Une Divine Surprise Suite - 4

Mercredi 10 août 1960 – Je passe au magasin
Comme convenu avec Evelyne, je me pointais au magasin vers 15,30h, espérant que le patron serait présent. En entrant je rencontrais Odile qui me confirma que le patron était dans son bureau et que je pouvais y aller. Il était content de me voire car le samedi, il devait y avoir une grosse livraison et si je pouvais aider les filles, … tout fut réglé en 5 minutes.
En sortant du bureau, je demandais à Odile si Evelyne travaillait et comme je ne la voyais pas de la saluer de ma part. A ce moment, dans l’arrière boutique Evelyne apparut sur le monte charge et dit : « Odile il faut que tu viennes me donner un coup de main, … mais Jean est là, … peux tu venir en bas j’ai des colis à remuer, si tu pouvais m’aider »
(Il faut préciser que le dit monte charge était composé d‘un rail le long du mur qui montait et descendait une plateforme d’environ 1,50 m par 1,00m. A l’arrêt cette plateforme était le plancher de l’arrière boutique. La plateforme bouchait un trou qui donnait accès au sous-sol, en descendant) « D’accord, mais c’est de l’exploitation du pauvre étudiant par les vendeuses » et je rejoignis Evelyne au sous-sol.
Evelyne : « J’ai cru que tu ne viendrais pas »
Elle se colla à moi et on s’embrassa, un gros baiser baveux où nos langues se cherchaient, se caressaient. Se décollant et mettant un doigt sur la bouche : « Viens on n’a pas beaucoup de temps et j’ai une surprise pour toi »
Et elle m’entraina vers le fond du magasin qui avait déjà été le théâtre de nos exploits. Là appuyant son joli cul contre la table elle ouvrit son corsage, ce qui mit en évidence ses seins, mais la surprise était là. C’était un soutien gorge quart de bonnet, qui laissait libre accès à ses jolis nénés qui pointaient fièrement, les mamelons ne demandant qu’à être pris en bouche et être sucés, tétés. Ce que dit Evelyne dit : « Ils sont à toi, profites en, fais toi plaisir, fais moi plaisir »
Alors que très occupé par ces deux belles rotondités, je n’ai pas remarqué qu’Evelyne se tortillait un peu.

Et là, était la deuxième surprise. Alors que mes mains et ma bouche s’occupaient avec ardeur de ses seins, elle me prit la main droite et l’amena à son entre jambe, en fait sur son minou qui était à découvert, elle ne portait rien, ce qui augmenta mon excitation. Avec sa main elle me guida vers sa chatte et ses doigts poussant les miens, je la pénétrais et commençais à la masturber avec une douce vigueur. Elle me facilita la tâche en écartant largement les cuisses et surtout en avançant son bassin vers ma main. Ce petit jeu dura peu, car elle me repoussa et s’appuyant sur la table, les jambes bien écartées, son joli cul en arrière : « Viens, .., j’aime tes doigts, mais je préfère ton sexe, … prends moi, …, je veux te sentir me baiser, …, oui baises moi fort, …, éclates moi la chatte, …, OUIIIIiiiii, …. Accélères, …, je sens que ça viens, …. OUIIIIIiii, ….» Je faisais tout ce que je pouvais, la pénétrant avec force et au plus profond d’elle, heureusement au moment ou n’y tenant plus je lâchais tout, elle eut la gentillesse de jouir en ayant un spasme qui la fit se contracter et serrer les jambes, ce qui m’éjecta loin de sa jolie chatte. Elle se reprit rapidement, ferma corsage, rabattit sa jupe et fila vers le coin toilette en fond de sous sol. Je l’attendis pour remonter, n’ayant aucune idée du temps passé à , …, ranger les cartons.
Avant que le monte charge nous remonte, Evelyne se colla à moi et me dit « j’ai aimé,.., Je suis complétement folle, … je ne me comprends pas, … »
Arrivé en haut je dis alors à Evelyne : « La dernière fois tu m’avais offert le café, c’est à moi de te l’offrir, si tu as le temps». Evelyne décida : Il y a trop de travail au magasin pour laisser Odile seule. Mais rendez-vous samedi prochain à 2,00 heures et tu passeras par derrière, car le magasin n’ouvre qu’à 15,00 heures »

