La Pk Andre 02

LA P K ANDRE
Ep 02 : CAMARADES DE BOULOT


Entreprise étrange d'une puissance économique incroyable la Purity Keeper Companie … Toutefois travailler pour cette compagnie ou un de ses dirigeants demande quelques petits sacrifices …

On était en début de week-end, j'étais à poil, allongé sur mon lit, je bandait à moitié. Après une semaine d'abstinence je venais de jouir deux fois de suite et je me sentais bien, très bien … Denis était allongé sur son lit à côté de moi, il était à poil également sauf ce petit truc que j'avais porté pour la première fois pendant une semaine, son dispositif de chasteté PK CC …

Il le portait depuis six mois ! Waow … ! Six mois … En fait ça reste confortable, j'en suis à une semaine, mais physiquement ça reste tout à fait confortable, le problème … C'est dans la tête !

Denis jouait un peu avec son dispositif en me regardant. Je devais lui faire envie … Je remarquais que son dispositif se relevait sur son ventre, il devait y avoir de la pression la dedans … C'est à ce moment que Florian entrait dans la chambre comme un fou sans frapper …

Florian : Alors les filles vous faites quoi ce week-end ?

Il restait immobile un instant en nous regardant.

Florian : Ouai je vois !

Me regardant.

Florian : Fin de la première semaine ! Période d'essais ! Je me souviens, moi c'était quelque chose … Je me suis branlé pendant deux jours. J'ai pas arrêté !

Florian est beau gosse, bien foutu et ça suffisait, en plus du fait que je venais de passer une semaine la bite enfermée dans une cage minuscule, pour me faire bander une fois de plus. Il me regardait, il avalait sa salive et d'un geste vers son entre-jambe ajustait son dispositif. Je devinais que sa bite essayait de se déployer mais que … La mienne prenait toute son ampleur et je la caressais doucement. On s'échangeait des regards.

Florian : Je peux ?

Il se penchait sur moi et me branlait doucement, il était tout en douceur et quand je sentais sa langue toucher l'extrémité de ma queue, je penchais la tête en arrière et écartais les cuisses.

Il me caressait le ventre en prenant ma queue dans sa bouche. Il faisait ça bien lui aussi et je le laissais faire, je repliais mes mains derrière ma tête et baissais les yeux pour le regarder faire.

Ma queue entrait doucement dans sa bouche, le contact était doux, chaud et humide. Sa langue me caressait, elle tournait autour de ma bite, elle s'écrasait contre mon gland et s'attardait sur l'ouverture de mon urètre. Je sursautais de plaisir et de surprise. C'était rudement agréable. A ma plus grande surprise, ma queue que je trouvais pourtant de belle taille entrait sans problème complètement pour aller se loger juste au fond de sa gorge. La encore, un contact doux et chaud. Je jubilais.

Ses lèvres touchaient mon ventre et ma bite avait totalement disparue, il était tout rouge et moi je gémissais de plaisir. Il me caressait les couilles et glissait un doigt entre mes fesses, je me raidissais et fronçait les sourcilles, il le remarquais et retirait sa main … Et surtout son doigt ! Il continuait à me masser doucement les couilles …

Sur l'autre lit Denis, nous regardais on pouvait voir l'envie dans ses yeux. L'envie d'être à ma place c'est sûr même s'il aurait bien pris la place de Florian. Il tripotait frénétiquement son dispositif, ça faisait pitié mais moi j'en profitais, je jouissais encore une fois, la troisième fois depuis tout à l'heure, dans la bouche de Florian qui avalait sans broncher et continuait avec toujours autant de douceur, je frissonnais, c'était bon. Je lui caressais les cheveux mais là malgré toute ma bonne volonté, je débandais. Florian insistait encore un moment mais c'était bon ! Pour le moment !

Denis : Il m'a enculé juste avant !
Florian : Tu récupères et tu m'encules … d'accord ?
Moi : Pas de problème, s'il n'y a que ça pour te faire plaisir …

Florian se relevais, s'essuyait la bouche, me donnait encore un dernier baiser sur le bout de ma bite et s'asseyait sur un fauteuil.
Il ne pouvait pas détacher son regard de ma bite et ça se voyait, il ne se cachait pas ! Denis était dans le même état. Bref moi je venais de jouir et je me sentais bien, eux étaient en manque et ça se voyait bien !

