Collection Escorte. La Pute. (1/1)

• Bonjour monsieur, vous avez fait appel à mes services.
• Oui, Madame, ma femme est partie chez sa mère à Cannes, j’ai toujours rêvé faire l’amour avec une autre femme et surtout une femme qui acceptera tout ce dont j’ai envie.
• Je comprends, vous êtes comme bon nombre de mes clients, votre femme est-elle rétive à assouvir vos fantasmes !
• Je vois que vous connaissez les hommes, vous venez de résumer vingt ans de vie commune, vingt ans depuis que nous nous sommes dépucelés mutuellement avec pour conséquence la venue au monde de notre fille.
• Vous lui avez fait une fille, elle a dû être contente.
• Période douloureuse pour moi, en plus de la fille, j’ai eu l’impression d’épouser la belle-mère.
• Je veux bien parler d’elle, mais quelques-uns de mes clients me racontent leur vie et au moment de passer aux choses sérieuses, refuse de me donner mon petit cadeau.
• Vous avez raison, je vous parlerais des relations fusionnelles entre ma femme et sa mère.
100, 200, 400, 500 € la somme prévue entre nous, est la bonne.
• J’ai le droit à tous mes fantasmes, même la sodomie.
• Je parie que votre femme, vous refuse ce plaisir !
• Comment le savez-vous ?
• 80% de mes clients mariés font appel à mes services pour ce fantasme, vous êtes un client normal, décontractez-vous, tout va bien se passer, vous me parliez de votre belle-mère.
• Maintenant que j’ai payé, parlé de cette vieille pute, elle est bien là où elle est partie dépenser son fric gagné avec son cul.
• Était-elle escorte comme moi ?
• Pardon, c’est vrai que vous êtes escorte, mais elle s’était une pute, quand elle a commencé escorte, était un terme ignoré.
• Mon bouchon, je sens qu’elle t’a traumatisé et ta femme, le sait-elle ?
• Heureusement que non, c’est un copain qui m’a dit quelque temps après avoir épousé ma femme qu’il était allé dans un hôtel pour la baiser pour 200 francs en ce temps-là.


• En francs, je vois ces vieux, si je te défais le premier bouton de ta chemise tu aimerais.
• Oui, madame.
• Appelle moi Madeleine, on est entre amis.
• Merci Madeleine, chaque fois que je vous disais, madame j’avais l’impression de parler d’elle.
• Elle t’a vraiment traumatisé, tu en reviens toujours à elle, à moins que tu aies aimé être l’un de ses clients et que cela t’a frustré.
• À bien réfléchir, quand ma femme refusait tous mes fantasmes les unes après les autres, baiser sa pute de mère, je dois reconnaître y avoir pensé.
• Regarde pendant que tu me parles, j’ai dénudé ton torse, tu aimes ma langue sur la pointe de tes seins.
• Je bande, grâce à vous, je sens que je suis à nouveau un homme, je peux vous caresser les seins.
• La totale, tu as payée pour le sexe au maximum, je suis à toi, si tu veux faire de moi ta chienne, tu le peux.
• Il y a longtemps que vous êtes escorte !
• Pendant que l’on est dans les confidences, demande-moi si je suis mariée et pourquoi je me prostitue ?
• Pardon madame, pardon Madeleine, tu as raison, c’est incongru.
• Mets ta main sous ma jupe, regarde quand je viens voir un client, j’enlève ma petite culotte, je l’ai mise dans ma poche pendant que je montais dans l’ascenseur.
• Je peux l’avoir, j’adore sentir l’odeur d’une femme quand elle l’a portée.
• Tu es fétichiste, j’ai quelques clients comme toi qui aime sentir l’endroit ou ma chatte a frotté dessus, tient, la voilà, respire là à fond.
Je vois que tu es habitué, je suis sûr que tu sens les petites culottes de ta femme quand elle les mets dans la panière à linge.
• Oui bien sûre, et surtout celle de ma belle-mère quand elle est à Paris, elle monte de temps en temps se faire un ancien client qui la paye grassement, elle couche chez nous deux ou trois jours.
Quand elles sont sorties faire du shopping, je fonce dans son sac de voyage récupérer la dernière qu’elle semble avoir mise et après l’avoir humé, je place l’entre jambes dans la bouche, je suis fou, tu crois.

