Nostalgie De Vacance

- Quand est-ce que nous pourrons partir en vacances avec les s Gérald ??
- Pas encore cette année Audrey, mais l’année prochaine un crédit va s’arrêter
- J’en ai marre de rester à la maison faire la boniche
- Tu te souviens cette petite plage il y a cinq ans ?
- Si je m’en souviens ? notre fils est là pour nous le rappeler
- C’est vrai qu’il a été conçu sur cette plage
- Et dans quelles circonstances … mon dieu j’aurais pu avoir un noir …
- Quelle journée ! jamais je ne t’ai fait aussi intensément l’amour ce soir là
- C’est la première fois que je pratiquais le naturisme
- Tu as aimé apparemment !
- Arrête j’ai honte de ce que j’ai fait ! de ce que tu m’as fait faire …
- C’est vrai, c’est moi qui ai démarré en te passant de la crème solaire
- Je me souviens lorsque tu as retiré le bas de mon maillot
- Tu n’as pas dit non !
- Si j’avais su que nous étions épiés je n’aurais certainement pas accepté
- Quand tu t’en es aperçue c’était trop tard tu étais irrémédiablement chaude !
- Oui mais de là à me laisser toucher par ce black …
- Il était jeune il était beau et surtout … bien membré, tu aurais aimé la prendre dans la chatte !
- Heureusement qu’il a refusé de me prendre parce que nous n’avions pas de préservatif car j’étais en pleine ovulation et complètement ouverte, tu nous vois avec un noir ? qu’aurais pensé la famille ?
- HOULALA ! c’est donc moi qui ai éteint l’incendie qui couvait en toi, il a fallu que je m’y reprenne à plusieurs reprises !
- A ce moment-là je ne me souviens plus l’ordre des choses
- L’ordre des choses ? tu masturbais le black sur tes seins pendant que je te faisais l’amour à te faire péter la chatte
- Je n’étais plus moi-même j’aurais accepté n’importe quoi
- Et moi je donnerais n’importe quoi pour revivre ces instants
- Hélas …
- tu sais quoi ? nous ne pouvons pas partir huit jours avec les mômes mais un weekend tous les deux c’est possible, je donne les s à mes parents et je réserve une nuit a l’hôtel
- Où ça ?
- Là où nous étions cette fameuse journée, il y a un petit hôtel charmant près de la plage
- Je n’ai plus rien à me mettre
- Un rien te suffira, voilà le planning que je propose : samedi matin shopping sur place, tu te dégotte un mini bikini et une petite robe de plage
- J’emmène quand même des sous-vêtements
- NON !! pas de vêtements superflus, surtout pas de soutient gorge, malgré tes deux grossesses tes nichons se tiennent tout seuls !
- D’accord mais pas de mecs à coller à nos basques
- … D’accord …
- Tu sais quoi chéri ?
- Non ?
- Je mouille !
- Allons tout de suite soigner ça dans la chambre !
Audrey s’est démenée sous moi comme une chienne en chaleur, je la soupçonne de s’être remémorée ce fameux après-midi, ça me réconforte car je pense qu’elle est toujours partante pour des galipettes érotiques
Le samedi suivant nous faisons les seuls soixante kilomètres qui nous séparent de cette bourgade balnéaire, j’avais réservé la dernière chambre qui leur restait, le peu de bagages montés nous déambulons sur le petit marché local ,j’ai tout de suite flashé sur ce petit ensemble fleuri composé de deux mini triangles pour la poitrine et un bas façon brésilienne qui ne peut contenir deux fesses ! un peu réticente Audrey s’est laissée convaincre par un commerçant a l’œil ‘averti’ qui louchait sur les formes encore désirables de mon épouse en laissant trainer ses mains un peu partout ! le seul hic est que plus c’est petit plus c’est cher !
Pour ‘cacher’ au mieux tout ça dans la rue et à l’hôtel restaurant elle s’est choisie une robe de plage portefeuille qu’elle peut régler comme elle veut afin de ‘d’essayer’ de dissimuler ses seins libres et son entrecuisse a peine recouvert de quelques centimètres de tissus, pas facile assise derrière la table de restaurant, apparemment ça ne dérange pas le jeune serveur qui vient régulièrement nous demander si ‘tout va bien ? ‘
Après déjeuné, direction la plage à travers un kilomètre de forêt, une plage naturiste discrète se mérite, chargé du parasol, d’un grand plaid pour se protéger du sable et des serviettes, sans oublier la maxi-bouteille d’eau qui fait double emploi : éventuel rinçage de certaines parties du corps si nous ‘concrétisons’ et pour la soif !
