Cherche Fantasmes Pour Épouse Pudibonde 4

Le lendemain matin, notre époux, est réveillé le premier. Une dure journée l’attend et cela le contrarie fortement car il ne va pas pourvoir surveiller son épouse chérie. Bien sûr, il est tout excité d’imaginer qu’elle va certainement se jeter dans les griffes de cet obsédé.
Juste avant de partir, il jette un regard plein de concupiscence sur le corps de sa femme, alanguie dans le lit après la nuit d’amour qu’ils viennent de partager. Les draps ne couvrent que ses cuisses laissant ses fesses nues. Il aurait voulu que le beau-père puisse voir ce spectacle. Aussi, il se saisit de son portable et prend quelques clichés du spectacle de sa femme à moitié nue sur le lit. Sur le point de quitter la maison, il est tout excité. Pris soudain d’une envie, il remonte à l’étage. Dans la chambre, Chantal dort toujours. Elle s’est tournée sur le dos. Les draps repliés ne cachent plus rien de sa belle poitrine que sa position étale à peine tant elle est ferme. Il ne peut s’empêcher de reprendre son portable. Poussé par une envie de plus l’exhiber, il tire sur les draps pour dévoiler ses jambes et sa chatte. Il multiplie les clichés, imaginant le désir qu’ils vont éveiller chez son complice. Son pubis n’est pas entièrement rasé. Un fin duvet brun dessine un triangle parfait juste au dessus des lèvres charnues parfaitement dégagées. Sa jambe repliée sur le côté ouvre l’entrée de son intimité. Le mari est surpris de voir sourdre quelques gouttes de sa liqueur d’amour. Il se laisse aller à imaginer qu’elle est peut-être bercée par un rêve érotique. Affublé d’une érection qui n’a rien de matinale, il quitte la chambre bien décidé à exploiter ces images.
A peine a-t-il tourné les talons que Chantal ouvre discrètement un œil. Dans un demi sommeil elle a bien vu le manège de son cochon de mari. Elle s’est bien gardée de se manifester.
Elle réalise qu’elle a ressenti une sensation particulière et nouvelle pour elle en entendant les clics du portable de son mari.

Elle ne peut plus se cacher qu’elle est en train de changer. Le poids de son éducation commence à s’estomper et une nouvelle vie se profile pour elle. En cet instant elle sentait une sorte de chaleur envahir son corps. Petit à petit elle se mit à onduler des hanches, soulever son ventre, le projeter vers des mains imaginaires. Très vite sa main se glisse entre ses cuisses et ses doigts entrent délicatement au contact de son sexe dont elle perçoit l’humidité. Doucement elle s’abandonne à cette caresse solitaire.
Elle a encore peu l’habitude de se caresser pour son propre compte. Si elle s’est adonnée à cette caresse, c’était à la demande de son mari. A ces moments là, elle ressentait une profonde honte qui bloquait toute velléité de plaisir ou de jouissance. Elle sortait toujours de ces séances avec un sentiment de culpabilité qu’elle allait rapidement tenter de « laver » par une confession aussi sincère que possible.
Dans ces moments là, raconter en détails ses abandons, même si elle pouvait ne pas s’en ressentir responsable (elle ne faisait qu’obéir à son mari, comme sa maman le lui avait conseillé), la plongeait à nouveau dans un sentiment d’humiliation. Elle ne pouvait oublier et effacer la présence de l’homme derrière le grillage, qui se prétendait investi d’une mission divine avec le pouvoir de pardonner. Elle s’appliquait naïvement à décrire avec précision ses péchés, utilisant volontairement des mots crus, persuadée qu’ils étaient indispensables à l’absolution, tout empreints de vérité et de sincérité.
Elle ressortait cependant légère de ces moments passés à se faire blanchir. Bien sûr elle ressentait un certain malaise quand elle croisait l’homme d’église qui avait reçu sa confession. Il avait beau n’exprimer que discrétion et même indifférence en public, il n’en était pas pour autant au courant des dévergondages initiés par son mari. Une fois même, il en avait fait allusion, et proposé de recevoir cet époux malfaisant en confession. Elle avait rougi et avait promis, les yeux baissés, d’en parler à l’intéressé.
Elle avait vite tourné les talons et s’était enfuie submergée par la honte.
