Collection Cocu. Je Cocufie Mon Dab. (1/2)
Le titre de mon histoire peut paraître ambigu si on le prend dans son aspect premier.
Si je cocufie mon vieux on peut penser que jai des murs anormales ce qui est loin dêtre le cas, je suis un garçon de 22 ans dépucelé normalement pour un garçon de mon âge.
Depuis que jai réussi à avoir mes premiers rapports sexuels avec une jeune femme rencontrée dans une boîte de nuit, jai eu une maîtresse à qui jaurais dû penser depuis longtemps, la femme du pavillon voisin de mes parents.
La fille de la boîte était de passage et couchait chez une copine, jai donc moi aussi couché chez la copine.
Baise classique pour un jeune homme qui pensait quune femme devait prendre des positions impossibles comme dans les films pornos que je regardais dans ma chambre, allant les chercher dans le garage ou mon père les planquait.
Jai appris à pratiquer l'acte sexuel avec Janine la voisine à qui javais ramené Louloute sa caniche naine fugueuse à cause dun gros labrador à qui elle avait décidé daller conter fleurette.
Louloute était en chaleur et je suis arrivé à temps car elle avait trouvé la solution en étant sur une marche de notre perron, ce qui a évité à Janine de payer le vétérinaire.
Elle a voulu me remercier et malgré ses 40 ans et un mari, elle a vite trouvé comment le faire, la première fois cest sur leur canapé lieu chéri du mari qui se vantait davoir économisé sous après sous pour se payer ce monument tout en cuir vert avec boiserie à lancienne.
Nous avons rapidement changé de lieu de jeu car cétait lété et les fesses de Janine collaient au cuir commençant à le faire déteindre.
Nous préférions le guéridon en marbre qui malgré le froid que cela lui procurait cest vite avéré nêtre quen stuque.
Un matin nous avons entendu sa voiture arriver pensant être tranquille encore une heure, le scandale a éclaté du moins cest ce que jai pensé car me sauvant par l'arrière les gueulantes que jentendais de ma chambre ma fait penser quil avait découvert le pot aux roses et était en train de lassassiner.
Je lai vu repartir sans venir chez nous me défoncer la figure, prenant mon courage à deux mains jai refranchi la haie pour retrouver Janine en larmes.
Jai compris quau moment de larrivée du mari je suis parti précipitamment quittant la chaise où nous étions assis du moins moi avec elle sa chatte enfoncée sur ma verge.
La chaise en ébénisterie est tombée et cest fracasser en trois morceaux malgré le prix quil y avait mis.
Par sécurité nous nous sommes retranchés à létage avec le risque pour moi dêtre obligé de sauter sur le toit de la terrasse pour descendre sur la pelouse de plusieurs mètres en contrebas, mais quand on aime on évite de penser à ces détails.
Nous avons continué pendant une paire de mois sans de nouvelles anicroches jusquau moment où Janine ma annoncé avec des sanglots dans la voix quils déménageaient pour partir à plus de 100 kilomètres.
Comme lon dit une de perdu et zéro retrouvé, javais appris à bien baiser mais je devais le reconnaître, mes études de médecine étaient loin de mapporter la femme sachant satisfaire mes désirs.
Cest quelques semaines plus tard que jai constaté des changements notoires chez mon père, retour à la maison à point dheure, reprise du jogging le samedi et même le dimanche lui qui rechignait quelques mois plus tôt à venir faire du sport avec moi.
Cest pendant les vacances dété où je travaillais pour lui que jai eu la certitude que maman devait avoir une concurrente, il avait une entreprise de peinture papier peint ravalement de façade.
Il a plusieurs camions avec les équipes de deux qui vont avec.
Lui soccupe de la clientèle et prend son Audi pour aller faire des contrats.
Il a une secrétaire qui est partie en vacances et que je remplace en partie étant plus enclin à moccuper des chiffres que du logiciel de traitement de texte.
À ce point de mon aventure il faut que je dise que jai perdu ma grand-mère paternelle il y a 8 mois et quétant fils unique mon père a hérité de son pavillon assez près de chez nous, il la mis en vente et il nous a appris que cétait fait un jeune couple lavait acheté.
Dans le tiroir de son bureau je trouve un livre de comptes, pas mal le chiffre daffaires du DAB lentreprise tourne font la caisse, je comprends mieux pourquoi nous vivons dans une villa grand style comparé à celle de Mamy.
Je feuillette les pages quand un chiffre minterpelle, la somme est énorme dans la colonne des dépenses, il a dû faire un gros investissement ce qui augmente dautant le chiffre daffaires de lannée.
Pendant deux jours jessaye de savoir à quoi correspondait cet investissement en discutant avec certains de ses gars sans prendre trop de risques, aucuns nont vu un changement important dans leur travail.
Jai pensé quil avait remplacé la flotte de ses camionnettes mais rien de tel.
Joublie le livre pour reprendre ma tache de classement quand je découvert une chose étonnante, il me demande daller chercher son portefeuille dans sa boîte à gants car il était au téléphone.
Je suis rentré à quatre pattes côté conducteur sa voiture étant rangée le long dun mur côté passager, je trouve son larfeuille mais en me redressant pour ressortir je vois un sac entre les sièges arrière.
Intrigué jécarte le haut de ce sac publicitaire et à lintérieur je vois un martinet et des menottes.
Mon père fait dans le sado-maso, est-il actif ou passif, cest son affaire mais je veux savoir jusqu'où maman porte des cornes, protection dun fils envers sa mère.
