Vacances De Reves

A cinquante trois ans c’est mes premières vacances seul, séparé depuis peu je suis
venu me ressourcer sur cette petite ile paradisiaque, j’ai loué pour quinze jours une
chambre a l’hôtel et un petit cabriolet pour me balader, je suis justement sur la
route des plages il est quinze heures trente la route c’ est désert il fait très chaud
tout le monde est a la plage, soudain au détour d’un virage une jeune fille a la peau
ambrée ,en maillot de bain pieds nus un sac de plage a la main lève le pouce
,curieuse tenue pour faire du stop mais rien a redire je suis moi même en maillot
Je stoppe a sa hauteur, houa beau brin de fille ! Bon c’est sûr elle pourrait être ma
fille mais ça n’empêche pas de donner son avis !, pourquoi se balade elle sur la route
en maillot ? Et quel maillot ! Deux triangles minuscules essaient de cacher ses seins
tout ronds, pour le bas c’est a peu prés pareil, une bande de tissu étriquée bien
renflée a l’endroit de la vulve, le tout relié par des ficelles nouées
- Bonjours ! pourriez-vous m’emmener à la plage nord ?
Ce n’est pas du tout ma direction mais je mens un peu ça va me balader en bonne
compagnie !
- Je m’y rends justement montez
Elle balance son sac sur la banquette arrière et monte prés de moi
- Eh bien je n’aurais pas attendu longtemps merci !
- Vous êtes très jolie mademoiselle
- Merci ! vous n’êtes pas d’ici vous ?
- Non, je suis en vacance, ça se vois tant que ça ?
- Oh c’est facile, les gens d’ici m’auraient fait un doigt d’honneur en me
traitant de petite pute !
- Soyez sure que ce n’est absolument pas ce que je pense ! vous quittez déjà la
plage ?
- Ben oui, j’étais avec des copains sur cette plage mais ces jeunes imbéciles ne
pensent qu’à faire des blagues stupides comme si ils n’avaient pas mieux à faire avec
une fille !!
Cette réflexion me laisse penseur …
- AH
- Oui, ils me balançaient du sable regardez j’en ai partout
Et sans gêne aucune elle écarte un triangle se son soutient gorge, je vois le galbe
impeccable du sein et le téton minuscule qui n’a surement jamais connu la bouche d’un
bébé, effectivement du sable blanc recouvre son sein
- Vous voyez j’ai du sable partout, ça gratte d’ailleurs si ça ne vous gêne pas
je vais me changer
J’ai fais une embardée sur la route quand le soutien gorge tombe, je ralentis au
maximum, de sa main elle frotte sa poitrine très ferme, immédiatement les tétons
réagissent et se forment, quelle beauté …
- Vous êtes charmante ? j’adore vos seins
- Merci ! mais faites attention à la route ! J’en ai même ici ! si ça rentre
dans ma coucoune et ça va me piquer quand je ferais pipi
Ah non ! Là c’est trop, elle écarte les cuisses et le haut du maillot pour me montrer
sa toison bouclée noire comme ses cheveux saupoudrée de sable fin, j’en déduis que sa
coucoune c’est sa chatte
- Si vous voulez passer à l’arrière j’ai une serviette
- Vous avez raison merci
Avec la souplesse d’un félin la voilà sur la banquette assise juste au milieu là ou
c’est le moins confortable mais une fois mon rétro réglé j’ai une vue imprenable sur
ses agissements, elle surement repéré mon geste mais ne dit rien, les ficelles
dénouées elle retire le maillot, prend appuis sur ses talons pour lever ses fesses,
énergiquement elle passe la serviette sur sa touffe et ses fesses puis elle se rassoit
les jambes ouvertes, la voiture au ralenti je mâte ses lèvres quasiment noires fendue
par une ligne rose
Les yeux clos sa main caresse sa motte comme pour vérifier que le sable est bien parti
et remettre ses poils ébouriffés en place, descend jusque dans sa raie et remonte
lentement en séparant ses lèvres, mon maillot devient étroit, ses doigts décalotte le
minuscule clito, pour redescendre puiser de la liqueur, ses lèvres deviennent de plus
en plus brillantes
- Ça vous plait ? ne soyez pas honteux j’aime me masturber devant des voyeurs
sur la plage alors pourquoi ne pas me caresser devant vous, garez vous quelque part
c’est plus prudent….