Ce matin là dans son lit, elle ne ressent aucune honte. Au contraire, la chaleur qui envahit son corps l’exhorte à poursuivre. Ses doigts au début maladroits, comprennent vite où se trouvent les zones à l’origine du plaisir. Ce petit renflement, juste au dessus des petites lèvres, qui gonfle, gorgé de sang. Le toucher est à l’origine de frissons qui gagne toutes les parties de son corps. Puis ce liquide chaud, très odorant qui s’écoule de plus en plus abondant à mesure que son plaisir croit. Le plaisir monte lentement, comme sa respiration s’accélère, puis de plus en plus fort jusqu’à l’explosion de son orgasme. Elle se surprend pour la première fois à crier, libre d’exprimer ce qu’elle ressent. Elle se sent heureuse.
Après quelques minutes pour reprendre son souffle, ses pensées vont à son mari, à ses parents. Son mari à qui elle se rend compte qu’elle a volé une jouissance. A ses parents, qu’elle a trahis mais dont elle sait qu’ils lui pardonnent.
Elle se lève et passe à la salle de bain. Elle s’y rend nue en signe de libération. Finie la pudeur, c’est une autre femme qui est née. L’idée de péché ne l’effleure pas.
Elle est encore sous la douche quand le téléphone sonne mais n’entend pas la sonnerie. Son mari qui appelle tente de lui parler pour la sonder sur ses intentions. Quand il raccroche, dépité, il est envahi d’un sentiment de jalousie. Sa femme lui ment ! Petit à petit cette idée fait son chemin dans sa tête. Les preuves s’accumulent. Il n’a pas envie d’endosser la corne du cocu. Bien sûr il est à l’origine de cette situation qui lui échappe. Après quelques minutes de réflexion, il se décide à appeler son complice, le beau-père. Il a en tête de lui parler des images qu’il a prises ce matin. Cette fois encore, il n’a pas de réponse. Il est bientôt 11 heures quand il tente, en vain, une seconde fois chez lui, puis auprès du beau-père.
Ce qu’il ne sait pas, c’est que Chantal a décidé de rester muette.
Le numéro affiché est bien celui de son mari, il suit celui de son cavalier. Coquine et perverse, elle joue avec les deux soupirants. Elle ne se reconnait plus. Elle se sent le cœur léger, en accord avec ses sensations. Heureuse, elle chantonne dans sa chambre à la recherche d’une tenue. Classique mais sexy, elle arrête son choix sur un tailleur gris anthracite, à la veste fermée par seulement deux boutons et une jupe qui lui couvre à peine ses magnifiques cuisses. Elle passe des escarpins mi talons que de fines lanières laissent presque nus ses fins pieds. Dessous, elle passe un léger chemisier de soie de couleur bleu nuit, presque transparent. Elle hésite longtemps pour les dessous. Finalement elle renonce au soutien gorge, laissant libre ses seins, mais passe une fine culotte de coton blanc. Tout de suite le contact des pointes de ses seins contre la soie du chemisier lui procure une délicieuse sensation de plaisir. Elle se dirige vers le petit secrétaire dans sa chambre, là où sont rangés ses bijoux. Elle fixe son choix pour un collier de perles qui plonge profond dans son décolleté coquin et un bracelet de nacre.
Elle est belle. Elle conjugue à ce moment élégance et charme. Elle en arrive à se demander si ce n’est pas trop pour exciter ce vieux cochon avec qui elle va, soit disant déjeuner, uniquement pour échanger des idées !
Il est midi quand le téléphone se manifeste. Cette fois c’est son rendez-vous. Elle est prise de panique, sa main tremble quand elle finit par décrocher.
- Bonjour Chantal. Vous n’avez pas oublié j’espère !
Troublée elle ne sait quoi répondre.
- Allo ? Insiste-t-il.
- Oui ! Bonjour. Heu, non je n’ai pas oublié.
- Très bien, je vous attends dans une demi heure. Vous n’avez rien dit à votre époux n’est-ce pas ?
Cette remarque la déstabilise. Ses vieux démons réapparaissent. La honte, la luxure, son éducation… Elle est obligée de constater que le vent de liberté qui semblait souffler depuis peu chez elle était loin d’être stable et installé.

Il lui faut quelques longues secondes pour répondre.
- Non, je n’ai rien dit. Vous m’avez promis d’être sage, n’est-ce pas ?
- Mais oui Chantal ! Soyez tranquille. Juste parler. J’ai envie de vous connaître.
- Très bien. Je vous fais confiance.
A peine a-t-elle raccroché qu’elle se rend compte de sa sottise. Comment peut-il croire en son innocence quand elle vient de faire une allusion à se tenir sage, sinon de penser le contraire. Elle n’aurait jamais dû accepter ce déjeuner. Par contre, elle ne peut ignorer qu’elle sent qu’elle est en train de mouiller sa culotte. Ce vieux cochon la subjugue. Rien que le son de sa voix la met dans une situation de soumission.
