Une Divine Surprise - 2

Jeudi 4 août 1960 – Travail volontaire au magasin
Les vacances en compagnie de mes parents se terminaient le 31 juillet. Le lundi suivant je faisais des colis dans un magasin d’usine de tissus qui les expédiait dans le monde entier. Le travail se finissait entre 2 et 3 heures l’après-midi. Pour me rendre à ce travail je passais devant le magasin où travaillait Evelyne. Le mardi, je fus tenté d’y rentrer mais je me dégonflais. Par contre le jeudi, j’avais trouvé le courage de me jeter dans l’aventure et surtout un motif. Donc gaillardement, vers 15,00 h je rentais dans le magasin. A la vendeuse, je demandais à voir le patron qui d’ailleurs sortait de son bureau.
« Bonjour Jean, quel bon vent »
« Je venais voir si vous auriez du travail pour moi ? »
Pendant cet échange j’aperçus Evelyne qui arrivait d’une pièce en fond du magasin.
« Actuellement non, mais si j’en ai je te contacterais »
« Merci, Monsieur »
« Mesdames, je m’en vais à l’autre magasin, j’en ai pour l’après-midi. N’oubliez pas de ranger la livraison de ce matin. Bonsoir »
Pendant qu’il s’en allait j’allais saluer Evelyne qui me présenta à sa collègue Odile, jeune femme châtain clair, dans la trentaine, avec les copains on aurait dit qu’elle avait ce qu’il fallait ou il fallait, avec des lèvres gourmandes et le regard brillant.
Alors que je m’en allais j’entendis Evelyne dire « : Il aurait pu prendre Jean pour nous donner un coup de main à ranger cette livraison »
Je m’arrêtais et me retournant : « Si vous voulez, je peux vous aider, je n’ais rien prévu cet après-midi »
Evelyne : « D’accord, mais c’est un travail pour la gloire ? »
En fait le matin avait été livré dans l’arrière-boutique des colis, qui devaient être descendu par un monte-charge en sous-sol du magasin et stockés en ce lieu. Au niveau de l’arrière du magasin, Evelyne entassé les colis sur le monte-charge, le faisait descendre, je regroupais les colis dans l’autre partie du sous-sol à coté d’une table et le monte-charge était remonté.

Ce travail dura une petite heure, puis Evelyne descendit pour ranger et classer les produits. Sur la table j’ouvrais les cartons et déposais leur contenu, Evelyne les rangeant dans des étagères. A plusieurs reprises nous nous sommes « frôlés » de très très prêts à tel point que des idées bien précises se faisaient jour. Mais je ne savais comment agir, quand tout à coup l’occasion, me semble-t-il, se présenta et me fit réagir sans réfléchir. Evelyne était en train de ranger des articles dans la plus haute étagère, bien cambrée, les bras tendus, par derrière je me collais à elle et prenais ses seins à pleines mains.
Il y eut un : »Oh » et ses mains se posèrent sur les miennes je lui caressais la poitrine, puis se retournant et se collant à moi, elle me dit :
« Je me demandais si tu étais venu pour le travail ou pour moi. Je suis contente que tu te sois décidé, maintenant je sais, mais finissons le travail d’abord »
Moi : « Non »
Evelyne : « T’en as tellement envie, … viens, nous n’avons que peu de temps»
Nous nous sommes dirigés vers la table, elle s’y appuya et remonta sa jupe jusqu’à la ceinture et s’asseyant sur la table, descendit son slip jusqu’aux genoux et me dit « Aides moi » Ce que je m’empressais de faire. A peine la petite culotte enlevée, les cuisses s’écartèrent et je pus, rapidement, admirer ses grosses lèvres gonflées de désir, d’un brun rouge, humides de plaisir. Elle appuya sur ma tête en me disant : « Lèches moi, je veux sentir ta langue». Son odeur de femme chaude m’enivra et je m’empressais de lui lécher le minou qui plus ça allait plus il s’humidifiait. « Enfonces ta langue, je veux la sentir me prendre »
Je la pénétrais avec ma langue alors qu’elle s’ouvrait de plus en plus et m’abreuvait de son jus. « C’est bon, continues, …, rentres ta langue dedans, …, j’aime te sentir me lécher, …, OuiIII, c’est bon, … »
Ce jeu dura un certain temps et aux paroles et aux sons qu’elle émettait ma prestation semblait la satisfaire pleinement.
Quand, tout d’un coup elle me dit : « Arrêtes, j’ai envie de toi, prends moi, …»
Il était temps car je bandais dur et je n’aurais pas tenu longtemps à ce jeu.
Je me redressais et me défaisais rapidement, pantalon et caleçon sur les chevilles, elle prit l’affaire, bien dure, en main et me dirigea vers sa grotte qui était chaude, humide, ouverte disons accueillante. Je la pénétrais facilement tellement elle était ouverte et lubrifiée. Je commençais mes va et vient, assez rapides car j’étais gonflé à éclater.
Ses jambes se refermèrent sur mes hanches, ses bras me cramponnèrent aux épaules et au fur et à mesure que j’entrais et sortais de sa grotte, sa respiration qui s’accélérait était ponctuée de mots d’encouragements :
« Oui, …, prends moi, … , baises moi fort, … , Oui, … , fais moi jouir, …, baises moi comme une salope, … vas-y fort, j’aime, … , je veux te sentir me pénétrer, … » et plus j’accélérais plus la cadence des mots augmentait. Un moment se cramponnant à moi, elle me dit : « Dis moi que tu aimes me faire l’amour, …, dis moi que tu aimes me baiser, … » puis elle reprenait « J’aime, …, continues, … , ne t’arrêtes pas, … , retiens-toi, … continues, … »
Je me cramponnais à elle et essayais de tenir quand sa litanie changea « Ralentis, …, je sens que je vais jouir, …, OUIIIIII, … lentement c’est bon et je te sens bien, …, retiens toi, …, je vais jouir, …OUIII, … » Je n’en pouvais plus et j’allais tout lâcher quand elle se contracta, souffla et eu un spasme, ne pouvant me retenir plus longtemps, je m’enfonçais au plus profond de sa grotte et je lâchais tout. Pendant ce vidage elle eut encore deux spasmes qui comprimèrent ma queue dans sa grotte, comme si elle ne voulait pas me lâcher.
Restant collé à et en elle un moment le temps de retrouver notre souffle et de réaliser enfin ce que nous avions fait. Je me retirais d’elle, elle se laissa glisser de la table et prenant mon sexe, en perte de puissance, en main remonta le long, peut-être restait-il quelques gouttes à extraire ? Ceci étant, après ce geste, elle porta sa main à son nez et léchant le creux de sa main me dit : « J’aime notre odeur ».