Moi : Ça fait longtemps pour toi Florian ?
Florian : Six mois, on est arrivé en même temps Denis et moi … Il y a Bastien aussi qui est arrivé en même temps, mais ce soir il est de service de week-end.
Denis : Ce soir ! Je croyais que le bosse ne serait pas là ?
Florian : Il est déjà parti et ne reviendra pas avant Lundi mais tu sais comment ça se passe, il y a toujours une permanence.
Denis : Même si le gars qui est de permanence reste là comme un con à ne rien foutre …

Je les écoutais, je me tripotais toujours comme ça, sans y penser, l'air de rien … Je remarquais les regards qui régulièrement descendaient vers ma queue, je ne bandais pas, pas pour le moment … Florian se levait …

Florian : Bon il va falloir passer à table, c'est l'heure ! Ensuite si on se faisait une petit sortie, on pourrait aller boire un verre. Ensuite … Peut être que tu seras un peu plus en forme Juste …
Moi : C'est André !
Florian : Je sais mais moi je préfère Juste !

Avec Denis il ne nous fallait pas longtemps pour nous habiller. On passait à la cuisine, les autres employés étaient déjà là et prenaient place autour de la table. La discussion allait bon train.

… Vous avez vu le nouveau jardinier ? …
… J'étais dans le bureau quand ils ont pris ses mesures …
… Alors, raconte …
… Ils ont commandé un modèle spécial, très grosse taille …
… Tu parles passé un mois il sera comme nous. Grosse ou petite ça change quoi ? …
… A part ça il est comment ? …
… Beau comme un dieu …
… Mais il y avait tout ce qu'il faut en jardiniers …
… Deux jardiniers ne renouvellent pas leurs contrats …
… Jonas qui nous quitte, il ne renouvelle pas ! Et Lionel il termine sa deuxième année dans un mois et ne renouvelle pas non plus …

Il allaient donc recruter un nouveau jardinier encore après ça.
Il est vrai que le personnel tournait beaucoup. Presque tous les nouveaux restaient au moins an et on peut le comprendre, ils savaient à quoi s'attendre … Mais au bout d'un an il y en avait moins qui renouvelaient leur contrat … Les plus anciens étaient tous issus de l'université PK et de la formation PK … Pendant toute leur formation il devaient porter un dispositif, certains arrivaient même en portant le dispositif et ne demandaient pas à être libérés pendant la période d'essais. La preuve …

Oscar : Mais enfin quand vous postulez pour une place chez un directeur important de la PK les jeunes vous vous attendez à quoi ? Pour ma part, je suis ici depuis cinq ans … Et le dispositif je le porte sans aucune interruption depuis huit ans … Depuis le début de ma formation de majordome !

Oscar c'était l'exemple type. Le modèle de référence, on ne lui connaissait aucune soirée comme celle que que nous venions de passer Denis, Florian et moi … Un exception, ou un exemple …

Avec Denis et Florian on sortait boire un verre, quand on ne travaillait pas le week-end on était libre de nos mouvements mais nous devions porter le dispositif jusqu'à la fin de notre contrat … C'était le règlement ! Pour ma part je devrais le remettre au plus tard pour le lundi matin, avant de reprendre mon travail. En attendant je faisais comme je voulais. J'aurais encore trois libérations, une dans deux semaines, une autre trois semaines plus tard et enfin une dernière quatre semaines après. Je validerais ensuite mon contrat pour un an à partir de cette date. Si je venais à rompre mon contrat je ne pourrais pas bénéficier de la prime prévue et si je décidais de renouveler pour encore une année, je pourrais soit voir la prime majorée d'intérêts non négligeables soit l'utiliser … Une autre prime qui tiendrait compte de l'ancienneté me serait versée à la fin de l'année suivante … Ainsi de suite …

