Une Divine Surprise Suite - 5

Mercredi 17 août 1960 - Visite surprise au campus
Après avoir terminé mon travail d’empaqueteur chez mon marchand de tissus et avoir déjeuner au RU, j’étais dans ma chambre allongé sur mon lit, en caleçon, en train de me demander ce que j’allais faire, quand « Toc, … toc ». Je n’attendais personne, mais je me levais pour aller ouvrir, quand au surprise je vis Evelyne.
« Mais qu’est-ce que tu fais là »
« Je peux rentrer, ou je te dérange et je reste dans le couloir ? »
«WOUAH, … quelle élégance, mais oui rentres, rentres, … oui bien sur, rentres, excuses moi, mais j’ai été surpris »
A peine entrée nous nous scotchâmes, et nos lèvres se trouvèrent, s’ouvrirent et nos langues se reconnurent. Enfin je lâchais ses lèvres pour m’occuper de son cou, car les baisers dans cet endroit de sa personne entrainaient des frissons et des soupirs et souvent entrainaient une augmentation du roulement des hanches de ma partenaire. Cela fit que mon caleçon commença à présenter une bosse caractéristique, qui n’échappa à Evelyne.
Je me décidais et lui demander par quel miracle elle était venue au fort, étant donné que je pensais qu’elle devait être au magasin.
« Tu crois que ça a de l’importance »
« Oui, au moins pour satisfaire mon horrible curiosité »
« Ecoutes, je ne devrais pas te répondre, mais tu es jeune et je vais te dire, le jour où une femme veut se donne à toi, profites en, ne lui pose pas de questions, de toutes les façons elle ne te donnera pas la vraie raison, car cela ne te regardes pas. Pour nous, la première fois que je t’ai vu, tu m’as attiré, pourquoi ? … Je n’en sais rien, mais c’est comme ça. Tu te souviens de ce qui c’est passé ensuite. J’espérais que tu reviennes, puis je voulais le contraire, … , et tu es revenu. Depuis ton passage au magasin, je ne pense qu’à ça et je sais que tu dois partir la semaine prochaine. Puis tu as fait de gros progrès et j’apprécie. Enfin pour aujourd’hui, j’avais envie de deux choses, la première, celle de te voir, la seconde c’est une surprise.

Si j’en crois ta première réaction ma nouvelle robe te plait. Pour pouvoir venir j’ai négocié avec Odile, mais elle est curieuse, donc je dois faire attention.»
Là j’ai encore appris quelque chose : profites et fermes ta gueule. Ça m’a été utile plus tard.
Elle était vêtue d’une robe que l’on appelait « saharienne », beige claire, fermée par une série de boutons et une ceinture. Cela lui allait fort bien, le corsage de la robe était relativement ajusté et mettait en valeur sa poitrine, d’autant que le décolleté était ouvert jusqu’à la naissance des seins. La jupe était plus évasée que ses habituelles jupes droites et un peu plus courte, de plus elle avait abandonné son chignon pour laisser libres ses cheveux qui encadraient sa figure et cela faisait disparaître son coté « institutrice ».
« Depuis très longtemps, je me demandais quel effet cela faisait, à une femme, de déambuler en ville, nue sous sa robe »
« Quoi, tu serais, … »
« Oui, je voulais savoir ce que l’on pouvait ressentir, j’ai décidé de le faire en venant te voir, pensant que ça te ferait une surprise »
« Et alors »
« C’est agréable et stressant, on se sent libre, mais j’avais l’impression que tout le monde me regardait et savait que j’étais nue sous ma robe, c’est excitant et troublant, ça m’a excitée. »
« Montres »
Sans hésiter, Evelyne commença son strip-tease enfin son déshabillage avec un peu d’érotisme, dans la mesure ou elle défit un bouton du corsage ce qui augmenta son décolleté puis un bouton du bas de la jupe et ainsi de suite, cela mis en évidence ses seins que l’on pouvait deviner sans pour autant les voir entièrement, également pour la jupe qui au fur et à mesure du déboutonnage laissait deviner ses jambes. Enfin restait la ceinture, qu’elle dégrafa et elle fit un tout sur elle même ce qui ouvrit entièrement la robe qu’elle laissa tomber. Elle était complétement nue et elle semblait s’être fait plaisir en se déshabillant de cette façon, la bouche s’était légèrement ouverte et laissait passer une respiration un peu plus rapide qu’habituellement.
