Les Deux Soeurs.

Le récit qui va suivre relate une aventure qui m’est arrivée au printemps de l’an 2000. A cette époque, j’habitais le sud de la région parisienne après avoir vécu une bonne dizaine d’années à Paris même.

Agé d’environ 60 ans et veuf depuis un grand nombre d’années, j’avais découvert le libertinage avec une maîtresse et depuis une bonne vingtaine d’années, je fréquentais régulièrement les clubs coquins de la capitale et je multipliais les aventures d’une soirée ou plus avec des femmes plus ou moins jeunes.

Ce soir là, j’étais remonté à Paris pour une soirée dans un des clubs que je fréquentais assez souvent pour y assouvir mes envies coquines ou y accompagner une amie qui partageait mes goûts.

Après avoir salué le gérant et deux des barmaids toujours charmantes et court vêtues, j’avais commencé par déambuler dans les divers locaux pour voir quelle était l’ambiance. La soirée me semblait bien lancée mais toutes les femmes étaient déjà en train dans les coins câlins, aussi je suis revenu vers le bar où j’ai bavardé une dizaine de minutes avec Steven, le gérant avant de faire un second tour dans les locaux.

Aucune des femmes présentes ne semblait attirée par moi, si bien que quelque peu dépité je m’apprêtais à quitter le club que j’ai remarqué sur le podium deux filles blondes comme les blés, très semblables au point qu’on aurait dit qu’elles étaient jumelles, se trémousser le long d’une barre de pole dance.

Ce n’était que frôlements, ondulations, corps à corps, caresses et embrassades diverses. Le spectacle était très chaud d’autant qu’elles se dévêtaient progressivement tant et si bien qu’à la fin, elles ne portaient plus qu’un minuscule string pailleté. Après avoir ramassé robes et soutifs qu’elles avaient dispersés, elles ont fendu le cercle de voyeurs des deux sexes qui, comme moi, avaient apprécié le spectacle. Quand elles sont passées tout près de moi je leur ai dit en riant :
• Bravo les filles ! Quel magnifique spectacle ! Venez, je vous offre le champagne pour vous remercier.


Immédiatement elles ont répondu :
• OK ! Çà marche ! Tu es gentil !

Nous nous somme dirigés vers le bar où j’ai commandé une coupe de champagne pour chacun de nous et nous avons pu faire connaissance en bavardant. Ce n’était pas des jumelles mais deux sœurs âgées du 32 et 31 ans. Elles aimaient faire la fête et baiser dans les clubs sans se prendre la tête avec des liaisons plus ou moins longues dans lesquelles, disaient-elles, elles perdraient leur liberté…
Quant à moi, je ne leur ai pas caché mon penchant pour le libertinage et mon envie de faire quelques coquineries avec elles si elles étaient partantes !
Çà n’a pas trainé car aussitôt, elles ont entrepris de remonter mon polo et pendant que Martine, la plus jeune commençait à agacer mes tétons, sa sœur Marina tâtait mon entrejambe à deux mains et ne tardait pas à faire dresser ma bite dans mon boxer en s’écriant :
• Waouh ! Elle me semble être de belle taille !

C’est vrai que si mon sexe est relativement court, il est assez trapu ce qui complique parfois les sodomies des femmes qui ne sont pas très ouverte du cul ! Je les ai invitées à quitter le bar :
• Allons ailleurs ! Il y a des coins câlins qui nous tendent les bras ! Venez, je vous guide, je connais bien les lieux propices aux coquineries !

J’ai passé un bras autour de leur taille et, bien encadré par ces deux jolies blondes presque nues, nous avons trouvé une alcôve propice à ce que nous avions l’intention de faire. Aussitôt, Martine et Marina se sont empressée de me mettre nu, ôtant à tour de rôle un de mes vêtements, embrassant les parties nues qu’elles découvraient. Leur ballet coquin était si bien ordonné que c’est dans un bel ensemble qu’elles ont fait glisser mon boxer dans lequel ma bite était déjà bien à l’étroit. Elle a d’ailleurs jailli brusquement, leur sautant presque au visage.

Marina l’a embouchée aussitôt pendant que Martine me caressait les couilles d’une main et faisait courir l’autre le long de mon dos, glissant un doigt indiscret dans ma fente culière.
J’étais tombé sur deux chaudes qui n’avaient visiblement pas froid aux yeux (ni ailleurs bien sûr !).

