Le Consultant

Cinquième réunion de suivi de projet en 1 mois. En ce début juin, on continue à mettre les bouchées doubles pour que tout soit prêt à la rentrée. C’est dur mais intéressant, et puis les consultants qui nous aident sont vraiment bons. Ça me surprend d’ailleurs, par ce qu’en bientôt 25 ans de carrière, j’en ai vu des jeunots qui venaient nous dire comment faire sans avoir aucune expérience ! Mais là le Chef de Projet sait ce qu’il raconte c’est clair. Le courant passe très bien entre nous : je reconnais en lui quelqu’un qui sait de quoi il parle et qui a du recul pour nous conseiller, et il voit bien en moi ce que je suis : un professionnel senior qui a bâti sa carrière sur son sérieux et ses connaissances pointues.

A 47 ans, j’ai tout pour être heureux, une femme formidable, un job où je me donne et qui me le rend bien. Je suis en pleine forme et j’y tiens, je vais à la piscine à 3 stations de métro du boulot 3 soirs par semaines, et je suis plutôt content du résultat : 1m77, 69 kg de muscles bien dessinés qui font se retourner des filles, et aussi des mecs… Dans les vestiaires communs de la piscine où je vais dans le 12ème arrondissement de Paris, il y a uniquement 3 cabines, et la majorité des gars n’attendent pas qu’une cabine se libère, et ils se mettent à poil. Et je vois bien que certains sont là pour mater. D’autres pour se montrer. J’avoue que moi c’est un peu les deux, et j’y prends même un certain plaisir. Entendons-nous bien, j’imagine bien que ça peut draguer ici ou là, moi ce n’est pas mon cas. Je veux juste me montrer parce que je suis plutôt fier de moi, de mes muscles, de mes abdos, de ma bite de taille plutôt au-dessus de la moyenne, mise en valeur par une absence de poils, décidée en commun avec Madame avec qui on est assez branché sexe oral. Et j’aime bien mater des mecs aussi, mater leurs culs et leurs bites, même si là c’est un peu mon jardin secret : quand j’avais 20 ans, j’étais timide, et je me suis cherché.

J’étais attiré par les filles, mais aussi par les mecs. J’ai touchés quelques bites, j’ai en branlé une dizaine, surtout dans des soirées étudiantes un peu arrosées où on voulait surtout rigoler. J’en ai aussi sucé 3, et là c’est déjà plus engageant. On était parti en vacances avec trois potes, et un soir de déprime trop alcoolisé, on s’était mis d’accord pour instaurer un tour de rôle si on rentrait bredouille des soirées dansantes au camping. C’est arrivé plus d’une fois… Mais on n’est jamais allé plus loin, même si je crois que l’envie était là, surtout avec 1 des trois qui s’appelait Erick, et qui adorait balader ses mains entre les fesses de ses partenaires quand il les suçait. Un peu plus tard, j’ai même donné un rendez-vous à un gars rencontré sur le Minitel (à l’époque !) pour faire le grand saut, mais je me suis dégonflé et je ne suis pas allé au rendez-vous. Je sais donc que je dois avoir un penchant bi, mais que je garde au fond de moi, sans que ça me gêne ou que ça me manque plus que ça.

Donc j’aime mater les beaux gars du vestiaire, et quand j’en vois deux qui se plaisent et qui se draguent, j’avoue que ça m’excite. Je n’ai par contre jamais été tenté plus que ça pour aller plus loin avec un autre homme depuis que je suis marié, on s’entend très bien avec ma femme et depuis le temps, elle a même compris ce qui me conduis inévitablement et rapidement au 7ème ciel : un doigt dans le cul qui vient exciter ma prostate quand elle me suce la bite. Une fois de temps en temps, j’ai droit à ce traitement de faveur. Et des fois, quand elle a envie d’accélérer ma jouissance alors que l’on finit un bon vieux missionnaire, rien que le fait de rapprocher ses mains de mon anus et de le toucher du bout des doigts, ça me fait jouir très vite. Elle aime m’avoir à sa merci et ne pas uniquement jouir à mes sollicitations, de la langue notamment. Je suis visiblement un expert en le domaine, et je ne m’en prive pas pendant les fameux préliminaires, mais aussi parfois quand j’ai joui un peu trop vite et que je veux me faire pardonner : ma femme adore se faire lécher le minou une fois que j’ai déchargé dedans, et elle jouit immanquablement quand je viens fourailler ma langue en elle et lécher mon jus.
Bref, on s’entend bien sexuellement, et nos jeux et envies me laissent finalement assez souvent franchir la ligne d’une sexualité classique à laquelle s’arrêtent bien des couples.

