Damien Vii

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

L’atmosphère était à couper au couteau. Tahar a tiré sur la ficelle. Le tampon a bougé dans mon ventre. Tahar a tiré plus fort et le tampon a commencé à sortir lentement. J’ai pété. Cela les a dégoutté surtout quand le marin a montré le tampon bien gonflé, de couleur marron. J’ai dû aller le jeter à la mer avant de les servir. Et bien me laver la raie sur le pont.
Il y avait un bol d’huile sur la table. Tahar y a trempé deux doigts pour m'en badigeonner la raie. J’ai serré les fesses, mais les doigts sont entrés sans difficulté. Tous ont vu qu’ils se sont vrillés dans mon fondement.
- Il dit que c’est mieux quand ça glisse bien. Tout à l’heure, il a eu un peu mal. C’est mieux quand tu es bien ouvert.
Je me suis laissé faire vaincu et humilié. Les autres ne perdaient rien du spectacle que nous leur donnions. Les doigts ont fait plusieurs allers retours entre le bol d’huile d’olive et mon trou de mieux en mieux lubrifié. Les ongles cassés ont écorché la peau de ma corolle. Je sentais ma pastille se dilater et s’assouplir autour des doigts qui me fouillaient l’anus. Cela a duré un bon moment avant qu’il ne s’arrête
- Tu vas nous servir..... On a faim
Mes fesses glissaient l’une contre l’autre quand je marchais pour faire le service. Ils mangeaient lentement en prenant leur temps. Chaque fois que je passais à côté de l’un d’eux pour le servir, il me caressait le cul à l’exception du patron qui ne m’avait jamais touché depuis mon arrivée sur son bateau. Mourad n’était pas en reste.
- Je leur raconte comment on t’a niqué la première fois avec Khaled.
J’ai entendu prononcé le nom de Sylvie. Mourad devenait intarissable. Mais je ne comprenais rien. A un moment ils ont souri.
- Ils aiment bien l’épisode du maïs que je t’es mis dans le cul. Ils ont du mal à y croire.
Le capitaine a prononcé quelques mots. Mourad s’est tu. Ils se sont regardaient en silence.

Un des jeunes s’est levé et pour franchir une petite porte à l’opposé de la porte qui donne sur le pont.
- Ils connaissent bien Khaled et ils comprennent parfaitement que ta copine préfère sa grosse quequette à la tienne. Le patron a eu une bonne idée. Tu vas voir, tu vas beaucoup aimer.
J’avais peur de connaître cette idée. Je devinais que ce serait sûrement une humiliation de plus. Rachid a débarrassé les restes du repas à l’exception du bol d’huile qu’il a placé sur le petit réfrigérateur.
- Le patron, il a dit qu’avec les femmes tu sais être un homme, mais qu’avec les hommes tu es une femme obéissante et soumise.
On ne pouvait pas mieux analyser mon comportement. En une phrase ce vieil arabe avait tout dit et avait deviné des choses que je ne savais pas moi-même avant de venir dans ce pays. Mourad a repris.
- D'après lui tu es comme cela et tu aimes être traité comme une roulure même si tu ne le sais pas encore. T’es pas le premier étranger à passer une nuit avec nous. Ils le veulent tous et surtout les femmes. Certains hommes aussi d’ailleurs. Ils ont d’abord peur de nous, mais après ils en redemandent et ne veulent plus quitter le bateau... Et certains payent très cher le voyage. La semaine dernière, c’était une grosse allemande, une vraie chienne toute blonde. Le soir elle nous a fait un strip-tease extra, elle s’est mise à danser la danse du ventre et on l’a niquée toute la nuit par tous les trous. Tu aurais dû voir comme elle en redemandait cette pute, avec sa grosse bouche et son gros cul tout blanc. Elle avait les nichons aussi gros que ses fesses. Des vraies outres bien pleines. Elle était déchaînée et on lui ai tous passé dessus plusieurs fois. Elle était tellement contente qu’elle nous a donné tout son fric et même ses vêtements. Je l’ai raccompagnée à son hôtel avec juste une djellaba sur le corps et j’ai tout raconté au patron de l'hôtel. A l’heure qu’il est si elle n’est pas partie, elle doit se faire niquer par toute l’équipe de l'hôtel du club.

Le patron a interrompu brusquement Mourad pour lui dire quelque chose. Mourad a hoché la tête et m’a saisi le bras
- Viens on monte sur le pont. Le patron a une envie
Tahar n’est toujours pas revenu et Rachid nous accompagne. Sur le pont, je dois me pencher face à la mer. Eux, restent derrière moi.