Par chance nous avons retrouvé ‘notre coin’ en haut de la plage abrités des regards des promeneurs ‘normaux’, c’est fou comme l’air du large fait du bien à un corps nu , la tête a l’ombre, lunettes de soleil sur le nez, cuisses légèrement ouvertes ma femme se prélasse, je vois déjà sa peau rosir
- Gare aux coups de soleil chérie, je vais te passer de l’huile solaire
- Je veux bien car je sens que ça me chauffe
- Où ça ???
- Idiot ! toujours les idées mal placées
- Ne me fais pas croire que tu ne repense pas à ‘un certain après-midi ‘
- Je ne vois pas de black ? !! dommage …
- Cochonne ! vicieuse !
- Zut regarde ce couple qui s’installe près de nous
- Je ne vais pas leur dire de dégager tout de même et puis ils ont l’air sympas ces deux jeunes
- Je me demande si je ne les aie pas vus au resto ce midi ? arrête de me passer de la crème sur les seins ils vont croire que tu me pelote
- Et alors ? regarde comme ils ont l’air intéressés, ils nous sourient, fais-en autant
- Tu ferais mieux de cacher ta queue qui se redresse
- Tu parie que d’ici deux minutes il bande aussi ?
- Elle est bien foutue la gamine
- Pas mieux que toi chérie
- Je t’en prie, ne passe pas tes mains entre mes cuisses devant ces gens
- C’est là que la peau est plus fragile, laisse toi faire écarte toi encore plus
- Oh ? ils font comme nous !
- Qu’est-ce que je disais ?
- Bon ça suffit, j’ai assez d’anti-solaire
- Branle-moi chérie …
- Quoi ?
- Tu ne vas pas me laisser ainsi ? je me colle derrière toi et tu mets discrètement ta main sur ma bite
- Je rêve ou elle le suce ?
- Non-non, c’est vrai, il en a une belle hein ?
- Ça me fait des choses …
- Soulève une jambe et tends-moi ton cul je vais t’enfiler
- Gérald … hhoooooooouuuuuuuiiiiiiiiiii ! baise-moi, c’est trop bon de faire ça en public
- Il va la baiser aussi, regarde ! putain, c’est tellement excitant que je vais décharger !
- Oh nnnnooooooonnnn ! pas déjà chéri je démarrais juste …
- Je recommencerais… hhhhhoooooouuuuuuuuuaaaaaaaaaaaaa hhhhhoooooooooooo !
- Zzzzzzzuuuuuuuut juste au moment où j’allais jouir ….


- Nous recommenceront sur le lit de l’hôtel, dans l’immédiat allons-nous laver a l’eau de mer
L’autre couple continue à faire l’amour sans nous perdre de vue, lorsque nous somment revenu à nos serviettes nous les avons croisés, ils allaient laver les conséquences de leur acte libertin, nous somment rentrés direct à l’hôtel afin d’assouvir notre soif de sexe, vers dix-neuf heures nous somment descendus prendre l’apéro avant de diner
- Bonsoir …
- Ah ! c’est vous ! bonsoir
- Vous avez passés un bon après-midi ?
- Tout comme vous je suppose ? belle démonstration d’amoureux !
- Formidable ! vive le sexe en plein air !
- Je vous offre l’apéro ?
- Avec plaisir, faisons connaissance
- Vous formez un beau couple, vous êtes jeunes pour vous lancer dans l’exhibitionnisme non ?
- Nous somment ensemble depuis le lycée et avons donc épuisés beaucoup de situations plus ou moins osées ! et puis ça renforce notre amour, et vous ?
- Nous avons laissés les s à nos parents pour deux jours, nous venons un peu en pèlerinage
- Ah ?
- Il y a cinq ans nous avons eu une petite aventure ici même
- Et vous aimeriez bien recommencer ?
- Bof …ma femme n’est pas trop d’accord
- Ça dépend chéri …
- Pour ne rien vous cacher Élodie espère découvrir l’amour entre femmes cette année
- Ah bon ?
