La Pk Andre 01

LA P K ANDRE
Ep 01 : L'EMBAUCHE


Entreprise étrange d'une puissance économique incroyable la Purity Keeper Companie est depuis de nombreuses années une référence dans bien des domaines. Depuis la mort de son fondateur Mr Le Conte, Mr Jérémy Brosso, ancien champion de niveau international, est vu comme un prophète et règne sur cette société et toutes ses filiales, la plus grosse fortune du monde … Toutefois travailler pour cette compagnie ou un de ses dirigeants demande quelques petits sacrifices …

On m'avait convoqué pour dix heures ce matin dans la propriété d'un des membres du conseil d'administration de la PK. Je me présentais, j'étais à l'heure et même un peu en avance … Un employé de maison me faisait entrer et me demandait d'attendre un moment dans le vestibule. La maison était somptueuse, il y avait un parc devant, par une fenêtre en face de l'entrée on pouvait voir qu'il se prolongeait de l'autre côté de la bâtisse. Sur un mur un immense portrait d'un monsieur âgé mais qui gardait une grande prestance, à côté le portrait de Mr Brosso , celui-là tout le le monde connaissait son visage, il était célèbre, plus jeune il avait fait beaucoup de publicité, et avait remporté beaucoup de coupes, médailles, décorations à de nombreuses compétitions sportives. Maintenant il dirigeait la PK. On était chez un de ses disciples …

Je ne devais pas attendre longtemps avant que l'employé ne revienne et ne me prie d'entrer dans un bureau au bout d'un couloir du rez de chaussée. Bureau tout ce qu'il y a de classique sinon que le mobilier était visiblement de grand prix … Un homme était assis à ce bureau, il me priait de prendre place dans un fauteuil qu'il me montrait en face de lui …

C'était le secrétaire particulier de Mr Laclaque ... Nous étions chez Mr Laclaque !

Le secrétaire : Si vous le permettez nous allons faire connaissance ! Vous vous appelez Juste André … ( je confirmais d'un mouvement de la tête ) .

André, c'est votre prénom ou c'est Juste .
Moi : Juste est mon nom de famille …
Le sec : Marié ?
Moi : Non !
Les sec : Des s ?
Moi : Sans être marié ?
Le sec : Ça se fait vous savez ?
Moi : Non je n'ai pas d' !
Le sec : Vous fumez ?
Moi : Non !
Le sec : Vous buvez ?
Moi : Un ou deux verres dans une soirée de fête …
Le sec : C'est très bien ! Vous avez lu le règlement interne que nous vous avons fait parvenir ?
Moi : Oui !
Le sec : Cela ne vous pose pas de problème ?
Moi : Pour être honnête je n'ai jamais porté de dispositif de chasteté aussi … Je ne sais pas …
Le sec : Comme nous vous l'avons dit, vous disposerez d'une période d'adaptation, vous prendrez ensuite votre décision, à savoir si vous validez votre contrat d'une année … Renouvelable bien sûr …

Nous passions ensuite au moment crucial, prendre mes mesures et m'équiper de ce dispositif de chasteté. J'étais gêné aussi je peux vous garantir que je ne bandais pas …

Le sec : Vous savez … C'est quelquefois à ce moment que certains de nos partenaires de la PK ont bandé pour la dernière fois !

J'avalais ma salive, et regardait ma queue mais … Rien ! Je ne savais pas encore que ce ne serait pas mon cas mais que jamais je ne me masturberais à nouveau … C'était un modèle PK CC, très confortable, proposé depuis peu par la PK il devenait une modèle de référence, nouveau matériau synthétique d'un contact doux et chaleureux, très résistant et surtout totalement inaltérable, on pouvait le garder en permanence et définitivement …

Je ressortais du bureau équipé, un peu coincé aux entournures ... Entre les cuisses si vous préférez ! Mon travail consisterait à … Un peu de tout, je pouvais aider à la cuisine autant qu'au jardin ou au ménage …

En sortant, je croisais un personnage qui semblait important, il portait un costume de grand prix, des chaussures faites sur mesure, un montre en or de grande marque …

