Une Tranche De Vie 8

Mon amant par Anne Laure
Vendredi 25 juillet 1980
On a entendu la voiture, J vient de m’embrasser, c’est moi qui lui ai demandé, j’ai soudainement eu envie qu’il le fasse, (c’était idiot), il en a profité pour me caresser l’entrejambe, il a du s’apercevoir que je mouillais. Je me demande si je ne suis pas en train de faire une bêtise ? Et puis zut, il ne fallait pas qu’il me provoque, comme si je ne pouvais pas avoir un rancard. Bon voilà B. comment cela va se passer ? Je lui ouvre et lui tends la main pour un bonjour, on n’est pas encore assez intime pour se sauter au cou. Il prend ma main dans ses mains et la retourne pour m’embrasser dans la paume. Le message est clair. Il s’éloigne un peu et me regardant me fait de gros compliments sur ma robe, sobre et élégante. C’est gentil. (Entre le départ de J et l’arrivée de B j’avais quand même refermé un bouton du corsage et de la jupe, cela me paraissait plus … disons correct).
Nous nous asseyons lui dans le sofa que je lui ai indiqué et moi en face dans un fauteuil, et bavardage de salon.
Je lui dis que j’ai préparé des cafés et vais à la cuisine chercher la cafetière.
Je reviens et me penchant je remplis sa tasse et la mienne. Avec mon décolleté même un aveugle aurait une vue compète sur mes seins et je sens qu’il apprécie. Puis je m’installe dans le fauteuil. Deux croisements de jambe et ma robe s’ouvre ce qui lui permet de voir le haut de mes bas et certainement un bout de porte jarretelles. Son regard a constaté l’ouverture de ma robe.
Nous buvons une première tasse de café. Je lui en propose une autre, ce qu’il accepte. Même scénario, vue sur mes seins et l’ayant servi, tout naturellement je m’assieds à coté de lui sur le sofa.
Alors que je vais reposer ma tasse, il la prend, la pose sur la petite table et m’attirant vers lui, pose ses lèvres sur les miennes, je résiste un peu, enfin très peu. C’est un baiser tout ce qu’il y a de plus chaste.

Ma petite résistance vaincue, sa langue s’insinue entre mes lèvres et va à l’assaut de ma bouche. Pendant ce temps sa main gauche s’est posée sur mes cuisses et remonte le long de mes bas pour arriver à la peau nue de mes cuisses juste au dessus des bas. Il continue à vouloir aller plus avant, mais une petite résistance le bloque et enfin rapidement cède à l’avancement. Ce qui lui permet d’arriver jusqu’à ma chaude et humide intimité qui est libre de toute entrave. Sa bouche quitte la mienne et descend dans le cou et vers mes seins. Discrètement j’ouvre un bouton supplémentaire du corsage de ma robe de façon à lui faciliter l’accès. Ce dont il profite tout en continuant à caresser un peu rudement les lèvres de mon intimité. Ma main droite en profite pour aller à l’aventure vers sa braguette et je peux toucher un dard dur et gonflé qui devrait satisfaire toute honnête femme. Je m’empresse de le caresser à travers le pantalon de façon à le maintenir en forme. Ses lèvres continuent à descendre de mes seins qui sont devenus durs et gonflés avec les mamelons pointant fièrement au dessus de mes aréoles, puis vers mon ventre. Il se décide enfin à défaire les trois derniers boutons de ma robe, je me trouve offerte à ses regards, à ses mains à sa bouche. Je défais sa ceinture. Je glisse ma main dans son boxer short et prend sa queue que j’effleure du bout des doigts, ce qui le fait réagir.
Sa main écarte plus largement mes cuisses et caresse ma chatte en suivant la fente d’un doigt qui se veut pénétrant. Je sens que je me mets à mouiller énormément.
Après avoir complètement ouvert ma robe, ses mains descendent de mes seins sur mon ventre et il se laisse glisser à mes pieds entre mes cuisses qu’il écarte pour atteindre mon vagin, déjà bien mouillée, qu’il entreprend de lécher, de sucer. C’est bon, il a la langue pénétrante. Je suis pratiquement couchée sur le canapé, offerte.
J’ai enlevé mes escarpins et je caresse du bout de mes orteils sa queue. Il m’écarte les cuisses, je suis presque au grand écart, ouverte, offerte à sa bouche à sa langue.
Il prend mes mains et les mets sur mes seins, « Caresses tes seins, caresses toi me dit-il. » J’ai les seins déjà gonflés, durs, les pointes sont turgescentes, mais j’adore me caresser les seins, le ventre, les cuisses pendant qu’on me lèche, qu’on m’aspire la chatte. La pression monte. Si ça continue, il va devoir me prendre ici. Pas possible.
Je l’arrache de ma chatte et lui dit : « Viens on sera mieux dans la chambre ». Ma robe tombe, je suis nue avec porte-jarretelle et bas, lui fini de se déshabiller.
Nous rentrons dans la chambre, je m’assieds sur le lit, B est debout devant moi le sexe au garde à vous et à ma hauteur. C’est une invite à le sucer.
Je prends sa hampe la lèche et l’humidifie par petits coups de langue et je lui suce le gland avant de lui dérouler un préservatif. Ce détail passé, auquel, visiblement, il ne s’attendait pas, il me bascule sur le lit, et reprend ma chatte avec sa langue et introduit deux de ses doigts, ce qui me fait me cambrer et il commence un va et vient rapide et efficace. Je n’y tiens plus et je lui dit : « Viens, j’ai envie de toi, prends moi ». Il m’écarte les cuisses et vient se mettre sur moi, je prends son sexe et le guide en moi. Je suis tellement mouillée qu’il entre sans difficulté et commence ses va et vient énergiques. Il me pilonne durement, j’aime, c’est fort, puissant, c’est brutal, le plaisir monte, à chaque coup de butoir je m’entends lui dire « Oui, continue ». Plus il me travaille, plus je lui dis de continuer. C’est bon, brutal. Mais, j’ai quand même un peu l’impression de subir ce qui se passe, j’ai l’impression d’être la femelle qui est montée par un mâle en rut. Littéralement, je ne suis pas en train de faire l’amour, je suis en train de me faire baiser. C’est bon, c’est agréable et sans l’avoir senti venir, je me cabre, et j’ai un orgasme fort et brutal. Une jouissance brutale, surprenante, agréable et je m’entends pousser un long cri de plaisir. Avec un temps de retard, je sens B qui s’arrête de me pilonner et colle contre moi et se vide à grands coups.


