Aaah Ca Va Mieux

ll y a environ quinze jours de ça, grosse chute de VTT. Le lendemain, je ne sais plus bouger. Difficilement, je vais chez le toubib. Anti inflammatoires et kiné. Je ne connais pas de kiné. Je lui de mande conseil. Il m’en indique un, jeune, qui vient de s’installer et qui a besoin de travailler, à l’autre bout de la ville. Au tel, la voix est jeune, chaleureuse. J’ai cinq séances à faire.
Le jour du RDV, je me demande comment ça va se passer. Comme c’est le bas du dos qui est coincé, cette affaire risque de se finir en slip…Il faut donc que je choisisse celui-ci avec soin. J’opte pour un brief en coton, assez couvrant, en coton, vert amande et blanc.
Oups !
Je ne m’attendais pas à « ça ». A peu près mon âge, un corps d’athlète, un sourire ravageur. Pantalon de jogging slim gris chiné, tee shirt noir qui moule sa carrure impressionnante
« -Vous vous mettez en slip ? »
Je me suis immédiatement posé la question : straight, homo ou bi ?
« -Comme la douleur est encore présente, aujourd’hui, on ne fera que des massages »
Moi, ça me va. Pour ce faire, il baisse même légèrement l’élastique du slip sur mes fesses. Je dois reconnaitre que c’est super agréable. Relaxant, décontractant. En plus, ça nous permet de causer. Il est très très sympa. Chaleureux, joyeux, rigolo. Je dois reconnaitre que ses doigts de fée me font le plus bel effet sur mon bas ventre…On se calme.
Les séances s’enchaînent. On est passé aux exercices d’étirement, de musculation. J’aurais jamais cru mais ce métier crée une très grande proximité, pour ne pas dire promiscuité avec le patient. Surtout quand celui-ci est presque nu. Faut absolument que je sache ce qu’il est. Mine de rien, je le fais parler. Tiens, il n’a pas de copine. Du coup, dans la foulée, je lui annonce que je suis homo. Il dit, qu’au jour d’aujourd’hui, il faut être tolérant. Ce qui est certain c’est que c’est pas du tout le gros macho que son physique impressionnant pourrait laisser croire.

Du coup, je décide de lui infliger un festival de slips, tous plus beaux les uns que les autres – ce n’est pas le choix qui me manque-. A l’avant dernière séance, j’en mets même un siglé « PUMP ». Il m’en fait la remarque :
« -Je dois m’exécuter ?
-C’est toi qui vois… »
On rigole. Est-ce qu’il essaierait de me faire comprendre quelque chose. Au fil des séances, après avoir beaucoup parlé, je dirais oui à 70%. Je décide de jouer le tout pour le tout à la dernière séance. Pour le provoquer encore plus, j’ai enfilé un shortcut en mousseline vert flashy, liseré orange – mon préféré-. Plus provoc, ça n’existe pas. Plus moule bite non plus. La salle d’attente est déserte. Il m’accueille avec un grand sourire et la chanson d’Eddy Mitchell aux lèvres « la dernière séance »
« -…C’était la dernière séance, c’était le dernier client… »
Il est éblouissant dans sa tenue. Jogging serrant rouge vermillon, siglé d’une grande marque allemande, tee shirt blanc qui le moule parfaitement. Il me regarde me déshabiller et me complimente sur mon nouveau slip…Ses massages sont toujours aussi voluptueux et décontractants. Je sens ma bite se gonfler sous moi. On va rigoler quand il va me passer sur le dos. Du coin de l’œil, je surveille l’horloge. J’ai décidé de laisser se dérouler la séance et de le provoquer à la toute fin.. J’ai pensé qu’il valait mieux que ce soit moi qui lui saute dessus, pour ne pas le mettre en porte à faux par rapport à son boulot.
« -Tu te mets sur le dos ? »
On y est. Il ne va pas pouvoir ignorer la belle barre oblique qui tend mon slip…. Oui et non. Non, car il continue comme si de rien n’était. Il me fait faire mes exercices.
« -Soulèves le bassin au maximum, restes ainsi » J’ai ma bite au niveau de ….Par contre, depuis le début de la séance, je me demande s’il a quelque chose sous son pantalon de jogging. La bosse de sa bite m’a l’air plus accentuée que les fois précédentes…Même que là, elle l’est carrément plus.
Je me lance. J’approche ma main du renflement de son jogging et le frôle. Il n’a pas bougé. Il ne s’est pas reculé non plus. Je dirais même qu’il a légèrement accentué la pression de sa bite sur ma main. Bite qui est loin d’être au repos ;
Gagné ! Alor, je n’y vais pas par quatre chemins. Je redescends mon bassin sur la table , empoigne son pantalon à deux mains et le fais glisser brutalement à mi-cuisses.
