Le Congrès

« LE CONGRÈS »

j’avais démissionner de mon dernier emploi qui m’ennuyer particulièrement, et cela faisait deux mois que je travaillais dans ce nouveau job et cette nouvelle société. J’ai eu une formation d’un mois aux techniques de vente de la société et un mois sur le terrain. J’ai été formé par le directeur des ventes adjoint.Un bel homme la cinquantaine bien viril que j’aurai adoré sucer ...je pense qu’il s’en ai aperçu cependant...Comme il ne m’a jamais fait pars de sa volonté à ce que je le suce et
qu’il me baise, je suis resté sur un phantasme toujours existant. Et oui j’aime les hommes la cinquantaine minimum, poilu très virils et si ils sont bien monté, alors là c’est l’apothéose ...Je suis bisexuel. En fait de moins en moins je trouve.J ai tendance à me retrouver plus souvent passif soumis que de baiser des femmes depuis trois ans maintenant. Mais croyez moi que j ai donné à ce niveau. Je dois comptabiliser une centaine de partenaires, mais bref...Mon phantasme a toujours été d’être l’objet sexuel d’un homme la cinquantaine minimum, très poilu avec une grosse queue et qu’il soit autoritaire et tendre à la fois.Tous les hommes qui m’ont baisé ont toujours eu les mêmes critères. J’ai le coup pour repérer les mecs à grosse bite. Je ne sais pas comment je fais, mais je ne me trompe jamais ..
Tous les cinq ans l’entreprise franchisée qui m’employait, organisait un congrès sur deux jours et deux nuits pour un retour au petit matin. Cette année là je fût du voyage, je m’en souviens très bien, tout comme l’année qui s’en ai suivie…
Nous avons voyagé toute la nuit pour arriver très tôt le matin. Dés notre arrivée nous prenions connaissance des lieux, du programme, et avons survolé très rapidement sur l’essentiel de ce congrès, le commerce les promos les marges etc....Nous sommes plus de deux mille personnes repartis sur toute la ville et les communes environnantes dans différents hôtels. le notre se trouve tout prés de notre lieu de réunion, l’amphithéâtre de la ville.

Nous allons directement à notre hôtel, avant de rejoindre l’amphi.Nous laissons nos bagages dans une salle à coté de la réception. Nous les récupérerons en fin de journée en même temps que l’affectation de nos chambres..…
Après notre interminable journée à entendre parler de chiffre d’affaire, de marge et de relations clients, nous rejoignions notre petit hôtel qui dispose de trente chambres pour les soixante personnes de notre groupe que nous étions .Il va de sois que nous nous retrouverons à deux par chambre de deux lits.Le maître d’hôtel nous distribuait nos clefs en mentionnant nos noms par deux.
Je fus appelé seul, et par chance je pu m’apercevoir avant le repas que je disposerai d’une chambre avec un seul lit deux places rien que pour moi.
Le repas aller se servir dans deux heures, et j’allais en profiter pour me prendre une bonne douche avant de descendre prendre l’apéro avec mes collègues. Je sortais à peine de la douche, J’allumais la télévision quand ça frappa à la porte. Je mettais une serviette autour de la taille et allais ouvrir. Un homme, la cinquantaine était devant moi et m’informa que par erreur de la direction de l’hôtel, nous devrions partager la chambre, et j’en déduisais, le même lit.
Il semblait être un peu embarrassé mais il n’y avait apparemment pas d’autre alternative. Il se présenta par son nom et prénom, posa son sac l’ouvrit et en sorti ses affaires de toilette. Voyant que je l’avais précéder dans la salle de bain il me demanda si il pouvait accéder à celle ci et alla y poser sa pochette de toilette, mais en ressorti pour se déshabillé car la pièce était très exiguë. Cet homme devait mesurer un mètre quatre vingt dix, il se tenait très droit comme un homme fier, sa chemise épousait la forme de ses pectoraux, il la fit ressortir de son pantalon, lequel laissait apparaître une bosse au niveau de la braguette. il tira d’un coup sec sur son ceinturon pour le défaire, dégrafa sa boutonnière qu’il laissa en l’état.

