Collection Escorte. Première Fois (1/1)

• Tu as vu la petite nouvelle qui est arrivée à la fac et qui est timide comme une pucelle.
• Oui, Alice, pourquoi me parles-tu d’elle ?
• Elle m’a demandé comment fait-on pour devenir escorte.
• Elle est folle, avec son look et sa timidité, elle est loin de pouvoir se faire des clients.
• Surtout qu’elle était encore pucelle au début de ses vacances.
• Pucelle, tu rigoles, Natacha.
• Je lui ai demandé si par hasard, elle était vierge, elle m’a dit qu’elle l’avait fait une fois le long d’un arbre le soir du 14 juillet dans un bal des pompiers.
• Tu rigoles et elle veut faire la pute !
• Arrête de dire « tu rigoles », elle m’a même donné son numéro de portable des fois que je connaisse un client.
• Tu rigoles, pardon, comment a-t-elle su ce que tu faisais, non ce que nous faisons.
• Elle était ici, derrière ce paravent qui est derrière nous, cette conne de Sylviane a pris mon appel et m’a proposé une partie à quatre pour mille euros, elle m’a appelé par mon prénom.
Comme nous sommes toutes les trois souvent ensemble, elle a su qu’en plus de nos études nous sommes des occasionnelles.
Tient prend note, elle m’a donné son numéro 06 02…

C’est ainsi qu’étant derrière ce paravent, Natacha donne le numéro de téléphone d’Alice à Aurélie, je faisais des mots croisés, je note le numéro, j’ai déjà payé, j’allais partir, je me lève et je quitte le café.
Je me présente, Alain, cadre supérieur dans un ministère, je suis venu à la fac de Nanterre pour faire une étude sur un aménagement à faire dans une aile d’un bâtiment.
J’ai quarante et un ans, veuf depuis presque 20 ans, Adeline et moi, nous étions étudiants, comme ces jeunes filles, la différence, c’était que nous croyions en l’avenir autrement qu’en nous prostituant pour payer nos études.
C’est dans un restaurant dit maintenant à restauration rapide que je l’ai connu, elle faisait du droit et moi des études espérant devenir fonctionnaire comme mes parents, ils étaient instituteurs.


J’ai cru un moment leur succéder, mais je me suis aperçu que je n’aurais pas leur patience et les choses techniques m’intéressaient, je le suis orienté vers l’étude des bâtiments.
Adeline habitait près de chez moi, nous avons tous naturellement fini dans les bras l’un de l’autre, je me souviendrais jusqu’à mon dernier souffle de notre premier baisé, il était plein d’amour et était prévu pour durer toute notre vie.
Je l’aidais financièrement, comme elle le faisait quand elle recevait son mandat familial, j’avais décidé d’y arriver tous seuls, mon père disant toujours que j’étais un bon à rien.
Nous avons vite franchi les étapes, mais nous étions des novices tous les deux et faisions l’amour classiquement dans la position du missionnaire, nulle fellation, levrette et autres chiens de fusil.
J’ai appris les positions érotiques après sa mort en faisant venir des escortes chez moi dans le 13ème, mais côté bobos.

Cet appartement, nous y avons aménagé peu de temps après avoir trouvé nos emplois, espérant rapidement avoir des s.
J’ai payé intégralement notre mariage, sans l'aide de mes parents acceptants simplement que mes beaux-parents offrent sa robe à leur fille.
Ma belle-mère était persuadée qu’Adeline méritait sa robe blanche et que notre nuit de noces était notre première, nous ne l’avons jamais détrompé surtout que quelques jours plus tard, ma chérie se sentant mal, surtout très fatigué, nous avons consulté et qu’elle est morte rapidement dans mes bras, nos bouches soudées.
Elle avait une de ces putains de maladie qui se soigne aujourd’hui, mais qui était mortel presque toutes les fois dans ces années-là.
Au début, je lui suis resté fidèle, mais refusant de refaire ma vie, je vais de temps en temps sur des sites et je fais venir des escortes de bonne qualité.
Excusez l’expression bonne qualité, on pourrait penser que je choisis de la barbaque, non, je les choisis aussi jolie qu’Adeline, mais jamais avec une certaine ressemblance, c’est ma manière de lui rester fidèle.


J’hésite quelques heures, je finis par appeler, la voix timide qui me répond accepte de venir chez moi ce soir à 20 heures.

• Bonjour, je suis Alice, c’est à moi que vous avez téléphoné.

Incroyable, le sosie d’Adeline comme elle était restée dans mon cerveau, je la sens réellement mal à l’aise.

• Comment fait-on ?

J’ai dit que je pratique les putes, mais là, entendre qu’elle me demande comment fait-on, me scie même si je sais qu’elle débute.