Bingo ! il n’a rien en dessous. Ou plutôt si. Une superbe toison très fournie d’où émerge un arc de chair bandé aux trois quarts.
« -Enfin !! murmure-t-il.
Il se met à me caresser le slip. Je sens que la deuxième partie de la séance va être animée…
Pour le moment, je lui caresse les fesses qu’il a très galbées. Quel beau cul. Sa bite se redresse toute seule.
« -Tu sais, d’habitude, je ne mélange jamais boulot et plaisir…
-Super ! Mais tu as remarqué que j’avais attendu la fin des cinq séances ? Et c’est pas faute d’avoir eu envie avant !
-Tu devineras pas ce que j’ai du faire pour ne pas trop qu’on voit que je bandais pendant les massages…J’ai du mettre des slips deux tailles en dessous. J’ai eu beaucoup de mal à résister à un aussi beau mec. Pour la dernière, je l’ai enlevé juste avant que tu arrives. »
Ses caresses –massages ?- sur ma bite sont très très délicates. Je sens que je vais me régaler. Je lui passe son tee shirt par-dessus sa tête. Quels beaux pecs et abdos ! Quelle belle ligne de poils qui file vers le bas ! Je me mets à lui caresser le torse, les pecs. Je lui titille les tétons qui se raidissent. Je lui tire légèrement sur les poils. Il va être surpris quand il va voir ma bite complètement rasée ! D’ailleurs, il glisse ses doigts sous le tissu
« -Je le savais !
-Quoi ?
-Que tu étais rasé.
-Ah oui ? Tu n’aimes pas ?
-Au contraire
-Si tu veux, je peux te faire la même
-…On verra »
En attendant, mes doigts se perdent dans sa forêt de poils et viennent agacer la belle paire de couilles qui s’y cachent.
Sa bite est maintenant complètement à la verticale, luisante de mouille. Elle est assez épaisse et veinée. Il se lance alors, du bout de ses doigts, dans une sarabande de caresses sur ma bite, mes couilles, mon périnée, directement sous le tissu du slip. De mon côté, je le tire légèrement vers la table et approche mes lèvres de sa toison. Quelle bonne odeur ! Sueur et parfum mêlés. Une forte odeur de mâle par-dessus tout. Je lui lèche la bite du bout de ma langue. Je l’entends haleter légèrement. Il glisse lentement mon slip le long de mes cuisses et m’en débarrasse. Il se dégage par la même occasion de son jogging. Nous voilà nus tous les deux, offerts l’un à l’autre, au désir de l’autre.
Il entreprend de me caresser sur tout le corps du bout de ses doigts.il accompagne de bisous humides. Je commence à le sucer très très lentement. Je gobe la moitié de son gland luisant de mouille. Du coup, il se met à s’occuper sérieusement de ma bite et moi de la sienne. Un 69 un peu déstructuré, quoi ! Il sait très bien -c’est son métier- masser délicatement mes bourses, ma hampe.. Il se penche pour le suçoter. J’adore me faire lutiner ainsi sur sa table de travail. I suce bien. J’aime. J’essaie de lui rendre la pareille du mieux que je peux. Je passe ma main, en coquille, sous ses couilles, parcours son périnée, sa raie et finis sur sa rondelle. Il écarte les jambes. Visiblement, il en veut plus.. De mon côté, je soulève mon bassin, comme il me l’a appris, pour mieux lui offrir ma bite. Je n’ai qu’une envie, c’est lui sauter dessus, le dévorer partout, l’embrasser fougueusement. Je me contiens. J’essaie.
Au bout d’un long moment, il me demande si je peux me mettre à quatre pattes, en levrette sur la table. Pourquoi pas. Je profite du changement de position pour venir me coller contre lui de tout mon long. Je cherche sa bouche. Il me la donne bien volontiers. On s’embrasse longuement en se malaxant le cul et en se frottant la bite. Trop bon. Je regrimpe sur la table.
