Cherche Fantasmes Pour Épouse Pudibonde 9

Louis l’a redressée pour la faire s’asseoir comme au début de la soirée face aux ombres.
Le troisième à sortir de l’ombre est un grand jeune homme.
Chantal le trouve beau et séduisant. Il a sorti sa bite et se caresse lentement en s’approchant d’elle. Il la saisit aux hanches et la fait descendre du tabouret. Il lui détache sa robe qui tombe à ses pieds. Elle est maintenant entièrement nue à l’exception de ses chaussures, devant cette assemblée d’ombres. Elle est fatiguée mais son envie de jouir est de plus en plus prégnante. Elle se rend compte qu’elle a envie d’une queue dans son ventre.
L’homme se place derrière elle et la prend par les deux bras. Il sent bon et son désir pour lui s’accroît. Il la pousse devant lui et lui demande d’écarter les jambes. Les bras tendus derrière elle, crucifiée, les seins dressés devant elle, elle se trouve cambrée, le ventre en avant exposée aux regards lubriques.
- Tu as envie de quoi Chantal ?
Sa voix est douce, avec une intonation langoureuse.
- J’ai envie de faire l’amour.
- Avec moi ?
- Oui !
- Là, tout de suite devant tout le monde ?
- Je ne sais pas.
- Comment tu ne sais pas. Cherche bien dans tes envies.
- Non, j’ai honte. Je voudrais être seule avec vous.
- Et ton mari, tu y penses ?
- Non !
- Tu veux que tout le monde sache ici que tu es une femme infidèle ?
- Ça m’est égal, j’ai trop envie.
- Tu voudrais qu’il te traite de trainée ?
- Non !
- Pourtant, Chantal, tu es une trainée, non ?
- Oui.
En disant cela Chantal sait bien que son mari est peut-être là, témoin de sa trahison. Mais tant pis pour lui. Elle a envie de cet homme qu’elle vient tout juste d’apercevoir. Son ventre le réclame.
Elle sent soudain la queue de l’inconnu se presser entre ses fesses. Involontairement elle se tend vers elle. Il ne lui faut pas beaucoup à attendre avant que d’un coup de rein il la pénètre.

Elle pousse un petit cri, mélange de surprise et de plaisir. Alors l’homme après un moment pendant lequel il reste planté au fond du vagin de sa prise, il entreprend des va et vient de plus en plus rapide pour d’un seul coup exploser dans le ventre de la femme en de longues giclées de foutre. Il ne lui a pas fallu longtemps pour jouir. Il a eu tout juste le temps de la désirer. Sans aucune considération pour la jeune femme, il dégage sa bite et laisse l’abandonne au milieu de la pièce jambes écartées.
Le foutre déborde lentement des lèvres écartelées et glisse le long des cuisses. Chantal laisse échapper un sanglot de déception et reste figée droite au milieu de la pièce. Une forte odeur de sexe embaume maintenant l’atmosphère. Cette odeur stimule ses sens. Elle avait espéré mieux de cet accouplement avec ce jeune homme qui lui plaisait bien.
Louis s’est approché d’elle et brutalement lui plaque la paume d’une main contre sa chatte. Elle sent qu’il introduit son majeur et racle les parois de son vagin pour y recueillir le sperme de son ami. Triomphant il brandit son doigt vers l’assistance en clamant :
- Regardez ce qu’il lui a mis. Elle est pleine de foutre.
Et sans attendre, il lui donne son doigt à sucer.
- A qui le tour, lance-t-il ?
Deux ombres bougent en même temps. Quand elle peut les distinguer dans la lumière, elle reconnaît le collègue de son mari chez qui elle a rencontré Louis, le beau-père. Celui-là même qui est son maître de cérémonie du moment. Elle se rend compte alors du chemin parcouru et ne peut s’empêcher de se réjouir de ce qu’elle est devenue maintenant. Une salope qui prend plaisir à s’exhiber, à exciter les hommes et à se faire prendre en dépit de toute prudence. Elle sait à ce moment qu’un retour vers ce qu’elle était sera impossible. Les sensations reçues sont marquées à jamais dans son subconscient. Elle aime la bite et veut jouir, jouir. Un des deux hommes la saisit sous les bras, l’autre, aux chevilles tous les deux la soulèvent.

