Les 1001 Perversions De Nathalie (5) - Nathalie Soumise - Le &Quot;Cercle&Quot;

La température est déjà torride lorsque Nathalie arrive sur la grande terrasse. Germain sert le petit-déjeuner. Au bord de la piscine, Léa et Marc, nus, sont étendus dans des chaises-longues. Nathalie se débarrasse de son peignoir et les rejoint.
Germain, imperturbable, va et vient, sert des boissons. Mais les petits coups d'oeil et les regards qu'il jette dans sa direction n'échappent pas à Nathalie, étendue dans sa chaise longue.
Elle revoit la scène de la veille. Les couilles lourdes et velues du majordome, qu'elle a sorties de son slip, sa queue, si grosse, se vidant dans sa bouche, maculant ses joues.
Cette chaleur sournoise qu'elle connaît bien maintenant, qui rampe dans son bas-ventre, cette moiteur entre ses cuisses, qui lui fait écarter les jambes un peu plus. Elle glisse une main entre ses cuisses.
Léa ne s'y trompe pas :
- Tu le veux, hein, ma cochonne ! Tu l'auras, c'est promis.
Marc renchérit :
- Mais pas aujourd'hui, ma chère. Ce soir, nous allons au "Cercle". Essayez de ne pas vous masturber trop souvent aujourd'hui, gardez vos envies pour ce soir. La nuit sera longue.
À la tombée de la nuit, conduits par Germain, ils se mettent en route. Pendant le trajet Marc, met Nathalie au courant :
- Le "Cercle Vicieux", de son vrai nom, fut fondé il y a 50 ans, en 1968 par un couple de libertins fortunés et oisifs, Mr. et Mme K., âgés aujourd'hui de 80 ans. Les membres sont triés sur le volet. Pour le plaisir des dames, l'agenda de Mr. K. renferme une douzaine de noms. Chacun est classé dans une catégorie selon ses spécialités : "Sodomite Infatigable", "Mâle ardent", "Beau mec", "Pine gargantuesque", etc. Une liste d'hommes au corps chaud, âgés de vingt à cinquante ans, infatigables, qu'il appelle "mes godes à pattes".
Il en va de même pour les envies des messieurs : Mme. K. propose aux amateurs un beau choix de nymphettes plus ou moins vicieuses. Et pour les envies des deux sexes, des Asiatiques hermaphrodites.


Après une demi-heure de route la voiture s'arrête devant une grille. Marc compose le code d'entrée. Au bout d'une longue allée, une demi-douzaine de limousines sont garées devant une grande villa.
Une vieille dame, très grande et très maigre les accueille :
- Je suis Mme. K. Mon mari est dans le salon bleu.

Lorsque ils entrent dans le salon bleu, Mr. K., vautré dans un canapé, est en train de se faire lécher par une nymphette. Comme une petite chienne, elle rampe entre ses cuisses, lui léchouille le sac, suçote sa bite qui pend, molle.
D'une main distraite, il promène les lanières d'un martinet sur le dos et les reins de la fille. Les fesses dodues de la petite sont striées de rouge.
Les participants, une douzaine d'hommes et de femmes, déambulent dans le salon, la plus part sont nus. Ils paraissent l'ignorer, boivent du champagne, du vin rouge, du cognac. Certains regardent à la dérobée : le jeu impose de se montrer blasé. Faire comme si on fouettait une nymphette dans tous les salons du monde. 
Marc et Léa se sont déshabillés, mais Nathalie n'a pas encore osé franchir le pas : se mettre nue de son plein gré, quasiment en public, devant des inconnus.
Sur le canapé, Mr. K. éjacule avec un grand soupir dans la bouche de la fille. Sa bite est restée molle, il éjacule sans bander, il refuse de prendre les petites pilules bleues.
À 80 ans, il prétend avoir passé l'âge des galipettes. Jouir du spectacle de ses invités, cravacher de temps en temps une petite vicieuse, juter parfois dans sa bouche lui suffit.
Ils prennent place dans des canapés. La petite qui vient de sucer Mr. K. sert du champagne, des amuses-gueules. Mr. K. jette un coup d'oeil sur la queue dressée de Marc :
- Sophie est adorable, n'est-ce pas, mon cher Marc ? J'adore la cravacher, et elle aime ça. C'est une vicieuse de nature, et surtout, elle aime jouer avec les vieux cochons de notre espèce. C'est une perle rare, croyez-moi !
Léa souffle à l'oreille de Nathalie :
- À voir la raideur de sa queue, Marc a envie de "jouer" également.