- Baisses toi t’es pas à la bonne hauteur.
Je n’ai pas le courage de refuser et je fléchis les jambes. Deux mains écartent largement mes fesses pour mettre mon anus huilé à nu. Il fait presque nuit. La mer est très calme. La lune doit éclairer mon cul offert. J’attends qu’on m’encule sans aucune révolte. Les mains tirent largement sur mes fesses. Mon sexe tout mou ballotte entre mes jambes ouvertes. Je sens l’air marin balayer mes couilles. Complètement soumis, j’attends en fermant les yeux.
Je ne comprends pas pourquoi mon enculeur met autant de temps à me sodomiser. Brusquement un liquide chaud frappe ma raie et mon anus. Je ne réalise pas tout de suite ce qui se passe. Le liquide m’asperge le trou et coule sur mes couilles et le long de mes cuisses avant de s'écraser sur le pont. Quand je saisi ce qu’ils sont en train de faire, j’ai envie de pleurer de honte. Je tente de bouger. Un des types me frappe sur la nuque.
- Tu bouges pas salope, tu attends gentiment. Le capitaine n’a pas finis de pisser.
Mes fesses, mes jambes et ma raie sont toutes mouillées. Le liquide coule un peu sur mon dos. Le jet chaud se tarit après des nombreuses giclées. Je n’arrive pas à contenir mes larmes. Cet arabe qui me pisse dessus me ravale au rang de larve. Il s’est soulagé sur moi. Il m’a inondé de son urine, comme un animal qui marque son territoire. Des larmes silencieuses roulent sur mes joues avant de s’écraser dans les flaques à mes pieds.
Un autre jet encore plus dru sur mon anus et mes couilles qui pendent lamentablement entre mes cuisses souillées. J’aurai préféré qu’ils m’enculent. Ce qu’ils me font me semble insupportable.
Ils me rabaissent et m’humilient encore d’avantage. Je leur dit d'arrêter.
- Ta gueule si tu veux pas qu’on te pisse dans la bouche.
Je n’arrive pas à contrôler mes pleurs et mes larmes brouillent ma vue. Pourtant j’accepte ce qui se passe. Ma queue frémi et se redresse.
Ils se soulagent à tour de rôle sur mes fesses tendues. Il y a une grande flaque de pisse entre mes jambes et mes pieds baignent dedans. L’urine coule lentement vers un des bastingages. Je me laisse pisser dessus sans rien faire. Ils me dominent complètement et je sais que dorénavant plus rien ne m’atteindra. Il y a un grand vide en moi qui me transforme en marionnette.
Brusquement je sursaute. Il m’ont lancé un grand saut d’eau froide sur les fesses et les jambes.
- C’est comme ça qu’on calme les chiennes, le patron il veut pas que tu salisses la cambuse.
Encore un seau d’eau sur mon postérieur.
- Sèche toi
Je le fait sans oser les regarder. Ils remarquent mes larmes mais ils s’en foutent. J’ai froid et je claque des dents. Je n’arrive pas à contrôler mes mâchoires. J’ai les jambes qui tremblent. Je m’essuie maladroitement le visage.
Nous redescendons dans la cambuse. La table et les deux bancs sont contre les murs de bois. Le centre de la pièce est libre. Il y a un matelas de crin sur le sol. Le plafonds est trop bas et nous oblige à nous déplacer penché. Mon sac ouvert est sur la table à côté du bol d’huile. Tahar est en train d’en inventorier le contenu. Tahar me tend le flacon d’huile solaire après l’avoir débouché et senti.
- Il aime bien l’odeur. Il veut que tu en mettes.
J’en verse quelques gouttes et me badigeonne lentement le torse et le ventre.
- Plus bas aussi.... Encore plus bas
Ma main est sur mon pubis. Mon sexe pend tout flétris. Ils regardent sans un mot. Je rajoute de l’huile solaire. Ma main saisie ma verge. je me branle lentement. Cela glisse parfaitement bien. Je m’attarde sur ma verge. Je ne ressens rien.
Aucune excitation. Aucun effet. Je me branle devant eux. Mon gland ne sort même pas du prépuce.
- T’arrives même pas à bander. Vas-y un petit effort. Montres nous que tu es un homme, Un vrai. Pas une femme.
