Collection Cocu. Je Cocufie Mon Dab. (2/2)

Je viens de découvrir une chose sortant de l’ordinaire pour éviter de dire plus, dans un premier temps j’ai trouvé un sac dans sa voiture avec martinet et menottes.
Dominant ou dominé, je me suis posé la question aussi je l’ai suivi pour découvrir qu’il avait racheté le pavillon de sa grand-mère pour y enfermer une jeune femme blonde assez frêle qui semble être là de son plein gré.
J’arrive à quitter le pavillon sans qu’il remarque que je suis venu et que j’ai vu que mon DAB se prend pour le Maître de cette jeune femme.
Comment un homme de plus de 40 ans peut-il avoir obtenu la soumission de cette jeune fille arrivant même à la flageller quand elle remontait l’escalier sous couvert d’aller prendre sa douche.

Mes parents sont partis manger chez des amis, je reprends la camionnette que j’avais ramenée comme je le fais de temps en temps quand j’envisage de sortir le soir.
J’arrive au pavillon et je me gare hors de sa vue et je reviens à pied longeant les murs, la nuit est noire la lune étant soit partie se couché soit caché par les nuages.
J’arrive à trouver le chemin qui mène au jardin, au cerisier et devant la trappe, j’ai plus de facilité à enlever les gonds malgré le léger grincement.
Contrairement à tout à l’heure je referme derrière moi et je rentre vers la porte de ma cave, je dis ma cave car dans le temps quand on me punissait ils disaient ta cave.
J’approche de cette porte et au moment de tourner la poignée j’ai un moment de panique, que vais-je trouver, cette jolie blonde avait l’air d’être libre du moins consentante, mon père est-il un monstre qui séquestre cette jeune femme qu’il va rendre contre rançon ?

Quand je pousse enfin la porte le train miniature a disparu mais a été remplacé par quelques objets tous aussi étranges les uns que les autres bien que sur internet j’en ai vu de semblable.
Ce que je remarque de suite c’est la lumière intense qu’il y a fourni par une lampe à rayon blanc qui part vers un recoin de la pièce que je connais car il était déjà là de mon temps et j’aimais y passer des heures.


La différence c’est que je m’assayais sur la terre battue alors qu’une dalle a été coulée et qu’un matelas y est posé, comme une chienne dans sa niche la jeune femme est là, dans l’impossibilité de me voir car elle a une cagoule de cuir comme celle que mon DAB portait tout à l’heure.

• Qui est là c’est vous Maître.

Elle a toujours le collier mais c’est une chaîne qui a été enroulée proprement au sol fixé à un anneau sellé dans le mur qui la retient.

• Oh, Maître répondez-moi, j’ai dormi si longtemps que cela que vous êtes déjà là ?

La jeune femme est tellement frêle et belle dans sa nudité ses petits seins me donnant envie de les prendre dans ma main que j’hésite à répondre de peur de la paniquer en entendant ma voix.
J’avance ma main et je lui caresse le cuir de la cagoule sur le côté de son crâne comme un amoureux le fait avec celle qu’il aime et ce que j’attendais ce produit elle vient lover sa joue dans ma paume ouverte.

• Maître je vois que vous êtes de bonne humeur, vous avez vu en arrivant que j’ai exécuté votre ordre parfaitement, je suis resté dans ma niche, vous allez me prendre pour me faire plaisir.
Comment voulez-vous que je me mette à quatre pattes ou que j’écarte mes cuisses comme cela pour que ma chatte soit au service de votre pieu qui me fait tellement de bien quand il entre en moi.

Me disant cela elle se place sur le dos et écarte ses jolies jambes me montrant son vagin d’où sort un clito assez proéminent en rapport de la carrure de la petite.

• Maître, c’est le meilleur supplice que vous me faites subir depuis le contrat qui me lit à vous, c’est pour cela que vous m’avez mis ma cagoule, je suis dans l’incertitude que vous me preniez ou que je reçoive une volée de coups de cravache au centre de cette chatte qui me cause tellement de tourment.