Lui n’en croit pas ses oreilles ! Quelle candeur ! Il est assuré que déjà, dans la tête de la jeune femme, des idées lubriques se bousculent. Il a très bien saisi l’ascendant qu’il a sur elle. D’abord, la baiser. Et à l’insu du cocu.
Ce dernier est bien retourné à son domicile pour comprendre le silence de son épouse. Un rapide tour dans la chambre pour réaliser que la dame s’est joliment habillée pour sortir. Fou de rage et d’excitation alimentée par la jalousie, il s’en retourne au bureau.
Quand Chantal franchit la porte tournante du restaurant, elle est sublime. Son raffinement, sa grâce attirent tous les regards. Deux serveurs se précipitent pour lui prendre son vestiaire. Le beau-père, qui vient de l’apercevoir se lève, subjugué à son tour et reste interdit. Rien à voir avec la jeune femme timide et sotte qu’il a rencontrée l’autre soir avec son mari. Il se précipite pour la recevoir, comme si on allait la lui voler. Elle sent son regard vicieux se porter sur ses formes. Déstabilisée, elle se force à sourire et affiche une désinvolture feinte. Car cet homme âgé la trouble.
Ils s’installent sur une table à l’écart. Tout de suite il la complimente pour sa beauté. Elle rougit ravie, et reste attentive à bien se conduire. Le serveur qui prend les commandes montre un zèle outrancier pour manifester son intérêt pour la belle. Notre beau-père est aux anges. Il sait que les hommes qui déjeunent aimeraient bien être à sa place. Surtout les jeunes qui ne doivent pas manquer de penser qu’une si belle femme est bien mal assortie avec ce vieux beau !
Pendant tout le repas, il tient parole et reste très correct. Chantal se détend et plus les minutes passent, plus elle se rassure. Par moments, elle se laisse à penser qu’elle aimerait qu’il se lâche. Il faut dire qu’il n’a pas lésiné sur les vins après un apéritif en guise de bienvenue. Chantal qui n’a pas l’habitude de boire est déjà un peu pompette. Mais tant pis. La liberté ! Si bien qu’elle est presque pas surprise quand elle l’entend lui dire.
- Chantal, j’ai envie de vous.
Au lieu d’être choquée, elle se met à rire avec élégance.
- Allons, vous m’avez promis d’être sage.
Alors comme dans un nuage, elle poursuit.
- Vous êtes un coquin. Vous me savez mariée et vous me faites la cour. Et qui vous dit que je suis prête à m’abandonner ?
- Votre regard, Chantal. Il en dit plus que vos lèvres.
- Et que dit ce regard ?
- Que vous aussi vous avez envie de moi. Allons chez moi. Votre époux n’en saura rien.
- Comme vous y allez ! Vous semblez bien sûr de vous.
- Allez, vient, ne perdons pas de temps.
Cette fois le ton accompagné du tutoiement est devenu autoritaire. Elle est surprise et en même temps l’ascendant de cet homme sur elle, se précise.
Elle garde le silence qu’il prend pour un accord. Il appelle le garçon et règle l’addition. Quand elle se lève pour le suivre, sa tête tourne. Il la soutient par la taille et leur sortie est très remarquée. Elle n’oppose aucune résistance quand il l’installe dans son auto qu’un voiturier vient de lui apporter. Il prend sa place derrière le volant et remarque que le garçon les a suivis pour s’assurer qu’il ne rêve pas. Avec le voiturier ils ne peuvent que constater que le vieux est bien en train de « lever » cette femme sublime. Alors par fierté et poussé par son orgueil de mâle, il se penche vers elle et lui vole un baiser. Chantal ne réagit pas. Elle est soumise et prête à l’abandon. Elle sait déjà qu’elle va se laisser prendre par cet ignoble porc et que cette idée l’excite. Toujours en spectacle devant les deux voyeurs, elle le laisse ouvrir la veste de son tailleur, défaire un puis deux boutons de son chemisier pour faire jaillir un sein en pleine lumière. Le garçon ne rate rien du spectacle. Elle se laisser exhiber par lui. Son mari l’a fait bien souvent mais contrainte et e, elle n’y trouvait aucun plaisir, bloquée qu’elle était par ses principes d’éducation. Mais là, tout lui semble différent et la chaleur qui envahit son ventre en est le témoin.
Lui n’en revient pas qu’elle se laisse peloter et montrer en public. Il pense que l’alcool y est pour beaucoup, aussi il faut assurer maintenant. Quand il démarre, la jeune femme se laisse aller contre le dossier de son siège et ne se rend pas compte que plusieurs passants contemplent son sein qu’elle a laissé nu, pas plus que son téléphone portable qui sonne dans son sac.
(à suivre)

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