Nous écroulons sur le lit. Après quelques minutes de relaxe, il revient à l’assaut, c’est les seins, le ventre, le sexe couverts de baisers et de nombreux coup de langue. Je vais à la recherche de son sexe et m’aperçois que la nature a fait son œuvre. C’est mou et sans vie. Je commence à le caresser à le parcourir avec le bout des doigts, puis je le prends en main. Je pense que si je veux l’utiliser encore, il me faut m’occuper de la chose avec un peu plus d’énergie, d’autant que j’en ai envie, j’ai envie qu’il me reprenne il m’a brutalisée, mais j’ai encore envie de le sentir me prendre. Alors que B avec sa bouche passe des seins au ventre et à ma chatte, je l’enjambe, mettant ma chatte à disposition de sa bouche ce qu’il entreprend avec frénésie et talent. Me léchant, me suçant, m’aspirant, moi prenant en bouche son sexe, je commence à le lécher, le sucer, le pomper, jusqu’à obtenir un pieu plus sérieux sur lequel, je m’empale avec plaisir. Décidant de ce fait de mener moi-même la cadence, ce qu’il semble accepter sans problème. La partie est agréable, son sexe a retrouvé une raideur intéressante et agréable à sentir en moi. Pendant que j’assure la cadence il me malaxe les siens, les fesses avec énergie, ce qui somme toute est agréable. Je sens que le plaisir est en train de le gagner ainsi qu’à moi, j’augmente la cadence et là il explose avant moi. J’ai un gentil orgasme moins brutal que le précédent, mais très agréable. Je me laisse tomber à ses cotés pour reprendre mes esprits. Le réveil sonne. Lui et moi faisons un bon de surprise.
B : Qu’est ce que c’est ?
Moi : Il est 5,00 heures, j’ai mis le réveil pour indiquer qu’il était temps de se séparer. Tu veux prendre une douche, moi j’en prends une, tu pourras en prendre une après ?
B refusa, à mon avis il avait tort, si sa femme avait le moindre nez sensible aux odeurs, elle s’apercevrait qu’il sentait l’amour, enfin, le sperme, mais surtout qu’il risquait d’avoir un léger flottement de mon parfum collé à sa peau.

