sa poitrine menue. Elle avait complété sa tenue de sandales à talons et de grandes lunettes de soleil qui se mariaient avec sa longue chevelure noire. Cette dernière lui tombait sur les épaules en grandes boucles.

Comme prévue les deux amies passèrent un excellent début d’après-midi et burent une longue série de mojitos, tout en plaisantant de plus en plus bruyamment. Elles décidèrent de marcher ensuite dans le parc, tout en continuant de plaisanter, parfois de manière très crue… Leur balade achevée, Marion proposa à Elise de l’accompagner au spa de son hôtel, qu’elle trouvait extrêmement agréable.
“- Ca aurait été avec plaisir, mais je n’ai pas de maillot… répondit la jolie brune
- Et bien princesse, je n’ai qu’un seul maillot, tu resteras à poil sous ton peignoir !” enchaina Marion avec un sourir mutin. “On devra juste se passer de la piscine”, ajoute-t-elle
“Si tu le dis…” dis Elise, qui se laissa donc convaincre.

Arrivée au spa de l’hotel, Elise et Marion s’isolèrent chacune dans une cabine. Elise fit passer sa robe par dessus sa tête, et retira son string blanc. Ne portant pas de soutien gorge, elle était donc nue.

L’alcool aidant, des idées sensuelles lui traversaient l’esprit, mais elle enfila rapidement son peignoir, en prenant soin de bien le refermer et de faire un noeud solide. Elle rejoint Marion dans le hall. Cette dernière, une brune plus en chair, dotée d’une grosse poitrine, avait attaché son peignoir de manière très relâchée, ce qui la rendait extrêmement sexy. Les deux amies allèrent s’asseoir au bord de la piscine. L’endroit, sans être désert, n’était pas très fréquenté. Tout en papotant, Elise serrait les cuisses, de peur que les nageurs puissent apercevoir son intimité. Bien que son peignoir soit parfaitement agencé, elle avait l’impression de sentir le plastique de la chaise longue contre ses fesses. Elle était un peu gênée. Marion s’en aperçu, la regarda d’un air amusé, mais ne fit pas de commentaire.

Au bout de quelques minutes, Marion proposa de se rendre dans la cabine de sauna. Elle était vide. Une fois à l’intérieur, Marion arrosa copieusement d’eau les pierres brûlantes, puis défit son peignoir qu’elle plaça sur le bois du second niveau. Elle portait un maillot de bain, qui sans être outrageusement provocateur, n’était pas tout à fait sage non plus : son haut mettait très en valeur ses gros seins lourds et son bas était légèrement échancré. Elle s’installa, avant de lancer à Elise : “Tu gardes ton peignoir ?” avant de glousser. Elise se contenta de lui tirer la langue. Elle s’installa, sagement assise au premier niveau.

Marion, à plat ventre, parlait à Elise, tout en jetant des regards de temps à autre sur ses cuisses. Sa position offrait à Elise une vue plongeante sur sa poitrine imposante, qu’elle réajustait de temps à autre, sans manque de jeter un coup d’oeil à la réaction d’Elise. Cette dernière commençait à avoir chaud, et écarta légèrement les pans de son peignoir. Elle sentait le contact du bois chaud contre le bas de ses cuisses. Elle commençait par ailleurs à être excitée… Elle avait bien eu quelques aventures lesbiennes, mais n’était pas non plus coutumière du fait.
...

Un homme entra dans le sauna, leur jeta un bonjour, sans pour autant prêter plus que ça attention aux deux jeunes femmes et défit son peignoir. Il portait un boxer noir très ajusté. Il avait sans doute une petite quarantaine, il était plutôt athlétique. Il s’allongea sur le dos et ferma les yeux. Son boxer dessinait les contour de son sexe, plutôt imposant. Marion fit petit geste de la tête à l’intention d’Elise, en direction de la bite de ce bel homme. Les deux amies étouffèrent un gloussement, mais n’osèrent pas continuer leurs discussions. Marion se retourna sur le dos, avant de fermer les yeux à son tour. Elise, assise, ne pouvait s'empêcher de continuer à jeter un regard de temps à autres sur le corps de cet homme, de faire glisser son regard sur son boxer, de s’imaginer placer ses deux mains de chaque coté, de le tirer vers le bas et de prendre cette bite dans sa bouche, de le sucer jusqu’... Elle s’égarait. Elle se rendit compte qu’elle mouillait abondamment.

