Je Commence Quand ?

J'avais presque 19 ans et j'étudiais à l'université quand j'ai vécu cette aventure. J'étais fauchée, à la recherche d'un petit boulot, lorsqu'un ami de ma mère m'a informée d'un couple qui recherchait une baby-sitter. Puisque j'avais été recommandée par une personne de confiance, je n'ai pas recherché de renseignements sur ce couple. J'ai reçu un texto de la femme qui m'invitait à dîner dans un bon restaurant et nous avons rapidement pris rendez-vous. J'ai soigné ma toilette et je suis allée à la rencontre de Thomas et Denise Martin.
Denise était une femme séduisante, dans la quarantaine, avec beaucoup de charme. Son mari Tom était un solide gaillard qui paraissait un peu plus âgé à cause de sa chevelure poivre et sel. Ils formaient un très beau couple, aisés et décontractés, modernes.
Nous avons rapidement sympathisé et ils m'ont parlé de leur fils. Il avait 5 ans et il leur fallait quelqu'un qui s'occupe de lui le matin, pour le lever, l'habiller, s'occuper du petit-déjeuner et le conduire à l'école. Puis récupérer l' le soir à l'école, le faire goûter, etc ... jusqu'au retour des parents. Pour tout cela, ils recherchaient une personne qui accepterait de loger chez eux et à qui ils donneraient un peu d'argent en plus du gîte et du couvert.
Après le dîner, nous sommes allés visiter leur domicile afin que je prenne ma décision. Quand j'ai vu la maison, ce n'était pas difficile de décider. Une magnifique résidence de deux étages dans un grand parc, au cœur d'un quartier chic. L'école était toute proche.
Depuis le début du semestre mes camarades de chambre me rendaient folle, j'avais besoin de changer d'air, alors après la visite des lieux, j'ai souri en demandant:
"Je commence quand?"
L'endroit était magnifique, les parents sympathiques, j'allais être payée, qu'est-ce qu'une fille au pair pouvait demander de plus?
J'ai empoché une semaine d'avance et j'ai emménagé le lendemain, laissant à mes colocataires le soin de me trouver une remplaçante.


Tout s'est bien passé jusqu'au week-end.
Le samedi soir, Tom et Denise ont décidé de sortir. Ils me paient un petit supplément pour que je m'occupe de leur gamin. Je mets le petit gars au lit vers 20h30 et je prends possession du salon pour bosser mes cours en attendant qu'ils rentrent. Ils sont de retour peu avant minuit. Ils sont très joyeux et un peu éméchés, alors je comprends qu'ils ont passé une bonne soirée. Tom sort de sa cave une bouteille de champagne avec trois verres. Je lui fait remarquer que je suis un peu jeune pour boire de l'alcool, il me fait un clin d'œil et dit: "Ce sera notre petit secret".
Nous nous sommes assis dans les profonds canapés du salon pour boire un verre et passer un bon moment. Nous racontions des bêtises, des blagues salaces aux allusions grivoises. J'ai remarqué que Denise me dévorait des yeux, détaillant mon corps, souriante et aguichante chaque fois que nos regards se croisaient. Mon verre se vidait, Tom le remplissait, et je regardais Denise me regardant. Tom ne semblait pas remarquer nos œillades appuyées et l'alcool aidant, j'observais la lourde poitrine de ma patronne, ses hanches larges qui faisaient d'elle une femme sensuelle. Je n'avais jamais pensé à elle auparavant, mais avec la chaleur du vin en moi, j'ai commencé à remarquer sa féminité et toute la sensualité qu'elle dégageait. L'insistance de son regard, la manière dont elle promenait la pointe de sa langue sur ses lèvres entrouvertes, l'ongle de son index qui caressait son décolleté entre ses seins commençaient à produire son effet sur ma libido. Des papillons dans mon ventre éveillait la source qui dormait au fond de ma vulve et un désir lancinant me taraudait les reins. Je n'avais jamais éprouvé un tel désir pour une femme, pas même pour ma cousine, de trois ans mon aînée, qui m'avait déniaisée vers l'âge de treize ans. Elle m'avait appris à embrasser avec la langue, à utiliser mon clitoris pour soulager mes tensions, à me caresser la chatte avec le jet de la douche quand je prenais mon bain.