Le secrétaire : Monsieur Laclaque, je vous présente notre nouvel homme de toutes mains … André …
Mr Laclaque : Et bien André, j'espère que vous saurez vous adapter parmi nous … Soyez le bienvenu …

Mr Laclaque entrait dans bureau avec son secrétaire et l'employé qui m'avais reçu me conduisait à ma chambre que je partageais avec un autre employé qui était là depuis plus de six mois, me remettais ma livrée et me faisait faire le tour du propriétaire tout en m'expliquant ce que seraient mes différentes tâches …

La première semaine passait rapidement, dans la journée tout allait bien mais la nuit, dans mon lit je la sentais cette cage de chasteté.
Je ne comprenais pas comment ça marchait, il n'y avait pas de cadenas, pas de verrou visible, pas de fente pour glisser une clée … Plus les jours passaient plus j'avais envie de me branler, un bon coup, cracher ma sauce … C'est tellement bon !

Je me sentais soulagé quand arrivait le samedi. Dans la salle de bain il y avait un étrange appareil qui ressemblait un peu à un téléphone publique mais sans le combiné... C'était la clé … Son fonctionnement était simple, on se présentait nu devant le dispositif, il n'y avait pas de caméra pour respecter la pudeur de l'employé, ce dernier appuyait alors sur un bouton … Le reste était automatique ! L'appareil reconnaissait l'employé grâce à son empreinte, des capteurs détectaient si le dispositif était correctement positionné et ouvrait ou fermais alors le dispositif selon le cas …

Tout se passait comme prévu. J'étais libre, mon colocataire arrivait dans la salle de bain au moment ou je retirais l'appareil …

Denis : Alors tu te sens mieux !
Moi : Ohhhhh Oui ! Je sens que …
Denis : Tu veux que je tu suce ?
Moi : ? …
Denis : Tu veux me défoncer le cul ?
Moi : Euuuuh ?


Il se déshabillait et se glissait sous la douche, sa cage de chasteté se balançait devant lui, elle se redressait légèrement. Elle se redressait un peu comme ma bite qui se relevait complètement devant moi !

Denis : Mais c'est que tu es bien foutu toi !

Je me glissait à côté de lui sous la douche.

Denis : Défonce moi le cul !

Il se mettait à genoux à côté de moi et sans plus hésiter commençait à me lécher le gland. C'était bon, je le laissait faire. Il passait sa langue autour de ma queue, ça me chatouillait un peu mais c'était terriblement agréable. Je ne m'étais pas touché pendant une semaine, je ne m'étais pas branlé pendant un peu plus même … J'avais l'impression de bander plus fort que jamais, ma queue était dure comme un morceau de bois qui restait bien planté à la verticale, redressé contre mon ventre.
Denis tirait ma bite vers lui pour bien la prendre dans sa bouche, mais quant il la relâchait elle se relevait avec force et frappait contre mon ventre. Je lui caressait les cheveux, au bout de quelques instants je devenais plus actif, je ne me contentait pas de le laisser faire.

Quand il avançait la tête, j'avançais mon bassin et j'appuyais sur sa tête avec douceur. Il me tirait vers lui en me prenant par les cuisses, ma queue rentrait entièrement dans sa bouche, jusqu'à sa gorge, ses lèvre remontaient jusqu'à mon ventre, j'appuyais sur sa tête, c'était tellement bon.

A cet instant je me suis dit que ce boulot était génial, l'ambiance était agréable et les fins de semaines semblaient prometteuses …

Il résistait et retirait sa tête, je le laissais faire, je gardais mes mains autour de sa tête toujours en lui caressant les cheveux. Il revenait, je poussais mon bassin plus fort, un peu plus vite, il sursautait mais il encaissait, bien à fond. Je sentais le plaisir monter, je ne tendais pas de me retenir. Encore quelques mouvements et je jouissais dans sa bouche, il n'attendait que ça ! Il avalait et continuait à me biberonner avec douceur. J'étais aux anges, j'étais au paradis. Je débandais rapidement mais je sentais sa langue qui passait sur mon gland, qui me léchait ma queue sur toute sa longueur en s'attardant juste au niveau du frein, et quelquefois remontait pour me caresser le gland. Sa main me caressait également la bite au moment ou elle ressortait, il me masturbait doucement et il ne fallait pas longtemps pour que je bande à nouveau comme un fou.

