La Remplaçante Mon Premier Amour. (3)

La remplaçante mon premier amour. (3)

Le lendemain Marc se réveilla parce que quelqu'un le touchait. Il ouvre les yeux et voit Fanny à genoux à côté de lui, elle est penchée sur son sexe et entièrement nue, elle lui fait une fellation. Remarquant que son amant est réveillé, elle prend le temps de lui demander si son réveil est bon avant de recommencer à lui sucer la queue. Il ne sait que dire tant il sent déjà le plaisir monter en lui. Il n'a pas le temps de la prévenir que giclée de sperme atterrit au fond de sa bouche. Il s'en veut encore une fois d'avoir eu du plaisir avant de lui en donner à elle.
« Je suis désolé, c'était trop bon. Tu veux que je te fasse jouir ? »
« Non mon amour, en me réveillant j'ai vu que tu bandais déjà et je ne voulais pas te laisser dans cet état. Je me suis donc fait un devoir de te soulager et regarde, tu m'as récompensée. »
Elle ouvre la bouche et lui montre qu'elle est remplie de son sperme. Elle fait un mouvement de tête en arrière et quand elle le regarde à nouveau elle ouvre à nouveau la bouche et elle a tout avalé.
« Tu vois, j'ai déjà eu un dessert. »
Elle passe un doigt sur le bord de ses lèvres pour récupérer un peu de sperme qui coule et elle se lèche ensuite le doigt.
« Je ne voudrai pas gâcher un tel trésor. »
Elle se releva et l'invita à la suivre dans la cuisine pour qu'ils prennent leur déjeuner avant de se préparer pour l'école. Elle est la première à finir et elle va directement prendre une douche. Il va la rejoindre dès qu'il a terminé et quand il entre dans la salle de bain, il est émerveillé par sa beauté, tout comme hier, elle à les mains dans les cheveux et c'est dans cette posture, qu'elle l'excite le plus. Il n'a pas besoin de se dévêtir, ils ont dormi nu, il la rejoint sous la douche et s'étant mit derrière elle l'entoure de ses bras posant une main sur un sein et l'autre sur son bas ventre.
« Mon amour, j'ai aussi envie de toi, mais nous n'avons pas le temps.

»
« Oh dommage... »
Il a l'air si déçu qu'elle fini par lui dire :
« Allez, prends-moi vite fait. »
Elle s’appuie ses mains sur la paroi de la douche et se penchant en avant lui offre de la prendre en levrette.
« Non mon cœur, j'ai déjà eu ma part de plaisir ce matin, ce que je veux, c'est te faire jouir. Laisse-moi te caresser. »
« Tu es un amour, mais est-ce que c'est raisonnable ? »
« Laves-toi les cheveux, je m'occupe du reste et si quand tu as fini, tu n'as pas joui, je te laisserai tranquille, OK »
« Oh... je ne peux rien te refuser. »
Elle savonne sus cheveux alors que lui, s'agenouille et entreprend de la faire jouir en jouant avec son clito. Il commence par le saisir entre ses lèvres et à exercer de petites pressions ensuite, alors qu'elle commence déjà à gémir, il glisse une main entre ses cuisses et insère d'abord puis deux doigts dans sa chatte. Elle est surprise, elle ne s’attendait pas à cela et encore une fois, elle est surprise de la dextérité de cet amant qui se dit novice dans le jeu de l'amour. Elle n'a même plus la force de se rincer la tête, elle se laisse simplement envahir par le plaisir que lui procure la langue et les doigts de son élève. Il ne lui fallut que quelques minutes pour qu'elle atteigne l'orgasme. Elle se cramponna à sa tête et elle poussait pour qu'il insiste sur son clito. L'orgasme lui transperça encore une fois tout le corps, décidément il savait ce dont elle a besoin pour jouir. Mais maintenant ils allaient devoir se dépêcher, il restait à peine 20 min pour arriver à l'école et préparer le local. Mais tout se passa bien, ils avaient toutefois fait attention de ne pas arriver ensemble. La journée fût chargée, les portes ouvertes avaient un franc succès et les expériences de physique fascinaient tous les visiteurs. Marc et Fanny se relayant pour pouvoir de temps en temps souffler un peu.
À la pause de midi, ils décident d'aller se restaurer ensemble dans un coin isolé et pour cela, ils décident de pique-niquer discrètement dans le bois jouxtant l'école.