Je n'éprouvais aucun désir pour elle, mais je suivais ses cours avec assiduité tant ma soif d'apprendre était grande.
Denise s'était changée et portait un leggins et un débardeur, et laissez-moi vous dire que son leggins ne cachait rien de ses formes voluptueuses. Plus la soirée avançait, plus je désirais flirter, mais ça ne me semblait pas correct, c'était ma patronne et j'étais son employée. Lorsque Tom s'est levé pour aller chercher une autre bouteille, Denise vint s'assoir près de moi et posa sa main sur ma cuisse.
"Daphné, je suis désolée de te mettre mal à l'aise! Je suis aguicheuse quand je bois du vin. Tom le sait, le vieux salaud, il essaie de me dévergonder, je crois! Mais si je t'importune, tu peux aller te coucher, tu sais."
À ce stade, une partie de mon cerveau qui fonctionnait encore me commandait de suivre son conseil et d'aller au lit, mais au lieu de cela, j'ai mis ma main sur sa cuisse et j'ai rigolé, lui assurant que tout allait bien et que j'étais réceptive à son flirt. Elle comprit l'allusion et se pencha sur moi pour m'embrasser. Je la désirais, oh mon dieu, je la voulais et c'est la bouche ouverte que j'ai accueilli sa langue qui vint danser avec la mienne. J'étais transportée sur des vagues de sensations érotiques lorsque j'ai été surprise par le rire de Tom derrière nous. Il était arrivé à pas de loup pour surprendre sa femme en train de bécoter une gamine! Je sentis mon visage s'embraser d'embarras, mais je sentais aussi ma chatte brûlante de désir.
Le mélange de désir et des émotions exacerbées par l'alcool, m'a poussé à dire de ma voix la plus ine que je pouvais gérer:
"M. Martin, cela ne vous ennuie pas que votre femme soit ma baby-sitter, n'est-ce pas?"
Apparemment, c'était tout l'encouragement dont Denise avait besoin, parce qu'immédiatement, elle s'est allongée contre moi, sa bouche a pris possession de la mienne, sa langue jouant avec la mienne. Ses mains ont pris possession de mon corps, explorant les contours de mes formes, palpant fermement les replis et les creux de ma chair, provocant un début d'éruption dans mon ventre.

J'ai essayé de donner autant que je recevais, pressant fortement mes lèvres sur les siennes, agitant ma langue pour goûter plus d'elle.
Nous nous embrassées assez longtemps sur le canapé, nos mains explorant nos corps par-dessus nos vêtements. Puis Tom vint s'assoir à côté de moi, et Denise ôta mon T-shirt pour lutiner mes seins. Je pelotais alors ses fesses rebondies, palpant, caressant, glissant le long de ses cuisses pour revenir presser l'entrejambe. J'avais envie de glisser ma tête entre ses cuisses et de sentir ses jambes s'enrouler autour de moi pour presser mon visage contre sa chatte.
Pendant ce temps, Tom a attrapé ma main libre et l'utilisait pour masser sa queue par dessus son jeans, mais ça ne me préoccupait pas! Ce n'est que lorsqu'il m'a lâché la main pour défaire sa fermeture éclair que j'ai décidé d'arrêter.
En me retirant de leur étreinte, je me levais. "Vous êtes pompettes, nous n'irons pas plus loin. Je ne veux pas briser votre union, et je ne veux surtout pas perdre mon travail à cause d'une baise en état d'ivresse!"
A ces mots, Denise m'a souri et a dit: "Chérie, si tu veux arrêter, je comprends tout à fait! Mais sache que tu ne vas pas briser notre couple. Tom et moi avons ce fantasme depuis des années. Pour pimenter nos jeux sexuels, nous souhaitons faire participer une femme à nos ébats. Je te désire et je sais que Tom le souhaite! Mais si tu dis non, alors nous nous arrêtons tout de suite et nous ferons comme si cela ne s'était jamais produit."
