Collection Dominant Domine. Erreur De Salle Au Cinéma (1/2)

Ce soir pour la Saint-Valentin, Christian me sort, cinéma à la séance de vingt heures et restaurant à partir de vingt-deux heures.
Avec Christian, nous allons fêter nos dix ans de mariage, nous avons une fille de trois ans, mon travail et celui de Christian fait que c’est maman qui la garde quand nous partons au travail, Christian est instituteur, je suis secrétaire chez un notaire.
Pour la garde, c’est facile, nos maisons sont mitoyennes, papa avant de décéder, nous a aidé à acheter un ancien café entièrement à rénover, ce que j’aime, c’est la grande salle qui servait de bar.
Il y a une cave, mais remplie de meubles et de rebut qu’il nous faudra vider un jour.
Christian fait les rénovations après son travail, il a déjà fini les chambres et la salle de bains, il s’attaque à la cuisine en ce moment.
C’est le cas ce soir, maman vient de venir avec un peu de retard, nous les embrassons tous les deux et Christian démarre la voiture.

• Marie profite bien de ta soirée, je sais que tu es anxieuse loin de ta fille, je vais de ce pas aller la coucher.
• Oui maman, je vais suivre ton conseil, Dany Boon va m’y aider avec son film comique.

Nous allons voir « La ch’tite famille », quand nous arrivons, nous payons nos billets, nous sommes dans une salle multiplex où ils projettent six films en même temps.

• La ch’tite salle 2, voulez-vous des pop-corn ?
• Oui, une grosse boîte, merde à ma ligne, ce soir, c’est fête.

Nous remontons un long couloir, 6, 5, 4, 3, 2, nous y sommes, c’est bizarre la séance commençait à 20 heures, il est moins cinq, les lumières sont déjà éteintes.

• Pardon, excusez, pardon, on s’excuse, pardon, pardon, tu te mets à droite ou à gauche.
• Silence.
• Toutes nos excuses.
• Assis, on ne voit rien.

Je m’assieds, je pose mon sac au sol, je plie mon manteau sur mes genoux, je change mes lunettes et enfin après avoir mangé quelques pop-corn, je regarde l’écran.



• Christian, Dany Boon a fait un film ou la jeune femme est attachée sur son lit nue.

Je regarde à droite et à gauche, que des adultes.

• Pardon, Monsieur, c’est la fin d’un film, la ch’tite famille, c’est après !
• Non, ce film débile est salle 3.
• Et dans cette salle ?
• « Domination », un film sadomasochiste, un peu comme 50 nuances de Grey en plus détaillé, vous n’avez pas lu les articles, Sharon l’actrice a tourné les scènes hard intégralement et réellement, aucun trucage.
Il lui a fallu un mois avant qu’elle puisse retourner, son corps était trop marqué, le réalisateur pense que son film va battre les records d’Emmanuelle en son temps.

J’ai tout entendu, quand Christian a interrogé son voisin.

• Chérie, on nous a bien dit la salle 2 à la caisse !
• Oui, c’est ça, la 2, tu as raison.
• Viens, on change de salle.

Nous murmurons, mais je sens bien, qu’autour de nous, nous sommes de plus en plus gênants pour les autres, surtout qu’un pop-corn craque sous ma dent.

• Christian, restons, tu te rends compte, il va falloir déranger tout le monde une nouvelle fois, nous verrons Dany Boon sur Canal quand il passera.

C’est comme cela que nous avons mangé les pop-corn en oubliant certaines fois notre bouche, tellement les scènes sont crues.
Prenez en ce moment après cinq minutes où nous sommes enfin installés, Sharon puisqu’il semble qu’elle s’appelle ainsi est suspendue par des cordes et des poulies à presque deux mètres de haut.
Il lui est impossible de bouger, ses seins pendent vers le bas, par la force de gravité, un homme tout de cuir vêtu, une cagoule de la même matière lui cache le visage, il prend des sortes de crochets sur une table.
L’actrice est ballonnée ce qui est nécessaire, car sans prendre la moindre précaution, il plante la pointe acérée dans le téton, la caméra s’approche et nous voyons , elle doit avoir mal, mais l’homme sans hésiter perce l’autre téton.

Nous voyons qu’elle serre les dents, mais j’ai une étrange impression, la caméra est si bien placée que je sens qu’elle apprécie ce que son bourreau lui fait.
Des seins percés, c’est déjà beaucoup, mais quand il prend des poids avec un anneau, je crois que c’est moi qui suis prête à défaillir, c’est impossible, ses seins se sont allongés sous les poids.