J’ai deux choix à ce moment, sortir mon sexe en ne lui disant rien et la prendre jusqu’à ce que je décharge en elle, avant de repartir sans qu’elle sache qui l’a baisé mais j’aurais l’impression de la violer.

La deuxième que je vais suivre, je suis accroupi à ses côtés, je lui prends une jambe pour fermer cette fente impudique, je passe ma main à l’arrière de la cagoule et je la détache avant de l’enlever.
Elle cligne des yeux et finit par me voir.

• Qui êtes-vous ?
• Celui à qui vous avez pris sa niche.
• Vous êtes avec le Maître et vous étiez à ma place avant que j’accepte de devenir sa soumise.
• Bien avant, depuis ma plus tendre enfance, c’était ma grand-mère qui habitait ici, quand je venais en vacances et que j’avais du chagrin c’est ou vous êtes que je venais me réfugier.
• C’est votre maison, le Maître vous la loue.
• Non, je crois savoir à qui elle appartient mais c'est loin d’être le sujet, comment fait-on pour vous détacher ?
• Pardon, je refuse d’être détaché je serais puni par le Maître.
• Le Maître, le Maître pourquoi semblez-vous attacher à lui !
• Mais je suis à lui.
• Comment devient-on la propriété de quelqu’un ?
• C’est un long cheminement.
• Que vous avez suivi.
• Oh, que oui.
• Vous pouvez m’en dire plus ou le maître vous l’interdit.
• Il me l’interdit mais je sens que vous êtes comme moi au début de mon parcours qui m’a conduite à être sa soumise.
• Dites-moi ?
• Tous à commencer à cause de ma copine Laurette, nous vivions ensemble en faisant nos études à la même fac.
Au fil des jours elle a réussi à faire entrer dans mon cerveau que ma vie lui appartenait, jusqu’au jour de mes 18 ans ou pour les fêter elle m’a emmené dans une boîte où les hommes repartaient rarement seul.

La position où je suis est inconfortable aussi je m’assieds le dos callé sur le mur mes jambes allongées la petite se lovant dans mon bras.

• Elle m’a montré un homme bedonnant et m’a imposé de le séduire et de le suivre dans sa chambre ou dans sa voiture pour me faire baiser.
J’étais vierge et je me suis mise à pleurer.

Elle m’a dit que j’avais le choix ou l’homme ou elle me renvoyait, pour me montrer ce qu’elle avait décelé en moi, elle m’a pris mon téton au travers de mon corsage et l’a pincé jusqu’au moment où j’ai crié la douleur devenant insupportable.
Elle s’est levée et est partie, je l’ai rejointe dehors, elle a accepté de me parler pour me dire que je sois le lendemain soir à la même heure devant cette boîte, j’étais apeurée, mais j’ai essayé de rentrer dans notre chambre qu’elle avait fermé à clef me laissant sur le paillasson.
• Le lendemain y es-tu allée ?
• Le matin je suis allée à mes cours sans la voir et le soir j’y suis retournée.
Elle est arrivée et m’a montré deux hommes au bar, comme la veille j’ai dit non et elle m’a regardé avec un œil noir, avant d’ajouter que si je refusais ces deux hommes demain il serait trois, puis quatre.
Comment a-t-elle fait mais le geste suivant tout ce que je sais c’est que je me suis retrouvé avec un couteau sous mon sein, regarde elle me l’a planté j’ai encore la cicatrice ?
• Et tu t’es laissé dépuceler par des deux hommes.
• Ils m’ont emmené dans leur chambre et ils m’ont dépucelé me prenant par la chatte et par le cul, chaque fois que leurs verges entraient en moi comme des barres rouges, je l’acceptais ayant le visage de Laurette devant mes yeux.
Ils étaient en moi l’un par-devant l’autre par-derrière quand j’ai eu mon premier orgasme.
Quand je suis sortie de la chambre elle m’attendait, elle a frappé à la porte et j’ai vu la main d’un des deux hommes lui donner des billets, elle m’avait vendu et j’étais fière qu’elle soit contente de moi.
• T'a-t-elle souvent prostituée ?
• Nullement, tu ignores tous de la soumission, elle voulait me casser et que je sois à elle, ce que j’ai été.
Pendant plus de deux ans je suis resté dans notre chambre attachée comme je le suis et chaque fois qu’elle trouvait quelque chose à redire sur la nourriture, la salle de bain mal lavée elle me punissait mais elle avait raison car je l’avais déçue.