Quand Jean, le chef de nos consultants, m’invite à prendre une bière un soir en sortant d’une réunion difficile, j’accepte bien volontiers, d’autant qu’à 35-40 ans, il est au mieux de sa forme et je sais que j’ai déjà admiré son corps parfait, sa fossette sur la joue gauche qui lui fait un si joli sourire, et aussi son paquet bien mis en valeur dans un jean, souvent de couleur rouge. Je l’ai donc bien évidemment remarqué, mais sans rien imaginer pour autant. Je prends place en face de lui en toute quiétude, lui accordant par avance 1/2h de mon temps avant tout par courtoisie et respect de l’excellent travail qu’il accomplit. Après quelques mots échangés sur le boulot et le projet sur lequel on bosse, il vient à aborder un sujet qui me prend par surprise :
- Alex, je crois qu’on a un point commun pour les loisirs ?
- Ah bon ?
- La piscine. Je suis sûr que je t’ai vu à la piscine Roger LeGall hier soir, tu y étais ?
- Ca alors ! Oui, je vais nager là-bas 2 ou 3 fois par semaine. Je ne t’ai jamais vu Jean…
- C’est souvent le problème de voir les gens dans un contexte qui n’est pas habituel. Et puis en maillot de bain avec des lunettes de piscine, pas facile.
- C’est vrai.
- Mon œil a d’abord été attiré par ton slip de bain rouge, en fait j’ai le même mais en bleu, et ton crawl impeccable. Et puis après dans les vestiaires, sans les lunettes, je t’ai tout de suite reconnu. Et je t’ai vu sans maillot non plus, ce qui n’a pas manqué d’attirer mon regard, avec ton corps parfait et ton joli paquet… Ahah !
- Merci pour le crawl, j’ai pris des cours de perfectionnement il y a 5-6 ans et depuis je pratique régulièrement. Maintenant que je sais que tu as le même maillot de bain que moi en bleu, je suis sûr que je te repèrerai. Pour les vestiaires, c’est plus délicat, vu qu’il y a pas mal de gars à poil, je n’aimerais pas que mes yeux qui cherchent soient mal interprétés… Tu fais partie de ceux qui se mettent à poil ou de ceux qui se contorsionnent sous leur serviette ?
- Je fais comme toi, vieille habitude de vestiaires entre hommes !

Après cet échange qu’il termine par un clin d’œil, on continue à bavarder, mais alors qu’il me fait un grand sourire à propos de je ne sais plus quel sujet, je sens sa jambe qui se colle à la mienne.
Je suis certain qu’il le fait exprès, pensant que j’allais peut-être reculer ou esquiver. Je n’en fais donc rien, et j’appui même un peu contre sa jambe. La ½ heure que je m’étais fixée passe, et on se quitte. Le lendemain, on est assis en réunion côte à côte dans une salle où on est un peu à l’étroit. On porte des chemises à manche courte, et c’est cette fois son bras nu qui vient se coller au mien, l’air de rien. Je sens la chaleur de sa peau, et l’impensable se produit : j’ai un début d’érection, là, en réunion ! La dernière fois que ça m’étais arrivé, c’était en admirant le joli cul d’une jeune femme qui devait porter un string, bien moulé dans un pantalon au tissu souple, ses jolies petites fesses qui bougeaient au rythme de la présentation qu’elle faisait. Je suis certain qu’il n’y a pas qu’à moi que cela avait fait de l’effet d’ailleurs… Mais là, un mec ! J’arrive finalement à me contrôler, et je prie pour qu’il n’ait rien remarqué, je suis certain que mon pantalon en toile beige était déformé… A la pause déjeuner, on est tous répartis debout autour de petites tables hautes. Là également, on est un peu entassés, et on a du mal à se frayer un chemin entre les tables. Je vois Jean qui se dirige vers notre table, mais pour se diriger vers les toilettes. Tout en me tenant les hanches, il se glisse derrière moi, son bassin poussé en avant, faisant frotter légèrement l’avant de son pantalon contre l’arrière du mien.