Je pouvais lire dans son regard combien cette déclaration était franche, et c'est à ce moment-là que je compris que je désirais baiser avec Denise et Tom. Sans un mot, je me suis penchée pour lui ôter son leggins. Alors que je retirais la barrière soyeuse, j’ai eu une première vision de sa chatte. La petite touffe soigneusement taillée en ticket de métro surplombait sa chatte aux lèvres luisantes d’humidité. Pendant que je contemplais le berlingot de Denise en le caressant du bout des doigts, Tom s'est glissé derrière moi pour m'ôter mon short et ma culotte.
Denise s’est contorsionnée pour faire passer son débardeur par-dessus sa tête et approcher ses fesses jusqu’au bord du canapé pour que sa chatte soit facilement accessible. J'avais eu peu d'expériences saphiques auparavant, sauf avec ma cousine, mais jamais avec une femme désirable comme Denise, resplendissante de féminité, et je voulais désespérément lui plaire.
Je prenais mon temps, caressant sa chatte avec ma langue, glissant entre ses lèvres, alternant d'un côté à l'autre avant de plonger deux doigts dans l'orifice ruisselant. Tom a regardé sa baby-sitter de 19 ans dévorer la chatte de sa femme en se masturbant fiévreusement.
Tandis que Denise, gémissante et geignante, se tordait sous ma caresse, elle commença à dire à Tom combien il était surprenant qu'une jeune fille à l'apparence si chaste soit en réalité aussi experte pour manger la chatte de sa patronne. Pendant qu'elle jouissait bruyamment, Tom s'est rapproché et m'a présenté sa queue à sucer, prétendant que c'était son tour.
Tandis que je m'agenouillais pour sucer sa queue, Denise nous regardait en jouant avec son clitoris. Apparemment, la sensation de ma bouche sur sa bite sous le regard de sa femme était trop forte, alors Tom commença à gémir.
"Daphné, je viens, je vais jouir, ne t'arrêtes pas, surtout pas!" Sa demande était si pressante et graveleuse que j'accélérais la cadence, tirant ma langue, serrant mes lèvres autour de sa viande, le suppliant des yeux de jouir vite, le souffle coupé par sa bite s'enfonçant profondément dans ma gorge novice. J'ai sentis ses bourses commencer à se contracter tandis qu'il empoignait ma tignasse, me tenant en place pendant qu'il éjaculait au fond de ma gorge sa première charge de la nuit.
Pendant qu'il se calmait, Denise m'a saisit par la main et m'a conduite à la chambre parentale, où elle m'a allongée sur le lit pour qu'elle puisse me faire minette. Il ne lui a pas fallu longtemps, à cette femme incroyablement talentueuse, pour me faire jouir, et nous nous sommes cajolées mutuellement ensuite, pressant nos corps nus l'un contre l'autre.
Tom entra peu après avec une nouvelle bouteille et trois verres propres.
"Est-ce que vous êtes déjà fatiguées? J'ai ce qu'il vous faut pour tenir toute la nuit" il a invité en riant.
Je voyais sa bite en semi-érection, alors de la même voix de petite fille que j'ai utilisée auparavant, j'ai pleurniché:
"Mais M. Martin, vous n'avez pas encore baisé ma petite chatte d'adolescente!"
Avec un sourire cruel, il me saisit par les chevilles, leva mes jambes à la verticale avant de les écarter brusquement et, s'agenouillant entre mes cuisses, présenta sa bite bien raide à l'entrée de ma chatte. La chatte encore suintante de mon orgasme précédent, Tom n'a eu aucun problème pour faire glisser son mandrin entre mes lèvres d'un seul coup, provoquant un cri de douleur qui aurait pu réveiller l'. Alors qu'il me violait la chatte sans ménagement, à grands coups de reins, Denise a décidé de profiter de la situation et de mon immobilité e pour se faire plaisir. Elle m'a enjambée, enserrant ma tête entre ses cuisses musclées, empoignant ma chevelure, elle a plaqué sa chatte sur mon visage et, tenant ma tête en place, elle frotta grossièrement sa chatte contre mon nez et mes lèvres. Je n'avais jamais connu pareille jouissance dans ma vie auparavant, sachant qu'en étant le jouet sexuel de ce couple, je réalisais leur fantasme, mais je découvrais le plaisir d'être soumise à leur bon vouloir, incapable d'esquisser le moindre geste de défense, je subissais leur assaut en jouissant bruyamment.