• Pourquoi l’as-tu quittée ?
• Elle m’a vendu à mon nouveau maître étant obligée de partir à l’étranger.
• Elle t’a vendue comme un vulgaire sac à patates.
• Nous les soumises ce genre de question on s’en fiche, un jour elle a coupé la chaîne qui m’empêchait de sortir de la chambre où nous étions et m’a dit d’aller à la séance de 14 heures au cinéma de notre ville.
• Quel film jouait-on ?
• Cinquante nuances DE GREY, ils avaient choisi ce film qui venait de sortir car il était là quand je me suis assise, j’ai voulu parler mais d’un geste il m’a fait comprendre que je regarde le film, à la fin, il m’a tendu un papier qu’il m’a demandé de signer comme dans le film.
• Tu peux le quitter comme tu le veux, comme dans le film.
• Oui mais pourquoi je le ferais, ici je suis protégé de la vie qui me fait peur.
• Tu me touches, je vois que tu es attaché à cet homme.
• Pas un homme, le maître.
• Je vais te laisser dormir, je reviendrais te voir dès que je le pourrais, j’ai rarement été aussi impressionné par une jeune femme qui vit sa passion avec une telle audace.
Une dernière question et je te laisse, pourquoi cette lampe blanche qui nous éblouit ?
• C’est pour me tenir chaud et maintenir mon corps en bonne santé, vivre recluse pourrait être dangereuse, j’aime qu’il me frappe quand je suis méchante, qu’il me fasse l’amour quand il est content profitant de moi comme il doit le faire avec une bonne soumise.

Je suis parti après lui avoir remis sa cagoule, en sortant le premier soir je me suis donné une mission, qu’elle accepte de casser son contrat avec mon père et pas son maître car pour moi personne n’a le droit de soumettre un être humain à un autre.
J’ai retrouvé mon DAB et me suis bien gardé de lui dire que j’avais découvert son secret.
J’ai mis trois mois ayant quitté la maison pour lui confectionner un nid d’amours.
Chaque fois que je la prenais dans mes bras j’en étais arrivé à ma limite de vouloir le surtout quand je découvrais des traces des coups qu’il lui infligeait fût avec son accord.
Un après-midi où je savais qu’il avait pris l’avion pour se rendre à l’autre bout du pays c’est d’elle-même qu’elle s’est empalée sur mon sexe qu’elle avait d’elle-même dénudé.

• Véronique, ton Maître revient demain, dit lui que tu romps votre contrat il te libérera, tu sortiras du pavillon et je t’attendrais devant avec ma voiture et je t’emmènerais dans ta maison.
• Veux-tu que je devienne ta soumise ?
• Sûrement pas, je vais t’apprendre à assumer ta vie et surtout ta liberté.

J’ai une mignonne petite femme que tous les mondes m’envient, elle est devenue écrivain et a déjà publié deux livres, les deux sur les femmes et la grossesse et les femmes après la grossesse.
Elle sait de quoi elle parle nous avons deux s.
Quant à mon père j’ignore ce qu’il est devenu, quand je lui ai présenté Véronique, il a montré un moment de surprise et a disparu, nous gérons l’entreprise qu’il a créé et nous vivons heureux mais contrairement au dicton « Pour vivre heureux vivons caché » notre devise c’est « Pour vivre heureux vivons au grand jour. »

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