- Attention Alex ne bouge pas, je sais que c’est un peu serré, mais je suis sûr que ça va passer…

En fin de réunion, on se retrouve pour échanger, et je sens bien qu’il est quelques centimètres pus près de moi que ce que l’on peut pratiquer d’habitude. Impensable de reculer, je ne dois pas céder de terrain et montrer mon embarras, voire mon trouble, car je suis troublé, je le sais bien. En fin de conversation, il me saisit le bras :

- Je vais à la piscine en sortant, toi aussi ?
- Oui, j’ai prévu d’y aller, juste le temps de faire mes 2 kilomètres, je ne dois pas rentrer tard ce soir.

- On s’y retrouve là-bas ?
- Yes, ça marche !

J’ai trop envie de le voir. En maillot, et à poil aussi… Je ne le vois pas en arrivant, mais je le retrouve dans l’eau en faisant mes longueurs. On échange quelques mots en faisant une courte pause. Là aussi, il est très près de moi, et je peux d’ailleurs admirer son corps à la fois fin et aux muscles très bien dessinés. C’est vrai qu’il est beau ! Je me sens véritablement comme attiré vers lui, c’est incroyable. Je retourne vite nager tant je sens que je pourrais me mettre à bander d’une seconde à l’autre. Mais il me retrouve quand je sors de l’eau et que l’on passe sous les douches. La nudité est normalement interdite sous les douches, mais une bonne partie des gars se rince sous le maillot sans se cacher, et les maillots de bain laissent deviner souvent des belles fesses et des beaux paquets. Jean semble d’ailleurs plutôt bien doté de ce côté-là, comme moi. Pendant tout ce temps sous les douches, mon maillot a pu contenir ma queue, mais j’ai un peu peur pour les vestiaires, et finalement, plutôt que de prier pour que l’on soit côté à côté pour pouvoir le détailler, je prie pour que l’on ne soit pas dans la même allée… Loupé, on se dirige vers le même pavé numérique pour ouvrir notre casier…

- Je t’avais vu dans ce carré la dernière fois, je m’y suis mis aussi pour ne pas qu’on se loupe ce coup-là !

On ne peut pas se louper c’est sûr, on est à côté ! On est seuls dans cette allée, il enlève son slip de bain avant même de composer son code pour ouvrir son casier. Je préfère faire les choses dans l’ordre de mon côté, mais une fois devant mon casier ouvert, je fais tomber mon maillot, qui libère une ma bite pas complètement au repos. Je fais comme si de rien n’était, et lui non plus. On est à quelques centimètres l’un de l’autre, et on se sèche avec notre serviette. Il est face à moi, sans pudeur. Je ne peux pas lui tourner le dos, ça serait faire preuve de faiblesse. Je ne veux pas me mettre de côté, j’ai peur que ma bite un peu gonflée ne se remarque trop, et je lui fais donc face également. J’aime bien me montrer aux inconnus du vestiaire, mais là ce n’est pas un inconnu, et je suis gêné même si j’essaie de ne pas le montrer.

- Bouge pas Alex, je dois prendre mon déo.

Il se rapproche de moi pour atteindre son casier et glisse légèrement sur le sol mouillé. Il se raccroche à moi pour ne pas tomber, et nos deux corps nus se touchent.

- Oups désolé Alex, j’ai glissé, encore heureux que tu étais là, j’aurais pu m’étaler par terre. On n’a plus qu’à se rhabiller, on pourrait presque se méprendre…

Il reste serré contre moi tout le temps de me parler en me fixant bien dans les yeux. Je sens que je rougis, jamais ça ne m’arrive pourtant, et j’ai maintenant une véritable demi-molle… Je prends mon boxer dans mon casier, que j’enfile au plus vite. J’ai l’impression que je suis une jeune fille effarouchée face à un beau jeune homme qui lui signifie qu’il la désire. En quelques minutes, je suis passé de Monsieur bien installé et sûr de lui, à mec qui se la ferme, et qui plus est face à un consultant que ma boite paie ! Comment ça a pu dér comme ça ? Bon, on finit sans trop se parler, juste 2-3 banalités, et on se retrouve à la sortie. On est vendredi, et je ne dois pas le revoir au boulot avant mercredi prochain, c’est très bien comme ça. Peut-être même que je vais ne pas aller à cette réunion, mon adjoint fera l’affaire. Il me met mal à l’aise, et pourtant il m’attire. Mais c’est peut-être parce qu’il m’attire que je suis mal à l’aise ?

