Corinne

Franchement la première fois que j’ai rencontré Corinne j’ai cru défaillir: je la trouvais plus belle que moi, plus sexy, plus……..je ne sais plus. En tout cas je suis tombée amoureuse. Pourtant je connaissais l’amour avec mon ex fiancé avec qui nous avions les rapports normaux entre un homme et une femme.
Dire à une fille qu’on l’aime est délicat, on risque de se faire jeter au mieux.
J’ai osé.
Elle m’a regardé de travers quand je suis partie, sans attendre de réponse.
Ce n’est que plus tard, après qu’elle ai réfléchi que j’ai pu l’embrasser au coin de la bouche. Puis, sans trop attendre je, l’ai carrément embrassée comme une amante, ce qu’elle est devenu rapidement. J’ai pu la faire venir chez moi: elle était belle, encore plus que d’habitude avec ses longs cheveux blonds, ses yeux pervenches, et sa petite jupe en jean.
Nous avons parlé longtemps pour faire connaissance. La conversation évidemment tournait autour du sexe. Je lui raconté tout sur moi: comme je m’étais donné du plaisir quand j’était gamine, avec qui j’avais fait l’amour (facile, uniquement des garçons) et ce que j’attendais d’elle: de l’amour réel et de l’amour physique puisqu’elle me plaisait beaucoup au point que je ne voulais plus qu’elle.
Elle se doutait de ce que j’allais dire, aussi elle n’en était pas tellement étonnée.
Corinne a son tour se raconte: elle s’est masturbée assez tard, n’est plus vierge depuis qu’elle s’ait donné à un cousin, qu’elle a souvent recommencé avec d’autre qu’elle y prend pas mal de plaisir.
Elle ne peut pas dire si elle m’aime. Elle accepte d’essayer de faire l’amour avec moi: je serais sa première amie.
Je suis déçue de ne pas avoir son amour. Tant pis, je me contenterai de faire l’amour avec elle.
Notre première fois ne peut tarder. Je l’embrasse encore sur la bouche, elle ouvre ses lèvres, ma langue entre dans sa cavité. Je la tiens bien contre moi, avec un bras sur ses épaules et un autre sur sa taille.

D‘elle même elle se colle à moi. Je suis prête à passer ma main sous sa jupe quand elle se dégage.
- Attends, pas si vite, laisses moi le temps de l’habi.
C’est vrai quelle va me faire plaisir et certainement en prendre, je ne dois pas la brusquer. Je l’embrasse encore, longuement, j’attends qu’elle me fasse signe, un signe qui vient tardivement: elle se colle contre mon pubis.
Maintenant je tente encore de passer ma main sous la jupe. Cette fois elle m’accepte. Je met ma main entre ses cuisses. Enfin j’arrive très haut, juste sous le string de Corinne. Je sens qu’elle est drôlement mouillée. Je passe un seul doigt pour aller chercher son bouton. Je le touche à peine. Je me prépare à la masturber.
Dès le début, Corinne commence à gémir: tout le temps de la première masturbation, elle continue. Elle se laisse bien faire jusqu’au moment de sa libération. Elle pose une main sur la mienne, ses lèvres viennent sur les miennes.
- Encore, branles moi encore.
- Et moi ?
- Tout à l’heure.
- Passons dans la chambre.
- Pas encore, branles moi.
Je recommence à caresser son clitoris. Sa main sur la mienne semble me diriger. Je sens ses spasmes quand elle jouit pour la deuxième fois.
Au moins je n’aurais pas manqué le premier acte.
Dans la chambre je peux la déshabiller rapidement. Elle se laisse faire comme un bébé. Je suis vite nue moi aussi. Je peux l’admirer, son visage avec ses longs cheveux autour, ses seins plus beaux que je le croyais, elle est plus sexy que la normale.
Je m’allonge près d’elle avec l’idée de faire plus que la branler. Je suis heureuse de sentir sa main sur ma chatte: elle n’a pas peur de me rendre les bienfaits que j’ai donnés. Je profite longuement de ses doigts sur ma chatte. Elle me caresse le clitoris bien sur, elle me doigts longuement. Je ne sais combien de doigts elle a introduit: je jouis longuement.
Maintenant c’est Corinne qui veut aller plus loin, bien plus loin que la masturbation.
C’est bon de se faire branler par une autre fille, elle préfère quelque chose de plus « hot ».
Elle m’enjambe pour prendre ma chatte dans sa bouche. Elle me donne la sienne. Je prend enfin connaissance de l’odeur et du gout d’une autre chatte que la mienne. Je prends conscience de la douceur d’un sexe féminin. Chez un homme la seule chose douce est son gland.
Je sens sa langue venir dans des endroits que je ne connaissais qu’à peine. Je la fouille aussi. A dire vrai, je ne sais trop où poser ma langue pour la faire jouir. Je lèche son clito, j’entre ma langue dans le vagin. J’ai l’idée étrange d’aller sur son anus. Elle frissonne tellement que je reste là où je suis. Je force un peu et ma langue entre directement dans son cul. Je fais comme si j’avais une bite: je l’encule carrément. Elle n’arrête pas de jouir.
Quand je libère son anus, c’est à mon tour de gouter au délice de sa langue quand elle me sodomise.
Nous nous arrêtons crevées de saine fatigue. Nous sommes encore bouches collées.

Ne pas se cacher est difficile quand on aime les filles, quand on est une fille. Comment avoir une amie sans que personne ne le sache. Je crois avoir trouvé le moyen de régler ces problèmes:
Nous habitons dans une petite ville. Pour nous aimer, le samedi nous avons toujours quelque chose à faire dans la grande ville, là où personne ne nous connait. Cette petite habitude est venu au tout début de notre amour.
Nous avons nos habitudes, même si au début le regard goguenard du réceptionniste de l’hôtel à l’entrée de la ville, pesait sur nous. Il se doutait bien de ce que nous allions faire, et puis le temps passant il était habitué à nous voir, au point de nous demander comment nous allions en arrivant. Nous avons toujours une chambre avec douche. Nous commençons par là, ensemble sous la douche, nous nous «lavons » mutuellement. C’est une bonne excuse pour nous caresser avec le jet d’eau chaude. Nous jouissons toujours la première fois de cette façon.

Ensuite, nous nous aimons en nous branlant une fois, pas plus. Nous nous retournons toujours pour être tête bêche: nous nous embrassons les seins, le ventre, le nombril et nos pubis avant que nos langues aillent faire leur travail.
Nous jouissons ainsi plusieurs fois. Reste le fin du fin. Nous pouvons nous baiser normalement avec le gode double que nous avons acheté. Un bel engin qui nous permet plusieurs façon de jouir: toutes les deux empalées avec le même engin de chaque coté. L’une au l’autre le manie, peut importe du moment qu’il est dans notre sexe ou entre nos fesses.
L’autre façon que j’aime beaucoup, Corinne beaucoup moins, c’est pour cela qu’elle me le fait: j’ai la vagin rempli par un bout du gode, elle le plie pour entrer l’autre coté dans le cul.
La première fois, c’est elle qui a voulu me le mettre ainsi. J’ai adopté cette façon d’être pénétrée. Notre amour l’autorise à me caresser le clitoris en même temps.
Que c’est bon d’être prise ainsi.
Notre histoire dure depuis 2 ans maintenant. Finalement nous nous fichons du qu’en dira-t-on. Nous vivons maintenant notre amour normalement. Personne ne nous dit rien.

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