- Tu n’es pas très discret Julien ! ces gens se moquent de nos fantasmes
Ma femme a répondu ‘ah bon ‘du tac au tac l’air intéressée me regardant en haussant les sourcils … serait-elle partante ? nous voyant discuter entre nous le serveur vient à notre rencontre, je prends les devant
- Vous dinez ici je suppose ?
- Bien sûr
- Alors prenons la même table ?
- Avec joie, demandons au jeune serveur … garçon ? pourrions-nous avoir une table de quatre s’il vous plait ?
- Suivez-moi, j’en ai justement une discrète tout au bout de la terrasse qui vous conviendra parfaitement
- Impeccable
Comme s’il était devin il a tiré deux chaises pour faire assoir les dames côte à côte, puis moi en face d’Élodie et Julien face à Audrey, bonne disposition pour faire connaissance ! nos femmes semblant nous ignorer palabrent et se tutoient déjà, à voir l’attention du serveur je devine que les cuisses sont visibles au-delà du raisonnable, je sais que la mienne n’a pas de culotte, pour ce qui es des poitrines …elles ont les aréoles aussi larges l’une que l’autre et les mêmes tétons allongés par l’excitation palpable
Nous n’avons jamais étés aussi bien bichonnés par un serveur qui ne doit plus rien ignorer de l’anatomie de nos femmes qui le draguent ouvertement, quant au moment de partir Élodie pose une question inattendue au serveur … j’avais une autre idée sur le déroulement de la soirée
- A quelle heure terminez-vous José ?
- Onze heures madame
- Vous rentrez directement chez vous ?
- Personne ne m’attend Hélas, j’ai tout mon temps
- Chéri ? ….

- Je comprends ce que tu désires … mon épouse aurait aimé vous inviter à boire un dernier verre dans notre chambre José, ainsi que vous mes amis bien entendu !
- Pourquoi pas ? qu’en dis-tu Audrey ?
- C’est une très bonne idée !
- Alors allons-y, quand vous serez disponible venez toquer à notre volet José
- Avec joie ! merci messieurs dame
A peine la porte refermée nos femmes tombent dans les bras l’une de l’autre, longs baisers, robes de plage au sol, plottage en règle, elles sont magnifiquement nues, nous les imitons et venons les encercler sexes pointé en avant, Élodie se tourne naturellement vers moi, j’entrevois ma femme enlacer julien avant de se laisser tomber sur le lit cuisses ouvertes, le souffle rauque qu’elle pousse me fais deviner qu’il vient de la pénétrer direct, Élodie s’affale jambes relevées sur le bord de la couche à côté du couple adultère m’invitant à brouter son minou trempé, les nouvelles copines trouvent le moyen de se bécoter tout en se faisant saillir
Je viens juste de décharger dans la chatte liquéfiée quand soudain des toc-tocs discrets sur le volet annoncent l’arrivée du jeune serveur … chance ou intrus ?
En moins de temps qu’il ne faut pour l’écrire l’homme est littéralement mis à poil par nos femelles en chaleur, c’est à laquelle lui avalera le gland turgescent la première, après un compromit tacite il change de bouche alternativement
- Je n’avais pas prévus ça ! nous voilà sur la touche
- A moins que nous faisions profiter nos épouses de la sublime expérience de la double, voire triple pénétration ?
- Merci de ton expérience cher Gérald, honneur à ta femme ?
- De toute façon elles vont y passer toute les deux ! le grand jeu, double vaginale et sodomie !
- Enfile ma femme par derrière elle va de suite comprendre comment ‘ça marche’
- Vouuuh ! qui me pénètre ?
- C’est moi, Julien, laisse toi venir sur moi il y a de la place pour votre nouvel amant dans ta chatte
- Et Élodie ?
- Fait toi baiser ma chérie, je vais trouver comment m’occuper en attendant mon tour !
- Tu vas t’occuper d’Élodie ?
- Je peux ? profite bien de tes nouveaux copains de jeu !
- C’est sublimement gros ! excuse moi je dois me concentrer … OOOOOOOOuuuuuuuiiiiiiiii, baisez moi les gars !!
Élodie m’attend les cuisses outrageusement ouvertes, son vagin craquelé par le désir m’attire, je vais me coucher sur elle bite en avant, mes deux mains sous ses fesses je la besogne vaillamment, bouches unies, poitrine contre poitrine, pubis accolés je lui fais l’amour avec passion …

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