Je me branle en serrant ma tige de plus en plus fort. Rien à faire. Mon sexe refuse obstinément de se redresser. J’ai honte de ne pas pouvoir bander. Pourtant je suis excité. J’ai envie de leur montrer que je peux. Je m’escrime en vrai sur ma verge flasque et pendante. Je rougi comme un gamin.
- Comment tu fais pour baiser ta femme? T’es pas un mâle toi. Pas grave c’est une femelle qu’on veut. Mets toi de l’huile sur les fesses. Allez vas-y !
Mes mains passent sur mes fesses. Encore de l’huile. Je me caresse et me cambre pour bien en mettre partout. Mes mains pénètrent ma raie sans qu’ils ne me le demandent et je mets de l’huile sur ma raie et mon trou.
Je deviens une vraie salope qui se donne en spectacle. Je n'éprouve aucune honte à me comporter ainsi. Je suis devenu très obéissant. J’étais comme dans un autre monde au milieu de ces étrangers dans un bateau en pleine Méditerranée.
Rachid s’est approché de moi. Il a juste relevé le devant de sa djellaba découvrant son sexe brun avec un gros gland.
- Caresses le.
Je verse de l’huile solaire dans le creux de ma main. Sans aucun mouvement de révolte, je saisi son sexe à pleine main. Il est brûlant et très dur. Je commence lentement à le masturber devant les autres. Le pieu chaud de tend de plus en plus. J’accentue mes mouvement et vais de la racine jusqu’au méat. Il me laisse faire. Ma main enduite de crème solaire glisse facilement le long du pieu qui grossi au fur et à mesure de mes caresses.
La bitte est maintenant à son apogée. Très large à la base avec un gland comme un champignon. On aurai dit un obus. Elle fait au moins deux fois la largeur de ma main. Les couilles sont très grosses. La peau très douce. Je le branle mécaniquement. Je sens les grosses veines bleues contre ma paume.
Les trois autres regardaient assis sur le plancher. Rachid s’est assis sur le banc face aux spectateurs, jambes allongées et jointes. Son sexe tendu vers le plafond brillait. Il a parlé à Mourad qui à traduit.
- Vas sur lui, il a envie de ton cul, et on veut que tu te niques tout seul.
Je l’ai enjambé en reculant jusqu'à ce que son sexe touche mes couilles. Rachid à positionné son gland contre mon anus. Mes cheveux pendaient devant mes yeux, m'empêchant de voir les autres assis en face en train de siroter leur thé.
Rachid m’a saisi la taille m’obligeant à m'asseoir sur sa bitte. Son gland forçait ma corolle crispée. Brusquement il m’a tiré vers lui de toutes se force m’obligeant à m'asseoir brusquement sur son sexe. La douleur fulgurante m’a fait hurler. Son pieu a d’une traite le passage huilé. J’avais l’impression terrible qu’on me remplissait le ventre de plomb brûlant. Son gland a tapé durement le fond de mes intestin, me coupant le souffle.
Complètement empalé sur son sexe, je n’osais pas faire un mouvement. J’avais l’impression que mon ventre était sur le point d’éclater.
Rachid m’a bloqué sur sa queue. Au bout de quelques seconde, la douleur s’est atténuée puis à disparue. Mon anus s’est moulé à la taille du sexe sur lequel j’étais emmanché. C’est lui qui a commencé à bouger et je me suis mis a gémir d’une toute petite voix. Je suppose que les autres se régalaient du spectacle. Rachid me sodomisait de plus en plus fort. J’ai vaguement entendu Mourad parlait en arabe.
Rachid a cessé de bouger, sa queue bien enfoncée dans mon trou. Ses mains sont passées derrière mes genoux. Il a commencé à me relever les jambes vers lui.
- Le capitaine veux voir ton cul ouvert.
Rachid avait une force herculéenne. Il a tenu mes jambes largement ouvertes et relevées. Les autres ont pu voir sa grosse bitte profondément fichée en moi et mon trou dilaté. Il m’a limé dans cette position avant de lâcher mes jambes.
Le patron a parlé. Rachid m’a repoussé. Sa queue m’a libéré. Il s’est levé. J’avais froid au cul et je sentais que mon anus ouvert.
Tahar s’est approché. Il m’a tiré les cheveux vers le sol. Je me suis mis a genoux. Il n’a pas lâché mes cheveux. Au contraire, il les tirait maintenant en arrière m’obligeant à lever mon visage vers le plafond. Puis, de son autre main, il a durement appuyé sur le creux de mes joues. J’ai ouvert les mâchoires.