- Louis, dégage le dessus de ton bar !
Délicatement, ils allongent la femme nue sur le zinc. Chantal frissonne au contact froid du métal. On lui soulève la tête pour la poser sur un petit coussin. Cette délicate attention la touche.
Un des deux hommes passe derrière le bar, l’autre repousse le tabouret et vient tout contre le corps étendu.
Des lèvres se posent sur la pointe d’un sein. Puis sur l’autre, une autre bouche. Ces baisers l’enivrent. Des frissons lui parcourent tout son être. Elle ne sait plus qui elle est et où elle se trouve. Elle se désincarne sous ces caresses. Deux mains s’emparent d’une jambe et effleure avec légèreté l’intérieur de ses cuisses. Du bout des doigts. Chaque main accompagne sa complice. C’est démonique ! Puis les doigts se font plus lourds, les caresses deviennent des massages. Une main se pose sur sa toison. Un doigts furette discrètement l’entrée de sa grotte. Elle se laisse emporter vers des rêves de jeunesse, quand ses propres doigts éveillaient de nouvelles sensations, qu’elle refreinait car elle imaginait qu’elles étaient interdites.
Mais ici ces caresses, ces doigts la mènent vers la débauche des sens. Vers la jouissance. Ces débordements qu’elle appelle de toute son âme. Elle sent qu’elle se transforme, de femme frustrée, elle devient femelle épanouie dont les sens s’ouvrent à de nouveaux horizons.
Et d’un seul coup, elle s’entend crier sans pudeur qu’on a prenne, qu’on la baise. Elle emploie ces mêmes mots crus qu’hier elle refoulait.
Les deux hommes qui la caressent sentent qu’elle est chaude. Ils la prennent un aux chevilles, l’autre sous les bras. La lèvent et lentement la déposent à leurs pieds sur une table basse sur laquelle Louis vient d’étaler une couverture. Ses jambes et sa tête débordent. Chantal est juste au niveau des sexes de ses amants.
Un des hommes se positionne à sa tête. Il la saisit sous le menton et lui tire le visage en arrière. Dans cette position, le cou en hyper-extension, elle offre sa bouche à la bite qui se présente.
Le gland décalotté, l’homme commence par lui caresser les lèvres d’une commissure à l’autre. Doucement, religieusement. Le liquide séminal qui s’échappe du méat laisse une trace brillante en glissant sur le rouge carmin des lèvres. Le masque bien fixé ne gêne en rien les mouvements de la bite. Chantal, que plus rien ne semble choquer, lève une main qu’elle glisse entre les cuisses de l’homme qui la surplombe pour se saisir des couilles qui pendent juste au dessus de ses yeux. Elle les caresse d’abord puis les malaxe avec délicatesse. Puis on la voit entrouvrir sa bouche pour sortir d’abord timidement, puis activement la pointe de sa langue pour effleurer le gland qui parcourt ses lèvres, offrant à l’homme un plaisir inattendu. Puis les lèvres s’écartent, la bouche s’ouvre comme un appel à pénétrer. L’homme introduit d’abord son gland puis dans une poussée violente, enfonce son dard dans la bouche béante. La bite est longue et large, la bouche écartelée s’ouvre pour que le gland atteigne le plus profond de sa gorge, à lui faire manquer d’air. Le profil de la colonne de chair est visible le long du cou tendu de la jeune femme. Chacun dans la salle voit nettement son empreinte.
Chantal a un haut le cœur mais très vite elle se ressaisit et accueille cette colonne de chair, qui maintenant lui baise la bouche en des mouvements lents mais puissants. Son amant se penche sur elle pour lui caresser les seins.
Son complice, placé entre les cuisses pendantes au dehors de la table lui prend les jambes et les poses sur ses épaules. Ecartelée, elle lui ouvre son sexe. L’homme est assez grand ce qui a pour effet de lui soulever le bassin lui faisant prendre une position encore plus impudique. Elle sent qu’il lui glisse son membre entre les fesses, jouant tout à tour avec sa chatte et son anus. Elle a peur qu’il l’a prenne par ce dernier orifice. Elle est encore vierge. Seul le doigt tout à l’heure a son anus. Mais le gland qu’elle sent à cet endroit est trop gros. Elle a peur d’être déchirée.

Mais l’homme veut sa chatte, veut sa grotte intime, encore toute souillée du foutre de son prédécesseur. Dans cette position elle se sent plus offerte et plus vulnérable encore, comme jamais elle ne l’a été. D’un seul coup, la bite s’enfonce en elle et vient butter le fond du vagin, contre son utérus.
Enserrée entre les deux hommes qui la baisent, elle ne met pas longtemps à sentir la jouissance monter, la submerger.
Sans plus aucune pudeur, elle s’abandonne aux assauts de ses amants. La salive déborde de ses lèvres mais laissent entendre des gémissements de plaisir. Elle arque boute son bassin pour offrir son ventre aux coups de queues. Elle n’a plus rien de cette femme timide et réservée qui est entrée dans cette salle deux heures auparavant.
Le mari toujours voyeur et caché n’en revient pas. Il souffre de voir sa femme utilisée comme objet par ces mâles qui profitent de son corps. Mais surtout c’est son abandon qui lui fait mal. La jalousie le tenaille car il comprend qu’il ne pourra plus avoir le contrôle de la sexualité de son épouse.
Et puis soudain les deux hommes poussent des râles. On devine qu’ils se déversent simultanément l’un dans la gorge, l’autre dans le vagin de leur proie. La tension est extrême dans la salle. Louis penché sur les seins de Chantal se branle et éjacule sur la femme allongée devant lui. Les jets de sperme échouent sur les seins, le ventre.
Couverte et remplie de foutre, la jeune femme est laissée quelques minutes allongée sur la table basse. Les deux hommes regagnent leur place dans la pénombre de la salle.
Elle récupère lentement. Son orgasme a été violent. Elle a avalé la totalité du sperme, mais entre ses cuisses il s’échappe d’entre ses lèvres dilatées luisantes et rouges.
Quelque part elle se sent fière maintenant d’avoir excité et fait jouir tous ces hommes. Elle sait que plus rien ne sera comme avant. Elle a goûté à la débauche et les réponses de tout son corps à ces sollicitations lui redonnent confiance en elle.

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