Corinne En Auto

Seule au volant de sa voiture, Corinne roulait vers un terrain de camping de l'Ardèche où l'attendaient son mari et ses deux filles adolescentes. Elle n'avait pu prendre ses vacances plus tôt et il était convenu qu'elle rejoindrait sa petite tribu avec deux semaines de décalage pour une dernière en commun. Elle pestait en roulant contre sa chef de service qui n'avait pas voulu la faire partir plus tôt. Enfin, dans une ou deux heures, elle serait en vacances au bord de l'eau et vu la chaleur, elle piquerait une tête tout de suite dans l'Ardèche.

Elle s'était déjà mise dans l'ambiance en revêtant un mini short et un débardeur mettant son corps longiligne en valeur. Elle n'arrivait pas à se résoudre à une cruelle évidence : elle avait cinquante ans depuis deux mois. Ses amis avaient beau lui dire qu'elle faisait dix ans de moins, elle faisait partie de ces belles femmes traquant tous les signes de vieillissement et soucieuses de toujours séduire. Ses rares cheveux blancs étaient noyés dans des mèches blondes qui lui tombaient sur les épaules et qu'elle relevait souvent en chignon. De petites rides, elle le vérifiait encore dans le rétroviseur, commençaient à marquer le coin de ses yeux.

C'est pourquoi, bien que bonne épouse et bonne mère, il lui arrivait de vérifier concrètement qu'elle plaisait toujours en commettant l'adultère pour une liaison sans lendemain mais productrice de plaisir sexuel. Elle avait toujours adoré faire l'amour et cette prédilection ne s'était pas ralentie avec le temps, bien au contraire. Elle avait d'ailleurs hâte de retrouver son mari car quinze jours de disette, c'était bien long. Elle se promettait de l'entrainer dans un coin tranquille sous les arbres où elle commencerait pas lui sucer la bite avant de la prendre à pleine main et de la guider vers son antre bouillante de désir. Cette perspective lui fit brièvement remuer les hanches au volant. Instinctivement, elle appuya un peu plus sur l'accélérateur.

La route de Haute Loire était bonne.

Mais soudain, son moteur se mit à ratatouiller et sa vitesse se mit brusquement à baisser alors qu'elle appuyait plus fort sur l'accélérateur. Elle dut vite se rendre à l'évidence : sa voiture allait tomber en panne. Là, en plein Massif central ! La tuile. La route abordait un village. Trouver un garage, telle était désormais la priorité. Tiens, justement, coup de bol, il y en avait un sur le bord de la route. Elle y entra à petite vitesse. Des tracteurs se trouvaient en réparation. Elle sortit de sa voiture et tomba sur le garagiste, un grand gaillard d'une trentaine d'années avec tatouages et boucle d'oreille, le cheveux ras et la mâchoire carrée. Pas romantique, le mec, se dit-elle. Mais son problème, c'était sa voiture. Il l'interrogea :
- Alors, ma petite dame, qu'est-ce qui vous arrive ?
- Ma voiture n'avance plus. Je suis sur la route de mes vacances pour rejoindre ma famille. Est-ce que vous pouvez me dépanner ?
- On va voir. Nous sommes spécialisés dans le matériel agricole mais un moteur, c'est un moteur, n'est-ce pas ?
Il releva le capot et inspecta la mécanique. Lança le moteur, l'arrêta.
- Je crois qu'il va nous falloir un peu de temps. Vous pouvez aller vous rafraichir au bistrot d'à côté pendant qu'on regarde, lui dit-il.