.
Il ne faut pas me le dire deux fois, justement un chemin de terre me tend les bras, je
roule sur deux cents mètres avant de me garer sous les arbres, sans oser me retourner
je regarde dans le rétro le spectacle fascinant de ses doigts qui jouent avec sa ‘
coucoune ‘ elle semble fermer les yeux savourant sa branlette, je libère le monstre
plié en deux dans mon maillot, lentement je fais coulisser la peau de ma queue
- Tu me fais voir ta ‘ Blade ‘ ?
- Ma quoi ?
- Ta Blade, ah oui … ta queue ! y’a pas de raison j’aime me montrer mais j’aime
aussi voir ….RETOURNE TOI
Un peu gêné de me montrer le maillot baissé a mis cuisses devant cette jeune fille
j’obtempère néanmoins
- Hooouuuuaaaaa ! t’en a une belle dit donc, tu viens me retrouver ?
Je remonte mon maillot et passe a l’arrière, la fille cesse de se caresser, se met a
genoux sur les sièges et plonge directement sa menotte dans mon slip pour en extraire
ma queue congestionnée, elle approche sa bouche pour déposer un filet de salive dont
elle enduit mon membre avant de l’avaler en partie, malgré son jeune âge elle est
experte
Je pose une main sur ses reins étroits, se fesses rebondies sont un appel aux
caresses, j’y passe ma main longuement avant de plonger plus bas, sa chatte baille
graissée par sa mouille je cherche le clitoris, mon index tourne autour arrachant des
plaintes a sa propriétaire, mon majeur plonge dans l’antre bouillant tandis que mon
pouce agasse son anneau fripé, les vas et viens da sa bouche redoublent d’intensité
sur ma bitte, en même temps elle cherche mon trou , un doigt s’y enfonce , rien de tel
pour me faire partir
- ATTENTION JE VIENNNNNNNNS !!!
- MUUUUUUMMMMM !
Sa chatte expulse un torrent bouillant tandis que je me lâche au fond de sa gorge,
elle se redresse souriante
- Ben dit donc t’en avait besoin !
- Tu ne crois pas si bien dire ! cela fait trois mois que je n’ai pas touché une
femme !
- Ça te dirais d me ‘ toucher ‘ ? moi aussi ça fait un bail que je n’ai pas été
baisée correctement, je veux dire par quelqu’un qui sait baiser avec une grosse comme
la tienne, pas par un minus qui ne pense qu’a se vider les koukoutes! Ah oui j’oublie
: les couilles pour toi !
- Merci pour la leçon de vocabulaire ! au fait ton prénom ?
- Célanie ! et toi ?
- Hubert tout bêtement !
- C’est joli Hubert !.
.. je peux venir sur tes genoux Hubert ?
- Tu ne veux pas que je mange ta coucoune avant ?
- Tu le ferais ? oh oui ! ici ils ne veulent pas faire ça !
- Allonge-toi sur le siège Célanie, ouvre-toi bien…
Plus écartée on ne peut pas ! Je plonge avec voracité sur ce fruit mûr, j’aime son
goût acide, le lape j’aspire j’enfonce ma langue dans son ventre, Célanie se tortille
comme une anguille les mains agrippées a mes oreilles, elle n’en finit pas de se
vider dans ma bouche, soudain elle pousse un hurlement à faire fuir tous les oiseaux
du secteur
- HUBERRRRRRRRT ! TU ME FAIS JOUIIIIIIIIIIIRRR OUUUUUUUUUIIIIIIIIII !!!!!!!
Satisfait de mes compétences je me redresse le visage barbouillé de liqueur féminine,
ça fait rire la jeune femme
- Excuse moi je n’ai pas pus me retenir !
- Je vais te faire crier et pisser encore plus, vient t’assoir là dessus
Je tien ma queue a la verticale, Célanie m’enjambe elle maintient se lèvres écartées
et vise mon pieux, ahhhh quelle douceur, ce vagin serré et ouaté fait comme une
seconde peau sur ma verge, ça n’en finit pas de rentrer c’est boooooooonnnnnnn
!!!!!!!! Je saisi cette nymphette pas les hanches afin de l’empaler complètement
- Hooouuuu doucement ! laisse-moi m’habi à ta blade !
- Excuse-moi …..
Je me retire presque entièrement et replonger ma queue luisante dans ce volcan en
effervescence, Célanie ouvre la bouche et ferme les yeux, une mousse se forme autour
de mon chibre, mon piston se met en marche, quelquefois rapidement quelquefois
lentement, elle ondule sur moi cherchant dans les replis de sa vulve le moindre
endroit lui procurant du bien
- Hubert c’est booooonnnnnnn tu ramone bien ma coucoune je vais jouir
- Toi aussi tu me fais du bien je vais te remplir le ventre ….
Aaaaaaaaaahhhhhhhhhhhh ! CA Y EST ! ooooooohhhhh prends ça !
Je me vide a gros bouillons dans cette gaine étroite, je ne me souvenais plus le bien
être qu’on peut ressentir avec une jeune chatte, Célanie se laisse aller, du liquide
chaud coule par à-coups de son vagin obstrué par mon membre, tant pis pour les sièges
! Nous restons longtemps à savourer notre jouissance simultanée
- Tu m’as bien ouverte Hubert
- Tu m’as bien vidé Célanie !.
.. que fais tu ce soir ?
- Oh rien de spécial pourquoi ?
- Je t’invite à diner et … j’ai un grand lit !
- Si nous y allions maintenant j’ai envie d’une douche !
Elle a finit les vacances avec moi, je suis repartis crevé mais quelle bonne fatigue !

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