- A la semaine prochaine et bon week-end Alex, je vais devoir travailler un peu pour toi d’ailleurs.
- Profite un peu quand-même, c’est important de se reposer le week-end.
- C’est vrai, c’est pour ça que le sport est indispensable d’ailleurs. La piscine ce soir c’était vraiment top, je crois que je vais augmenter la cadence. On se retrouve ici lundi soir ?
- … Bonne idée, OK.

Merde ! Il insiste et je ne peux pas me défiler. Je décide finalement de décaler ma venue à la piscine, et je lui envoie un courrier pour lui dire que c’est bien dommage, mais que j’irai au moins une heure plus tard à la piscine et qu’on se verra mercredi au bureau. Sauf que lundi soir, il a aussi décalé sa venue d’une heure. Je le retrouve même fumant une cigarette devant l’entrée quand j’arrive, je pense qu’il m’attend.
- Finalement, j’ai décalé aussi, trop de boulot ! Et puis comme ça on peut se voir…
- Moi aussi je voulais finir un dossier avant d’aller nager.
- Ça ne te fait pas rentrer trop tard chez toi ?
- En fait je profite de ma semaine de célibataire pour bosser un peu plus tard, ma femme est à l’étranger et ne rentrera que samedi matin.
- Bonne nouvelle, on pourra même prendre un verre en sortant ?

J’aurais mieux fait de me taire… On se déshabille pour enfiler notre slip de bain, toujours dans une proximité savamment entretenue par Jean, puis on fait nos longueurs et on se retrouve enfin sous la douche. On est que tous les deux. Jean en profite pour se foutre à poil pour se savonner et m’incite à faire pareil « c’est quand-même plus hygiénique non ? ». De nous voir tous les deux à poil à nous savonner, je sens que je vais bander. Il faut dire qu’il est canon avec son bronzage intégral, son torse, son ventre et son pubis épilés de près. Et il en rajoute bien en se savonnant consciencieusement la bite face à moi, plutôt que de se retourner. Quand on a fini, il se dirige vers les casiers carrément à poil avec juste sa serviette sur l’épaule, tandis que je le suis avec la mienne sur mon bras, cachant un tant soit peu ma bite mais faisant mine d’être décontracté. Ce que je n’ai pas compris, c’est que ce n’est pas parce que je ne regarde pas ma bite qu’elle ne gonfle pas, et en arrivant aux casiers, je bande un peu plus qu’à moitié ! Je tente de me mettre de dos par rapport à lui pour composer mon code et ouvrir mon casier, mais là tout bascule. Il se colle derrière moi, je sens sa belle queue entre mes fesses tandis qu’il me prend les couilles de sa main droite et qu’il me dit à l’oreille :
- Alex, ne refoule pas tes désirs, moi aussi j’ai envie de baiser avec toi.
- Mais…
- Mais quoi ? Tu vois comme tu bandes là ?
- … Mais j’comprends pas… Et si quelqu’un vient ?
- Si quelqu’un passe sous la douche on l’entendra, et le gars dans l’allée d’à côté est remonté à la sortie quand on arrivait !

Il commence à me branler, je le laisse faire. En deux minutes je suis raide comme un bâton, et en trois mouvements de va et vient sur ma queue j’ai giclé par terre tellement je suis excité ! Je sens sa bite bien droite maintenant qui remonte le long de mes fesses quand il se lèche les doigts pour les nettoyer de mon sperme. Il se retourne et me prend la main pour la mettre sur sa bite, il veut que je le branle à mon tour. Toutes mes envies enfouies depuis trop d’années remontent, je sais bien que j’ai toujours été bisexuel, même si je n’ai jamais été frustré sexuellement de ne pas aller au bout de mon côté gay. J’ai la certitude qu’aujourd’hui je dois continuer. Je me lance ! Mais je veux reprendre la main, alors je m’agenouille pour le prendre dans ma bouche. Là il est surpris, mais il se laisse faire immédiatement. Je le suce depuis 3 minutes quand on entend la douche qui se met en route. On remballe tout dans la précipitation. On s’habille, et je donne un coup de serviette par terre pour essuyer mon sperme.

- J’aime bien finir ce que j’ai commencé, tu viens chez moi Jean ?
- OK Alex, une proposition comme celle-là, ça ne se refuse pas.