Elle partit en balançant agréablement son joli cul nu, vers le fond du sous-sol où existait un espace toilette où elle se réajusta, et je fis de même, alors que nous entendîmes Odile nous demander ou nous en étions. Evelyne lui répondit que c’était presque terminé. Effectivement nous remontâmes au magasin sans avoir pu échanger un mot. Bien qu’ayant essayé, Evelyne m’avait répondu « « Plus tard, dépêchons nous, je ne veux pas qu’Odile se doute de quelque chose ». J’étais content de ce qui c’était passé, mais j’aurais aimé avoir un autre rendez-vous, ce qui était impossible en présence d’Odile.
Je tentais le coup « Evelyne, vous m’aviez dit que si tout était fini aujourd’hui vous m’offriez un expresso ? Ça tient toujours ? »
Evelyne quelques secondes d’hésitations puis, « … oui, … c’est vrai, Odile, nous allons à coté pour prendre un café et je reviens »
Arrivé dans la bar voisin Evelyne « Tu es sur que j’ai parlé de t’offrir un café, je pense plutôt que c’est une astuce pour me demander quelque chose que tu ne pouvais demander devant Odile ? Avant, je veux que tu saches que je suis contente que tu sois revenu me voir, je me suis souvent posé la question »
« Moi aussi j’ai grand plaisir d’être revenu et j’aimerais pourvoir te revoir »
«Tu as aimé notre petite récréation ? »
« Oh, … oui beaucoup »
« Et tu voudrais recommencer ? Il est vrai que t’as fait des progrès »
« Oh, merci, tu es un bon professeur et je pense que je pourrais faire des progrès avec toi »
« C’est pas Ingénieur que tu dois devenir, mais commercial … Tu sais je ne suis pas libre de mon temps, j’ai un patron qui pense que je dois être là dans la boutique à des heures bien précises et j’ai un mari dont il faut que je m’occupe, j’ai un emploi du temps très chargé. »
« Tu pourrais peut-être distraire quelques heures pour que l’on passe un moment ensemble? »
« Bien supposons, et où veux tu que l’on passe un moment ensemble. Du fait de mon travail beaucoup de gens me connaissent du moins physiquement, je ne nous vois pas trouver un endroit discret sans risques »
« Il y en a un, le campus, il n’y a presque plus d’étudiants et il y a un petit square ou personne ne va, là tu ne risqueras pas d’être reconnue »
« Et tu te feras un plaisir de me montrer ta chambre ! »
« Oui, bien sur si ça te fais plaisir, mais tu risques d’être déçue, ce n’est qu’une chambre d’étudiant dans le fort »
« Bien, je ne sais pas pourquoi je dis oui, je sais que je fais une bêtise, mais tu m’attires, mercredi est mon jour de repos, je serais au pied du funiculaire à 1,00 heure pour aller visiter ton square ! Je dois me sauver Odile va se poser des questions, à mercredi »
Et elle partit avec un petit clin d’œil et un « sois sage »

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