Il enleva sa chemise sans la déboutonnée, la passa par la tête, je faisais mine de regarder la télé par politesse mais cet homme avait un magnifique tors poilu comme j’en rêver dans mes phantasmes. Il fit tomber son pantalon à ses pieds, laissant apparaître cette magnifique bosse qui se dessinait maintenant sous son caleçon. J’aurai aimé en manger mais je m’obliger à regarder la télé. Il avait des jambes musclées et très poilues tout comme ses bras également. Il enlevait son caleçon en se dirigeant dans la salle de bain, je ne pu voir que ses fesses.Je ne sais pas s’il il le fit exprès, mais il ne ferma pas la porte de la salle de bain. Toute la beauté, les gestes de cet apollon qui faisait une cérémonie de sa toilette, se reflétaient dans les miroirs collés aux murs, et j’en admirais le spectacle, je sentais monter en moi une chaleur que je ne pouvais pas contrôler, son tors virile qu’il sait mettre en valeur. Par des gestes lents il fait mousser le savon sur tout son corps sans oublier son magnifique sexe bien proportionné, puis étale la mousse sur ses fesses, le long de son corps sous les bras puis il revient sur ce qui l’a de plus précieux. Je ne peux retirer mes yeux de ce qui se reflète dans ces miroirs. il laisse maintenant couler l’eau sur lui, me dévoilant à nouveau se corps qui s’était débarrasser de sa mousse. il me regarde en prenant une serviette. Il s’approche de moi en s’essuyant. Je réalise qu’il me faut à tout pris m’habiller avant qu’il s’aperçoive ce qui est en train de m’arriver, je bande.
Je ne sais pas quoi faire, je ne peux pas regarder la télé, mon regard se pose sur son entre jambe, et d’ailleurs il est devant moi avec un énorme sexe bien raide, bien dur, bien droit, j’ouvre la bouche sans qu’il ne me demande quoi que se soit, il le fit glisser au fond de ma bouche que je refermer délicatement sur l’objet.Mon dieu que c’est bon! il va et vient, et puis je comprends, j’ ai envie, je vais de plus en plus vite, et en m’aidant d’une main je lui caresse les testicules de l’autre je tiens son gros sexe qui est logé dans ma bouche, je prends du plaisir, je le suce, le lèche et puis il me tient la tète bloquée contre lui un instant, puis la relâche, il me demande si j’aime et je lui réponds oui en gémissant.
il me dit d’aller plus vite en accompagnant sa demande de coup de reins qui raisonnent au fond de ma gorge. je continu et j’aime le sucer, je garde toujours la même main qui s’occupe de ses bourses, mais de l’autre je me masturbe pendant que mon maître fait aller et venir son sexe dans ma bouche qui déborde de salive sur son pénis que je ne veux pas lâcher. Il me demande de lui confirmé que ça me plaît. Je gémis pour dire oui, et il m’informe que comme j’aime ça ’il me baisera ce soir après le repas.«-tu veux que je te baise ce soir?» me demande-t-il en accompagnant le mouvement de ma tête avec sa main gauche. J’ai très envie et je gémis encore pour dire oui. Je l’entends laisser échapper sa jouissance en me forçant à garder ce vrai bonheur dans ma bouche il laisse son foutre remplir ma bouche entière qui ne peut pas tout contenir et laisse échapper le liquide que je trouve chaud et sucré à la fois, mais que je n’essaye pas de récupérer. La première chose que je lui ai dite après ça, c’est merci.
Je ne comprends pas pourquoi j’ai accepté ça? Pourquoi j’ai fais çà? Mais j’ai aimé.Pendant que j’allais me rincer la bouche il s’habilla et parti rejoindre les collègues à l’apéro je pense.J’eus soudain une immense peur, c’est qu’il aille se venter de ce que je lui avais fait auprès de mes collègues. Après avoir enfiler un pantalon et une chemise, je descendis donc très vite au bar pour lui demander de rester discret, mais je ne le trouvais pas. Rien ne me semblait anormal dans le comportement de mes collègues à mon égard.Nous passions à table dans une bonne ambiance générale mais je ne voyais toujours pas mon colocataire.J’essayais de me détendre en ricanant sur les mêmes bêtises que tout le monde.
Après le repas certain d’entre nous sont partis en vadrouille nocturne, d’autre sont retournés dans leur chambre, quand à moi je suis resté dans l’espace lounge de l’hôtel avec deux de mes collègues. Nous étions en pleine discussion commerciale quand mon colocataire qui m’avait repéré, est venu me dire qu’il avait récupéré une carte magnétique lui aussi pour rentrer dans la chambre.