Arriverais-je à endurer une telle souffrance, je suis troublée, je mets ma main dans la boîte, elle est vide, j’ai tout mangé sans m’en rendre compte.
Ouf, c’est la fin, la lumière revient, je suis rouge de honte, surtout là, à la fin comme Béatrice Dalle dans 37,2, Sharon reçoit la verge dans sa bouche, la scène est directe, sans trucage, on ne voit pas le sexe du garçon cagoulé décharger, mais ce que l’actrice a sur le visage est loin d’être du lait concentré.
Nous rejoignons le restaurant italien, menu de la Saint-Valentin, arrosé d’un Chianti.

• Qu’as-tu pensé du film, ma chérie ?
• Surprenant, j’ignorais que des femmes aimaient souffrir pour leur plaisir, je crois que je hurlerais deux fois plus fort que Sharon.
• Se taire fait partie de la domination d’un homme sur une femme et quelquefois l’inverse, si la dominée se plein, les coups redoublent alors elle fait en sorte que son dominateur ne lui fasse que ce qu’elle aime.
• Tu as l’air bien au courant, n’était-ce pas toi sous la cagoule ?
• Non, le gars était bien plus musclé.

C’est ainsi que se passe le repas, mon homme est charmant, je lui réponds, je dialogue même, mais ma pensée va vers Sharon, que ressentait-elle suspendu par ses cordes et ses poulies ?

De retour à la maison, maman est sur le canapé et lit 50 nuances de Grey, le masochisme me poursuit.

• Tu lis ce livre, maman, tu n’as pas honte à ton âge !
• C’est Jacqueline ta copine qui me l’a prêté, elle m’avait dit que c’était chaud, j’ai presque fini, c’est très édulcoré, si tu savais avec ton père, j’aimais bien une petite tape sur mes fesses.


Incroyable, vous vivez des années à côté de personnes, vous ne connaissez pas leur dérive si dérive il a, j’ai envie de lui dire d’aller voir « Domination » il n’y a rien d’édulcoré dans ce film.
Christian pendant ce temps est monté, je l’entends sous la douche, je vais dans la buanderie, je suis dans un état second, vais-je oser ?
Je sors un de mes seins de ma robe de soirée très décolletée, je saisis une pince à linge, j’hésite, elle m’échappe et se referme sur mon téton, je hurle tellement, j’ai mal, elle ne tient pas et tombe au sol.
Je me sauve et vais dans la chambre, Christian vient de sortir de la salle d’eau, il s’essuie, il bande à moitié.

• Je t’ai entendu crier chérie, tu t’es fait mal !
• Je me suis tordu la cheville dans la cuisine, il est temps que tu poses le nouveau carrelage.

Il me prend dans ses bras fait tomber ma robe, il passe ses doigts dans ma petite culotte.

• Tu es trempée mon amour, c’est le film qui t’a fait de l’effet, regarde l’effet que tu me fais.

Est-ce ce film qui est déjà très loin ou la pince à linge, même si je l’ai eu très peu sur moi, ce qui est certain, c’est que lorsqu’il me pénètre, je hurle de plaisir, malgré le risque de réveiller Fanny.

Au matin, je pars au travail, après avoir levé et déposé Fanny chez maman qui va la conduire à la maternelle.
Le midi, je reste à l’étude, je suis tranquille jusqu’à 14 heures, maître Dupond, dînant au restaurant avec des clients, je vais sur Internet et je vois qu’une société vend par correspondance les crochets et un jeu de différents poids comme s’en faisait poser Sharon.
Je me trouve devant un dilemme, ne fais-je pas fausse route, serais-je capable de me poser ces engins de , j’ouvre mon tiroir, il y a des pinces pour tenir des feuilles entre elles, je suis tranquille.
J’en prends une et comme pour les feuilles, je place la pointe d’un de mes seins entre les mâchoires et je les referme, j’arrive à retenir mon cri, je suis une bonne soumise, même si c’est à moi-même.

Deuxième pince, deuxième sein, deuxième cri retenu alors que je savais la douleur qui m’attendait, je deviens de plus en plus folle, je recule mon fauteuil de mon bureau, j’écarte ma culotte, elle est trempée.
Je mets les doigts dans mon vagin, je m’attarde sur mon bouton que maman m’a fait fort développer, une troisième pince en main alors que les deux placées sur le haut de mon corps me fond horriblement mal, je pince mon clito d’une main, je ferme la pince de l’autre.
Je hurle, je n’ai pas été une bonne soumise…

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