• C’est la première fois que tu viens voir un client.
• Oui, c’est Natacha qui vous a donné mon numéro, je lui avais demandé de m’aider à trouver des clients.
• Pourquoi veux-tu faire la pute ?
• Pas la pute, l’escorte.
• Tu crois que tu viens chez un homme mûr comme moi simplement pour taper la bavette, si je le veux, je te couche sur la table, je t’arrache ta petite culotte et je te plante ma verge dans le vagin.
• C’est ce que vous voulez, Monsieur, elle m’a dit de ne pas oublier la capote, je suis allé dans une pharmacie en acheter, la serveuse a cru que c’était pour le faire avec mes petits amis, elle m’a félicité d’être prudente.
• Alors comment appelles-tu te faire prendre sur la table, je dis que je serais ton premier client de petite pute.

Elle est au bord des larmes, je décide de lui donner une leçon espérant que cela la dissuadera de recommencer à se prosti, aurais-je aimé qu’Adeline soit obligée de le faire pour payer ses études.

• Viens dans mon salon et déshabille-toi lentement, je vais te reluquer assis dans mon fauteuil.

Je m’installe, j’observe les points qui clochent dans sa façon d’aborder ce qu’elle est bien incapable de faire pour être une bonne escorte, j’ai déjà remarqué un point important qui va lui servir de leçon.
Elle se tortille de façon disgracieuse, mais elle est rattrapée par son corps aussi plaisant que celui d’Adeline, même paire de fesses, même tétons arrogants que j’avais plaisir à agacer, malgré cela, je commence à bander.

Je sors ma verge en défaisant mon jean.

• Viens me sucer.

Comme un robot, elle s’avance s’agenouille devant moi, ses mains viennent sur mes genoux comme si elle ne savait pas où les mettre, son regard est vague, mais elle doit penser à ses études finissant par la mettre dans sa bouche.
L’une de ses mains vient se poser sur ma verge, mais simplement pour la maintenir, son inexpérience est touchante, surtout que si j’ai bien entendu Natacha dire qu'elle a été dépucelée sans avoir mis le sexe du gars dans sa bouche.
Je suis certainement le premier homme à qui elle fait une fellation, au moment où j’éjacule, elle retire sa tête et comme elle m’a sucé sans capote, mes jets partent dans ses yeux.

• Assez, viens dans la salle de bain que je m’occupe de toi.
• Merci monsieur.

Je la conduis dans ma salle d’eau, la fait monter carrément dans la baignoire et avec la douchette et du savon liquide, je la nettoie des pieds à la tête avant de la sécher.

• Viens te rhabiller, nous allons parler tous les deux.

Je récupère mon fauteuil, quand elle revient et qu’elle remet ses fringues.

• Je peux avoir mes 300 €, s’il vous plaît.
• Assieds-toi sur le canapé et écoute, tes 300 €, tu peux t’asseoir dessus, une pute se fait payer avant de passer à l’acte, que vas-tu faire si je refuse de te les donner ?
Allô, la police, je viens de sucer un homme chez lui et il refuse de me donner l’argent qu’il m’avait promis au téléphone.
Il te répondra, tu es une pute et tu me dis que tu as racolé un client, le racolage est puni d’une grosse amende bien loin des 300 € que je te dois.
• Merci, Monsieur, vous pouvez me donner mon argent !
• On verra si tu es sage, mais avant deuxième point, la capote, tu m’en parles et tu ne me couvres pas, résultat du sperme dans les yeux, qui te dit que je ne suis pas séropositif, tu as eu du sperme dans les parties sensibles que ce sont les yeux !

Je vois qu’elle est au bord des larmes.


• Lève-toi, va dans le tiroir de mon meuble de salle à manger.

Elle le fait.

• Vois-tu les papiers celui sur le dessus, lis-le ?
Test H.I.V. négatif, je fais venir régulièrement des petites putes comme toi, même si je mets des capotes, je me méfis de cette putain de maladie et deux fois par an, je fais un contrôle, tu n’as rien à craindre pour le sperme dans tes yeux, depuis cette analyse, tu es la première pute qui vient se faire sauter.

Je martèle le mot « pute » pour qu’il soit bien ancré dans son cerveau.

• Troisième leçon, ta façon de sucer, sans le moindre entrain, viens là, garde tes affaires et remet toi à genoux.

Elle s’exécute et attend.

• Petite dinde, et ton fric !
• Mais vous m’avez dit que vous ne me payerez pas, je voulais que vous m’appreniez.
• Pour l'argent, on verra plus tard, première leçon pour une fellation, ouvre mon jean, c’est toi qui dois gagner ton fric en faisant le travail, pour cela outre ta bouche, tes mains doivent être très utiles pour satisfaire le client.
Quand le pantalon est ouvert, la verge est à ta disposition et tu dois la prendre en main.
• Mais, je l’ai fait tout à l’heure.
• Oui, mais comme si tu tenais un vulgaire bout de barbaque, pour une pute, le sexe de son client, c'est son Graal afin de gagner son fric, il faut que tu la prennes délicatement d’une main, oui comme cela, tu le fais bien.
Avec ton autre main, le sabre étant dégagé, tu t’occupes des deux boules que tout mâle possède, tu les malaxes, oui, c’est mieux, aie !
• Je vous ai fait mal !...

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