Méfiance ...

J’aurais dût me méfier lorsque mes trois copines m’ont invitée à les rejoindre chez l’une d’elles dont les parents sont partis en weekend, quand je dis ‘copines’ je dirais plutôt que je suis leur souffre-douleur, elles s’amusent de ma naïveté et se moquent souvent de moi … pourquoi ? tout simplement parce que contrairement à elles qui sautent sur tout ce qui bouge je suis encore vierge, et pourtant je fais invariablement le même rêve, un garçon me déshabille avec amour et m’amène à lui céder, je ne vois pas son visage, mais c’est un moment merveilleux lorsqu’il s’allonge sur moi brandissant une verge que je trouve très grosse et très longue, disproportionnée par rapport à son physique fluet, ma main s’en empare pour la guider redoutant une vive douleur, pourtant une fois l’hymen rompu mon vagin l’accepte avec une immense satisfaction … la jouissance me réveille la vulve en eau, mais dès le matin plus question de me laisser approcher par un de ces idiots boutonneux
Maéva, Ariane et Cloé m’accueillent avec une gentillesse qui ne colle pas avec leurs habitudes, je me méfie …
- Ah te voilà enfin Aline
- Soit la bienvenue
- Merci les copines…
- Nous allons bien nous amuser
- Met toi à ton aise ma chérie !
- nous somment seules cet après-midi ?
- Ohhh y’a que mon frangin mais il est renfermé dans sa chambre et timide comme il est nous n’allons certainement pas le voir de sitôt
- Si nous faisions un jeu ?
- Lequel ?
- Tu n’as pas une idée Aline ?
- Non et vous ?
- J’sais pas …si nous échangions nos vêtements ?
- Boff
- Ou à cache-cache ?
- Moi je propose que nous comparions nos poitrines …
- Ah ? pourquoi pas, comme ça nous échangerons nos vêtements en même temps ?
- C’est d’accord … tu fais la tronche Aline ?
- Non-non ça va, et si ton frère venait Maéva ?
- Impossible j’te dis, et puis tel que je le connais à dix-sept ans il doit se masturber en pensant à nous ! aller, je commence ….