Je me mets en levrette., jambes bien écartées. Je suppose qu’il veut s’occuper de ma raie. Il commence à la lécher longuement, avec beaucoup d’application et de savoir faire. Ouiii ! Tout en faisant cela, il me branle la bite par en dessous, lentement. Trop bon. Le problème c’est que, dans cette position, je ne peux lui rendre la pareille. Alors, je me laisse faire et je profite. Il est passé aux petits coups de langue sur ma rondelle. J’écarte mes globes du plus que je peux. Je commence à sentir la pointe de sa langue qui cherche le passage. Trop délicieux ! Encore !! Après un trop bon moment, il commence à me doigter doucement. Un puis deux puis trois doigts avec un peu de gel. Ila tout ce dont il a besoin dans son cabinet. J’apprécie son effort pour me dilater. Je sens ses doigts aller et venir de plus en plus aisément. J’attends, avec impatience, sa bite chaude. Il a deviné. C’est la suite logique. Il m’entraîne vers le tapis de mousse, s’allonge dessus, bite dressée, et attend que je m’empale doucement. Je lui emprunte un peu de gel, enduis sa bite, mon trou et me présente à son pieu. Je sens son gland qui cherche le passage. De tous petits allers et retours, de petites rotations, ça y est, il est dedans. Savourons la descente sur son barreau. Tout doux, très progressivement, avec beaucoup de petits retraits car je m’aperçois que son membre est vraiment épais. C’est bon de contrôler ses sensations sur ce coup là. Je sens sa bite plus que bien. Il avait bien raison de vouloir me dilater le plus possible. Sa bite, c’est un sacré pieu ! Et dure comme l’acier, avec ça. Je la sens qui me pénètre, au gré de ma descente. Parfois, pour ressentir le vide, je remonte exprès mais pas complètement. Il me laisse faire. Il me laisse contrôler mes sensations. Ca y est. Je sens sa touffe qui me chatouille le dessous des couilles. Il est complètement en moi. Je commence lentement mes montées et mes descentes. Il a empoigné mes hanches et m’aide tout en imprimant une certaine cadence. On entend maintenant le coulissement de sa bite et ses petits chuintements. J’adore cette position aussi. Tout à l’heure, je lui demanderai qu’il m’accorde ma préférée. Et dire que, depuis le début, on aurait pu conclure chaque séance ainsi ! Il m’a demandé de me relever légèrement et, maintenant, c’est lui qui me trombonne par en dessous. Je le sens très vigoureux. Ca promet. Comme je viens de remarquer un espalier contre le mur, je ne peux attendre davantage. Je lui propose ma variante préférée. J’accroche mes bras à l’échelon du haut et je me suspends, en écartant les cuisses. Il a compris et vient se placer face à moi. Je m’empale doucement sur sa tige. Je commence alors mes tractions pour coulisser sur sa bite. Trop trop bon. Parfois, n’y tenant plus, il me soulève brusquement de toute la force de son pieu. Wouaaah ! Je finis quand même par enlacer sa taille avec mes jambes et m’accrocher à son cou. Il se déchaîne alors, me gratifiant de furieux coups de reins et de bite en poussant des cris rauques. Ouaiis ! J’ai même cru qu’il allait jouir ainsi. C’était mal le connaître. Il me demande alors de m’allonger à nouveau sur la table, sur le dos, les fesses au bord. Il règle la hauteur pour que mon trou soit exactement à la hauteur de sa bite. Il prend mes jambes, les écarte, les pose sur ses épaules et me perce d’un seul coup de bite.
Cette fois, on dirait qu’il a décidé de mettre le paquet. Ses va et vient se font puissants, sa cadence s’accélère. J’ai plongé mes yeux dans les siens et je ne le lâche plus. J’ai lu une fois quelque part que se regarder dans les yeux en faisant l’amour était le plus puissant des aphrodisiaques. Je crois que c’est brai. En tous ca, j’applique. Son regard brille de désir. Il me ramone ainsi pendant un sacré bout de temps – je ne vais pas m’en plaindre-. Je crois deviner que ce n’est pas ainsi qu’il veut jouir.
Gagné !
Il me demande de m’allonger sur le dos sur le tapis mousse. Il glisse un demi ballon « pilate » sous mes reins, écarte les cuisses et vient me fourrer à nouveau dans un long glissement. Il se remet à me ramoner.
« -Moi, c’est celle là, ma position préférée !
-T’inquiète ! J’aime bien aussi ! »
Ses coups de bite se font de plus en plus puissants. A chaque coup de reins, je le sens complètement en moi, à me défoncer. Trop bon ! Il me secoue comme un prunier. Son endurance a l’air assez exceptionelle. Il me bourine ainsi pendant un temps que je trouve délicieux. Je profite de chacun des mouvements de sa bite dans mon ventre. Je la sens bien me parcourir, me labourer de toute sa chaleur, de toute sa force de vie. Sacré morceau ! J’adore les grosses bites. La sienne me laboure bien la prostate à chacun de ses coups de boutoir. Son cul aussi est fabuleux. Avec des fesses aussi rebondies, on en a vraiment plein les mains. Je tire de toutes me s forces dessus à chaque fois qu’il me défonce. Il commence à ruisseler sous l’effort. Tout à coup, il se met à balancer des mots bien crus.
« -Tu la sens, dis, tu la sens ?? » Ca m’étonne un peu de sa part. Lui qui a l’air si bien élevé…
« -Oh oui ! Je la sens super bien !!
-Elle est bonne, hein ?
-Ouais ! Elle est surtout bien grosse
-Tu crois ?