Samedi 13 août 1960 – Rangement au magasin
J’arrivais vers 14,00 h et sonnais à l’arrière, c’est Evelyne qui vint ouvrir, avec un doigt sur les lèvres pour me faire signe de me taire.
En fait, le patron, sa femme, son fils, et Odile étaient dans la boutique, il fallait faire attention, de façon à éviter des ennuis à Evelyne. L’arrière de la boutique était envahi de cartons, sur plusieurs niveaux. Cependant alors que l’on se déplaçait vers la boutique, Evelyne réussi à passer à coté de moi et discrètement posa sa main sur ma braguette et serra 2 ou trois fois ce qu’elle avait trouvé, ce qui entraina une érection en réaction. Après les civilisations habituelles on se mit au travail, Evelyne entassait les colis sur le monte charge, celui-ci descendait j’enlevais les cartons. A un moment alors que je dégageais les cartons, je jetais un regard à l’étage et je voyais Evelyne au bord du trou, la jupe droite tendue par des jambes bien écartées, ce qui attira mon regard. Mais je me remettais au boulot, en revenant la position était la même, mais Evelyne avait la tête légèrement penchée et me dit « Alors tu te rinces l’œil ».
Je savais qu’avec elle, il ne fallait pas se dégonfler et je lui répondais : « Impossible, c’est trop sombre »
Elle répliqua : « C’est possible, attends, … » et sans hésiter elle remonta sa jupe et enleva sa petite culotte qu’elle m’envoya : « Tu auras une meilleure vue ainsi , … et tu pourras me sentir, »
Je reniflais son odeur, ce qui m’amena à certaines pensées excitantes. Puis je mis la petite culotte dans ma poche en lui disant : « Je la garde, …, comme ça je pourrais penser à toi, .. »
« Non, il faudra me la rendre, je ne peux pas rentrer chez moi, ainsi, les fesses à l’air »
« On verra, il faut que tu descendes »
Et on continua le travail et chaque fois que le monte charge était en bas, je pouvais lever les yeux, Evelyne était au bord du trou, les jambes bien ouvertes, malheureusement sous la jupe c’était encore trop sombre, mais cela n’empêchait pas d’imaginer et de penser au moment où elle descendrait pour ranger les articles. Les boites s’entassaient et je lui demandais :
« Il faut descendre commencer à classer dans les rayons »
Evelyne : « Il y a encore plusieurs tas ici, on va les descendre ensuite je viens »
Moi : « Non, viens maintenant, je sens que je dois m’occuper de toi et ensuite on finira les cartons»
Evelyne : « Tu veux t’occuper de moi ? »
Moi : « Oui, tu en as envie »
Evelyne : « Tu es bien présomptueux »
Moi : « Non, j’ai humé le doux parfum de ta chatte dans ta petite culotte.
C’est d’ailleurs pour ça que tu me l’as envoyée ? Descends »
Evelyne : « Et que comptes tu faire, qui puisse me faire te rejoindre ? »
Là, il ne fallait pas se dégonfler et je lui lançais : « Je vais te bouffer la chatte »
Elle descendit. A peine en bas, elle bloqua le monte charge de façon à éviter une mauvaise surprise, j’en conclu que ma proposition la satisfaisait.
Elle vint contre moi, on se scotcha et nos bouches se rejoignirent, nos langues se cherchèrent et surtout Evelyne avança ses hanches et se mirent à onduler contre moi. La réaction ne se fit pas attendre, une belle érection se prépara, ce qui me sembla fut apprécié par ma complice. Enfin Evelyne me dit : « Et que proposes-tu ?»
Moi : « On va sur la table et je vais faire ce que je t’ai dit, car t’es descendu pour ça, te bouffer la chatte, tu m’as dit que tu aimais »
En arrivant vers la table j’étais derrière Evelyne, je l’entourais de mes bras à la hauteur de ses seins et commençais à les caresser, elle avait mis son soutien quart de bonnet, qui laissait ses nénés pratiquement libres. J’aimais sentir leur souplesse dans le creux de mes mains.
Moi : « Remontes ta jupe »
Evelyne : « Non, fais le toi, j’aimerais sentir que tu me déshabilles »
Ce que j’entrepris de faire. Ce n’était pas facile avec ces foutus jupes droites et collantes, elles étaient agréables à voir quand elles étaient bien portées, mais les enlevées, galère.
Enfin j’y arrivais, la jupe lui servant alors de ceinture, et pendant ce temps, elle se caresser les seins et ondulait des hanches ou plutôt du cul. N’y tenant plus, la retournant je la poussais à s’asseoir sur la table et la basculant, elle écarta les cuisses et me permit d’avoir accès à sa chatte, aux grosses lèvres gonflées, chaudes et ruisselantes. Je m’empressais de plonger entre ses cuisses et de m’attaquer goulument à son abricot ouvert et accueillant. Les réactions ne se firent pas attendre, de toutes les façons elle était chaude et coulante au possible.