Pour quelques instants j’étais pratiquement sans réaction, soufflé après cette démonstration, hors une splendide bosse dans mon caleçon. Elle s’approcha de moi et la saisissant par la taille je m’emparais de ses seins qui me semblait plus gonflés plus compactes que d’habitude, je les suçais, les pompais, les mordillais.
Evelyne me dit : « Attention, pas de marques » Elle me les présentait passant de l’un à l’autre, réellement me gavant d’eux, puis je glissais une main dans son entrejambe et prenais à pleine main sa moule chaude, réellement trempée, et de deux doigts je la pénétrais, elle avait écarté les cuisses et poussé son bassin, sa chatte vers ma main et je commençais un va et vient lent et profond. Peu de temps. Elle m’arrêta en me disant : « Arrêtes, tu vas me faire jouir, je suis excitée au possible, je suis toute mouillée, j’ai besoin d’un homme qui me baise, … qui me donne du plaisir, je veux que tu me prennes, viens, pour une fois on va sur ton lit, …, je veux que ta queue me pénètre, viens, tu pourrais enlever ton caleçon que je vois comment tu as envie de moi ». Celui-ci enlevé, elle prit ma grosse tige et m’entraina jusqu’au lit, où elle s’assit, ma bite à hauteur elle me prit en bouche, juste un aller retour puis sa langue parcouru ma hampe pour enfin prendre mon gland et le lécher : « J’aime te lécher comme une grosse glace, mais maintenant je te veux, viens ».
Elle se mit a genoux, on dit en levrette « Viens, montes moi dessus, je veux te sentir sur moi, viens ». Je m’agenouillais entre ses cuisses, elle me prit et me guida en elle, j’y entrais, non j’y glissais tellement elle coulait et tellement elle était ouverte. Je la cramponnais aux hanches et commençais mes va et vient, la pénétrant à grands coups de reins ce qui entraina les commentaires de ma partenaire : « OOOhhhh , … oui, …., j’aime que tu me montes dessus, … Oohhh OUIiii, …, dis moi que t’aimes me monter, …, baises moi fort, …, OUIiiiii plus fort, …. OOhhh ouiIII, …. Continues, … ».
Elle était appuyée sur les bras, elle changea de position et se laissa tomber, la tête sur l’oreiller, ce qui projeta son joli cul, ce qui ne fit qu’augmenter mon excitation. En continuant mes aller et retour je lui dis : « T’a vraiment un joli cul »
Evelyne : « Il te plait tant que ça »
Moi : « Oh, oui » et voulant lui flatter la croupe, je lui donnais une tape, légère sur les fesses, aussitôt elle se cabra : « OUIiiii, … encore, j’aime ça »
Je recommençais avec une tape un peu plus appuyée, mais terminée par une caresse et encore une légère contraction de sa chatte était une réaction excitante. Elle posa ses deux mains sur ses fesses et les écarta, ce qui me permit de voir son petit trou, et elle recommença « Et comme ça il te plait toujours mon cul, dis moi que tu l’aimes ». « Evidement, c’est encore mieux quand tu l’ouvres »
Evelyne « Fais moi jouir, … faits moi grimper aux rideaux et il pourra être à toi, oui c’est ça, … bourres moi la chatte, …. OUIiiii, … continues, …. Baises moi fort, …, je sens que ça vient, …, retiens toi, …, OUIIIiii, … HOHOHO, …. OUIIIIiiii, je vais jouir, retiens toi encore, …, OUIIIiii, ;.. OOOHH, …. Je jouis, …, c’est bon, …. OHHH OUIII, …»
Elle lâcha ses fesses, se cramponna à l’oreiller et lâcha un dernier OUIIIIIIiii, quand me cramponnant à ses hanches et bien enfoncé en elle je lâchais tout dans sa grotte d’amour, qui accueilli le tout. Elle eut un terrible spasme qui m’éjecta. Quant à elle, elle s’écroula sur le lit, puis elle eu un second et troisième spasme, avant de se relaxer et de me dire « Prends moi dans tes bras, fais moi un câlin ». Mon lit d’étudiant n’était pas très large. Nous nous sommes encastrés l’un dans l’autre, pour un gros câlin. Puis reprenant nos esprits, nous nous sommes couverts de petits et gros baisers. Pour ma part, je m’empressais de m’occuper de son cou, sachant que des baisers dans cet endroit entrainait de sérieux frissons, en même temps que je m’occupais de ses seins, elle se laissa faire car pendant ce temps elle avait glissé une main entre nous deux et avait saisi ma hampe, enfin ce qui restait de sa gloire, car elle était nettement en berne.