Satisfait du résultat il se relevait et me tournait le dos.

Denis : Maintenant défonce moi le cul. Tu sera mignon .

Sans rien dire je prenais position, je me savonnais abondamment la queue et en faisait de même avec son cul. Je posais l'extrémité de ma bite juste sur l'ouverture de son trou de balle, il relevait la tête, je poussait, il gémissait, je forçais, ça rentrait, il râlait de plaisir …

Je poussais fort, il râlait d'autant plus fort mais ne me demandait pas d'arrêter.
Mon ventre touchait ses fesses. Je me retirais rapidement et revenais à la charge tout aussi rapidement. Il encaissait, il poussait des cris. Des cris de plaisir des cris de douleur … ? J'espère pour lui que c'était du plaisir car moi je m'en moquait de lui faire mal ! A cet instant je ne pensais qu'à mon plaisir et je ne me retenais pas. Je ne retenais pas mes mouvements qui devenaient rapidement frénétiques, violents, rapides. Quand j'arrivais au font de son cul je donnais un violent coup de bassin, à chaque fois plus violent.

Je ralentissais le mouvement qui devenait alors plus amples et plus forts. Je me retirais lentement entièrement, ma queue ressortait alors complètement de son cul puis l'enfonçait en un mouvement rapide, très rapide, mon ventre frappait bruyamment contre ses fesses. Il poussait des hurlements, tentait de se cramponner à ce qu'il trouvait c'est à dire à rien … Il se retrouvait alors plié en deux s'appuyait les mains sur le sol pour ne pas tomber. Je le cramponnais par les hanches et mes mouvements étaient violents, rapides, doux, lents, j'alternais …

Je devais jouir à nouveau et à ce moment mes derniers mouvements étaient particulièrement violents, il poussait alors un gémissement comme une longue plainte … Quand je me retirais je pouvais voir qu'il avait éjaculé lui aussi, un jus blanc et épais coulait des sa cage de chasteté, il s'appuyait sur le mur ses jambes tremblaient. C'est vrai que je suis bien monté, sans pour autant être un géant … Je m'étais fait du bien ! Je le regardais en lui faisant un sourire, il me rendait mon sourire en reprenant ses esprits. On terminait la douche en se savonnant l'un l'autre, il semblait apprécier de jouer avec ma bite et je le laissais faire …

Moi : Si tu me fais bander encore je recommence !
Denis : Même pas peur !

Il était lui aussi libre pour le week-end mais sa queue elle ne l'était pas !

Denis : C'est ta période d'essais ?
Moi : Oui première semaine … Et toi ?
Denis : Six mois !
Moi : Et …
Denis : Oui je me disais la même chose il y a six mois !
Moi : Mais j'ai rien dit !
Denis : Non mais tu l'a pensé très fort !

On revenait dans notre chambre.

Moi : Et le boss, tu sais quelque chose sur lui …
Denis : Sébastien Laclaque … Il a été embauché par Mr Le Conte en personne.
Moi : Mais il est mort lui !
Denis : Il aurait plus de cent ans … Son père travaillait déjà à la sécurité pour Mr Le Conte. Tu imagines que notre boss à demandé à porter régulièrement un dispositif à l'âge de quinze ans … De ce côté la règle est simple … Deux mois pour voir si tu supportes, tu n'est alors libéré que le week-end, puis des contrat d'un an. En cas de rupture de contrat tu n'as aucune indemnité. Le salaire n'est pas très élevé mais on est logé, et assez bien même. Nourris, et très bien même. On a du temps libre pour les activités sportives, entre autre …
Moi : A condition de …

Je regardait ma queue qui se manifestait un peu de nouveau …

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