• Si cela te fait plaisir, mes la mienne dans ta bouche, si tu savais ce que j’ai fait avant de venir te voir, mais je garde ce secret pour moi.
• Tu as bon goût, merci du cadeau.
• Veux-tu que je sorte ta queue et que je te suce ?
• Un de mes fantasmes, non réalisé par ma femme.
• Je sens que ta bite est bien tendue, évite de décharger dans ton slip, tu connais notre contrat.
• Oui, je souhaite finir par une bonne sodomie et expulser mes longs traits de sperme dans ta rosette.
• Elle va adorer, quand j’ai débuté, j’étais vierge de mon anus et c’est un client comme toi qui m’as dépucelé.
• J’aurais aimé que ce soit moi, avec un peu de chance cela m’arrivera.
Tu suces comme une reine, tu es ma reine.
• Contente-toi d’être un bon client, excuse il est difficile de parler en suçant, je t’en dirais plus quand tu seras dans ma chatte, veux-tu que je me déshabille ?
• Non, je vais le faire moi-même, ma femme, elle va dans la salle de bains et se met en tenue de nuit sans qu’elle me montre sa nudité.
• C’est frustrant, je le conçois, bien ouvre mon corsage et dégrafe mon soutien-gorge pigeonnant.
• Il est beau, j’aime les femmes qui portent de la lingerie raffinée comme la tienne, dit moi ou tu les achètes, j’essayerais d’emmener ma femme.
• Comprenant qui elle semble être, je pense qu’elle refusera de venir à Pigalle, c’est là où je me fournis, viens, je vais finir de me déshabiller en te faisant un strip-tease.
• Un strip, tu me gattes.
• Non, tu me payes, tu es le roi, suce-moi les seins, tu vas apprécier.
• Aimes-tu te les faire sucer ?
• Tu veux peut-être que je jouisse quand tu vas m’enfiler, arrête de rêver.
• Non, de fantasmer.
Fais glisser ta jupe lentement sur ton ventre, remonte, je vois que tu es épilé, oui comme cela lentement.
• Veux-tu me sucer le nombril, beaucoup d’hommes aiment retrouver sous leur langue là, ou le cordon les rattachait à leur mère.

• Non, met-toi en levrette sur le canapé, je bande trop, je risque d’éjaculer trop rapidement.
• Levrette sur un canapé, tu veux que je me mette les seins sur le dossier et tende ma croupe vers toi.
• Super, je peux te sucer la chatte !
• Même me faire une feuille de rose si tu le désires, je me suis fait un lavement avant de venir, mon petit trou est propre.
• Salope, tu sais y faire avec les hommes.
• Comme tu y va, je suis simplement une escorte fière du métier qu’elle fait et surtout de mes clients.
Oui, fais entrer ta langue bien au fond, tu es tellement sous tension que tu vas louper ton envie de sodomie.
C’est malin, regarde, tu m’en as mis plein les fesses.
• Merde, attends, je vais rebander si tu me suces de nouveau.
• Un contrat est un contrat, tu as payé pour la totale jusqu’à éjaculation, tu viens d’éjaculer.
• Mais.
• Aucun mais, si tu veux me prendre par le cul, tu reprends contact et tu me redonnes 500 €, je serais toujours disponible pour toi, tu es un client sympa.

La pute se rhabille et quitte mon appartement, quelques minutes après, la porte s’ouvre et ma femme entre, je vais pour l’embrasser.

• Laisse-moi, j’ai les fesses pleines de sperme, je vais prendre un bain, tu viens avec moi.

Je me déshabille et quand je la rejoins, elle est penchée, la main sur le rebord le cul à l’air, je m’approche lui tâtent les fesses, je bande, d’un coup, je lui enfonce ma bite dans l’anus.

• Merci chéri, je suis prêt à ce que tu me dépucelles l’anus.

Je décharge, nous entrons dans l’eau.

• As-tu aimé la réalisation de ton fantasme d’être une escorte se rendant chez un client ?
• Surtout au moment où tu m’as donné les billets, ma chatte était trempée d’excitation, dépêchons-nous, je dois prendre mon train pour Cannes, maman m’attend.

Épilogue :

Je reprends la parole, mon mari a souhaité que je fasse la pute, je savais que maman en est une, elle m’a fait appeler auprès d’elle étant soi-disant malade.

Depuis des mois, elle me serine pour que je reprenne sa clientèle se sentant vieillissante, elle a fini par me convaincre en m’envoyant une paire de chaussures à semelle rouge.
Depuis des années je collectionne les chaussures, j’en ai une pièce entière et le pognon que mes clients vont me donner va me permettre de la développer, si j’ai accepté la sodomie, c’est que maman m’a dit que 80% de ses clients la sodomisaient.
J’ai l’impression que de me faire dépuceler par lui, attendu ce que je m’apprête à faire, ainsi quand je remplacerai, maman, je serais entièrement prête, par tous mes trous, à la remplacer.

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