Une Coquine En Auto !

La voiture roule dans la nuit, conduite par Dominique le plus âgé de notre bande, il a son permis depuis peu et son père lui prête sa vieille 403 hors d’âge mais qu’importe on a une auto pour nous sortir et puis Marc et moi sommes à l’aise sur la banquette arrière pour nous bécoter. Nous sommes en plein dans les années hippies, nous nous contentons de choses simples. Cette fois nous avons été loin, dans une boite sympa et pleine de filles parait-il, comme je suis la seule du groupe et déjà prise, les garçons voulaient s’amuser un peu, se trouver une copine, ils ont dansé, dragué, mais le résultat ne fut pas au rendez-vous. Le retour risque d’être long sur ces petites routes de campagne, surtout que la vieille guimbarde ne dépasse pas les 80 km/h et encore, mais il y fait bon et par cette froide nuit de fin d'automne, c’est très agréable, pour tout dire je ne suis pas pressée, Marc embrasse bien et je l’adore…
Depuis le départ, Marc m’a serrée contre lui, il sent bon malgré l’odeur de fumée collée à sa chemise, il ne fume pas mais dans la boite la fumée de cigarettes est si dense qu’elle vous en irrite la gorge et imprègne vos vêtements…je pose ma tête sur son épaule et niche mon visage dans son cou, il me caresse doucement la joue, puis se retourne pour déposer sur mes lèvres un doux et tendre baiser jusqu’à ce que nos langues s’emmêlent à n’en plus finir. Je sors avec Marc depuis quelques mois, nous nous voyons chaque jour au lycée mais sommes rarement seuls tous les deux, mes parents refusant que je reste tard dehors le soir lorsque j’ai cours, il ne nous reste que les week-ends que nous partageons avec Dominique et Christian. Notre petit groupe se connait depuis la maternelle, mais Marc fut toujours mon préféré, il est beau, gentil, et j’aime sa façon de parler. Ce n’est pas mon premier flirt, nous nous connaissons depuis si longtemps que nous n’avions jamais pensé que notre amitié cachait une attirance l’un vers l’autre, jusqu’au jour ou durant la fabrication d’un char pour la fête locale de notre petite ville, nos mains se frôlèrent en collant chacun une fleur de papier crépon sur la grosse charpente de grillage métallique que nous devions recouvrir.

Premier reflex de gêne cachée par un sourire idiot, puis nos mains se touchèrent encore mais plus longtemps, jusqu’à ce qu’il me prenne doucement la main et qu’il me regarde avec cette infinie tendresse qui me fait craquer à chaque fois.
Le ronronnement du moteur nous berce, Christian s’est endormi, épuisé par les jerks endiablés, Dominique est concentré sur la route, déjà peu bavard là il est carrément muet, Marc m’embrasse à bouche que veux-tu, je sens sa main partir en exploration, je le laisse faire, ce n’est pas la première fois. Elle est passée sous mon pull puis sous mon soutien-gorge, et caresse doucement la pointe d’un de mes seins qui durcit aussitôt sous le contact de ses doigts froids, mais j’aime bien. Son autre main passe sous ma jupe se glisse dans ma culotte, se pose sur ma petite chatte puis un de ses doigts entrouvre la porte de mon jardin secret, ça aussi j’aime bien. Sous ses airs d’ange, Marc est un fripon et ne perd jamais une occasion pour me pelotter, mais il le fait si délicatement et c’est si bon que je ne lui refuse rien. Allongés côte à côte, nos bouches sont collées l’une à l’autre, j’ai chaud et ce n’est pas ment à cause du chauffage de la voiture, j’ai aussi un peu bu et l’alcool me monte à la tête. Marc est tellement serré contre moi, que je sens ses cuisses sur les miennes et surtout la grosse bosse dans son pantalon contre mon bassin.
-Caresses moi me susurre-t-il à l’oreille.
A travers son pantalon, je caresse son sexe, qui me semble long et fort, mais je ne suis pas une spécialiste. Je suis vierge et ma connaissance de l’anatomie des garçons se limite à celui de mon petit frère lorsque je changeais ses couches et de quelques « touché » à travers le pantalon de mes ex petits copains comme celui que je pratique en ce moment à Marc, mon expérience en kiki s’arrête là…mais j’aime l’effet que cela produit, le sentir vibrer et grossir à travers l’étoffe, écouter le souffle court du garçon dans mon oreille.