On discutait longuement, les conditions de travail étaient bonnes.
Le logement qui était confortable. Les nouveaux, deux jardiniers, en général il étaient bien musclés. Le chef jardinier par exemple était particulièrement bien proportionné, je l'avais souvent croisé dans le jardin, au potager quand je suis allé chercher des légumes pour la cuisine. Toujours torse nue en été, il travaille au grand air, il est bien bronzé. Il n'y avait que des hommes à travailler ici, le boss n'était pas marié … On discutait bien sûr du petit détail … Le port obligatoire du dispositif de chasteté …

On ne rentrait pas trop tard, Florian s'invitait dans notre chambre … Denis le laissait faire et s'installait sur le fauteuil et nous regardait. Florian me repoussait sur mon lit et me sautait dessus, il me prenait dans ses bras et m'embrassai, je sentais ma queue se relever dans mon pantalon, je sentais sa cage dure comme du métal qui s'appuyait contre ma cuisse … Je lui ouvrais la chemise, il retirait alors rapidement ses vêtements, tous ses vêtements, j'en faisais de même.

Je me retrouvais nus sur mon lit, il était nu sur moi, il m'embrassait sur tout le corps en descendant vers on sexe, il me caressait la bite et quand il commençait à me sucer la bite les lèvres de Denis se posaient sur mes lèvres. Il était nu lui aussi! Il m'embrassait sur tout le corps, me caressait et me pinçait les tétons, je caressais les cheveux de Florian qui semblait se régaler autant que je me régalait. Je caressais le corps de Denis, je m'attardais sur ses couilles que je tripotais sans lui faire mal, il y avait de la pression dans sa cage de chasteté et il mouillait.

Ils inversaient les positions, Denis me suçait la queue et Florian me prêtait ses lèvres, ses baisers étaient doux. Nos langues se caressaient longuement. Je bandais à mort comme quelques heures plus tôt et j'appuyais sur la tête de Denis. Florian manifestait de l'impatience, je lui glissait un doigt entre les fesses, il me laissait faire. Je lubrifiais avec de la salive et j'enfonçais un doigts dans son cul. Immédiatement il gémissait de plaisir et me laissait faire. Il me prenait pas la main et me relevait sans se préoccuper de Denis.

Je me relevais, Denis me lâchais. Florian me tournait le dos et prenait position, son cul en position, il tournait la tête et me faisait un grand sourire. Je me positionnais juste derrière lui et comme il l'avait demandé, je l'attrapais par les hanches et lui défonçais le cul sans préambule … J'enfonçais ma queue bien à fond en un mouvement rapide et décidé. Il gueulait de surprise. Je sais ça ne se fait pas mais j'en avais envie !

J'entendais Denis à côté de moi : '' Tu y vas fort là toi ! ''. Je continuais et commençais à lui limer le cul sans ménagement. Il faisait comme s'il voulait se dégager mais je ne le retenais pas assez fermement pour l'en empêcher s'il le voulait vraiment. Il râlait, il gémissait. J’accélérais le mouvement et mon va et vient devenait rapide. Denis me caressait, il était à côté de moi et me caressait en insistant sur mes partie les plus intimes pour m'encourager. Mes mouvements devenaient plus amples, je retirais ma queue complètement la lui enfonçais de nouveau avec plus de violence, en donnant un bon coup quand mon ventre touchait ses fesses. Je ne me retirais pas du tout, me contentant de me détendre puis de donner des coups de bassin. Il gémissait, et en redemandait.

Il jutais, un flot de sperme coulait de sa cage de chasteté, un flot continu, il poussait alors un long gémissement, il tremblait, il jouissais … Moi j'avais joui trois fois déjà depuis l'après midi et il m'en fallait plus. Je ne le lâchais pas, il se cramponnait, je continuais avec douceur, avec force, avec violence. Je continuais avec des mouvements rapides, plus lents. Au moment ou je jouissais dans son cul je gueulais de plaisir et lui donnais quelques coups de bassin particulièrement violents. Au moment ou je le lâchais il se laissait tomber sur le sol. Il respirait fort, et tremblait un peu …

Denis à coté de moi regardait ça, j'avais l'impression qu'il aurait bien aimé être à la place de son camarade Florian.



N'hésitez surtout pas à laisser un commentaire !
Suivez les aventure de David , de Djé ainsi que tous mes récits sur le blog : https://charlychast.tumblr.com/

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!