Je lui ai encore répondu oui, mais j’avais très chaud je me sentais rougir.
il fit demi tour et partit avec deux costards cravates dont mon directeur d’établissement. Et le directeurs commercial adjoint qui m’avait formé. Mes deux collègues se moquèrent de moi quand l’un d’eux me dis:
-«et bien il te fait de l’effet le grand manitou! t’es tout rouge il t’impressionne?T’es avec lui en chambre? »
Je répondais : « Le grand manitou? »
«et oui tu sais pas que c’est le PDG de notre firme?. Putain ça craint! Si tu veux une augmentation profites en! tu lui tourne le dos. »
Je demandais : «Il est homo? »
« non mais ce soir il va le devenir lol. Et toi aussi mon con. »
Je restais sans voix et me demander qu’est ce qu’il m’était passé par la tète pour avoir fait ça. Putain merde j’ai sucer le boss et il va me baiser ce soir ! Mais ce qui est fait est fait et j’espère que ça ne sera pas ébruité et surtout pas à mon directeur. J’avais peur mais j’avais aimé, ho oui j’ai aimé. Je finis la soirée avec mes deux collègues qui ne firent aucune allusion et mauvaise plaisanterie à mon encontre, car tout simplement il n’était pas marquer sur mon front que j’avais sucé le grand patron, et qu’en plus je n’avais pas une telle réputation. Nous avons continué notre discussion commerciale devant un verre, puis je prenais la décision d’aller me coucher. Ma montre indiquait vingt trois heures trente sept quand je rentrais dans la chambre vide. Je décidais de me prendre une petite douche vite fait bien fait et j’allais m’installer dans ce grand lit froid.
J’ai attendu mon maître, mais à force d’attendre je me suis endormi.
Je ne sais pas quelle heure il était quand dans mon sommeil, j’ai entendu la porte s’ouvrir. l’eau qui coule réveille tous mes sens, la salle de bain est éclairée,et je réalise que mon maître va certainement me baiser.
Les yeux entre ouverts je le laisse s’installer. va t’il me tourner le dos ou entreprendre quelque chose? Les draps se soulèvent, il se glisse dans le lit, je lui tourne le dos positionné en chien de fusil, il s’installe derrière moi en épousant ma position. je sent ses poils, son gros et grand sexe bien dur.je ne peux résister je me retourne et vais le sucer. Comme il est bon, Il me caresse avec la force d’un homme viril et accompagne le mouvement de ma bouche de légers coups de reins.Il met une main derrière ma tète pour accompagner mon mouvement, puis me positionne d’ une seul main la tète en bas, et je continue à le sucer de tout mon cœur. Mon postérieur au niveau de sa tête, idéalement on appelle ça un soixante-neuf, sauf que lui ne me suce pas, il me remplit mon entre fesse de salive qu’il étale avec ses doigts, comme pour préparer une introduction. J’aime ça, je me laisse faire et je sens peu à peu mon anus se dilater. Je prends encore plus de plaisir maintenant avec son sexe dans ma bouche et la présence au fond de moi d’un doigt qui vient et qui va. Oh oui j’aime ça! Je gémis, je jouis, mais vite il pose sa main sur ma bouche comme un bâillon pour que l’on ne m’entende pas. Puis,
il me positionne la tête au sommet du lit, à quatre pattes.Idéalement on appelle ça la levrette. Un oreiller vient se poser sur ma bouche, et mon nez, puis je sens m’envahir un immense bonheur, j’ai des frissons je hurle dans mon oreiller, il va et vient doucement, je lui offre d’avantage mon cul, je me cambre il va et vient profondément j’en demande encore.son mouvement va de plus en plus vite et forcement de plus en plus fort. Ses deux mains me tiennent la taille immobile, c’est le bas de ses reins qu’il fait travailler en me demandant si cela me plaît ? Mon ‘oui’ est étouffé par mon bâillon que j’ai vraiment envie d’enlever pour me laisser aller, mais mon hôte vient de se retirer et dans ma bouche vient de s’installer. Et sans que j’aie eu le temps de réaliser,Une saveur chaude, environ trente-sept degrés un peu sucrée, s’est déversé dans ma bouche. Comme son sexe est dans ma bouche bien enfoncé, je n’ai pas d’autre choix que d’avaler si je veux pouvoir respirer,Alors, c’est ce que je fais.