Son visage s’est approché, à dix centimètres au-dessus du mien. Il avait le regard dur, sûr de lui. Quand il a craché, je n’ai pas eu le temps de réagir. Le liquide glaireux est entré directement au fonds de ma bouche. J’ai eu envie de vomir et je n’ai pas eu le temps de recracher qu’il m’a fermé la bouche. J’ai avalé avant de m’écrouler sur le sol, le corps agité de spasmes.
Ils m’ont laissé sur le matelas pour boire leur thé. J’ai vaguement reconnu la voix du capitaine. C’est lui qui dirigeait les opérations. C’était lui le vrai patron, Mourad se contentant de me mettre à leur disposition.
Rachid et Tahar sont revenus vers moi. Ils étaient nus, impressionnants de force et de vigueur. Ils m’ont couchés sur le dos et m’ont ramenés les chevilles sur les épaules. Ma raie s’est ouverte à nouveau. Je restais inerte entre leurs mains noueuses. Mourad s’est agenouillé devant moi.
- Le capitaine dit que tu as encore trop de poils autour de la rondelle.... Je vais te faire une vraie chatte bien lisse.
Je savais que j’avais quelques poils dans la raie. Il m’a épilé. Cela m’a fait très mal car il a étalé une pâte très chaude tout le long de ma raie, de la base de mes couilles jusqu'aux creux de mes reins. Il l’a laissé refroidir avant de la retirer brutalement d’un coup sec. J’ai eu l’impression que l’on m’arrachait la peau. Mourad a recommencé à étaler cette pâte. J’avais beau me débattre, je ne pouvais rien faire. Les deux marins me bloquaient. Mourad a arraché à nouveau la pâte. Il a recommencé trois fois avant de me laisser.
- Maintenant t’as plus un seul poil au cul. Un vrai cul de pute.
J’avais la raie toute irritée. La boule de pâte était pleine de tous petits poils blonds. Jamais je n’avais pensé avoir autant de poils. Ma rosette me brûlait et j’avais encore le goût de crachat dans ma bouche. J’étais un peu groggy, comme un somnambule. Mourad est parti s’asseoir à côté du capitaine.
Rachid m’a tiré par les cheveux vers son bas ventre. Sa bitte brûlante et sale à cogné contre mes lèvres.
- Suce le. Tu lui fais une bonne fellation. Tu vas être le roi de la pipe.
Je l’ai sucé. Son gland énorme tapait au fond de ma gorge. La queue coulissait entre mes lèvres. Tahar m’a écarté les jambes pour m’ouvrir les fesses. La bitte a mon anus qui s’est ouvert lentement sous la pression. J’avais maintenant les deux trous occupé. J'étais le jouet de leur bittes qui ouvraient mes trous. J’étais leur chose à leur disposition et ils donnaient de violent coup de bassin.
Ils m’ont longuement limé la bouche et le cul. J’étais crevé mais je n’avais presque plus mal. Les deux sexes me foraient en prenant tout leur temps. Ils n’étaient pas pressés. Ils avaient toute la nuit. Ils se donnaient en spectacles devant les deux autres, m’obligeant à prendre des poses qui permettaient de bien voir ma bouche ouverte autour de la hampe ou mon trou dilaté.
Sur ordre du capitaine, ils m’ont laissé. Mourad est venu me coucher sur le dos. Je l’ai supplié d'arrêter tout cela. Il ne m’a pas répondu. Il tenait un rouleau de sparadrap très large de couleur chair.
- Le capitaine ne veut plus voir ton sexe
L’air dégoûté, avec l’aide des deux autres, il a collé deux bandes de sparadrap sur mon sexe et mes couilles. Je n’avais plus de bitte. Dans la pénombre de la cambuse, ils m’ont transformé en femme. Le sparadrap tirait ma peau à chaque mouvement.
Puis il a utilisé de nouveau une boule de pâte. Cette fois ci, sous les aisselles. Ils ont dû me tenir à deux, tellement la douleur était forte. Je criais de toutes mes forces en sentant mes poils s’arracher. Quand ils m’ont lâché, je n’avais plus ni poils ni sexe. Ils m’ont traîné à genoux devant le capitaine. Mourad a pris la parole.
- Répète après moi, Je m'appelle Damia et je suis votre servante dévouée.
Ma voix était atone, mécanique. Une main de fer a croché ma nuque, m’obligeant à ma prosterner devant le capitaine.
- Embrasse les pieds du capitaine.
J’ai embrassé les pieds nus, la peau calleuse, les ongles épais. J’ai baisé la plante des pieds et le talon dur comme du bois. Le capitaine a prononcé quelques mots.