Une dizaine de minutes plus tard, l’homme quitta la cabine. Elise le regarda remettre son peignoir et sortir. Elle le suivait du regard lorsque la porte se referma. Elle entendit Marion pouffer : “Tu fais une fixette ? Tu as les crocs ?”. Son amie l’observait depuis quelques instants. Elise rougit et donna un petit coup de pied à Marion. Ce qui, tirant sur le peignoir, découvrit intégralement son intimité. Marion jeta un regard à la chatte complètement épilée d’Elise. Cette dernière ne remit pas immédiatement son peignoir en place et lança un regard provocateur à Marion. Ce fut le tour de Marion de lui tirer la langue. Elise referma son peignoir. Les deux amies reprirent leurs discussions une minute ou deux avant de se décider à sortir. Afin de se réadapter à une température normale, elles s’assirent un moment sur un banc en bois à coté de l’entrée du sauna.

Après quelques instants, Marion proposa de passer par les douches avant d’aller dîner. Arrivées devant les couches, Marion désigna une cabine spacieuse de la tête avant de pousser Elise en avant d’une tape sur les fesses.
Une fois entrées, Marion verrouilla la porte, défit lentement sa ceinture, avant de laisser son peignoir glisser au sol. Elise ne savait pas trop quoi faire. Marion, amusée lui glissa “Allez, princesse, à poil !”, avant de défaire rapidement le noeud du peignoir de la jolie brune. Les pans du peignoir s’ouvrirent et Marion pu à nouveau admirer la jolie chatte lisse de son amie, et ses seins menus, qui pointaient agressivement. Elise ne bougeait pas, sans pour autant chercher à fermer son peignoir. Marion passa une main dans son dos afin de défaire son haut, et libéra ses deux beaux seins. Elise ne pu s’empecher de fixer la poitrine du regard. Elle mouillait à nouveau abondamment. Marion la saisi par le bras, la fit pivoter face au mur, et tira le peignoir lentement vers le bas. Peu à peu, se dévoila le dos, la chute de reins, puis le joli cul d’Elise, qui restait passive, mais se cambra néanmoins légèrement au moment où son peignoir révélait complètement ses fesses… Marion lui glissa à l’oreille “Tu es vraiment bonne ma chérie, je suis sur que le mec de tout à l’heure aurait adoré jouer avec tes petites fesses ! “ Elle retira son maillot, plaqua doucement Elise contre le mur, se plaqua contre elle et alluma la douche d’une main. Elise sentit la poitrine de Marion s’écraser contre son dos, ses propres seins étaient collés contre le carrelage de la cabine, ses tétons glissaient contre le matériau tiède et humide, elle sentait l’eau couler entre leurs corps…

Marion l’embrassa dans le cou, doucement mais fermement. Elise sentait la toison de Marion collée contre ses fesses. La main de Marion remonta le long de sa cuisse, se plaqua contre son intimité, avant de s’immobiliser là… Elise tourna la tête et soupira : “Fais moi jouir..”. Marion lui répondit : “Avec plaisir, mais après, tu me suis dans ma chambre !”. Elise écoutait à peine, n’était concentrée que sur une chose, la main immobile sur sa chatte, et fit oui de la tête.

Marion inséra alors lentement un doigt dans la chatte d’Elise, tout en saisissant un sein de sa main restée libre.
L’eau coulait toujours sur les deux femmes. Marion prit son temps, garda son doigt immobile avant de commencer à masser le clitoris de sa partenaire, lentement, tout en plaquant Elise de plus en plus fort contre le mur. Elise se sentait compressée entre ce corps ferme et chaud, ces seins imposants et le carrelage glissant. Elle saisit les fesses de Marion afin de l’attirer encore plus à elle… Elle se cambrait pour coller son cul contre la chatte de Marion, elle malaxait les fesses qu’elle avait dans les mains, tandis que Marion jouait avec un de ses tétons, pendant que son autre main continuait à la branler avidement. Elise commença à trembler, elle se cambra autant qu’elle put, vint placer une main sur la main de Marion qui travaillait son clitoris, la comprima fermement...avant d’exploser, se mordant les lèvres et poussant un petit cri étouffé...

Après quelques longues secondes, elle se retourna, son visage à quelques centimètres de celui de Marion, qui affichait un sourir mi-tendre, mi-amusé...

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