- Je te suis …
Dans l’impossibilité de refuser, je dépatte lentement mon corsage, les trois autres filles font tomber leur soutien-gorge en me défiant du regard, et là je jubile …
- Mince alors … vous avez vu les nichons d’Aline ?
- Je ne l’aurais pas cru …
- Quelle belle paire
- Et tu caches ça aux garçons ? quel gâchis !
- Qu’attends-tu pour te faire sauter ?
- J’ai tout mon temps …
- Tu ne sais pas ce que tu perds
- Une bonne queue c’est vachement bon !
- Et nos toisons pubiennes ? on les compare aussi ?
- Au point où nous en somment …
- C’est rigolo, une brune, une blonde une châtain et … une rousse, c’est encore Aline qui a les plus beaux poils
- Ils sont quasiment rose … c’est chouette
- Ça suffit ! elle n’est pas plus belle que nous ! vous aimez ses taches de rousseur sur le nez ?
- Ça lui donne du charme je trouve …
- Maéva ? que fais-tu ? laisse mes vêtements voyons !
- Tu n’en as pas besoin pour l’instant, si tu obéis et réussi le gage que je te propose je te les rends
- Qu’as-tu encore inventé ?
- Nous te bandons les yeux tu devras nous retrouver dans la maison
- Oh c’est fastoche, tu vas nous trouver en deux minutes
- Qu’on en finisse, têtues comme vous êtes vous ne céderez pas, bandez moi les yeux que je puisse me rhabiller rapidement
- Bravo ! tu es courageuse toi au moins
- Aiiiiie ! ne serre pas si fort
- Ne triche pas hein ? tu vois ma main ?
- Non ….
- Laisse-nous trente seconde … top ! vas-y cherche nous !
Me fiant aux murmures que je perçois je quitte la chambre les bras en avant…le fait de me balader nue finit par me plaire, ne suis-je pas la plus belle ? alors pourquoi me priverais-je de montrer mon corps à ces filles perfides ?
- Vous êtes où ?
- Par iciiiiiiiiiiii …. Viiiiiiieeeeeennnnnnnnt ….
- Je vais vous trouver les filles ! mais ? que faites-vous ? ne me poussez pas ainsi !
Je suis littéralement propulsée dans une pièce dont la porte est immédiatement refermée, aussitôt une voix masculine me fait sursauter …
- Alors elles t’on piégées aussi ?
- Quoi ?
- Ôte ton bandeau tu es arrivée là où elles voulaient que tu sois
Devant moi le frère de Maéva aussi nu que moi est assis sur son lit, je me retourne essayant de d’ouvrir la porte en vain, anéantie je me retourne les bras croisés sur ma poitrine face à Adrien qui parait soumit
- Maéva et ses copines ont décidées que nous devions perdre notre virginité ensemble
- Elles sont folles ?
- Tu le sais mieux que moi !
- Assied toi sur mon lit nous avons le temps de discuter avant que nos tortionnaires se préoccupent de nous
- Je suis confuse …
- Moi je suis agréablement surpris par ta beauté
En disant ceci il se lève et là tout devient clair … c’est exactement la silhouette masculine que je vois dans mes rêves, longiligne, voire frêle mais entre ses jambes se balance mollement la même verge démesurée qui m’a dépucelée …
- Que regardes-tu ?
- Rien, excuse-moi
- Si, je sais ce qui t’intrigue, ma queue ?
- Tu vas me traiter de folle mais dans mes rêves je vois exactement le même sexe que le tien
- Je suis difforme sexuellement et cette infirmité me dissuade d’approcher des filles, d’ailleurs ma sœur me fait passer pour un impuissant, et toi ? qu’est-ce qu’est-ce qui te fais douter des garçons ?
- Ça … ce qui pend entre tes jambes
- Ça te fait peur aussi ?
- NON ! au contraire, enfin je veux dire que mon rêve m’a habituée à ce … calibre
- Inutile de cacher tes seins plus longtemps … je peux m’assoir à ton coté ?
- Vient Adrien …
- Tu es très attirante
- Merci, je te trouve très beau aussi
- Et si nous les piégions à notre tour ?
- Comment ?
- Embrasse-moi Aline
J’abandonne volontiers mes lèvres à ce garçon qui inconsciemment hante mes nuits, il ne me manquait que le visage et je le trouve beau comme un prince, je m’abandonne aussi à sa main qui caresse maladroitement ma poitrine et à l’autre qui s’infiltre entre mes cuisses que je lui ouvre volontiers, désormais enlacés nous nous laissons tomber à la renverse, curieuse je cherche à saisir cette queue qui me fait tant de bien dans mes rêves, elle devient lentement raide entre mes doigts, impressionnante et douce à la fois
Le silence qui règne dans la chambre du garçon doit intriguer les filles car je suis certaine qu’elles épient les moindres bruits, je me libère de l’étreinte amoureuse pour me pencher sur son bas ventre, le gland cramoisi dépasse le nombril
- Aaaaaaaahhhhhhhhooooooooouuuuuuuuiiiiiiii, ta bouche est brulante, que c’est bon de se faire sucer, je te préviendrais quand je déchargerais
- Mmmmmuuuuuuuuuu, ne te retire surtout pas, donne-moi tout, mmmmmmmuuuuuummmmmm
Sans avoir appris à le faire J’astique virilement ce manche en aspirant avec gourmandise le jus qui suinte du gland, Adrien se tord de plaisir de plus en plus jusqu'à ce que je sente sous mes doigts un canal se gonfler, le garçon tétanisé reste immobile, son dos s’arque en même temps qu’il pousse une longue lamentation, je prends la première giclée de plein fouet sur les amygdales, du coup je recrache cette lance à foutre, j’ai de la peine à maitriser cette verge qui fait des bonds désordonnés, j’ai du sperme des cheveux au menton, même un œil bouché par l’épaisse semence
- Waouh !ça fait plus de bien qu’une branlette ! merci Aline, qu’aimerais-tu que je fasse pour toi ?
- Pour moi pas grand-chose mais énormément pour ma chatoune
- Et si ma sœur entre ?
- J’espère bien piquer sa curiosité, elles sont là dans le couloir
- Ça me gêne …et je n’ai jamais approché le vagin d’une fille
- Viens sur moi face à la porte, je te guiderais au bon endroit comme je le fais au garçon dans mon rêve
- Sans capote ?
- Sans capote, je veux sentir les bienfaits du sperme s’écrasant au fond de mon vagin
- J’ai vu dans des films que la femme relève ses cuisses et replie ses genoux sur ses seins… l’homme les maintient ainsi avec ses avant-bras et … il la pénètre
- Vient Adrien, je suis prête, donne-moi ta pine de cheval … ton bout est bien positionné sur ma fente … pousse ?? ….
Hhaaaaaaaaaaaaoooooooooooouuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiii !!!
- Que c’est bon salope d’Aline, tu me fais du bien au zob OOOOOOOOuuuuuuuiiiiiiiii !!!
Mon jeune amant se démène à faire exploser mon vagin, je jouis sans discontinuer sans refuser mon plaisir, c’est à ce moment-là que des giclées énormes frappent mon utérus, Adrien hurle de joie ! comme je m’en doutais la porte s’ouvre violemment et mes trois connes de copines envahissent la chambre en braillant
- Mais qu’est-ce que tu fais Adrien ! tu es fou ? et toi Aline tu te laisses faire ?
- Tu nous disais que ton frère était impuissant ?
- qu’est-ce qu’il met a Aline ! quelle belle queue !
- T’as entre les fesses, ça ne te fait pas mal Aline ?
- Au contraire, c’est super bon ! baise-moi Adrien, tape dans ma chatte, fait voir à ces connes que tu es un bon amant
- Je veux jouir encore …
- Ne t’arrête pas continue à me bourrer
- Et nous ??? tu nous baiseras après Adrien ?
- Certainement pas ! Aline est devenue ma copine attitrée, elle viendra coucher ici tous les weekends !
- Maintenant laissez-nous … je te veux dans mon p’tit trou chéri ….
- Tu vas adorer ….

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