Stage : Rencontres De 2 Stagiaires Complices

Je me présente : Nicolas, 24 ans, actuellement en stage infirmier en maison de retraite. Dans ce stage, j’ai fait la connaissance de Roxanne, 21 ans, elle aussi étudiante infirmière. Je suis en couple, elle aussi.
Le premier jour, 9h, j’arrive la boule au ventre. C’est mon dernier stage avant d’être enfin professionnel. Je me présente à l’accueil, on m’invite à aller enfiler ma blouse blanche et à aller dans le bureau de la cadre de l’établissement. Je fonce au vestiaire me changer et monte au 1er étage, où se trouve la salle de soin & le bureau de la cadre.
*Toc toc toc*. « Entrez ! ». Je fais enfin la connaissance de la cadre du service. Dans son bureau, une autre étudiante est aussi présente. Brune, 1m70 environ, yeux marron, … Nous allons passer 10 semaines ensemble. Nos horaires font que nous allons tourner ensemble plusieurs heures par jour, même si l’un est du matin et l’autre du soir.
Après les formalités d’usage pour un premier jour de stage (planning, présentation de l’établissement, visite, présentation des infirmières et 1er tour avec elles, …. ), nous sommes enfin à l’heure du repas. 1h de pause, pendant laquelle nous nous isolons un peu tous les deux entre stagiaires. Nous faisons plus ample connaissances, et une complicité se créée rapidement.
La première semaine de stage ne fait que confirmer cette amitié naissante. C’était la première fois que je m’entendais aussi bien avec une autre stagiaire. Nous devenons très complice, nous soutenons dans les moments un peu difficile d’un stage peut parfois nous faire vivre. Nous faisons pas mal de choses ensemble, à deux. En pause, nous parlons de tout, même de sexes.
La deuxième semaine se termine. Roxanne est du matin, et donc moi du soir. A 11h, quand j’arrive, je me rends vite compte que Roxanne ne va pas bien. Comme à notre habitude, nous partons faire un pansement assez compliqué ensemble. Dans l’ascenseur, elle ne dit rien, je sens que quelque chose ne tourne pas rond, qu’un épisode de ce matin la tracasse.

Arrivé dans la chambre de la patiente en question, elle se met à éclater en sanglot.
- Je suis fatiguée, et ce matin, l’infirmier n’a pas arrêté de me faire des reproches.
- Ce n’est qu’un intérimaire, on l’aura pas souvent entre les pattes.
- Il m’a reproché que je ne savais pas faire les prises de sang, a chipoté sur pleins de détails, il m’a suivi comme une 1ere année
- Ne t’en fais pas. Tu es une excellente étudiante et tu n’as pas à t’inquiéter. Il a l’air un peu bourrin, mais ne doute pas de toi ma belle.
Devant ses sanglots, je me rapproche d’elle pour la rassurer. Je la prends dans mes bras, et je sens que ça lui fait du bien.
- Je suis tellement heureuse que tu sois en stage avec moi. Si tu savais ce que ça me fait du bien de ne pas être seule.
- Je suis aussi content que toi tu sais. Et puis une jolie fille comme toi, aussi sympa, on ne peut que kiffer de l’avoir en pote, et en stage avec soi !
Je la sens me serrer plus contre elle. Elle avait besoin de se confier, et de vider son sac. Au bout d’un moment, elle me relâche, et je la prends entre 4 yeux. Nos deux têtes sont proches, je passe ma main sur son visage.
- Ne doute jamais de toi. Tu vas réussir. Ce n’est pas un intérimaire sorti de nulle part qui va nous apprendre ce qu’on sait déjà, et nous déstabiliser.
- Merci Nico … J’espère que tu as raison. Ta présence me fait tant du bien.
Elle passe elle aussi sa main sur mon visage. Je me rapproche un peu plus d’elle. Nos bouches se rencontrent enfin. Je sens qu’elle en avait envie, tout comme moi. Ce baiser parait si long, mais est si court.
- Je ….
- Chut Roxanne, on a un pansement à refaire. Heureusement que la dame a Alzheimer et ne comprend rien à ce qu’il se passe.
Elle se mit à rire. Son joli sourire réembélie son visage qui était inondé de larmes.
A la pause, nous nous isolons de nouveau. Il fallait qu’on débriefe ce qu’il s’était passé tout à l’heure.
- Pour tout à l’heure, je suis désolée.