Elle sentit que j’étais un peu gêné et elle me dit : « Laisses moi faire, tu m’as donné du plaisir, je vais lui redonner de la vigueur, tu vas aimer » Ce faisant elle me couvrit de baisers en descendant vers mon entrejambe et arrivant au niveau de mon sexe, elle commença à me caresser avec le bout des doigts, ce qui était affolant, puis elle commença à me lécher le gland, et là, catastrophe, elle glissa du lit, mais se rattrapant on se retrouva cote à cote tête bêche. Position fort inconfortable sur un si petit lit. Elle n’hésitât pas et se mit sur moi, position qui fit qu’elle pouvait s’occuper de « popol » et c’est ce qu’elle fit avec ses doigts, sa langue puis sa bouche, en me léchant, me suçant, … tant et si bien que ma bite repris de la vigueur, même très sérieusement, il ne faut pas croire que je restais inactif, l’odeur de sa chatte m’enivrait étant à la portée de mes doigts, de ma bouche et le nez dans sa raie. Je m’empressais avec mes doigts de lui ouvrir la chatte en la pénétrant, ce qui eu comme premier effet d’activer le léchage de ma bite. Je lui lécher la moule en buvant son jus. Sa grotte débordée de plaisir ce qui ne l’empêchait pas de s’activer de son coté en me pompant la queue avec une énergie stupéfiante, le tout accompagné de grognements de satisfaction, normal elle avait la bouche pleine, il lui était difficile de parler et que de mon coté je m’occupais activement de sa chatte utilisant doigts et langue pour satisfaire ma partenaire. Ce jeu dura un temps certain, mais de mon coté j’étais au bord de l’explosion. Je la prévins, ce qui sembla la motiver encore plus et elle continua à me pomper avec plus d’énergie, n’y tenant plus je lâchais tout. Sa bouche ne lâcha pas ma tige pendant les quelques secondes où elle avala tout ce que je lui avais donné. Pendant ce temps je m’occupais activement de sa chate de ses grosses lèvres, ses petites lèvres pointant je les aspiraient et le suçais, ce qui entraina des soupirs de satisfaction. En ayant fini avec ma tige elle se redressa et carrément s’assit sur ma bouche, sur mes lèvres et elle se planta sur ma langue tendue « OOOhhh, …., OUIIIiiii, …., suces moi, …., OUIIIIiiii, … » puis se penchant légèrement en avant et posant ses mains sur ses fesses qu’elle écarta « Tu aimes mon cul, …, lèches le, …. , prends le avec tes doigts, …, ouiiii, doucement, … Oooohh, … ne t’arrêtes pas, … je vais jouir, … OOOHHH OUIIII, … » et très vite elle se mit à jouir, m’inondant la figure de sa cyprine, son jus de plaisir et se laissa tomber sur moi, le souffle court. Il y eut encore un petit câlin on se leva : « Je dois partir, je m’habille et je file »
Elle sortie de son sac slip et soutien gorge et me dit, « Je serais plus confortable pour arriver au magasin. Au fait, es-tu libre dimanche soir, on pourrait diner ensemble à la maison, …, mon mari sera parti faire un stage dans une usine au Plessis Robinson »
Effectivement je sautais de joie en lui confirmant, naturellement ma disponibilité et elle me donna les consignes pour arriver chez elle discrètement.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!