En effet, cette petite rousse, debout à un mètre de lui, servant le champagne, son cul à portée de sa main, ses fesses dodues striées de marques cramoisies le mettent dans tous ses états !
Ils trinquent, et Mr. K. prend la parole, s'adressant à Nathalie :
- Je pense que c’est la première fois que vous venez dans un lieu de ce genre, car vous sembliez un peu nerveuse en arrivant. Détendez-vous, nul ne vous juge, et surtout, nul ne vous importunera contre votre gré. Je suis très stricte en ce domaine.
Voyant le regard de Nathalie sur la fille, il poursuit :
- Ne vous inquiétez pas. Ces filles ont l'air d'écolières vicieuses, mais tout se passe dans la plus stricte légalité. Elles ont toutes passé leurs 18 ans. Je suis trop connu pour me permettre de prendre des risques inutiles.
À ces mots, il lève sa coupe :
- Je suis certain que vous passerez une excellente soirée, et j’espère qu’elle vous donnera envie de revenir. Maintenant, enlevez votre culotte, madame et donnez-la moi..
L’assurance de cet homme déjà très âgé, son débit lent et le rythme de ses phrases donnent à ses mots un aspect envoûtant. Nathalie n’y est pas insensible : sa respiration est plus courte. Elle prend appui avec ses épaules contre le dossier du canapé, soulève ses hanches, passe ses mains sous sa jupe et fait glisser sa culotte qu’elle tend au vieillard.
Il la porte à ses narines :
- C’est très bien. Je la garde. Il en est toujours ainsi. Lors de leur première visite, les dames sont tenues de me laisser leur culotte. Une lubie de vieux monsieur…
Mr, K. change de ton. Sa voix devient plus autoritaire.
- Je suis certain que cette situation vous trouble, madame. Je me trompe ? Passez la main sous votre jupe, portez-la vers votre sexe. Votre chatte est-elle humide ?
De nouveau, elle obéit à cette voix.
- Oui...
- Alors, madame. Nous n’avons pas entendu votre réponse. Nous aimerions vous l’entendre dire plus clairement.