-Prends moi dans ta main me susurre-t-il à nouveau.

Là c’est une première pour moi, je suis surprise de la demande, mais à la fois émoustillée et curieuse, l’alcool me désinhibe, j’entreprends donc sans trop réfléchir de déboutonner la braguette de son jeans, de passer la main sous son caleçon et prendre l’objet long, dur et chaud qui se trouve à l’intérieur. Etonnée par ma propre lubricité, d’instinct je le caresse et dégage d’un geste sûr le prépuce du gland. Sa langue se bat furieusement avec la mienne, sa main me palpe le sein à pleine paume, et son doigt s’enfonce encore plus dans mon berlingot déjà bien humide. Nous nous caressons comme des fous, je suis bouillante de fièvre, Marc m’embrasse goulument, me mord les lèvres, c’est si bon. Combien de temps cela dure-t-il ? Je ne sais pas mais suffisamment pour nous mettre en transe. Il se relève, s’assoit sur la banquette, dans le noir je ne vois rien j’entends juste un bruit feutré. Puis le son de sa voix :
-Viens !!
Mes tempes bourdonnent au point d’exploser, le bout de mes seins est dur comme de l’acier et me fait presque mal, mon ventre à de légers picotements et de mon sexe suinte un liquide poisseux qui ne me vient que lorsque parfois je me caresse jusqu’au plaisir seule dans mon lit, vierge oui, mais coquine. Jamais je ne me suis sentit aussi bien. Je m’approche de lui à genoux sur la banquette, les effluves d’alcool flottent encore dans mon crane, sa main se pose doucement sur mes cheveux, d’un geste sur mais sans forcer il me dirige entre ses cuisses, je me laisse faire, ne sachant pas ce qu’il veut mais en confiance. Je devine ou je suis lorsque mon visage touche son sexe nu, je comprends le bruit feutré, il s’est déshabillé. Nullement effrayée je m’allonge à plat ventre, pose ma tête sur ses cuisses et continu de pratiquer la caresse que j’avais abandonnée, c’est la première fois que je suis aussi près du sexe d’un garçon et que j’en touche un. Mes yeux se sont habitués à l’obscurité, je le vois assez bien, il est plus grand que je pensais et surtout je vois bien les boules en dessous couvertes de poils qui crissent sous ma main quand je les caresse car j’ai décidé d’explorer moi-même plutôt que de faire ma nunuche…
Je n’ai aucune expérience du sexe, pourtant je sais ce qu’il désire, ce qu’il veut, ce qu’il m’implore de lui faire sans aucune parole, son sexe est raide dans ma main, vibrant et tendu comme un arc, j’entends son souffle, j’accélère ma caresse, je regarde ma main aller et venir, la bouche à moins d’un centimètre de ses testicules.
Sans me poser de question, juste par envie et curiosité, je relève la tête, ouvre la bouche et gobe son gland…Tu y es ma chérie me dis-je la bouche pleine, tu y avais déjà pensé en sortant avec ton premier amoureux, tu fais ton premier acte sexuel, mais tu n’avais pas pensé à l’époque que cette première fois serait une fellation…de suite ma première réflexion au bout de quelques va et viens est : J’adore !!