Je l’entends extérioriser un immense soupir de plaisir,En me tenant la tête pour ne pas que je puisse fuir.Une fois bien soulagé, il se dégagea me libérant de ce mets, et s’allongea le long de mon corps en mettant sa main sur ma taille, comme l’aurai fait un amant à sa maîtresse. Je m’endormais remplis de plein de chose, mais surtout remplis de bonheur. Il ne mit pas longtemps à s’endormir, je l’entendais respirer il remplissait d’air ses poumons et expirait avec une grande force, si bien que carbone expulsé me caresser le coup. Je me retournais pour être face à lui, et lui caresser son magnifique tors virile, ses pectoraux ses jambes musclées et poilues et ne pouvant pas résister à la tentation je dévorais son sexe qui petit à petit se met à grandir encore une fois dans ma bouche.Mon apollon se positionna sur moi m’écartant les jambes, posant mes jambes autour de son cou, remonta mon postérieur pour en facilité l’introduction. Je sentis une nouvelle fois son bon et bel attribut en moi.J’éprouve une nouvelle fois du plaisir, l’oreiller sur mon visage pour que je m’empêche de faire du bruit, les coups de reins très rapides et très profonds de mon amant me donne l’impression qu’il veux se débarrasser d’une corvée en me baisant comme il le fait, mais cela me plais, je jouis et il en fait de même une nouvelle fois mais cette fois si dans mon cul.Il laisse ses quatre vingt dix kilo comme mort sur moi, le temps de reprendre son souffle. Il se dégagea à son tour me permettant de respirer à moi aussi.Je restais coller contre lui pour m’endormir, ce que je fis jusqu’à ce que je sente à mon réveil au petit matin une main me caressait les fesses et une autre la poitrine. J’avais l’impression que quelqu’un m’aimais. Et si c’était lui, ça me rendrais heureux c’est certain.Je sentais en moi montais une envie, mais mon grand maître m’annonça qu’il devait rejoindre ses acolytes dans une heure, et que je l’avais épuisé cette nuit.
Je lui demandais pourquoi il ne m’avait pas dit qui il était? Et là il me répondit:
« ah bon tu ne le sais pas?quand je t’ai dit mon nom tu n’as pas réalisé? »
Je lui répondais: « non »
« Tu sais quand on travaille dans une société on se doit de connaître la hiérarchie. 
«Aller viens me sucer pour te faire pardonner»
Et j’exécutais avec grand plaisir en me mettant à genou. D’une main il me tient son sexe à disposition et de l’autre il fait aller et venir ma tête pour que ma bouche glisse énergiquement sur son gros pénis très raide pour qu’arrive très rapidement le foutre qu’il me fait avaler avant de vite enfiler son costume cravate et de filer en me disant que l’on ne se verra certainement pas de la journée, et que si c’était le cas, il me demander de rester discret. Je descendais rejoindre mes camarades pour le petit déjeuner, et m’installer à la table de mes deux compagnons de hier au soir.
Après avoir pris chacun d’entre nous des nouvelles sur la façon que nous avions appréciée notre nuit, un de mes camarades me demanda en rigolant : « alors tu l’as eu ton augmentation ? par ce que j’ai entendu dans la nuit comme de la baise dans une chambre. »
Je rentrais dans son jeu et je répondis
« oui il m’a augmenté du triple tellement que je l’ai bien sucé »
en rigolant à mon humour il répliqua.
« non mais sérieux vous n’avez rien entendu? » Et nous répondions ensemble avec le deuxième de mes camarades
« non rien » Et il n’ajoutait rien de plus. J’espérais qu’il était le seul à avoir entendu mes ébats, et que jamais personne ne se douterai que je sois à l’origine de ça. Mais je fus vite soulager quand mon fameux camarade s’adressa à un couple mari et femme qui travailler au sein de notre société, en leur disant: alors qu’ils venaient de nous rejoindre.
« vous devriez faire plus de bruit la nuit les jeunes »
Ils répondaient:
« désolé on fera mieux ce soir petit frustré »
Nous rigolions tous et surtout moi.
pour cette deuxième et dernière journée
je me suis bien ennuyé, sauf peut être au moment de l’intervention d’une star de la TV qui nous a fait un cours de coaching.
Je vais vous passer les détails sur le déroulement de la journée et ses thèmes.