Ils prennent leur glacière et tout ce qu'il faut pour s'installer confortablement. Arrivé sous un grand arbre un peu en retrait des sentiers de promenade, ils déploient une couverture et s'installent. Ils sont au calme et peuvent parler de ce qu'ils vivent en ce moment et en même temps déstresser. Ils se restaurent dans le calme du sous-bois et inévitablement, ils se rapprochent et leurs bouches s'unissent dans un long baisé romantique.
« Je t'aime mon amour ! Je sais que ce n'est pas le moment, mais je dois t'avouer qu'hier quand nous avons fait l'amour... j'ai espéré tomber enceinte de toi et porter ton . Je sais que c'est rapide, mais j'ai eu un réel coup de foudre. Rien que de penser à toi et à ton sexe, je suis toute électrisée. Des frissons de plaisir me traversent le dos rien que du fait de te parler de cela. »
« Wahou... si je m'attendais à cela ! Je ne sais pas, un ... de toi oui je le veux, mais... pas maintenant. »
Il prit sa main dans la sienne, plongea son regard dans le sien et :
« Mais, un jour... je te le promets... ! Et il sera le plus beau du monde, car il sera le fruit de notre amour. »
Il l'embrassa de nouveau et doucement, s'appuyant sur elle, il la coucha sur le dos et se redressa là pour la chevaucher. Elle se lassa faire et comme elle savait qu'il aimait la voir ainsi, elle tendit ses bras au-dessus de sa tête pour mettre ses seins en valeur. Leurs yeux brillaient de leur amour, il était subjugué par sa beauté et elle lui dit :
« Je suis tout à toi, je te promets amour et fidélité. Et ce, même si la mort nous sépare. »
Il se pencha sur elle, glissa ses mains sous son chemisier et défit les boutons au fur et à mesure de son ascension. Arrivé sur ses seins nus, il écarta le tissu ainsi libéré et posa ses lèvres sur ses deux globes de velours. Elle fermât les yeux au contact de sa langue lui caressant les tétons.
« Oh ouiii... j'aime ! »
Elle se redressa sur ses coudes et le repoussant un peu et elle releva sa jupe laissant apparaître son sexe.
Elle ne portait aucun sous-vêtement.
« Mon amour, prends-moi ! Ici et maintenant ! »
Devant une telle détermination, pour une fois, il ne pensa pas à d'abord la faire jouir. Elle voulait être baisée et c'est de ça qu'il s'agissait, elle ne voulait pas faire l'amour, elle voulait être prise ici, maintenant, par un mâle, et cela, au risque de se faire surprendre par des promeneurs égarés.
Il la repoussa sur le sol, se mit debout, fit tomber son pantalon laissant ainsi jaillir son sexe en pleine érection. Il s'agenouilla entre ses jambes, les écarta encore plus pour lui montrer qu'elle allait se faire prendre sans ménagement et brutalement d'un coup sec lui enfonça sa bite au fond du vagin. Elle sursauta, non de douleur, mais de plaisir, elle avait toujours rêvée d'être prise ainsi et la taille du sexe de son amant ne demandait aucun préliminaire pour lui procurer de plaisir. Rien que la pénétration de celui-ci remplissait son vagin et stimulait tous les points érogènes de son sexe. Son désir, l'ambiance, le danger d'être surpris et la vigueur de Marc l’amenèrent à la jouissance en un rien de temps. Et comme il continuait à la labourer encore et encore, elle jouit encore et encore, jusqu'à ce qu'il se décharge en elle et la remplisse au point que son sexe dégouline du surplus de sperme. Ils ne s'en étaient pas rendu compte, mais leurs cris, non retenu, avait attiré l'attention et un inconnu s'étant dissimulé, avait assisté à une grande partie de leurs ébats. L'heure de la pause se terminant, ils rangèrent leurs affaires pour retourner au local de physique. Ils avaient bien entendu quelques bruissements, mais quoi de plus normal, cela devait être un petit animal que s'enfuyait dérangé par leur présence.
L'après-midi se passa sans problèmes et alors qu'ils préparaient tout pour la journée du lendemain, elle lui demanda s’il pouvait s'arranger pour passe encore cette nuit avec elle ? Il prit son GSM et avertis ses parents qu'il dormirait encore chez son copain et que sa sœur viendrait le reconduire demain soir.