Ces deux sœurs étaient très semblables et c’est ce qui au départ m’avait fait penser qu’elles pouvaient être jumelles. Elles avaient la même silhouette longiligne avec des seins plutôt modestes mais bien fermes et haut perchés avec une aréole à peine marquée. Leur taille étroite surmontait des hanches bien dessinées et des fesses rondes bien galbées et fendues. Le visage ovale avec de grands yeux rieurs d’un bleu pale était encadré par des cheveux blond cendré coupés en carré court. La bouche aux lèvres fardée de rose appelait le baiser.

Marina avait un talent de suceuse avéré car en moins de cinq minutes j’avais le barreau dressé prêt à l’estocade d’autant que Martine n’avait pas cessé de me caresser les bourses ou de les lécher, faisant rouler mes couilles sous sa langue. C’est d’ailleurs elle qui s’est emparé d’un préservatif pour me couvrir rapidement avant de se mettre en levrette dans un vaste fauteuil en disant :
• Vas-y ! Baise-moi ! Défonce-moi la chatte avec ta belle queue !

Puisqu’elle était dans d’aussi bonnes dispositions, je n’allais pas m’en priver ! J’étais d’ailleurs venu pour cela : BAISER UNE OU DEUX FILLES ! J’ai pris la taille de Martine entre mes mains et je me suis introduit lentement dans sa chatte ! Elle était chaude et humide à souhait ! Dès que j’ai été en place Marina s’est glissée sous sa sœur en position de 6 9 pour venir lécher mes couilles pendant que je baisais Martine.

Avec un tel traitement il n’a pas fallu longtemps pour que mon plaisir monte, monte au point que progressivement j’accélérais mon va-et-vient, faisant claquer mon ventre contre les fesses de ma partenaire. Dès qu’elle a joui, je me suis lâché à mon tour ! J’avais attendu le moment fatidique pour envoyer une salve de sperme au fond de la capote !

Dès que je suis sorti de la chatte de Martine, Marina s’est précipitée sur ma bite encore à moitié turgescente et après avoir retiré le préservatif, elle s’est mise à me lécher la queue, non pour me faire bander à nouveau mais plutôt pour se délecter de ce liquide visqueux qui maculait mon membre.
Pendant ce temps, elle avait une main glissée dans sa chatte où elle allait et venait de plus en plus vite comme si elle voulait jouir aussi !

Mais non ! Ce n’était pas ce qu’elle cherchait ! Dès que ma bite a été débarrassée de mes coulées de sperme, elle a englouti mon membre au plus profond de sa gorge au point que les poils de mon pubis venaient lui chatouiller le nez. Gonflant et dégonflant alternativement sa bouche, elle me pompait avec ardeur dans une gorge profonde délicieuse au point que je me suis mis à bander à nouveau comme un taureau : En moins de 20 minutes, j’allais baiser les deux sœurs car c’est ce que Marina recherchait : baiser avec moi car elle avait déjà refusé deux partenaires qui voulaient s’incruster dans notre trio !

Là, c’est Martine qui a couvert mon sexe pendant que Marina s’allongeait sur un des gros poufs, les cuisses repliées, offrant sa chatte prête à se faire prendre. J’étais tellement excité de la situation que je me suis précipité entre les cuisses ouvertes et d’une seule poussée, je me suis introduit dans le sexe qui n’attendait que cela ! Dès que j’ai été en elle, Marina a noué ses jambes sur mon dos et elle a agité son bassin dans une danse frénétique si bien que sans le vouloir ma queue allait et venait en elle… Que c’était chaud ! Je ne sais pas où Martine avait découvert le gode qu’elle s’enfilait pendant que je baisais sa sœur mais cette coquine se faisait plaisir en nous regardant…

Au moment où une fois encore je lâchais quelques belles giclées de sperme, Marina et Martine se sont mises à jouir presque simultanément ! Ces deux là ne devaient pas être à leur première partie à trois ou plus pour savoir aussi bien partager leur jouissance.

Pour nous remettre, nous sommes allés dans le jacuzzi où nous sommes restés longtemps à paresser dans les bulles tout en nous lutinant copieusement. Les deux sœurs, j’ai pu le constater, étaient totalement bisexuelles mais aussi ueuses… puisqu’elles ont fait l’amour devant moi sur un des matelas de plage entendu au bord du bassin.

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