1° Nuit De Vacances

Cette fois là, juste avant de me quitter, Mish m’avait fait “Deux, trois jours de vacances, rien qu’à deux ?“. Devant mon air stupide, elle avait continué : “Voilà l’adresse, la clé… Dans trois jours… Après-midi ?“. Et elle était partie, sans vraiment attendre la réponse. Sapristi, deux, trois jours avec elle, c’était bien la première fois que l’on passerait tant de temps ensemble… Un peu inquiétant, vu qu’habituellement, nos rencontres étaient purement sexuelles : j’ignorais presque tout d’elle, et réciproquement…
Bah, on verrait bien…
Trois jours et deux cents kilomètres plus tard, avec cinq bonnes heures en retard, j’investissais la villa : frigo plein et lit fait…
Location, prêt ? J’imaginais bien ne pas être la seule “relation“ de Mish, avec ma bonne cinquantaine et ses vingt ans de moins !
Elle arriva vingt minutes plus tard : “Salut, salut ! Soif, faim, crevée, bouchons, route de m…“. Elle avait déjà disparu, j’entendais son babillage, qui continuait, dans le flou … D’habitude, sa vue seule suffisait à me faire bander : là, coup de chaud, fatigue ? Rien, seulement le souvenir de son cul de rêve, ses nichons en obus, ses orgasmes à répétition, sa touffe fournie et son con chaud et ardent.
Une grillade et une bonne bouteille plus tard, allongés sur le lit, chacun une main sur le sexe de l’autre, nous… nous sommes endormis ! C’est en pleine nuit qu’elle m’a réveillé, coup de pied, poing ou coude ; j’allumais la veilleuse, elle rêvait ! Sur le dos, je voyais ses paupières vibrer, ses doigts s’agiter, même ses tétons semblaient s’animer… Elle me tourna le dos, une jambe allongée sur le lit, l’autre pliée devant elle à l’équerre, elle avait rejeté les draps; Son dos, ses reins, sa croupe attiraient mon regard.
Je me redressais, glissais vers le pied du lit ; j’observais sa raie culière, son abricot poilu. Je commençais à bander et je décidais de la réveiller, doucement, très doucement… Ma main droite glissa au dessus de sa cuisse allongée, vers sa vulve; index tendu, je caressais ses lèvres, de la touffe au périnée, insistant à chaque passage, pour mieux s’y immiscer.

Elle geignait : “Non, fatiguée, plus tard… Demain…“. Je continuais, doucement, mes caresses… “Non, veux pas… Arrête… Dodo“. En même temps, elle soulevait son genou plié, pour faciliter la caresse, agrandir l’espace avec le lit… La garce, dodo, hein !
Son pied était arrivé contre mon torse, je passais dessous, la laissant continuer son mouvement et ses geignements, mon doigt imprégné de sa mouille ; j’étais à présent assis entre ses cuisses, ouvertes à l’équerre ; j’avais poussé une phalange dans son con, et je l’excitais de petits cercles, avant de la fourrer bien a fond, en appuyant fort, en tournant un peu droite-gauche, lui caressant le bouton du pouce. Elle avait cessé de geindre. Index toujours à fond, je changeais de position, à genoux à coté de son torse, je lui léchais les seins, agaçant ses tétons du bout des dents, mes lèvres descendaient sur son ventre, sa touffe, vers son bouton, tandis que je la ramonais maintenant de toute la longueur du doigt.
Je lui tiraillais le clito au passage, ouvrant sa moule de la pointe de la langue, remontant vers sa touffe, plongeant mon nez au plus loin vers son vagin. Elle m’avait attiré au dessus d’elle, mes jambes sous ses bras, glisser mon gland dans sa bouche, et, une main sur mes reins, l’autre à mes couilles, réglait le rythme, l’amplitude de mon branle entre ses lèvres. Je lui ôtais le doigt, pour mieux introduire langue et nez dans ses petites affaires, amplifiant mouvement et pression ; d’une main, je lui caressais, tiraillais, titillais un nichon…
Elle avait cessé de me branler, bouche ouverte, et je sentais son ventre pulser en petite ondes… Je me relevais, et retournais m’agenouiller, à cheval sur une de ses jambes. Elle gisait à plat dos, bras allongés, cuisses largement ouvertes, con béant, sa mouille imbibait ses poils et le drap ; de petits mouvements de bassin appelaient à la bitte, le gode ou n’importe quoi de dur, gros et long dans son vagin… Je m’allongeais au dessus d’elle, sur genoux et bras tendus.
J’étais à portée de bitte, en bonne position pour l’emmancher à fond… D’une main, j’abaissais ma queue, pointant sur son abricot, et branlais mon gland sur sa vulve moite…
Elle tentait de s’enfiler de suite, mais je continuais mon branlage, à petits coups de reins. Elle geignait, se caressant les seins, la motte, cherchant toujours à s’enfiler sur ma trique raide, son doigt descendait vers son bouton. Je la laissais se titiller un peu, puis lui glissais ma pine juste au bord… Temps suspendu, elle et moi en attente, immobiles et tendus, exacerbés.
D’une poussée, je l’emmanchais lentement, inexorablement, appuyé sur un coude ; j’avais remonté sa cuisse libre, et je m’y cramponnais pour l’enfiler encore plus loin, plus à fond… J’aurais voulu n’être qu’un sexe, me fondre dans sa chatte, la dilater toujours plus… Je sentais son vagin se resserrer sur ma queue, et des pulsations remonter vers mon gland, étreinte jouissive, engluée de mouille. J’attendais la fin de sa jouissance, immobile, pour la baratter à grand coups de bitte, relancer son extase, ses ondes vaginales, et exploser dans son ventre en longues giclées de foutre bouillonnant…
Nous nous sommes endormis, l’un dans l’autre, avant de nous séparer, plus tard, bite molle et con avachi…Repus. Comblés.

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