Cherche Fantasmes Pour Épouse Pudibonde 5

Chantal se retrouve dans le salon d’un appartement de luxe et toute son assurance s’envole. Elle réalise qu’elle est sur le point de tromper son mari pour la première fois. Elle a bien eu envie plusieurs fois de profiter de sa complicité pour se laisser aller à la débauche mais à chaque fois elle avait refusé malgré son insistance.
Le beau-père, lui, ne remet nullement en doute ses objectifs. Il veut baiser cette femme si inaccessible au demeurant.
Il a aussi compris qu’elle avait besoin d’être bousculée et déculpabilisée. Aussi il décide de prendre un comportement autoritaire pour la soumettre à ses envies.
Chantal se tenait droite devant lui, les jambes tremblantes. Au milieu de la pièce, interdite. Elle ne s’était toujours pas aperçue que son sein était toujours dégagé de son chemisier, exposé à la vue de tous et de ce cochon en particulier. C’est dire le niveau de son trouble depuis la sortie du restaurant et l’épisode du voiturier et du serveur.
Le vieux s’approcha d’elle et la panique la saisit. Il la prend par les épaules et la fait tourner sur elle même, laissant le sein sorti. Il la contemple avide de désir, goûtant par avance le délicieux jouet dont il allait enfin profiter. Il a à ce moment une pensée pour le cocu, vite accompagnée d’un sourire de mépris. C’est juste à ce moment que son portable se met à vibrer, silencieux. Cette fois encore c’est le numéro du cocu qui s’affiche. Il a bien reçu les précédents appels mais il n’avait pas voulu répondre de peur que ce couillon ne change d’avis et ne décide de récupérer son bijou de femme. Mais là, c’est différent. La belle est presque dans son lit et dans peu de temps il va se la faire. Il décide de répondre en mettant, le pervers, le haut parleur pour permettre à la belle soumise d’entendre son tendre époux qu’elle s’apprête à cocufier !
- Oui ? Répond-il en décrochant.
- Ah enfin ! Raille le mari. Vous avez contacté Chantal ?
- Oui, bien sûr, comme je vous l’ai dit.


La jeune femme se sent mourir quand elle reconnaît la voix de son époux. Elle entend le sang battre ses tempes. Elle cherche le moyen de fuir, de fuir cet endroit de son adultère pas encore consommé mais si près de le faire.
Le beau-père qui comprend son trouble lui saisit fermement le bras et l’attire contre lui afin qu’elle entende bien ce qui se dit. Elle est livide, ses lèvres sont habitées d’un léger tremblement.
- Et où en êtes-vous ?
- C’est bien simple, votre épouse est à mes côtés et je me propose de la baiser, comme nous en étions convenus.
Chantal n’en croit pas ses oreilles. Elle avait bien soupçonné la complicité entre les deux hommes depuis cette fameuse soirée mais à ce point !
- Comment à vos côtés ? Passez-la moi.
- Allons cher ami, calmez vous. Je ne fais que ce que vous m’avez autorisé à faire. D’ailleurs, et c’est sans doutes un de vos fantasme que vous allez vivre en direct : la manière dont votre chérie va vous cocufier.
Il pose son téléphone sur la tranche, enclenche la caméra intégrée et baisse le son pour ne pas entendre les vociférations du cocu sachant que lui entend en direct ce qui se passe dans la pièce.
Lentement il s’approche de Chantal et la tourne vers la caméra pour montrer le sein nu. La jeune femme est troublée, incapable de réagir. Elle a peur mais ne craint pas cet homme. Derrière elle, il l’encercle et s’empare du sein dénudé. Il adresse un clin d’œil à la caméra, accompagné d’un léger sourire moqueur. Puis lentement il déboutonne entièrement le chemisier laissant Chantal apparaître nue jusque la taille. Il lui caresse les deux seins, jouant avec les pointes qui se dressent. L’épouse se sent envahir par la chaleur du plaisir. Elle tente bien de se contenir, consciente que son époux assiste à sa débauche. Mais toute résistance cède quand le vieil homme entreprend de dégrafer la jupe qui tombe à ses pieds. Puis fébrilement il fait glisser la petite culotte de coton découvrant le sexe bien dégagé mais qu’un fin duvet couronne en forme de triangle au sommet des lèvres qui sont déjà luisantes de cyprine.