D’habitude je suis en métro, mais Jean est en voiture. Je monte en passager, et je peux voir une belle bosse qui déforme son pantalon, et ça me fait encore plus envie ! J’ai le cerveau qui tourne à 200 km/h, mais en mode « baise » et les couilles en ébullition. J’ai déjà remarqué que quand un mec (moi en fait…) est dans cet état, il ne pense qu’à jouir, et il est incapable de réfléchir normalement, ce qui peut amener à faire de bêtises : c’est ce que ma femme appelle « penser avec sa bite ». J’ai un bref éclair de lucidité et je me dis que tout ça sent donc bien fort la grosse bêtise, mais ma queue me convainc que ce n’est pas parce qu’on va faire une grosse bêtise qu’on va la regretter ensuite... Je n’avais jamais vécu une telle attirance pour un mec auparavant, tant pis, je fonce ! Quand on arrive chez moi, Jean me plaque contre le mur immédiatement pour m’embrasser. Je participe activement. Sa langue est douce et au final, je le laisse prendre l’initiative. On se déshabille mutuellement dans l’entrée, tout en douceur, nos mains découvrent le corps de l’autre en même temps qu’on s’embrasse. On se caresse, on se tient les couilles, on se branle, et c’est Jean qui le premier passe ses mains entre mes fesses. Il les écarte, passe ses doigts sur mon anus, et mon excitation décuple : je n’ai même pas envie de protester, de toute façon je savais dès le départ que j’allais me faire enculer, je le voulais ! Jean a bien repéré les lieux, et il m’entraîne vers la chambre à coucher : je vais me faire sodomiser sur mon propre lit, là où d’habitude, c’est moi qui baise ma femme. C’est décadent et pervers, et c’est très excitant…

On se positionne finalement en 69, Jean veut que je reprenne ma pipe, tout en me donnant aussi du plaisir. Vu que j’ai déjà joui dans les vestiaires, je tiens sans problème, et je pense que lui a plus l’habitude que moi. Pendant que l’on se pompe la queue, Jean en-dessous et moi au-dessus, il en profite pour me travailler le cul. Avec de la salive qu’il met sur ses doigts, il commence à m’assouplir la rondelle, et commence à m’enfoncer un doigt. Il arrête de me sucer :
- Tu t’es déjà fait enculer ?
- Non, jamais…
- Tu es serré, mais on ne dirait pas que tu es vierge de ce côté ?
- Ma femme me met un doigt ou deux des fois quand elle me suce.
- C’est tout ?
- …
- Ce silence en dit long, allez, accouche !
- On a aussi acheté un plug anal vibrant, et parfois on se le met quand on fait l’amour…
- Petits coquins ! Tu as déjà enculé ta femme ?
- Oui, mais elle n’y tient pas vraiment, le plug des fois elle dit pas non.
- Et toi ?
- Moi j’aime bien de temps en temps, et ma femme me le propose régulièrement. Elle aime me l’enfoncer et elle a même une application qui le contrôle à distance, ça lui est arrivé de me le mettre 1h à 2h avant qu’on passe aux choses sérieuses et de me le faire vibrer sans me prévenir. Elle est un peu dominatrice parfois, c’est un jeu entre nous.
- Y’a quand même pas de doute à avoir, tu es un vrai bi, et tu vas aimer te faire mettre, c’est sûr. Mais là c’est plus sérieux que juste ton plug, et il faut que je te prépare un peu. Je suis certain que ça va te plaire vu ce que tu me racontes. Mets-toi sur le dos et remonte tes jambes !

Je m’exécute, lui offrant mon trou du cul. Il vient me le bouffer, sa langue me lèche, et cherche à s’enfoncer. Je gémis de plaisir tellement c’est bon ! Au bout d’un bon quart d’heure de ce traitement qui fait monter le désir en moi et qui m’aide à m’abandonner, il y met bientôt un doigt, puis deux. Il lubrifie encore et encore avec de la salive, il fait tourner ses doigts dans mon cul, tout doucement pour le préparer. Au bout d’un moment, mon trou est parfaitement détendu et s’offre à son plaisir. Le désir est devenu trop fort, je n’en peux plus et je l’implore de m’enculer. Je suis toujours sur le dos, et je peux le voir qui s’enfonce tout doucement en moi, en même temps que je le sens. Je n’ai pas mal, mais la sensation d’être rempli n’est pas la même qu’avec le plug que j’ai déjà porté. Sa bite est bien dure, mais elle a tout ce qu’il faut de souplesse et de chaleur pour des sensations inoubliables, et ses 18 centimètres s’enfoncent en moi tout doucement mais inexorablement, jusqu’à ce que son pubis vienne heurter mes couilles qui retombent devant lui. On reste un petit moment à se fixer du regard, il marque son territoire, mais vient m’embrasser avec beaucoup de tendresse, comme quand on fait l’amour avec ma femme, sauf que cette fois ce n’est pas moi le mâle ! Il commence à aller et venir en moi, son gourdin heurtant ma prostate à chaque fois, mon plaisir monte encore d’un cran. Bientôt, il commence à me branler et il accélère le rythme.