- Tu regrettes Roxanne ?
- Euuuh …. Non. Ça m’a fait du bien.
- A moi aussi. Mais il faut que ça reste entre nous. Ce qu’il se passe dans ce stage reste dans ce stage !
- Oui bien sûr. Mais tu crois que …..
- Qu’on va aller plus loin qu’un simple baiser ? Je pense que ça se fera.
- Tu crois ça ? Je suis en couple et fidèle tu sais !
- Vu comme tu m’as embrassé tout à l’heure, je pense qu’on n’aurait pas eu un pansement à faire, on finissait nu.
- Finalement, dommage qu’il y ait eu le pansement ….
- Je dois aller dans mon vestiaire, qui est un peu isolé …. Et il n’y a pas les deux autres aides-soignants hommes aujourd’hui. Je dis ça je dis rien.
- Je vais dans mon vestiaire chercher un truc aussi.
Nous nous levons et allons chacun dans nos vestiaires. Elle avait visiblement compris mon invitation, car au bout de 3min, j’entends qu’on frappe à la porte du vestiaire.
- Tu es là Nico ?
J’ouvre la porte doucement et la tire avant de refermer la porte. Je l’entraine dans les douches et ferme la porte à clé. En un éclair, nos bouches se retrouvent de nouveau l’une contre l’autre. Ces mains commence à me déboutonner ma blouse du haut. J’en fais tout autant et laisse apparaitre un joli soutient gorge rouge.
- J’ai hate de savoir ce que tu portes avec ce soutien-gorge
- Et bien regarde par toi-même ….
Elle baisse son bas de blouse, et laisse apparaitre un petit tanga de même couleur.
- Et bien, on dirait que me voir en sous-vêtement te fait de l’effet !
Une bosse se dégageait en effet de mon pantalon blanc. Elle s’accroupit et me le baissa. Puis s’en suivi mon boxer. Sa main vint commencer quelques mouvements de va et vient avec mon sexe.
- Tu as un beau calibre. Ta copine doit être comblée.
- Tu me feras un retour d’expérience après.
- Faut pas qu’on fasse de bruit par contre
- Alors arrête de parler et suce moi !
Mon ordre fut exécuté ! Elle mis en bouche mon pénis et commença des vas et vient, et des coups de langues sur mon gland.
Elle avait du talent, je le sentais. Je n’étais pas son premier. Alors qu’elle commençait une fellation d’enfer, me regardant en même temps, je ne pouvais pas me retenir de lacher quelques gémissements. Cette gâterie était si bonne.
Après 2 minutes environs à me faire sucer, je sortis une capote que j’avais pris le soin de prendre dans ma sacoche juste avant qu’elle me rejoigne… car oui, j’ai toujours trois capotes au cas où …. Un accident est si vite arrivé ! Je l’ouvris et lui fila.
- Si tu as envie de plus, met moi le préservatif. Sinon, on arrête là et on se sera déjà bien amusé. Saches que tu m’as sucé comme une déesse
- Je crois que je suis mouillée … donc on va en profiter tu ne crois pas ! Et puis au point où on en est …. Par contre il va falloir faire vite !
- Alors enfile moi la capote tout de suite et penche toi contre le lavabo.
Elle m’enfila le préservatif en une fraction de seconde. Elle se releva et commença à se tourner vert le lavabo. Elle était un peu soumise, car ne bronchait pas et exécutait chaque ordre que je lui donnais.
- Tu es un peu soumise non ?
- J’avoue que j’aime bien être dominé …
- Alors retourne-toi face à moi, je crois qu’on a oublié un truc !

Elle se retourna, toujours en sous-vêtement. Je passai ma main derrière elle et dégrafa son soutien-gorge, laissant apparaitre deux petits seins. Elle était immobile, et je commençais à toucher ses seins, embrasser ses tétons, ….
- Aller, retourne toi que je te baise vite fait !
- Oui chef !
- Appelle-moi Maitre.
- Oui maitre
Elle se retourna. Je pouvais observer ses petites fesses bien fermes. J’écartai un peu son tanga, et colla mon pénis contre son trou du bonheur. Un petit mouvement de fessier plus tard, accompagné d’un gémissement de sa part, me voilà en elle. Je commençais des va et vient, d’abord doucement, pour nous habi tous les deux à cette rencontre, puis de plus en plus vite. Elle se retenait de crier, je le sentais.
Des petits chuchotements sortaient de sa bouche pendant que j’accelerais le mouvement : « Oh oui c’est bon ! », « Va si, plus fort », « Oh que ça fait du bien », « Tu baises bien Nico, défonce moi » …. Cette dernière phrase, je la pris comme argent comptant. Je me mis à aller au plus vite que je pouvais, en prenant le soin de bien enfoncer mon chibre le plus loin possible.
Ce moment était si bon, la voir nue, de dos, prendre son pied avec moi. Je savais que ce que nous faisons était aussi un tournant dans le stage. Que nous étions en train d’installer une sorte de relation qui sera autour du stage et du sexe. Je sentais qu’elle aimait la soumission, et je savais que ce serait surement notre petit jeu pendant ce stage.
Au bout de 5 min, alors que nos plaisirs étaient intenses, je ne pouvais retenir plus longtemps cette décharge de fluide en moi. Je relachais en elle toute la pression, surement la pression du stage. Une fois fini, je me retira, et elle se retourna pour m’embrasser.
- On a merdé là non ?
- Non Roxanne, on a baisé ! Et on a kiffé ! Et surtout, je suis ravie que tu sois ma soumise.
- Comment ça ?
- Tu aimes être dominée ? J’aime dominer ! On a une alchimie sexuellement parlant. Et on a dit que ce qu’il se passe ici reste ici !
- Huuuum … excitant tout ça !
- J’ai à nouveau envie de toi Roxanne … désolé de te paraitre vulgaire mais tu es si bonne.
- Les mecs me le disent souvent. Bon on se rhabille. La pause est finie !
Autant vous dire que l’heure et demi que nous avons passé encore ensemble après, entre pansements et administratifs, n’étaient pas dans la même ambiance que ce matin. Cette nouvelle ambiance, cette complicité poussé à son extrême était le nouveau fil moteur de notre stage ensemble.

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