Après plusieurs orgasmes ravageurs, avec dans ma tête le grondement du tonnerre et les éclairs, Tom se retira de ma chatte, éjaculant sur mon ventre et ma poitrine.
En riant, Denise me nettoya en léchant la semence répandue par son mari pendant que je lui doigtais la chatte. Nous avons fini la soirée en position tête-bêche, nous caressant et nous donnant du plaisir mutuellement. Quand nous nous sommes endormies dans les bras l'une de l'autre, repues et épuisées, Tom ronflait déjà bruyamment.
Au milieu de la nuit, je me suis réveillée et je suis allée dans mon lit où j'ai dormi comme un bébé. Le lendemain matin, je me suis réveillée tard, vers dix heures, et je me suis précipitée en bas, craignant que Tom et Denise ne soient en colère contre moi.
Je les ai trouvés dans la cuisine, souriants, déjeunant tranquillement. L' jouait dehors, dans le parc.
Il n'y avait aucun malaise, et Denise m'a demandé si je gardais un bon souvenir de la nuit. Je l'ai rassurée et Denise, après avoir jeté un coup d’œil dehors pour s'assurer que l' ne s'occupait pas de nous, m'a attirée contre elle pour m'embrasser à pleine bouche. Les séquelles des beuveries de la veille se sentaient dans son haleine, mais j'ai passé outre et lui ai rendu son baiser, bouche ouverte, pour bien montrer ma soumission. M'enlaçant tout contre elle, Denise m'a déclaré, les yeux dans les yeux:
"Daphné, Tom et moi avons passé un moment merveilleux la nuit dernière! Tu nous as permis de réaliser notre fantasme, et en plus tu t'es comportée comme une merveilleuse petite salope. Tu nous as fait connaître la meilleure baise depuis que nous sommes mariés. Dans cet esprit, nous aimerions te faire une offre, n'hésites pas à prendre le temps d'y réfléchir, mais quelle que soit ta réponse, rien ne changera dans tes conditions d'embauche ici. T'occuper de notre fils le matin et le soir, mais nous aimerions compléter cette embauche par ... appelons cela une assistante nocturne. Ce n'est pas facile à dire, mais tu as un don pour cela. Sous ton air angélique de sainte nitouche à qui l'on donnerait le bon dieu sans confession, tu es la pire salope que j'ai connu de toute mon existence. Tu m'as fait jouir comme jamais je n'avais joui auparavant. Nous voulons avoir encore des relations sexuelles avec toi. Ensemble ou séparément, et nous sommes prêts à doubler ton salaire. Ce n'est pas que nous te considérons comme une prostituée, ou quoi que ce soit de méprisant! Nous savons à quel point l'université est chère, et nous te considérons comme une jeune femme intelligente et merveilleusement belle, alors si nous pouvons t'aider à atteindre tes objectifs en rendant ta vie un peu plus douce, nous serions très heureux d'y contribuer un peu. Qu'en penses-tu?"
Alors que j'étais là, mon corps blotti contre le sien, ressentant sa douce chaleur, humant son parfum capiteux de femme lascive, en pensant à sa proposition, me demandant si je pouvais vendre mon corps, j'ai réalisé une chose.
C'était ce que je désirais le plus au monde! L'idée d'être leur nymphe, soumise et perverse, était incroyablement excitante. Je mouillais à l'idée d'être soumise aux caprices de mes patrons, d'être encore et encore leur jouet sexuel pour assouvir tous leurs fantasmes.
J'ai pressé mon corps contre le sien, je lui ai tendu mes lèvres en lui demandant:
"Je commence quand?"

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