- Je vais jouir, il faut que ça sorte j’en peux plus !
- Vas-y, lâche toi !
- Argh…..

Il garde sa main sur ma bite qui expulse de grands jets de foutre qui retombent de ses doigts sur mon ventre. Ma jouissance est presque insupportable tellement elle est forte. Putain, j’ai vraiment perdu ma virginité anale, cette fois c’est bien une vraie bite qui m’a sodomisé, et j’ai adoré. Pourquoi j’ai attendu aussi longtemps ?

Jean ressort de mon cul. Il vient récupérer mon foutre sur ses doigts et m’en tartine le trou, puis il s’enfonce d’un coup sec, pour en ressortir lentement. Il recommence l’opération tant qu’il peut me remplir le cul avec mon propre sperme, je hurle de plaisir à chaque fois, et ma bite recommence à durcir. Une fois qu’il a fini de récupérer ce qu’il peut, il me fait lécher ses doigts, et il vient ensuite me lécher le ventre pour le nettoyer, avant de venir m’embrasser. Il recommence à m’enculer, sa bite coulissant encore plus facilement maintenant que je suis plein de mon jus. Il est sacrément endurant, ça dure un bon quart d’heure pendant lequel il alterne douceur et brutalité, et pendant lequel je peux me masturber, tout en admirant notre reflet dans le miroir de notre placard de chambre. Finalement, Jean commence à gémir de son côté, et je vois son visage qui se déforme en allant chercher ce plaisir qui tarde à venir. Chez moi c’est plus rapide : de comprendre qu’il va jouir en moi, ça provoque immédiatement mon second orgasme, avec au moins autant de foutre que la première fois, j’en ai même une giclée qui arrive directement sur mes lèvres, et je peux passer ma langue pour l’avaler directement. Mon orgasme m’a fait contracté le cul, et Jean jouit immédiatement, je peux enfin sentir ce que c’est que de se faire ensemencer par un étalon, qui n’en finit pas de me remplir les intestins.

On reprend d’abord notre souffle, puis on s’embrasse. Finalement, la queue de Jean sort de mon cul, et du sperme s’en écoule. On va se doucher. En marchant vers la salle de bain, je peux sentir du sperme qui descend sur mes cuisses. Qu’est-ce que j’ai pris ! On se doucher et on se savonne, je passe mes mains sur mon trou, et je sens bien que mon anus a été sacrément dilaté. Je suis à peine en train de me dire que je vais peut-être avoir un peu mal demain que je sens que Jean bande à nouveau. Je pose les mains sur le carrelage de la douche, et je me cambre pour lui tendre mon cul. Il n’a aucune peine à rentrer, et m’encule pour la seconde fois. Cette fois il veut aller vite, et il plie l’affaire en peu de temps. De mon côté, j’avais déjà beaucoup donné et je n’ai pas rebandé franchement, je n’ai pas éjaculé, mais l’échauffement de mon trou du cul a été presque jouissif, j’avoue que je ne sais pas vraiment comment le décrire.

On finit par sortir de la douche une fois repassés au lavage… On se rhabille et Jean doit rentrer chez lui. AU final, on aura baisé 2h non stop. Enfin, c’est moi qui me suis fait baiser pendant 2h… On se quitte, on doit se revoir mercredi pour notre projet.
- On retourne à la piscine mercredi soir après le boulot ?
- Oui, je dois maintenir ma forme. Quelle heure ?
- 19h00 ? Comme ça on a un peu de temps pour nous après si ta femme n’est toujours pas là ?
- J’ai hâte !
- Tu viens chez moi cette fois, je pourrai te montrer un ou deux gadgets qui vont te plaire.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!