Marsupilami (Chapitre 2)

J’ai connu des filles de toutes les tailles, toutes les couleurs, toutes les morphologies, de la petite timide à l’extraordinaire salope en passant par la pédagogue.
Iris, toutefois, malgré sa grande simplicité, restera aisément dans mon top 10, tant j’ai un sentiment d’accomplissement en pensant à notre brève relation. J’ai notamment grâce à elle grandement perfectionné ma pratique du cunnilingus, léchant sans relâche sa fente humide, des érections monstrueuses entre les jambes.
Elle m’a masturbé de ses deux mains un nombre incalculable de fois quand, nos deux corps, encore trop incompatibles, se languissait l’un contre l’autre, frustrés.

Et puis un soir, dans un élan d’excitation incontrôlable, elle s’est ouverte à moi. Elle était bouillante, geignait alors que je la léchais sans relâche tandis que son sexe dégoulinait littéralement sur ma langue.
Elle m’avait interrompu, avait remonté ma tête au niveau de la sienne en me tirant par les cheveux, et d’une voix presque plaintive m’avait déclaré : “Je veux ton énorme queue en moi”. Mon érection a alors été décuplée, et alors que j’enfonçais très lentement les premiers centimètres, elle se mit à gémir.
Elle me murmura de ne surtout pas m’arrêter, qu’elle pleure ou supplie. Je sentais son vagin étroit se resserrer sur moi, la pénétration se faisait de plus en plus difficile, et tandis qu’Iris se crispait et se contractait, j’entamais au terme de l’interminable pénétration - sans toutefois pouvoir enfoncer plus de la moitié de mon sexe en elle - un lent mouvement d’aller retour.
Chaque fois que mon mandrin se retirait lentement d’elle, je lisais dans ses yeux et dans ses cris sauvages et langoureux un mélange de soulagement et de frustration, et lorsqu’il revenait douloureusement en elle, un mélange de souffrance et de plaisir. Petit à petit, elle s’est détendue, et j’ai pu accélérer raisonnablement mon mouvement. Je la sentais battre autour de moi, envelopper mon sexe titanesque tant bien que mal, tandis que celui ci commençait à la pilonner doucement.


Il va de soit qu’un sexe titanesque ne constitue pas l’assurance d’un rapport de qualité : il fut pour moi très éprouvant de retenir mon éjaculation au bout de quelques minutes, d’autant plus que ce soir là, cela faisait un an environ que je n’avais pas accomplit de pénétration digne de ce nom.
Mais à force d’efforts importants et de ralentissements stratégiques, j’ai connu ce soir là, à presque 19 ans et pour la première fois, l’extase de l’orgasme simultané. Les hurlements sauvage d’Iris accompagnèrent l’anéantissement de toute ma frustration, et alors que je déversais une quantité affolante de sperme en elle, mon esprit se libéra d’un poids considérable.
Il m’était possible, humainement, de faire l’amour. Cette phrase peut paraître stupide et anodine, mais pour moi c’était une victoire immense.

Evidemment, la belle Iris n’avait pas toujours été aussi volontaire que ce soir là, et certaines de nos tentatives se soldèrent par des échecs cuisants. Mais, malgré tout cela, et même à la fin de notre relation lorsque les parties de jambes en l’air s’essoufflaient, j’ai bien vu l’étincelle qu’allumait la vue de mon énorme sexe nu dans ses yeux.
Elle me l’avait dit elle même, une grande excitation dans la voix : elle n’en revenait pas d’avoir accueilli une telle monstruosité en elle - et elle s’en souviendrait toute sa vie. Elle avait d’ailleurs beaucoup contribué à ma réputation, principalement auprès de la gent féminine, qui bientôt se passionna d’intérêt pour la trompe trainant entre mes jambes.
Les qualificatifs à l’époque gênants pour moi fusaient : “bite de cheval”, “l’avant bras”, “la poutre”... Et bien sûr, Marsupilami.
C’est donc ma soeur qui m’a donné ce surnom, l’été de mes 15 ans, alors que ma verge atteignait des proportions alarmantes et que j’attirais même parfois l’oeil des naturistes. Nous parlons bien ici de taille au repos -ou au maximum demi-molle-, qui malgré mon jeune âge, ridiculisait tous les hommes de mon entourage, et me valait un nombre incalculable de bourrades ringardes du type “Ah il tient pas de son père” - mon père possédant de plus un sexe qui se place dans une bonne moyenne supérieure selon moi.

Je ne tirais, à cette époque, aucune espèce de sentiment de supériorité sur qui que ce soit, et cette attitude, sans doute emprunte d’une pointe de jalousie, me semblait indigne de cette pensée dans laquelle j’ai grandit. Je mentirais toutefois si je disais ne pas avoir appris à apprécier cette jalousie chez mes semblables : j’ai appris à tirer un certain plaisir sexuel de l’exhibition, premièrement devant les regards hallucinés des femmes nécessairement intriguées, ensuite devant leurs compagnons au sexe d’une taille considérablement réduite, si on le compare au mien. J’ai notamment tiré un plaisir égocentrique dingue dans mon adolescence lors de mes nombreuses heures face à du contenu pornographique, lorsque je m’apercevais que mon sexe au repos équivalait quasiment au sexe moyen en érection, une sorte de sentiment absurde d’être un mâle alpha. Malgré cela, et en dehors de l’excitation sexuelle, j’étais plutôt humble voire timide quant à la taille de mon sexe, qui est d’ailleurs rapidement devenue un fait de notoriété publique, du moins dans mon cercle de connaissances proches. Il m’est de toute manière très difficile de cacher quoique ce soit, même avec un pantalon ample.
Il ne faut pas se méprendre, je ne me plains pas vraiment : cela m’a sans aucun doute permis de baiser tout ce qui bougeait à une époque de ma vie, y compris certaines amies, qui pour la plupart avaient les yeux plus gros que le ventre.

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