Ma Belle Soeur Christine (4)

4°) Mon dépucelage
Toujours en érection après avoir gouté cet antre chaud et trempé, je n’avais en tête que la possibilité que Christine avait laissé entendre de pouvoir enfin la pénétrer. Pénétrer…. j’aimais tellement ce mot car il s’associait parfaitement avec mon dépucelage tant attendu.
Je sentais ma belle-sœur détendue et complétement à ma merci, allongée avec les jambes légèrement écartées. Je décidais de lui caresser le corps, d’une part pour en profiter mais aussi pour lui faire part de ton ma reconnaissance. Je m’installai confortablement sur son côté et commença à lui prodiguer un massage doux et sensuel. Par un effleurement mesuré, je passais mes mains sur son ventre, élément centre de son corps qui me permettait l’accès aux seins et à sa chatte béante et inondée.
Je me plaisais à monter, en passant entre ses seins, et descendre non sans titiller ses tétons toujours durs puis atteindre rapidement son entre jambe. J’avais envie que cela dure et dure encore, je me forcais donc à ne pas toucher la moindre partie de sa chatte. Je m’amusais seulement à caresser l’intérieur de ses cuisses, passer au plus près de ses lèvres sans jamais y toucher.
Ces caresses ont eu pour effet immédiat de réveiller le désir de cette belle femme, qui, à chaque passage de mes doigts près de sa vulve, se tordait comme si elle voulait happer en elle toute ma main.
Ce massage a duré plus de trente minutes, elle n’en pouvait plus et fini par se redresser et me dire :
- Tu es un vilain coquin, tu as réussi à faire en sorte de me mettre dans une envie féroce ! alors maintenant c’est moi qui vais te faire souffrir et je vais prendre mon pied !
Je la sentais tellement à croc que je me suis allongé sur le dos tout excité par ce qu’elle allait me faire subir car je savais au final que ça allait être l’explosion, qu’elle ne pourrait cette fois se satisfaire de doigts et de masturbation, il lui fallait du sexe !
Elle commença par m’attr ma queue à pleine mais sans douceur, elle me branla en deux ou trois mouvements puis s’arrêta brutalement.


Elle me chevaucha et se mit à croupis au-dessus de ma bite droite comme un I. J’avais une vue magnifique, ses seins pointaient vers moi et cette chatte ouverte et dégoulinante m’appelaient à la palpation. J’avançais mes mains pour en profiter mais là :
- Stop !! me dit-elle, je t’ai dit que tu allais souffrir, je t’interdis de bouger et de toucher, tu ne peux utiliser que tes yeux,
Je n’arrivais plus à parler tellement l’excitation faisait augmenter mon rythme cardiaque.
Toujours sa caverne ouverte à la limite de mon gland elle faisait des mouvements comme une danse du ventre, faisait en sorte que le bout de ma queue passe régulièrement dans le sillon de sa chatte. Elle se caressait les seins et le clito dans des mouvements de plus en plus fous. Elle me regardait dans les yeux et faisait volontairement bouger ses seins comme pour m’exciter encore plus.
Dans un geste moins contrôlé, mon gland a commencé à glisser à l’intérieur de sa chatte jusqu’au prépuce. Dans un gémissement de lionne, Christine s’est rapidement redressée pour le sortir de la cave interdite.
Voilà mon supplice, elle se pétrissait tout le corps de plus en plus fort, tirait sur ses tétons, attrapait son clito, les maltraitait dans une violence maitrisée, elle grognait en penchant la tête en arrière.
A plusieurs reprise ma queue pénétrait sa chatte et ressortait immédiatement, jusqu’au moment où elle n’en pouvait plus et s’empala brutalement sur mon membre et se soulagea les cuisses en se posant littéralement sur mon bassin. J’ai explosé sans aucune maitrise de mon corps, je sentais mon sperme jaillir en elle par saccade. Son cri m’a laissé penser qu’elle avait aussi eu un début d’orgasme. Elle jeta ses mains de chaque côté de ma tête et releva son bassin jusqu’à faire sortir ma queue. Cette nouvelle position avait eu pour effet d’amener ses seins à mon niveau tout en me permettant de voir le travail au niveau de nos sexe.
J’ai attrapé ses deux seins et je mordillais ses tétons, elle recommença à s’empaler sans délicatesse, à chaque visite de sa caverne je giclais au plus profond de son ventre, et j’avais le droit à un cri de plus en plus prononcé, elle jouissait au fur et à mesure de mon lâché de semence.
Je n’ai jamais éjaculé autant de fois en suivant, j’avais l’impression que ça ne finirait jamais ! Aux derniers mouvements j’étais totalement à sec, mais elle en voulait encore, alors elle se redressa de nouveau et tout en continuant ses mouvements de va et vient, se branlait littéralement le clito de sa main gauche et un téton de sa main droite. Même si je ne pouvais plus jouir ce spectacle des plus hard imposait à ma queue de rester bandée.
Elle jouissait et jouissait encore jusqu’à s’effondrer sur moi. J’ai eu à cet instant une nouvelle sensation, ce corps à corps véritable était encore nouveau pour moi.
Bien sûr, j’ai pu toucher, palper et caresser son corps à plusieurs reprises depuis le début de nos ébats, mais je n’avais jamais eu l’occasion d’être collé ainsi.
Je sentais ses seins s’écraser contre ma poitrine. Je ressentais encore quelques soubresauts que faisait son bassin. Je sentais mon sexe toujours en elle vibrer et le mélange de nos fluides couler entre nos jambes. Ça y est j’étais dépuceler.
Je l’entourais de mes bras pour lui caresser le dos jusqu’à la raie de ses fesses, je lui passais la main dans les cheveux, elle ronronnait.
Ses seins écrasés débordaient sur les côtés, je prenais un réel plaisir à la caresser, quelle douceur !
Elle finit par reprendre ses esprits et se fit rouler sur le côté. Notre « désemboîtement » me fit lâcher un râle et une cascade de jus s’étalait sur les draps.
 

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