-Tu parles ! Des comme la tienne, j’en ai pas vu beaucoup. En plus, tu sais t’en servir ! Tu me déchires grave ! C’est chaud, c’est doux, c’est bon !
-Merci
-J’aime beaucoup ton petit cul ; il est pas serré du tout. On s’y sent vraiment bien !
-Moi, je sens ton pieu super bien ! il me fait chaud dans tout mon ventre. Vas y ! Défonces moi grave ! Bourres moi le cul avec ta grosse bite !! »
Ca le booste d’entendre ça - comme s’il en avait besoin -. Je le sens se déchaîner à fond. Survolté ! Je m’accroche à lui comme si je voulais me ventouser à lui. Son torse luisant de sueur glisse sur le mien. J’adore aussi ces instants là. Quand, tout près de la jouissance, on perd le contrôle pour mieux basculer dans le grand puits de la jouissance.
« -Aaaah ! Je vais jouir !
-Vas y ! lâches tout !
-Woooouuuaaah ! »
Un long cri rauque. Un deux, trois longs jets brûlants m’inondent le ventre. Il est convulsé, extatique. Il tremble de partout. Je le caresse et le serre contre moi. A nouveau, je cherche sa bouche. On mélange nos langues mais il est encore trop haletant. Il faut que je le laisse un peu reprendre son souffle. Je le garde contre moi, en moi. Je le sens redescendre tout doucement. J’adore ces moments là.
« -Ca t’a plu ?
-Tu parles !
-Si tu veux bien, je peux obéir à ta demande de la séance précédente…
- ????
-Tu sais, quand tu es venu avec ton slip marqué « PUMP »
-Ah oui…OK ! »
Aussitôt, il se met à l’ouvrage sur ma bite. Increvable, ce mec !
« -Je pense que tu serais mieux sur la table, non ?
-Oui, j’ai toujours adoré jouer au docteur !!! »
Son sperme me coule lentement le long des cuisses. J’en récupère sur mes doigts et caresse son visage en l’enduisant. Il adore. Il a remonté la table au maximum pour ne pas avoir à trop se pencher. Maintenant, j’enduis copieusement ses cheveux avec son foutre. Ca le fait rigoler.
« -Finalement, c’est génial d’être rasé là ! C’est vachement plus agréable à caresser et à sucer !
-Pareil pour moi ! Ca augmente bien les sensations, tu sais. Tu devrais essayer…
-Je dis pas non… »
Il me malaxe doucement les couilles du bout de ses doigts qu’il a enduit, lui aussi, du sperme qui coule de mon trou. En même temps, il me bisouille le bout du gland. Très vite, il descend sur le frein du prépuce.
Ouuuiii !
Tout en me chatouillant délicatement du bout de sa langue, il m’a empoigné la bite et les couilles de ses deux mains et se met à me branler doucement. Puis il me gobe de plus en plus profondément sur ma tige qui n’attend que ça, tout en continuant à me malaxer les couilles avec douceur. Ca y est : il a complètement avalé ma bite. Il commence à aller et venir. Il me suce en faisant des allers et retours complets sur ma tige. Parfois, il s’arrête au bout du gland et c’est moi qui lui baise la bouche en de lents va et vient. J’ai enfoncé mes ongles dans ses épaules : c’est trop bon comme sensation. Tout en me pompant il lève les yeux vers moi pour juger de l’effet qu’il produit. Mon regard brillant doit le rassurer. Maintenant, il s’est retiré et me branle régulièrement. Alternant le bout des doigts, la pleine main, les deux mains. Il se met à accélérer. Il veut me faire venir ainsi. C’est clair. Je vais essayer de me contrôler le plus possible pour faire durer un max. il ne relâche pas la cadence, le coquin. Il a même encore accéléré. Cette fois il m’astique avec sa main entière bien serrée sur ma queue. Avec son autre main, il me passe deux doigts dans mon trou encore dilaté, chaud et plein de son sperme. Radical ! Je sens que j’arrive…
« -Aaaaaah ! Ouuuiii ! Aaaaah ! »
Il approche son visage et reçoit tout. Il a l’air ravi. Moi aussi. On récupère doucement, allongés sur ses tapis, collés l’un à l’autre. On en profite pour se livrer un peu.
« -C’était super bon, non ?
-A l’aise ! J’ai kiffé, grave ! D’ailleurs CA VA BEAUCOUP MIEUX d’un seul coup, avec mon dos. Je sais pas pourquoi…
-C’est quand tu veux pour de nouvelles séances…
-Y’a pas de soucis mais on se réservera tout l’après midi, OK ? »

Il m’a entraîné dans sa douche. On s’est…savonné, caressé, embrassé, caressé, sucé, frotté, ressucé, recarressé, resavonné…
On est sorti manger en ville. L’air était frais.

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