Moi ce que j’attendais impatiemment, c’était bien sûr la bite de mon maître que j’aurai le soir. Je me souviens que dans l’après midi j ai eu envie d’aller aux toilettes, et que j’ai abandonner mon fauteuil pour m’y rendre.Une fois sorti
de l’amphi, j’ai eu du mal à me repérer.
Peut être mon coté féminin...
voila j y suis, il me faudra retrouver l’amphi après.
Le lieux semble désert, mais j’entends un homme uriner derrière un toilette fermé.
Je me dirige vers un urinoir et fais mon affaire. L’homme que j’ai entendu sort et va se laver les mains. Je secoue mon engin et va pour faire de même. Qui vois je là dans la glace? Mon maître! Il me vois aussi, se retourne. Me montre du doigt un toilette en tendant le bras. Je comprends que je dois y aller. il me rejoint, ferme la porte et sort sa grosse bite qu‘il me fait sucer. je gémis car j aime, mais je dois être discret car un mec viens de rentrer. Il appelle par son prénom mon boss. Mon maître ne répond pas mais laisse sa queue dans ma bouche en attente.
Le téléphone de mon maître sonne, il le sort de sa poche et répond à voix haute:- je vous rejoins au podium dans cinq minutes.
L’autre lui répond:
« -ok »
je n’entends pas la porte des toilettes se refermer, mais je présume qu’il en est sorti. Mon maître me fais sucer très rapidement. Il jouit et lâche la sauce que j’avale.il n’a pas beaucoup de sperme à m’offrir.
Normal je pense vu qu’il m’a donné ce qu’il avait ce matin.
Il range son matériel et quand il ouvre la porte, se trouve nez à nez avec son directeur des ventes adjoint. Celui qui m’a formé et aussi celui que j ai eu très souvent envie de sucer.
Il s’explique auprès de mon boss qui reste droit et à l’écoute comme si rien ne s’était passé.
«  je l’ai eu un mois en formation cette tafiole, tous les jours je voyais qu’il avait envie de ma queue.
Là je l’ai vu rentrer après vous, et me suis dit: il va aguicher le boss, j’en suis sûr.
Là j’étais décider à me le faire ce vide couille, mais je vois qu’il vous a vider les vôtres »
A ma stupéfaction, mon boss lui répond  en me regardant:
« - faites vous plaisir! et toi » en me montrant du doigt « tu ferme ta gueule et tu fais ce qu’il te dis.-
« Dépêchez vous Aurélien nous devons être au podium dans cinq minutes »
J ai déjà sa bite dans la bouche et il répond:
« Gardez la porte s’il vous plaît ça ira plus vite pour moi. »
Il a la queue raide très dure un peu moins longue que celle du boss mais dix neuf centimètres quand même. il me fait mouiller à le sucer. Il me donne des grands coup de reins dans la bouche et voila une grosse quantité de foutre que j avale aussi celui là. Il me dit doucement en me faisant nettoyer sa queue avec ma langue.
«  Tu es ma pute, dorénavant je te baiserai tous les jours » Et il range sa bite encore gonflée dans son pantalon. Ce qu’il ne sait sûrement pas encore, c’est que je partage ma chambre avec le boss et que je ne suis pas sûr qu’il me baisera tous les jours. ceci dit j ai bien aimé aussi ce petit imprévu. Mon boss lui demande : « c’était bon? »
il lui répond: « oui c’est une bonne salope et je ne pensais pas qu’il sucerai mieux et plus vite que ma femme »
Il sortent tous les deux sans se retourner et moi je retrouve l’amphithéâtre ou je resterais jusqu’à la fin. Nous voila arrivé au terminus de ce congrès. Il nous reste qu’a passer agréablement la soirée pour un départ en milieu de nuit, juste après le repas.

Nous rejoignons tous nos chambres pour nous laver et faire nos valises que nous irons installer dans le bus juste avant le repas.
J avais pris ma douche quand le boss entra dans la chambre.
« Content de ton séjour ? » Me demanda t’il
il se déshabillait pour la douche et je voyais son sexe en érection sous son caleçon.
J’osais lui demander :
- « vous voulez que je vous suce ? »
« -non ! Tourne toi je vais t’enculer, »
je me positionnais et il me pris en levrette.
Il me fis jouir et cracha le peu de foutre
qu’il avait encore.
Il pris une douche, fit sa valise et quitta la chambre en me disant :
«Tu es une bonne pute et un bon vide couilles je ne sais pas si je ne vais pas faire de toi ma pute principale»
la porte se referma…..

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