Maman !!!! Pourquoi ne m’en as-tu jamais parlé ? Tu m’as parlé de sexualité, d’amour, de pénétration, de saignements, du sexe des garçons, du liquide qui en sortait et faisait des bébés dont il fallait absolument se protéger pour ne pas attr de maladies ou être enceinte voire les deux à la fois, mais jamais que c’était délicieux de le mettre dans sa bouche !!! Malgré mon inexpérience je sais comment être coquine, excitée par la situation de cette première fois juste derrière nos potes et à l’abri des sièges sur la banquette arrière ou je le suce tout doucement en me régalant. Ma langue s’enroule naturellement autour de son gland, puis je descends le long de la hampe, salivant au passage sur sa tige…Marc me guide avec sa main, pourtant j’ai bien assimilé le mouvement et le fonctionnement, il se détend et se cale au fond du siège, me laissant faire. Je fais ma petite goulue, en l’avalant le plus loin que je peux sans m’, le caresse et le branle dans ma bouche, mes lèvres se posent sur son gland sur lequel je dépose plein de petits bisous puis je replonge, la langue sortie à toucher ses boules que je pétrie de ma main libre. Ses petits gémissements risquent de faire sortir Dominique de son attention à la conduite, mais par chance une 403 n’est pas ce qu’on pourrait appeler un modèle de silence… Il caresse tendrement ma joue, moi je suis aux anges, cette fellation me rend folle, je suis dans un état indescriptible, moi la petite fille sage, je suis en train de sucer le sexe de mon petit copain à l’arrière d’une voiture, la jupe relevée et la culotte baissée avec un doigt dans ma petite chatte trempée…cela mériterait une photo souvenir…Je m’applique autant que je peux, une main sous ses boules l’autre le branlant, ma bouche fait de longs va et vient, son sexe est raide, il tremble, son doigt va de plus en plus loin dans ma vulve dégoulinante de cyprine, je ne m’en lasse pas, je découvre le sexe et cela me plait.
Tout en continuant ma succion langoureuse, je ferme les yeux et imagine notre première fois dans un grand lit de draps blancs, nus et collés l’un à l’autre, son sexe bandé frottant ma petite chatte, il me pénètre amoureusement, me déflore tendrement, j’écarte mes cuisses, enroule mes jambes autour de sa taille et nous faisons enfin l’amour en nous disant des tonnes de : « je t’aime !! » et il me prend et me reprend encore inlassablement.
Soudain alors que je l’engloutis, perdue dans mon rêve érotique, un liquide chaud, gluant et épais me jaillit au fond de la gorge, des salves à n’en plus finir sortent de son gland, ma bouche ne pouvant en contenir davantage je recrache le trop plein qui me coule sur le menton, le sexe toujours planté sans ma bouche, et pour cause, Marc me retient la tête et je ne peux reculer…Surprise, mais amoureuse, je comprends très bien ce qui vient de se passer, je libère son sexe de sa prison buccale, m’essuies les lèvres tant bien que mal tout en recrachant dans la paume de ma main l’excédent de sperme au gout fade et vint lui susurrer à l’oreille..
-Coquin ! Tu aurais pu me prévenir…
-Je l’ai fait, mais tu semblais ailleurs, je n’osais pas parler fort et puis c’est venu, tu es délicieuse ma chérie !
-Tu as aimé ? C’est la première fois tu sais, me justifie je.
-je n’ai pas aimé, j’ai adoré !! Tu es plus coquine que tu en a l’air on dirait…
-hi hi hi ! Ris-je sous cape mais suffisamment fort pour qu’il entende…
Et oui, sous mes airs de petite fille sage se cache une sacrée coquine que tu viens de révéler au grand jour mon chéri me dis-je dans ma tête. Grace à toi j’adore sucer et ne pense plus qu’à ça…maintenant il ne te reste plus qu’à me faire l’amour comme un fou et je serais complètement à toi…fais le vite, j’ai envie que ce soit toi qui me rendes enfin femme tant je suis amoureuse, mon corps brule et mes caresses du soir ne suffiront pas à éteindre l’incendie que tu viens d’allumer et qui couve en moi maintenant…
Nous avons fait l’amour un après-midi chez lui dans le grand lit de ses parents absents pour le week-end, passé la nuit ensemble grâce à la complicité d’une amie qui m’invita chez elle pour une soirée pyjama, du moins c’est ce que croyaient mes parents, mis à part la couleur des draps tout fut comme dans mon rêve et nous avons recommencé plusieurs fois, ma petite bouche faisant beaucoup de miracle apparemment... merveilleux week-end intense et physique plein d’émotions amoureuses enfin jusqu’à ce que nous nous apercevions de la petite trace de sang laissé par mon hymen défloré que nous n’avions pas vu, tant nous étions intensément fous de désir et qu’il fallut faire disparaitre et sécher en catastrophe deux heures avant le retour de ses parents…..

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