Chantal s’abandonne au désir de cet homme. Elle efface tous ses principes d’éducation. Seul son plaisir commande son comportement. Elle sent le souffle chaud de l’homme dans son cou. Elle passe une main derrière elle pour lui saisir la tête et la coller contre elle. Ce geste tout emprunt de tendresse, elle le sait, ne doit pas échapper à son mari. Elle manifeste l’envie, l’envie de se donner à cet homme à qui il l’a livrée. Elle se sent délivrée de tout engagement vis à vis de lui. Mais surtout vis à vis de son éducation. Elle aime à se sentir devenir pute, salope comme elle en a si souvent rêvé.
De l’autre côté du téléphone, le mari n’en croit pas ni ses yeux ni ses oreilles. Les gémissements de Chantal lui parviennent clairs, sans ambigüité. Il réalise qu’elle ne s’inquiète nullement de son existence. Il bande bien sûr, car quelque part il réalise un de ses fantasmes, même s’il n’avait pas imaginé être exclu de la débauche de sa femme.
Notre beau-père lui est aux anges. Il se sent à l’étroit dans son pantalon. Il a bien compris le geste de la jeune femme qui l’a attiré à elle pour lui signifier son désir. Il en vient presque à regretter qu’elle se laisse aller aussi vite. Il n’aurait pas été contre un peu de résistance pour déployer ses arguments autoritaires. En cet instant il lui malaxe les seins sans aucun ménagement. La belle soupire et gémit. Elle vient de glisser une main dans son dos et lui caresse le sexe au travers de son pantalon. La salope est chaude. Il abandonne un sein et descend une main qui s’empare du sexe maintenant tout humide de l’épouse infidèle.
- Tu as envie de baiser, hein ma salope !
- …
- Dis-le à ton cocu de mari. Il doit se branler à mater sa gentille bourgeoise nue dans les bras d’un autre qui va la sauter dans un instant. Dis-lui que tu aimes.
Car le beau-père jouit aussi de cocufier ce mari qui lui paraît si imbu de lui et plein d’assurance sur la fidélité de femme.
- Dis-lui, pour lui faire plaisir.
Il te le demande aussi.
- Oui mon chéri.
- Oui quoi ?
- J’ai envie qu’il me prenne.
- Mieux que cela salope !
- J’ai envie qu’il me baise.
Quand il entend ces paroles le cocu ne peut empêcher l’éjaculation spontanée qui déverse son sperme dans son slip. Il jouit longtemps, longuement. Puis il sent le liquide chaud couler le long de ses cuisses. Il lui faut un long moment pour reprendre ses esprits. Quand il ouvre les yeux, il voit Chantal les mains appuyées sur une table au milieu du salon, les fesses tendues vers l’homme qui derrière elle est en train de lui pilonner le sexe. Il laboure avec une violence inouïe cette femme qui est la sienne. Il ne peut ignorer qu’elle jouit aussi. Le salaud l’a placée de profil pour lui offrir le meilleur angle pour profiter du spectacle. Il réalise aussi que sa femme n’est pas en reste pour offrir au vieux cochon de quoi se vautrer dans le stupre. Elle a passé une main entre ses cuisses et s’est emparée des couilles du vieil homme qu’elle malaxe avec ferveur. Si ce n’est pas de la complaisance…
Soudain, il voit Chantal se cabrer et tendre ses fesses vers la bite qui la transperce. Au même moment l’homme se cabre et pousse un cri de bête sauvage.
- Tient salope, prend ça !
En plusieurs coups de rein il déverse sa semence dans le vagin de la jeune femme également sous l’emprise de la jouissance. Une fois la dernière poussée achevée, il reste planté au fond du sexe profané pour goûter quelques instants encore la chaleur du ventre féminin.
Repus, ils se séparent. L’homme se rajuste. Chantal s’apprête à le faire également mais le vieux cochon lui garde sa culotte.
- Tu vas rentrer le cul nu ma belle. Pour exciter ton mari qui va imaginer tous ces regards braqués sur ton fion alors qu’il ne peut pas en profiter.
Il s’approche du téléphone, le cocu est toujours là, le regard furieux.
- J’espère que tu as bien joui du spectacle.
Puis s‘adressant à Chantal.

- Demain soir je te veux ici. Je vais t’offrir à mes potes. Ils ont déjà pu se faire une idée de tes appâts et du plaisir qu’ils vont pouvoir en tirer. N’est-ce pas cher ami ?
Et il raccroche sans donner le temps au cocu de répondre. S’adressant à Chantal :
- Tu vas connaître des moments de pure folie sexuelle.
Chantal affolée n’ose pas répondre. L’excitation passée, les principes reprennent le dessus. Elle s’avoue qu’elle a honte de s’être laissée baisée aussi facilement. Et le prétexte de savoir son mari complice n’a plus de sens à cette minute. Elle pense à ses parents et ce qu’ils penseraient d’elle s’ils la voyaient dans cette débauche. Elle quitte le domicile du beau-père complètement déstabilisée mais parcourue des mêmes sensations qui l’ont conduite ici ce matin même.
(à suivre)

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