Les trois autres m’ont saisi pour me coucher sur le sol. Ils m’ont complètement immobilisé sur le dos. Le capitaine s’est levé pour venir au niveau de ma tête. Il portait sa djellaba. Il a enjambé mon visage et s’est accroupi au-dessus de ma tête. Je ne voyais plus rien, mais très vite, les fesses m’ont effleurées la bouche. J’avais beau gigoter, les autres me tenaient fermement.
- Tu vas faire la toilette intime du capitaine.
Les fesses se sont ouvertes. J’ai tenté de tourner mon visage pour échapper à cela. Mourad m’a frappé.
- Allez nettoie avec ta langue. Nettoie à fond.
L’odeur très épicée me soulevait le cœur. J’ai sorti ma langue pour faire ce qu’on m'ordonnait. J’ai léché les poils collés de sueur. Ma langue a tourné autour de l’anus serré. J’ai longuement léché la raie odorante. Mon visage s’écrasait contre les fesses musclées. J’ai tête l’anus. Je ne savais plus ce que je faisais. Le capitaine est resté longtemps accroupi. Les autres ne pouvaient rien voir.
Quand le capitaine s’est enfin levé, ils m’ont libéré. Je suis resté prostré sur le sol. Ils m’ont laissé pour boire encore du thé. Je ne pensais à rien, ne bougeais pas. J’attendais leur bon vouloir sans aucune révolte ni dégoût et avec un fatalisme de femme orientale. Ils étaient mes maîtres. J’étais là pour leur obéir.
Mourad m’a tendu des bas noirs et une culotte de femme que je ne connaissais pas.
- C’est les vêtements de l’allemande. Mes amis voudraient voir à quoi tu ressembles avec ça
Vêtu des sous-vêtements noir, je leur ai servi du thé. Les bas et le slip étaient à ma taille. Je savais qu’avec ces vêtements et mes cheveux longs, je devais vraiment avoir l’air d’une femme. Mourad a mis de la musique.
J’ai dû danser avec les deux jeunes marins. Au rythme lancinant de la musique, ils me malaxaient les fesses en me pressant contre eux, ou écartaient le fonds de ma culotte pour glisser leurs doigts dans ma raie ou mon trou élargi.
Ils étaient surexcités et me donnaient en spectacles au capitaine. Ils me baissaient le slip sous les fesses ou au contraire faisaient entrer le tissu dans ma raie. J’étais une poupée. Une vraie femme entre leurs bras virils. Les doigts élargissaient mon trou. Les danses se succédaient sans relâche.
- Demain, ton cul sera aussi large que la chatte d’une pute de la casbah. Plus large que la chatte de Sylvie.
C’est vrai que je sentais à peine les deux doigt que j’avais dans le fion. Ils m’ont à nouveau sodomisé dans cet accoutrement. Seul le capitaine ne m’avait pas encore utilisé.
Leurs bittes restées fièrement pointées. Ils ne jouissaient pas et faisait durer leur plaisir. J’étais leur jouet. Comme une marionnette. Je faisais absolument tout ce qu’ils voulaient. Je m’ouvrais moi-même les fesses devant leur visage. Je me mettait les doigts dans le cul devant eux. Je me vautrais dans leurs fantasmes.
Ma soumission les rendaient de plus en plus entreprenants.
Quand je tentais de refuser ils devenaient violents et me donnaient des fessées. Après la fessée, une humiliation supplémentaire me faisait franchir un nouveau pas vers la déchéance. Et c’est Mourad qui s’en chargeait. Pour eux, il était mon maître et c’était a lui de punir la plus petite révolte. J’ai dû lui lécher les pieds, avalait ses crachats et même lécher le sol.
Pour me soumettre complètement, les deux jeunes ont pris le relais de Mourad. Ils m’ont saisi par les chevilles et les ont levées me soulevant presque du sol. Mourad a tendu un bâton au capitaine qui a commencé à me frapper la plante des pieds. Je hurlais à chaque coup et Mourad me posait toujours la même question.
- Est ce que tu vas être une femelle obéissante oui ou non?
Au troisième coup de bâton, j’ai hurle oui. Il en voulait plus.
- Oui.... Oui je serai une femelle obéissante.....
Il en voulait encore plus
- Je serai ta pute...
Ils m’ont lâché. Je me suis mis en chien de fusil sur le matelas taché. Je restais figé. Mon corps tressautait de manière incontrôlable. Complètement indifférents, ils ont bu du thé. Puis Mourad est revenu.