N'ayant aucune raison d'en douter, ils acceptèrent. Elle était heureuse et l'embrassa avant de fermer à clé la porte du labo. Ils marchaient dans les couloirs, côte à côte, quand ils croisèrent Pierre et ils le saluèrent poliment à quoi il répondit avec un grand sourire :
« A demain... ! »
Pourquoi à demain ? Ils ne s'en inquiétèrent pas et ayant rejoint discrètement la voiture, ils rentrèrent chez Fanny.
La soirée fut romantique, un bon repas préparé ensemble, un bon film agrémenté de caresses de plus en plus érotiques et pour finir une débauche d'énergie et de jouissance pendant une bonne partie de la nuit.
Le dimanche matin, ce fut lui qui se leva en premier et se rappelant le réveil du jour précédant, il retira délicatement le drap qui recouvrait le corps nu de son aimée et délicatement s'installa pour lui faire un cunnilingus et la faire jouir de grand matin. Elle avait été réveillée dès qu'il était monté sur le lit pour l'enjambée, mais elle fit semblant de dormir pour qu'il puisse lui aussi avoir la satisfaction de l'amener à un orgasme de grand matin. Et en effet, elle jouit et deux fois même. Ils se levèrent pour prendre une douche et après le petit-déjeuner, ils partirent pour l'école.
C'était dimanche et il allait y avoir beaucoup plus de monde. La matinée fut surchargée et c'est pourquoi Fanny alla à la recherche de volontaires pour les aider. Elle trouva deux jeunes qui étaient de la même année que Marc, 6ᵉ, mais pas de la même classe, elle leur demanda de venir entre 11 h 00 et 13 h 30 pour les remplacer le temps qu'ils prennent un peu repos. Il fraudra une demi-heure pour expliquer ce qu'il y avait à faire et ensuite ils auraient deux heures pour manger et se détendre. Tous se passa comme prévu et à 11 h 30, ils quittèrent le labo. Fanny proposa de retourner au même endroit qu'hier et il ne le savait pas elle avait prévu de
lui faire
une surprise. Ils récupérèrent le repas et s'enfoncèrent dans les bois. Mais cette fois, elle senti comme une présence qui les suivait et régulièrement elle se retourna cherchant quelqu'un, mais personne. Marc s’inquiéta de son attitude et elle lui fit part de son mal-être.
« Ne te tracasse pas chérie, ce sont sûrement des animaux et peut-être nous a-t-il surpris hier et il espère qu'aujourd'hui il pourra, à nouveau, se rincer l’œil ? »
Il la serra contre lui et elle se sentit rassurée. Après avoir tout installé, elle se leva et face à lui fit glisser les bretelles de sa robe, elle était nue devant lui, ses seins déjà gonflés de plaisir, ses tétons durci par l'excitation et sa chatte épilée était luisante du désir qu'elle avait. Il resta à nouveau subjugué par cette vision de rêve, mais rapidement, se leva, s'approcha d'elle et lui prit la tête entre les mains pour longuement l'embrasser. Elle lui redit son baisé, mais profita aussi de cette proximité pour déboutonner son pantalon, le faire glisser à ses pieds. Il ne portait pas de caleçon, non qu'il voulût l'exciter, mais il n'avait pas de vêtements de rechange et les strings de Fanny n'étaient pas à sa taille. Elle se laissa glisser jusqu'à avoir sa bite en face de sa bouche, elle commença par la caresser avec ses doigts puis avec sa langue, elle joua avec ses bourses, lui pressa les couilles avant d'ouvrir la bouche et de lui faire une pipe. Elle sentait qu'il aimait qu'elle s'occupe de lui tout comme elle aimait quand il s'occupait d'elle, mais pour pouvoir garder le contrôle de la situation elle ne cessa de le regarder, de chercher son regard pour pouvoir lire dans ses yeux le plaisir qu'il éprouvait. Elle discerna ainsi à plusieurs reprises qu'il allait jouir et s'arrangeait pour faire redescendre son excitation. Cela faisait quarante minutes qu'ils avaient quittés la classe et vingt qu'elle le suçait. Il n'avait pas encore joui, mais elle sentait que quoi qu'elle fasse cela allait arriver et au dernier moment elle ressorti son sexe de sa bouche et dirigea cette lance pour qu'elle lui recouvre le visage et les seins de sa semence.