Un silence. Enfin, elle murmure :
- Oui, mon sexe est humide.
La voix continue, implacable :
- Caressez-vous, maintenant. Mais doucement, juste deux doigts en fourche autour de votre clitoris, pour le faire durcir.
La main droite de Nathalie glisse de nouveau sous sa jupe. Son regard est vide, sa bouche légèrement ouverte, les ailes de son nez se pincent, elle commence à haleter, sa respiration s'accélère.
- C’est parfait, madame. Sachez que l'on vous regarde et que l'on veut votre plaisir. Continuez de me regarder, et n’allez pas trop vite. Ça y est, votre clitoris est dur ?
- Oui.
La voix devient plus autoritaire :
- Pas de réponse brève. Nous voulons une vraie réponse.
Elle regarde l’homme. Sa phrase est hachée par les halètements de plaisir, mais sa voix est plus forte :
- Oui… Mon clitoris… est… dur.
- C’est très bien. Maintenant, madame, vous allez poser vos pieds sur la table. Ecartez les jambes autant que vous le pouvez pour bien ouvrir votre chatte. Caressez-vous avec un seul doigt, remontez le long de votre clitoris. Et posez votre main gauche sur le sexe de Marc.
Nathalie exécute ces ordres un à un, au fur et à mesure que la voix les lui donne. Le fait d’avoir levé ses cuisses pour poser ses pieds sur la table a fait glisser sa jupe sur ses jambes.
On voit sa main bouger sur sa chatte, ses jambes entièrement dévoilées, ses pieds crispés sur l’angle de la table, on entend ses halètements de plaisir, de plus en plus rauques.
Quand la main de Nathalie saisit son sexe dur, Marc bande comme un taureau. Une onde de plaisir sillonne son corps.
Nathalie se laisse glisser en arrière, tête et épaules contre le dossier du canapé. Sa main se crispe sur le sexe de Marc, lui arrachant un cri de plaisir. Elle mordille sa lèvre intérieure, ses yeux se plissent : elle est au bord de l’orgasme.
- Vous y êtes, madame. Appuyez plus fort sur votre clitoris, un mouvement circulaire.
Ne fermez pas les yeux. Vous allez jouir. Et je veux vous entendre.
La voix s’est à peine tue que le corps de Nathalie se tend comme un arc. Elle ouvre grand la bouche, sa main s’agite frénétiquement sur son con, des saccades de plaisir la traversent, elle rejette sa tête en arrière.
Elle pousse une longue plainte, qui n’en finit pas, alors que sa main s’est calmée et que ses hanches sont prises de soubresauts. Puis, elle retombe et reste immobile. Seules ses jambes, fermées, mais allongées sur la table, et nues jusqu’en haut des cuisses, bougent légèrement. Elle les frotte l’une contre l’autre.
Mr. K., qui semble satisfait de la prestation de Nathalie, poursuit :
- Levez-vous, madame.
Nathalie obtempère. Mr. K. fait un signe de la main.
- Je voudrais que cette première soirée reste pour vous inoubliable, que vous y repensiez ensuite longtemps.
Il a à peine terminé sa phrase, que Nathalie sent une présence dans son dos.
Un sexe dur se plaque contre son fessier. Des doigts habiles font glisser sa jupe, lui retirent sa blouse, la débarrassent de son soutien-gorge.
Elle se retrouve nue, exposée à tous les regards. Et ça la fait mouiller.
Elle sent la queue grosse et dure se glisser dans la raie de ses fesses. Il fait rouler ses tétons durcis entre ses doigts, elle sent son souffle dans son cou, il lui mordille le lobe de l'oreille. Un homme nu se masturbe en la regardant. Elle dégouline et commence à frotter son cul contre la verge tendue.
Et puis d'un rapide mouvement, l'homme la retourne contre lui. Nathalie ne peut retenir un cri :
- Houssam !
Mr. K. a un sourire :
- Je vois que vous connaissez déjà Houssam, madame. Sachez que Houssam est un de mes meilleurs gode à patte.
En un éclair, Nathalie réalise que Marc n'était pas par hasard devant cet immeuble minable, au petit matin, après sa nuit d'orgie avec les quatre voyous... Toute son aventure, depuis son départ de la plage quatre jours au paravent est un coup monté.
Elle n'est pas remise de sa stupeur, que Houssam l'entraîne dans une pièce attenante, digne d'une salle de moyenâgeuse.
Il l'allonge de tout son long sur un cheval-d'arçons recouvert de cuir, le cul aussi haut que la tête, les bras pendants, les jambes écartées. Elle se laisse attacher.
Dans cette posture, il voit son con largement fendu et son trou du cul qui s’écarquille. Elle tressaille violemment quand il lui ouvre l’anus entre ses deux pouces. Il pose le bout de l’index au centre de la corolle.