« Oui, …, ta langue, … ohhhh que c’es bon, …, OUIIIII, encore,… rentres, je te sens me prendre, …, ta langue me donne du plaisir, … ». Mais tout cela entrainait une augmentation très nette à l’intérieur de ma braguette. Il fallait faire quelque chose, je lui dis : « Tournes toi, montres moi ton joli cul ». Sans hésitation elle se retourna et s’appuya sur la table, son joli cul bien en évidence, les reins bien cambrés. Je me remis à lui sucer la moule, qui coulait généreusement. Ma bouche quittait son minou et la remplaçait par deux doigts pour préparer sa grotte à l’arrivée de ma bite qui n’attendait que ça. Alors que mes doigts la pénétraient, Evelyne mis ses deux mains sur ses fesses et les écarta, elle ouvrit ainsi largement sa raie, ce qui me permit d’avoir une belle vue sur son petit trou, tout plissé et brun clair. Alors que je travaillais sa chatte, mon pouce s’aventura sur ce petit trou et l’enfonça doucement. La réaction ne se fit pas attendre « Oui, si tu veux, mais doucement ». Ayant un bac technique je savais que pour que tout coulisse bien il fallait que le fourreau soit parfaitement lubrifié. C’est ce que je fis, la mouille d’Evelyne qui coulait généreusement me permit de lubrifier son petit trou. Je continuais à utiliser deux doigts pour sa chatte et mon pouce avançait gentiment vers et dans son petit trou ce qui manifestement satisfaisait la propriétaire.
« Continues avec tes doigts, …, doucement, …, OUiiii, …, rentres, …, j’aime te sentir ? «
De ses deux mains elle écartait ses fesses, j’avais donc son accord pour continuer ce jeu de doigt et je le continuais, de plus en plus excité.
Evelyne : « OHHhh, oui, c’est bon, …arrêtes je veux ta queue à la place, …, prends mois, …. Oui viens, j’attends que tu t’enfonces dans mon minou, viens vite, … »
Sur ces insistances, je me présentais, la queue bien dressée prête à servir, Evelyne glissa sa main entre ses cuisses me guida en elle et, ouverte comme elle l’était je m’y enfonçais sans aucun problème tellement elle était lubrifiée et là commença un pilonnage que j’essayais de faire aussi puissant que possible, de façon à la faire jouir au maximum et cela semblait fonctionner, dans la mesure où le rythme de sa respiration donnait le tempo, le tout accompagné de paroles toujours excitantes : « Hhhooo, …oui, …, oui, …, baises moi, …, baises moi fort, …, enfonces toi bien, …, oui, … comme ça, … c’est bon, … OHHHHHH, …. OUIIIIIiiiiiii, … ne t’arrêtes pas, ça vient, …. OUIiiii, je jouis, … OHHHHhhh, …., OUIiii, …. ». Je n’avais pas pu me retenir, mais elle était partie juste après que j’ai tout lâché. Reprenant son souffle, elle se releva, rabaissa sa jupe et se penchant et prenant « popol », dans sa main lui donna quelques coups de langue rapide sur le gland et se relevant dit : « J’aime », puis dirigea vers le coin toilette et après quelques ablutions, nous reprîmes le travail. Celui-ci terminé avant de remonter Evelyne me dit : « Rends moi ma petite culotte »
Moi : « Non, si tu la veux tu viens la chercher au fort »
Evelyne en riant : «Tu es un beau salaud, mais bon, on remonte, embrasses moi avant »
Elle vint se coller contre moi, nous lèvres se trouvèrent, nos langues s’animèrent, et Evelyne se mit à rouler des hanches, se frottant contre moi ce qui ne tarda pas à me faire bander et elle glissa sa main entre nous me prit la queue en disant « Dommage qu’on n’est pas plus de temps, dans ton état ça te fera penser à moi » et nous remontâmes.
Nous voyant Odile l’œil brillant nous dit : « Vous en avez mis du temps »

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