Collection Cocu. Merci Aurélie (2/2)

J’ignore qui a choisi ce titre, « merci Aurélie » !
Mais ils ou elles sont à côté de leur plaque.
Aurélie qui en tête à tête m’a dit :

« Si un jour tu vois ton mari avoir un comportement différent de celui qu’il a habituellement dit toi qu’il y a une femme derrière ça. »

Celui que j’ai épousé alors que c’était le toutou à sa maman, m’apparaît sous un nouveau jour.
À la maison son comportement change au point de se promener nu !
Les propos d’Aurélie sur la fidélité des maris me revenant en mémoire, je cherche la femme.
Tous les jours de la semaine il se comporte bien suivant son serment de fidélité.
Je pense mettre trompée, pour finir par m’apercevoir que ce sont les mercredis alors qu’il m’a fait croire qu’il déjeunait avec son cul béni de mère qu’il rejoignait sur les bords de marne sa maîtresse.
Sa maîtresse dans une maison que je connais bien pour y venir de temps en temps, celle d’Aurélie ma meilleure copine.
Je savais que depuis son divorce, Aurélie avait la cuisse légère, mais de là à forniquer avec celui qui m’avait juré fidélité, il y a un monde que j’ai du mal à admettre.
Pourtant l’ayant suivie et étant rentrée par le sous-sol, restant cachée derrière la porte y menant, c’est bien lui qui cherche à sodomiser mon amie.

- Ton cul est divin Aurélie, tu permets, si je fantasme et que ce soit dans celui de ma femme que je vois en images.
- Claque-le-moi, j’aime les échanges rugueux dans nos rapports, la plupart des femmes font croire qu’elles aiment la douceur alors qu’elles ne rêvent que d’échange tumultueux.
Comme je te l’ai dit, essaye ce soir avec elle, tu verras bien.

Je bas en retraite, je vais voir comment il va s’y prendre ce soir.
Je vais pour sortir et j’entends Aurélie hurler son plaisir.
La sodomie apporterait-elle du plaisir ?

Le soir comme si de rien n’était, je le vois revenir, j’ai anticipé ses envies, je suis en peignoir nue en dessous.



- Excuse ma tenue, il fait si chaud.
Dis, comment c’est passé ton repas ?
- Très bien, je sais que ce n’est pas le grand amour entre toi et maman, mais elle te donne le bonjour.

Mentir, c’est incroyable ce que l’on peut inventer quand on se trouve dans la situation de Robert.
Me dire que j’ai peu d’accointance avec belle-maman c'est gonflé, mais plus c’est gros plus ça passe.
C’est du moins ce que j’essaye de lui faire croire.
J’en sais assez pour le piéger.
Nous dînons, nous sommes sur le canapé à regarder la télé.
C’est un costaud car malgré ses parties de sport en chambre toute l’après-midi il bande.

- Sylvie, je vais te demander quelque chose d’un peu spécial.

Nous y sommes, que va-t-il trouver pour pouvoir essayer de me sodomiser.

- Voudrais-tu me sucer, je sais nous ne l’avons jamais fait, mais j’ai appris que ça se fait entre mari et femme !

Tient, changement de programme, que s'est-il passé après mon départ.
Aurélie aurait-elle eu envie de recommencer et a sucé mon mari.
Comme il semble qu’il reproduise dans notre couple ce que cette salope d’Aurélie lui apprend, nul doute que je dois avoir raison.
Je décide de le faire marner.

- Où as-tu appris ça Robert, depuis que nous sommes mariés, ton comportement a changé.
- Je me doute que tu dois avoir des doutes sur ma fidélité, mais toi aussi tu sembles changée, jamais à ce jour tu ne t’étais promenée presque nue chez nous.
Te voir presque à poil ça me donne des envies que je souhaite à assouvir.

Ou l’art de l’esquive.
Mon mari aurait dû être comédien ou mieux faire de la politique.
Avoir une telle langue de bois, ça tend à l’exploit.
Aurélie semble le former au sexe ce que je n’ai pas su faire ou pas voulu faire à cause de belle-maman cette sainte.
Sainte car avoir un tel niveau d’abnégation de sa foi simplement car on a été trompé, ça frise la perfection.

Pourquoi devrais-je être aussi sainte qu’elle ?
Je me penche et je le prends dans ma bouche.

- C'est parfait ma chérie, je vais te faire l’amour, il fait si chaud que te prendre comme je le fais depuis notre nuit de noce me semble impossible, mets-toi à quatre pattes sur le canapé je vais venir derrière toi.

Voilà, nous y sommes, il reprend le cours normal de sa formation par Aurélie.
Je me souviens avoir fait une formation de sauce dans la cuisine.
Il y avait la théorie et après la pratique.
Nous sommes dans cette pratique, n’ayant pas encore l’envie de boire son sperme, je me place comme il me le demande en parfaite ingénue que je suis.

- Placée comme tu l’es, ton cul est mignon et fripon.
- On en mangerait !