Bon gré mal gré, Corinne s'exécuta. Elle trouva du réseau téléphonique pour alerter son mari de sa mésaventure et qu'elle serait donc en retard. Il était déjà 16h et elle arriverait au mieux en fin de soirée. Elle fit le tour du village et le trouva très mort. Comment pouvait-on vivre tout le temps ici ? Au bout d'un moment, elle revint vers le garagiste. Celui-ci faisait grise mine :
- Madame, je suis désolé mais il faut changer une pièce et nous sommes samedi. La concessionnaire est désormais fermé et n'ouvrira que lundi matin. Nous irons alors chercher la pièce et vous pourrez repartir.
- Quoi ? Mais qu'est-ce que je fais en attendant ?
- Ben, vous avez un hôtel ici, c'est pas le grand luxe mais vous serez au calme et vous verrez, le coin est joli, il y a de belles promenades à faire.

- Vous parlez, ça me fait une belle jambe, vos promenades. Elles commencent bien, mes vacances !
Très en colère, Corinne finit par se résigner. Elle rejoignit l'hôtel, en fait un simple "routier" déserté en cette période estivale. Sa chambre était sommaire mais il y avait l'essentiel. L'accueil de l'hôtelière était sympathique et elle lui proposa un dîner alléchant.

A l'heure du repas, le garagiste vint la rejoindre et lui proposa un apéritif, qu'elle accepta. Les présentations plus détaillées furent faites. Il s'appelait Romain, était célibataire, né dans la ville voisine et donc un parfait autochtone. Il avait entamé des études mais faute d'emploi dans la région, il s'était résigné à reprendre ce garage, ayant toujours été attiré par la mécanique qu'il apprit "sur le tas". Il la rejoignit à table et au fil de la soirée, Corinne le trouva sympathique et même séduisant par son charme viril. Il avait de beaux yeux outremer et ses mains n'étaient pas trop abîmées par le travail.
Quant à lui, il n'en revenait pas de cette apparition dans son bled paumé. Une actrice de cinéma aurait débarqué dans son garage qu'il n'aurait pas été plus épaté. Cette blonde aux gambettes longues et fuselées et aux yeux émeraude l'excitait au plus haut point. Dommage qu'elle soit mariée. Elle lui aurait dit son âge qu'il en serait tombé à la renverse.
A la fin de la soirée, il lui proposa une balade dans les environs, notamment près d'une superbe cascade au bord de laquelle il était possible de sa baigner. Corinne accepta la proposition, le dimanche serait long et vu la chaleur, elle serait aussi bien dans l'eau. Rendez-vous fut pris après le déjeuner.
*********
Après avoir trainé au lit le dimanche matin et téléphoné à son mari, puis déjeuné légèrement, Corinne se rendit au point de rendez-vous avec Romain. Elle avait chaussé ses baskets et conservé sa légère tenue légère par dessus son bikini, ayant bien l'intention de "piquer une tête". Roman arriva lui aussi en short et tee shirt, exhibant des biceps et des triceps impressionnants.
Elle savait depuis la veille qu'il appartenait à une équipe de rugby des environs. Le duo se lança sur un chemin de randonnée épousant les vallons et les collines du secteur. Corinne était heureuse de marcher après sa longue inactivité de la veille. Tous deux papotaient en avançant et elle ressentait de plus en plus d'attirance pour le garagiste malgré la différence d'âge... qu'il n'était d'ailleurs pas censé savoir. Après plus d'une heure de marché, le duo arriva à l'endroit annoncé par Romain. C'était une cascade assez haute qui retombait dans une sorte de trou d'eau d'un vert tellement limpide qu'on pouvait apercevoir le fond malgré la profondeur. Il n'y avait absolument personne. L'endroit il est vrai était reculé.
- On va à la baille ? lança Romain.
- Avec plaisir, je crève de chaud, répondit Corinne.