Je prenais une douche. Je sortais fraiche et détendue. Je me refaisais une beauté, coiffure, maquillage, parfum, … et je me rhabillais, tout en défroissant ma robe. Je retournais dans la salle de séjour ou B s’était rhabillé.
B : « J’ai passé un excellent après midi, je te remercie et j’espère que l’on pourra se revoir. Il faut que je me sauve, je ne tiens pas à rencontrer Jean ».
Baisers tendres, mains baladeuses jusqu’à mon entrejambe et parti. Dans l’ensemble cela avait été agréable, un peu sauvage, un peu brutal, mais plaisant, par contre, il me fallait retrouver Jean qui avait assisté à toute la scène. Après avoir entendu le départ de la voiture, je m’installais dans la salle de séjour pour décompresser, me demandant comme Jean allait me recevoir. En fait j’étais un peu fébrile. Dix minutes s’étaient passées, il fallait que j’aille le voir. Il devait être dans son bureau. Comme convenu, Je frappais à la porte pour qu’il m’ouvre. Je rentrais et j’avais décidé d’attaquer.
AL : « Ça t’a plu ? »
Moi : « Hum, hum, oui, et au son je suis certain que tu as apprécié ton partenaire, et de te voir ainsi, j’ai une trique formidable. Je vais te baiser. Appuies toi sur le bahut, relèves ta jupe, … , plus haut »
Je sentais qu’il fallait lui obéir rapidement, c’était peut-être une manière d’accepter ce qui c’était passé, une manière de se venger. Somme toute, c’était une vengeance agréable que j’aimais à satisfaire, car j’en avais envie. Les mains accrochées à mes hanches, il commença à me travailler avec énergie, il voulait me prendre, me faire jouir et j’étais prête à l’accueillir, à profiter de lui.
Le diner en ville par Jean
Vendredi 25 juillet 1980
Nous avons décidé d’aller diner en ville dans une brasserie sympathique et tranquille. Avant de partir AL se demanda si elle devait garder sa robe blouse. Pourquoi pas et elle a ajouté, je vais quand même enlever mes bas, il fait trop chaud dehors pour les supporter et je vais mettre des dessous. Le temps de se changer, elle avait boutonné son corsage, ne laissant qu’un décolleté d’institutrice, direction le restaurant. Le diner se passa sans histoire, sauf que vers le milieu AL, le sourire coquin, s’amusa avec son pied nu à masser mon entrejambe. Le résultat ne se fit pas attendre et elle me glissa doucement, « Je vois que tu as encore de la réserve »
Tu ne perds rien pour attendre lui dis-je.
Le repas terminé, pendant que je réglais l’addition AL s’est absentée pour se refaire une beauté. Nous avons repris la voiture pour rentrer. À peine avions nous quitté le parking, je mettais ma main sur la cuisse de AL et lui demandais de remonter la jupe de sa robe et d’enlever sa petite culotte. Elle remonta la jupe et me montra qu’elle était nue.
« Mais je croyais que tu avais mis des dessous à la maison»
« Oui, mais j’ai enlevé ma petite culotte au restau, sachant que « mon seigneur et maître » adore quand je n’ai pas de slip et j’apprécie de plus en plus d’avoir les fesses à l’air»
En conduisant je lui caressais les cuisses et je remontais vers sa chatte. AL s’enfonça dans le fauteuil écarta les cuisses pour me permettre d’atteindre son intimité. Au premier feu rouge, elle pris ma main pour la poser directement sur sa chatte, qui était gonflée, chaude. Au deuxième feu rouge, elle poussa mes doigts dans sa cavité liquéfiée. Il nous tardait d’arriver.
Arrivé à la maison, je garais la voiture et descendais, quand AL me demanda de venir l’aider à descendre. Surpris je fis le tour de la voiture, elle était sur la fauteuil, les jambes écartées, la jupe remontée au maximum, j’avais une vue imprenable sur son joli abricot.
« Embrasses moi sur les lèvres »
Je m’approchais d’elle, j’étais entre ses cuisses, en m’approchant pour l’embrasser sur la bouche, elle me dit : « Non, pas celles-ci, celle du bas, les grosses et les petites, elles s’ennuient de tes lèvres, dépêches toi, j’en ai envie »
En fait, AL ouvrait grandement sa chatte et je n’avais plus qu’à parcourir de la langue ses grosses lèvres bien gonflées, inondées de son jus et aspirer ses petites lèvres. Elle se laissa tomber à terre et me lécha mes lèvres en disant : « J’aime sentir mon odeur sur tes lèvres. Viens vite on rentre »
Pendant que je fermais la maison AL arrivée dans la chambre, elle balança sa robe sur un fauteuil. J’arrivais pendant que j’enlevais ma chemise elle me défit pantalon et slip. Elle assise, ma queue était au niveau de sa bouche. Elle me caressa la hampe et suça le gland à petits coups de langue, pour enfin nous faire basculer sur le lit en position 69. Elle me pompait, m’avalait, alors que je la suçais, l’aspirais, et que mes doigts la pénétrais. C’était des sensations extraordinaires. AL s’activait avec énergie sur ma queue et je sentis que j’allais exploser. Je lui dis : « Ralentis je vais exploser »
Au lieu de ralentir elle continua à me pomper avec énergie, si, des fois elle me finissait à la main, ce soir elle continua avec sa bouche, sa langue, j’explosais et me vidais à grands coups dans sa bouche.
Presque aussitôt elle a eu un orgasme, elle se redressa en poussant un long cri de gorge de contentement, c’était son tour de se vider dans ma bouche. Les deux mains sur son ventre elle était parcourue de spasmes accompagnés d’un « Hooo » à chaque fois. Je buvais son jus, comme elle avait bu le mien. Elle finit pas rouler sur le coté, les deux mains sur sa chatte, les cuisses serrées. Elle eut encore deux petits spasmes et tout se calma. Elle vint se coller contre moi.

Nous venions d’ouvrir une porte sans savoir ce qu’il y avait derrière. Il fallu gérer ce qui arriva.

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