Ils étaient dans leur bulle et à nouveau, ils ne remarquèrent pas cet inconnu dissimulé dans un bosquet. Il les observait et en faisant attention, ils auraient pu remarquer qu'il les filmait avec son GSM.
Mais inconscient de cela, ils continuèrent à s'offrir en spectacle. Fanny venait de vider les couilles de Marc sur elle et maintenant elle récupérait tout cela avec ses doigts les léchant au fur et à mesure qu'ils étaient recouvert de ce caviar blanc et elle termina en s'essuyant avec une lingette. Elle le couche sur le dos, s'approcha de lui et avec d’habiles coups de langue, elle redonna vigueur au sexe de son amant. Il était maintenant à nouveau au maximum de sa forme se dressant fièrement comme un mât.
« Laisse-moi faire, je voudrais essayer quelque chose ! Et l'enjamba, posa sa chatte sur son gland, d'un petit mouvement le fit glisser à l'entrée de sa rosette et s'appuyant doucement se fit enculer par ce pieu. Elle n'avait ouvert cette entrée à qui que ce soit, il lui avait offert sa virginité, et maintenant, elle lui offrait celle-ci. C'était un peu douloureux au début, certes elle mouillait comme une folle, mais une première fois avec un sexe de la taille de Marc, cela n'aurait su en être autrement. Elle grimaçait au fur et à mesure de la descente et petit à petit, la douleur s'estompait pour faire place à du plaisir. Elle finit par l'enfoncer totalement dans ses fondements et quand elle toucha de ses fesses les cuisses de Marc, elle commença un lent mouvement de vas-et-vient. À chaque descente, c'était plus facile et elle le ressentait de plus en plus. Au bout de quelques mouvements, elle ne sentait plus rien si ce n'est le plaisir précédent la jouissance monter en elle. Lui ne bougeait pas, il avait trop peur de lui faire mal, mais il ne refusa pas, car c'était elle qui en avait pris l'initiative. Il sentait qu'elle avait de plus en plus de plaisir, qu'elle allait jouir et il en était de même pour lui. Comment se retenir quand un cul vous enserre tant la bite, comme ne pas se vider quant à chaque mouvement vous avez l'impression qu'elle veut aspirer tout ce qui vous reste dans les couilles.
Ils jouirent ensemble, elle hurla.
« Ça vient... je te sens... en moi, Je sens... les spasmes de ta queue. Ouiiii Je viens, je... jouiiiis...aaaahhhh... je sens ton foutre bien chaud me remplir. Oooohhh que c'est bon !!! »
Et elle confondra épuisée par la puissance de son orgasme. Il se coucha à côté d'elle et lui caressant l'épaule attendait qu'elle récupère. Elle leva les yeux et dit :
« Je n'en n'ai pas fini ! »
Elle se laissa glisser le long de son torse et prenant sa bite en main allait la sucer.
« Mais qu'est-ce que tu fais ? Non, elle sort de ton cul ! »
« Mon amour, laisse-moi faire. Je n'ai jamais été enculée, mais j'ai déjà regardé de nombreuses vidéos. Et c'est normal. Laisse-moi goûter !? Si je n'ai pas, si je suis écœurée, je m'arrêterai ! Promit ! »
Elle ne le quitta pas du regard et enfourna sa bite en bouche, elle lécha, suça, aspira, mais elle ne s'arrêta pas.
« Mmm... ce que j'ai aimé être enculée par ta grosse bite et ce que c'était bon de te la sucer ensuite ! »
Ils étaient tout deux satisfaits et après un court moment de récupération, ils avalèrent rapidement un morceau et reprirent le chemin de l'école.
Elle remercia les deux étudiants qui les avaient remplacés et assurèrent le restant de la journée.
Ils allaient bientôt devoir se séparer, certes ils se reverraient souvent dans les jours à venir, mais ils ne pourraient pas vivre leur amour et cela leur était insupportable. Ils ne pourraient même pas montrer qu'ils sortaient ensemble, cela risquerait de détruire la carrière de Fanny et même de lui poser des problèmes avec la justice. Ils repassèrent à son appartement pour faire l'amour une dernière fois avant qu'elle ne le reconduise. Elle le déposa devant chez lui et après un dernier baisé elle parti.

Mais qu'allaient-ils faire ? Qui était cet inconnu ? Que voulait-il ? ...

À suivre...

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