Elle se débarrassa de son débardeur et de son short, révélant un bikini dans le poids du tissu devait à peine atteindre vingt grammes. Le soutien-gorge se réduisait presque à deux ficelles et les bonnets à deux timbres postes dissimulant tout juste les mamelons. Quant au slip, c'était en fait un cache sexe, l'arrière se limitant à un minuscule triangle cachant à grand peine la raie des fesses. Lorsqu'il découvrit ce maillot, Romain reçut un choc au plexus. Elle était encore plus nue que nue. Jamais il n'avait vu ça si ce n'est sur les pages glacées de magazines pour hommes. Consciente de l'effet produit, Corinne se retint de justesse de tourner sur elle-même comme un mannequin. Elle repensa à Coralie, son amie, qui l'avait mise au défi de "porter ce truc" lorsqu'elles étaient allées ensemble acheter leur maillot de bain. Si elle était là...

Mais quand Romain se déshabilla à son tour, c'est elle qui reçut le choc au plexus. Et même un peu plus bas. L'homme découvrit un torse sculptural avec des muscles parfaitement dessinés sous une légère toison brune, en particulier des abdominaux qui jouaient sous la peau. Quel beau mâle, se dit-elle.
Sous la fine toile du boxer de bain, une espèce de matraque partait en travers, signe que le jeune homme bandait dur au spectacle de la quasi nudité de Corinne. Le trouble s'installa au sein du duo et un observateur neutre présent en aurait illico déduit qu'un rapport sexuel de grande intensité allait se produire à brève échéance. Pour l'heure, l'une et l'autre cherchaient à masquer leur désir en allant plonger dans l'eau couleur d'émeraude.

Dès qu'elle fut dans l'eau, Corinne sentit son minuscule soutif lui échapper. Ses seins ronds prenaient leur liberté et elle la leur laissa. L'incident n'échappa pas à Romain qui s'approcha de la naïade et tenta de l'embrasser. Elle n'opposa aucune résistance, lui rendit son baiser et laissa sa main glisser sur son buste jusqu'au boxer. L'homme s'en débarrassa prestement, permettant à son pénis de se dégager et de favoriser le début de masturbation initié par Corinne. Lui-même lui empauma les seins, jaugeant leur fermeté puis glissa jusqu'au cache-sexe pour s'apercevoir qu'il avait déjà disparu, Corinne l'ayant prestement lancé vers le bord de l'eau après l'avoir fait glisser le long de ses jambes.
Mais le duo n'avait pas l'intention de s'en tenir à une masturbation réciproque. Dégoulinant d'eau, il se retrouva au bord de la cascade pour une découverte buccale. Après s'être délectée du membre copieux du garagiste (elle avait toujours aimé sucer les bites épaisses remplissant bien la bouche), elle lui offrit sa vulve, jambes largement écartées et se laissa brouter longuement en soupirant de plaisir. Elle pensa qu'elle aurait pu se trouver dans la même situation, peut-être au même moment, à quelques dizaines de kilomètres de là en compagnie de son mari. Mais la panne en avait décidé autrement. Elle baisait maintenant avec un inconnu au corps splendide et rien d'autre ne comptait.