Dans laprès-midi il part comme il le fait souvent, va-t-il se faire fouetter, jemprunte la camionnette de secours, je le suis et je le vois ouvrir le portail automatique dun pavillon, celui de Mamy, sans savoir pourquoi alors quil la vendu, il semble y avoir fait des travaux et ceux quil va rencontrer sont peut-être les acheteurs.
Une chose mintrigue, pourquoi entre-t-il avec la télécommande, je lignore mais je suis fermement décidé à le découvrir.
Je rentre pour éviter les questions et le lendemain alors quil est parti dans la ville voisine je retourne au pavillon, jy ai passé des journées entières depuis ma plus tendre enfance quand mes parents travaillaient pour se payer le confort de leur vie.
Jen connais tous les recoins, les cachettes et à larrière du pavillon comment rentrer à lintérieur sans que personne ne me remarque et ne le sache.
À l'arrière par le jardin du père Léon il est facile de sauter la clôture grâce à son cerisier qui était une source de conflit entre Mamy et lui.
Dès que jai été en âge de comprendre jai compris que ces bagarres lobligeant à venir chez elle veuve de longue date étaient prétextes à menvoyer à la cave où javais mon train électrique que papa mavait construit pendant quils allaient dans sa chambre effeuiller la marguerite.
Il faisait cela à lancienne car un jour ayant soif je suis remonté et suis allé dans la cuisine, je lai vu sortir de la chambre de grand-mère sa verge dégoulinante de sperme, la rentrant dans son pantalon où il avait seulement ouvert sa braguette.
Il a pris la porte sans me voir et comme pour retourner dans ma cave je devais passer devant la porte de la chambre ouverte de la chambre, j'ai vu ses grosses fesses à lair couché sa poitrine sur le lit et les jambes encore écartées reposantes au sol, elle a bougé et je me suis enfui dans mon trou.
Le père Léon est mort comme Mamy mais le cerisier est là et je saute au sol toujours aussi agile grâce au sport.
Les nouveaux propriétaires ont refait le mur en façade mais pas la partie arrière, je reconnais la t à deux vantaux quil y a bien longtemps servait à faire entrer les sacs de charbon pour le chauffage, bien sûr il y a bien longtemps que le charbon a été remplacé par le gaz de ville mais la t est resté en létat.
Jai plus de difficulté que les autres fois à enlever les deux gonds mais jarrive à basculer les deux vantaux plus facilement que quand jétais petit grâce à mes muscles actuels.
Je saute dans le réduit et je passe dans le petit couloir où je trouve la lumière qui mène vers lescalier allant vers létage, je monte et quand jouvre la porte à mon habitude jéteins la lumière, le nombre de claque sur les fesses que jai prises parce que javais oublié déteindre, étant toujours bien ancré dans ma tête
À part la cuisine où il semble que quelquun se prépare à manger, rien na changé, la chambre de Mamy est dans létat, la salle de bain semble utilisée et une femme doit se servir de parfum que je nai jamais senti dans la maison.
Je vais pour redescendre quand jentends clairement le portail se déclencher, les propriétaires reviennent, je file dans la cave et je rejoins celle par lequel je suis entré,
Il me faut attendre derrière la porte pour analyser si je peux sortir et remettre les vantaux en place sans risquer de me faire prendre.
Jentends la porte palière souvrir au bout dun certain temps et le bruit de la porte de la cave où se trouvait mon train électrique souvrir seul endroit que jai oublié de visiter.
Jentrebâille ma porte pour mieux entendre et voir le couloir qui y en sort.
Oh, Maître, cest vous, je vous ai entendu arriver et jattendais que vous veniez.
Pourtant petite salope, je suis descendu rapidement.
Jai peur est-il possible quil y ait des rats, jai peur de ces bêtes protégées moi.
La voix est celle de mon père mais lautre mest inconnue celle dune femme à la voix douce.
il y a longtemps que tu les as entendus ?
Dix minutes environ.
Tu sais ces vieilles maisons sont remplies de craquements et autres bruits de tuyauteries.
Mais.
Tu cherches à te faire flageller, tu sais que jai horreur que tu me contraries, je vois que tu aimes ce que nous faisons et je suppute que tu me provoques volontairement.
Viens, cest lheure de manger, cette nuit tu auras tous loisirs dentendre des bruits jai un repas chez des amis et ton Maître te laissera avec toutes tes peurs.
Jai eu peur moi aussi quil vienne visiter la petite cave mais ce que je vois est surprenant en restant sobre dans mon analyse et mes propos.
Avance petite chienne, jai préparé ta pattée.
Jai envie de me frotter les yeux, je vois sortir de la cave une jeune fille aux cheveux coupés en brosse d'un joli blond, nue à quatre pattes un collier de chien autour du cou.
Bref je vois de dos mon père en tenue de mâle dominant sur sa soumise qui semble accepter sa condition, il tient la cravache que jai vue dans la voiture et tous le long des marches qui doivent lui agresser les genoux il la flagelle lui marquant certainement les fesses car les coups sont fortement assénés et jentends des petits cris chaque fois quil la touche.
Il referme la porte palière, je sors hors de mon trou, je remets les vantaux en place sans oublier les gonds, je saute sur le bidon retourné qui sert à brûler les herbes folles et je retourne à latelier, mon père à dit quil serait absent ce soir et toute la nuit je pense que je vais refaire le chemin inverse à la tombée de la nuit
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