En même temps que je profère ces mots, j’ai peur d’avoir été trop loin.
Rapidement je me rends compte que sa verge vient caresser ma fente pour trouver son chemin.
Nous n’en sommes pas encore à la sodomie, j’ignore comment cette manière de me faire l’amour s’appelle mais je pense que nous le ferons souvent, si l’envie de recommencer le prend.
Je sens qu’il va plus loin en moi, une boule monte en moi bien plus forte que celle que je ressens quand je suis angoissée.
Pour lui aussi les choses avancent, la sodomie ce sera pour plus tard car en même temps qu’il me claque les fesses, il éjacule en criant à réveiller les voisins.

- Ma chérie, que n’avions-nous fait ça plus tôt.

C’est écrouler dans les bras l’un de l’autre qu’il me profère ces paroles pleines de sagesse.
Mais deviendrais-je accro au sexe aussi intense, je dois reconnaître que la sodomie me tente.
C’est le samedi qui suit alors que cela fait trois jours que nous nous promenons toujours nus que la possibilité se présente.
Je me réveille sentant sa bite bandée entrant dans mon cul.
Non pas dans mon œillet mais dans ma fente culière.
Il bande tellement qu’elle est collée à la raie de mes fesses.


- Tu veux.
- Oui, chérie, met toi en levrette comme mercredi soir.

Mon vocabulaire s’enrichit, il m’a pris comme il prenait Aurélie en levrette.
Je sens qu’il cherche son chemin plus de nouveau dans ma chatte que mon anneau.
Je prends une initiative afin d’atteindre mon but.

- Chéri met moi un doigt dans le cul, je sens que ça va décupler mon envie et notre plaisir.
- J’ai mieux après, t’avoir mis un doigt et si je te mettais ma bite ?
- Et tu le diras à…

Je suis à deux doigts même s’il m’en met un, de me trahir, j’ai failli lui parler d’Aurélie.
Rapidement moi aussi j’apprends à parler comme les femmes adultérines.

- À maman !

C’est ce qui s’appelle un rattrapage de haute voltige.

- Laisse ma mère là où elle est, c’est notre couple qui est ma seule préoccupation.

Il enlève son doigt et avant que je n’aie le temps de m’offusquer.
Je me retrouve une parfaite sodomisée.
C’est le dimanche matin quand nous remettons le couvert que je comprends pourquoi Aurélie hurlait son plaisir quand je quittais son pavillon.

C’est le mercredi suivant que je veux voir comment il explique ce que nous avons fait.
Aurélie va chercher son pain à 11 heures chaque matin.
Je suis dans son sous-sol quand elle revient.
Je me suis cachée derrière la chaudière éteinte en cette période de canicule.
Je monte à mon poste d’observation dès que je sais que Robert est arrivé.
J’en suis pour mes frais, ils sont allés directement dans la chambre.
Par chance, ils ont laissé la porte ouverte ce qui me permet d’entendre Aurélie.

- Ils nous restent une étape depuis que je t’apprends à satisfaire la femme de ta vie.
Trouvez le moyen de faire ça tous les trois.
Quand j’ai accepté notre relation afin de te former, je t’ai dit que mon amie était à mon goût.
- Je sais, je t’ai promis de l’amener dans notre lit.

Tu sais pour la sodomie, c’est elle qui a ouvert la porte à ce que je la prenne par l’anus en me proposant d’y mettre un doigt, je vais bien trouver un moyen à ce qu’elle joue avec nous.

Je me déshabille rapidement et je fais mon entrée dans la chambre de mon amie.

- Inutile de faire des plans qui vont nous prendre des jours.
Aurélie montre-moi ce que je dois faire pour te satisfaire.

Voilà d’un couple sans expérience quand nous suçons la verge de mon mari en cœur avant que je lui bouffe la chatte pendant qu’elle en fait de même pour moi, dans un 69 mémorable.
Je vois Robert l’enculer et finir par éjaculer dans ma bouche me faisant boire son sperme pour la première fois.
Nous sommes devenues un couple, non un trio aimant baiser.

J’ai dit voilà, c’est un peu tôt pour le dire.
Aurélie veut que je sente la présence de deux bites en moi, elle veut que je fasse une double pénétration.
Il est loin le temps où c’est ma belle-mère qui dirigeait les jeux de son fils.
Ce soir, nous venons de franchir la porte d’un club libertin du 1er arrondissement.
Nous sommes tous les trois et ce doit être moi la reine de cette soirée.
Aurélie y vient souvent et sait y trouver le deuxième sexe qui m’est promis.
Pourquoi pas avec ce couple déguisé en drag-queen qui s’exhibe sur cette scène tournante ?
Elle a genoux devant lui le suçant sous les regards de dizaines d’autres libertins.

- Robert, merde ta mère.
- Sylvie, merde, le cur..
- Curé de la paroisse qui vous a marié.

Belle maman avait beau jeu de jouer les saintes ni touche, mais je la comprends son compagnon étant monté comme un taureau.
Mais surtout, « merci Aurélie. »

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