Quand il la pénétra, un bien être inouï l'envahit. Sa période de chasteté s'achevait enfin. Le puissant pénis fouillait avec méthode ses chairs intimes, sans hâte mais sans concession. Si elle savourait le moment, l'homme le goûtait tout autant. Il n'avait jamais baisé une aussi belle femme et il était bien décidé à faire durer le plaisir, à retarder au maximum son éjaculation. Ce ne serait pas le plus simple car la manière avec laquelle elle faisait l'amour le subjuguait. Elle avait pris ses pieds à pleines mains, s'écartait les jambes pour qu'il puisse la visiter à fond et alternait cris de plaisir (heureusement couvert par le bruit de la cascade) et propos crus où il était question de sa bite et de la joie qu'elle lui procurait. Il avait déjà eu des cochonnes dans son lit mais celle-là, il le sentait, allait les surpasser.
Du reste, elle prit rapidement le commandement des opérations en le couchant sur le sol et en le chevauchant, les yeux dans les yeux et faisant danser ses seins ronds. Puis elle lui montra son cul pommelé en s'appuyant sur ses cuisses puissantes. Romain put alors découvrir un tatouage sur son sacrum en forme de vagues ailes d'oiseau. Il y vit une invitation érotique, peut-être à la sodomie, en le voyant danser sous ses yeux. Il fut fortement tenté de passer à l'acte lorsqu'elle se mit à quatre pattes pour se faire prendre par derrière, le nez presque dans la cascade. Mais dès qu'il positionna son gland sur son anus, elle se rebella :
- Non, c'est réservé à mon mari. Prends-moi la chatte, continue, c'est bon.
Il n'insista pas. Mais pour la punir, il la coucha une nouvelle fois dans la mousse, la plia en deux et lui asséna de virulents coups de bite qui la firent bramer encore plus fort. Il fut sur le point de tout lâcher mais ses "continue, continue, encore, encore" l'incitèrent à se maitriser jusqu'au moment où, les yeux presque révulsés, il la sentit en proie à un violent orgasme. Alors, il lâcha un baquet de sperme, moitié dans son tréfonds, moitié sur son ventre, gueulant en même temps qu'elle. Haletante, le souffle court, elle finit par lâcher :
- Ah merci, j'en avais vraiment besoin.
- Et moi donc...
*****
Ils s'en revinrent vers le village main dans la main, apaisés mais pas rassasiés. Le sexe de Corinne bouillonnait encore et après le repas pris en commun au restaurant du routier, ils s'accouplèrent à nouveau dans la chambre de l'hôtel pour compléter leur connaissance mutuelle. Cela commença par un long 69 sur le lit qui permit à Corinne de redresser une queue à la vitalité retrouvée. Puis Romain la prit sur la table réservée au petit déjeuner avant qu'il ne la soulève avec aisance, la dépose sur sa bite et lui fasse faire le tour de la chambre dans cette position acrobatique que sa puissance musculaire permettait. Il dut l'embrasser en même temps pour l'empêcher de crier son enthousiasme puis la baillonner d'une main en lui assénant ses assauts finals sur le lit sévèrement chahuté. Ils se retrouvèrent sous la douche avant de se séparer car Corinne avait grand besoin de dormir après ces deux séances qui lui avait fait comprendre qu'elle n'avait plus tout à fait trente ans. Mais quel plaisir ! Elle en oublia d'appeler son mari ce soir là et plongea dans le sommeil.

Le réveil fut un peu douloureux. Corinne se sentait mâchée de partout. Romain avait mis le feu à son corps mais aussi à ses muscles et son intimité profondément et copieusement visitée lui faisait un peu mal. Quelle séance ! Elle s'en souviendrait longtemps. En attendant, il fallait revenir aux réalités automobiles. Après s'être préparée, elle retourna au garage. Romain était déjà allé chercher la pièce neuve et se trouvait le nez dans le moteur.
- Ce sera réparé dans une demi-heure, lui assura-t-il.
Rassurée, Corinne retourna à l'hôtel pour consti son bagage et faire quelques pas dans ce village autrefois inconnu dont elle garderait un souvenir particulier. La voiture démarra normalement et avant de partir, les deux ex amants se firent la bise comme deux bons copains.
- Tu reviens quand tu veux, lui glissa-t-il à l'oreille.
Corinne savait qu'elle ne reviendrait jamais et ne reverrait jamais Romain. Il lui fallait maintenant se plonger enfin dans les vacances familiales au bord de l'eau pour une semaine qui serait vite passée. Et faire l'amour avec son mari qui l'attendait impatiemment. Une brève inquiétude la saisit : "pourvu qu'il ne s'aperçoive de rien". Mais elle se raisonna en se disant qu'il lui suffirait de serrer un peu les dents quand elle serait pénétrée... et lui offrir son cul, son privilège exclusif et préservé. "Tiens, je vais lui demander de m'enculer, il sera ravi" se dit-elle joyeusement alors qu'elle se dirigeait vers le lieu de ses vacances, en bonne épouse modèle...

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