- Mets-toi sur le dos et lève tes jambes. Plus que ça… Encore, allez encore plus. On veut parfaitement voir ton cul. Ramène encore tes jambes vers ton torse.
J’étais cassé en deux, les genoux pratiquement sur mes épaules. Ils ont déchiré le slip de l’allemande. Les deux jeunes m’ont bloqué dans cette position.
Mourad m’a montré une petite bouteille de coca cola. Il l’a enduite d’huile d’olive et l’a approchée de mon visage pour bien me la montrer.
- L’allemande a adoré.
J’ai supplié Mourad de ne pas le faire. Il a juste dit que si je préférais le bâton, il n’y voyait pas d’inconvénient et que de toute façon j’aurai droit au deux si je refuse.
- Je vais être gentil, et te badigeonner le cul d’huile.
Il l’a fait. Je ne pouvais plus voir la bouteille. Au début le goulot est passé puis il s’est bloqué. Je sentais mon cul s'élargir lentement au point de se déchirer. Mourad faisait coulisser la bouteille de plus en plus vite en forçant de plus en plus à chaque fois. Je criais et suppliais en vain mais je n’avais pas mal. Je tentais d’échapper au supplice en me tortillant, mais cela les faisaient encore plus rire. Puis, brusquement, quand j’ai cru que mon anus allait de déchirer, la bouteille s’est enfoncée seule comme un suppositoire. J’avais la voix rauque d’avoir trop crié de peur et un sentiment déroutant d’avoir un truc bloqué dans mon ventre.
- Tu vois, c’est pas si difficile. Elle sortira pas avec cette forme. Tu vas la garder comme ça entre tes fesses.
Je sentais entre mes fesses le cul de la bouteille. J’ai dû la garder et j’ai à nouveau fais le service. J’avais l’impression que la bouteille allait sortir à chacun de mes pas mais elle ne bougeait pas. Mon anus boursouflé me faisait mal. De plus en plus mal. Mais c’était supportable. Avec ma bitte camouflée, mes poils disparus et cette bouteille fichée entre mes fesses, je devais paraître vraiment pitoyable. Un esclave marqué.
- C’est dommage que tu ne peux pas voir ton cul avec la bouteille au milieu.
Je la sentais bien pourtant et j’avais du mal à marcher. Mes fesses restaient ouvertes autour de fonds de la bouteille.
Quand ils m’en ont débarrassé, mon trou ne s’est pas refermé. Leurs bittes gonflées ont remplacé la bouteille. Je les sentais mais pas de douleur. Puis il m’ont demandé de me prosterner dos au capitaine. J’étais effaré qu’ils puissent ouvrir mon cul avec leur doigts. Je sentais mon anus dilaté.
Cela a duré toute la nuit. Et à la fin, le capitaine est juste venu devant moi pour me pisser dans la bouche. J’ai tout avalé sans broncher.
Sur ordre de Mourad je me suis moi-même enfoncé la bouteille dans le cul. Ils se sont couchés, et je me suis endormi comme une masse avec la bouteille de coca plantée dans mon cul.
Le matin nous sommes revenus au port. Sur le chemin du retour, je les ai sucé les trois. Ils ne voulaient pas me débarrasser de la bouteille et je ne sentais plus mon anus complètement anesthésié.
Moi aussi je suis reparti comme l’allemande, uniquement vêtu d’une djellaba. Mais moi, j’avais toujours la bouteille de coca fichée dans le cul et la bitte camouflée par le sparadrap.
Ils m’avaient scotché les fesses autour de la bouteille pour qu’elle ne sorte pas. J’ai traversé toute la ville avec la bouteille dans le cul, nu sous le léger vêtement.
Sylvie et Khaled étaient rentrés de leur périple. Nous les avons rejoints sur la plage. J’avais de plus en plus de mal à marcher. Sylvie était heureuse de me voir. Heureuse tout cours.
- T’as une super mine Damien. C’était bien cette partie de pêche?
J’ai trouvé assez de maîtrise de moi pour lui répondre. Mais je serrais les fesses et mon trou me faisait atrocement mal.
- Cela te va vachement bien la djellaba.
A un moment, elle s’est éloignée de nous. Mourad m’a relevé l'arrière du vêtement pour montrer à Khaled le cul de la bouteille entre mes fesses serrées
- C’est bien Damien. Je vois que tu as pris ton pied. T’es devenu un bon garage à zob mon ami.
J’ai rien dit me contentant de baisser les yeux.

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