- Ne nous effarouchons pas déjà ! Cela ne fait que commencer ! 
Elle se relâche, et il y fourre le bout du doigt. Il le touche longuement, il le hume, il l’ouvre, il le lèche. Il joue avec. Après l’avoir mouillé de salive, il y introduit son index. Nathalie s'est relâchée pour lui faciliter la tâche. Couvertes de chair de poule, ses fesses se crispent et se détendent par spasmes. À chaque va-et-vient de son doigt, son cul s’ouvre davantage. Elle gémit :
- Prends-moi...
Il la touche. La chatte est inondée. Le vagin est béant. Il met le pouce dedans. Longue plainte. Il a déjà un doigt fourré dans son cul. Il retire son pouce, il lui taquine le clitoris, elle s'écarquille pour mieux l’offrir. Rouge, gonflé, sensible. Elle accompagne la caresse en se dandinant de façon obscène. Elle supplie, quémande :
- Viens, viens ! Fais-le moi… Mets-la moi… S'il te plaît ! Pine-moi !
Il ignore ses supplications et c’est de cette façon, un doigt dans le cul, lui pinçant le bouton de l’autre main, qu'il lui donne son plaisir. Un flot de liquide dégorge du vagin. Elle ne peut retenir ses cris...
Il la détache, l'emmène dans une pièce voisine, on perçoit des gémissements. La petite Sophie est entre les mains de Marc. Emprisonnée dans un carcan, elle a le corps plié en deux, les chevilles maintenues par une barre d'écartement. Elle a un bandeau sur les yeux.
Sa croupe est complètement offerte, alors que son cou et ses poignets sont immobilisés dans les ouvertures d'un cadre de bois. Placé derrière elle, Marc la fouette consciencieusement. Les fesses de la petite se raidissent, se contractent, mais ses gémissements n'appellent pas à interrompre la flagellation, ils signifient au contraire qu'elle la réclame, qu'elle l'apprécie, que la jouissance, démultipliée par la douleur, monte en elle.
Marc interrompt la séance de coups de fouet. Il contourne le carcan, se place devant son visage immobilisé par le bois, et, la maintenant par les cheveux, lui plonge son pieu raide dans la bouche. Il s'emploie à ce que la fellation soit longue, très longue.
Elle n'en finit plus de sucer son gland, de l'astiquer, de le mâcher. Pendant que Marc se retient indéfiniment, Houssam place Nathalie à genoux devant la croupe offerte de Sophie :
- Lèche-la. Lèche-la bien, applique toi. Et fais-la jouir.
Docile, elle obéit, s'applique, fait circuler sa langue de bas en haut, et de haut en bas, aspire le clitoris, le roule entre ses lèvres, puis revient aux abords du con qu'elle excite pernicieusement.
D'autres spectateurs de ce tableau vivant sont venus les rejoindre. Un homme se branle, éjacule sur la croupe de Nathalie.
Quittant la bouche de Sophie, Marc fait mine, maintenant, de rejoindre le cul de Nathalie pour l'honorer. Mais Houssam, jugeant que la position inconfortable de Sophie dans son carcan a suffisamment duré, décide de la libérer, et exige que Nathalie se détourne de la vulve dont elle s'occupait avec frénésie.
- Restes agenouillée, pute, et suce-moi…
Immédiatement, elle s'exécute, et de toute évidence Houssam apprécie son expérience en matière de fellation. Marc lui fait un signe. Houssam entraîne Nathalie vers le "banc à fesser". Il l'installe et l'attache par des liens de cuir.
Cet instrument ingénieux permet de placer la soumise à genoux, de l'entraver de telle sorte que le visage et l'ensemble du corps soient en contrebas, pendant que la croupe est largement offerte, idéalement exposée.
Marc, de son côté, emmène Sophie et l'arrime solidement au mur, enchaînée de tous côtés, les bras et les jambes écartés. Il lui retire son bandeau, afin qu'elle puisse profiter du spectacle d'Houssam s'occupant de Nathalie.
Et pendant qu'Houssam perfore le cul de Nathalie sur le banc à fesser, sentant l'excitation de Sophie à son comble, Marc se colle à elle et lui enfile sa pine jusqu'aux couilles. Elle hurle et jouit presque tout de suite. 
Il la baise longuement, regardant Houssam sodomiser Nathalie à foison. Il va et vient, se retient jusqu'aux limites du concevable, défonce et défonce encore, la portant au comble de ses fantasmes et de ses orgasmes.
Finalement, ils sont tous épuisés de plaisir. Il est temps de faire une pause, afin de permettre à chacun de récupérer un peu de forces. Ils regagnent le salon bleu.

(à suivre)

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