Un Dimanche Qui Commence Bien

Dimanche, je courais le long du canal par une belle matinée d'été. Il était environ onze heures et soleil tapait déjà fort.
Je maintenais une bonne cadence de foulée, transpirais mais néanmoins appréciait ce moment d'effort.
Tout à coup, j'ai distingué au loin une silhouette et je me suis dit "tu vas la rattr, ça te fera un petit coup de cardio"
J'accélérai donc ma foulée pour rattr cette silhouette mais celle-ci menait aussi une belle allure et je mis quelques minutes pour la rattr
Au fur et à mesure que je m'approchais, je pouvais faire un focus sur la personne qui courait devant moi et j'ai pu distinguer en premier une queue de cheval qui m'a laissé penser qu'il s'agissait d'une femme. J'arrivais maintenant à quelques dizaines de mètres et voyais qu'elle courait à un bon rythme proche du mien avant mon accélération
J'ai alors temporisé, histoire de pouvoir la détailler un peu de dos. Elle était grande, environ 1,75 m, de solides épaules habillées d'un haut à bretelles, de belles cuisses épaisses dans un short en lycra noir qui moulait deux superbes fesses partagées par un profond sillon dans lequel je pouvais distinguer un filet de sueur qui descendait vers son entre-cuisse.
Maintenant, je pouvais entendre son souffle régulier et je vis alors que j'avais affaire à une sculpturale rousse à la chevelure flamboyante et ses bras étaient grêlés de tâches de son
Waouhh, me suis-je dit ! Je vais lui proposer de courir un peu ensemble et arrivé à sa hauteur maintenant
- Bonjour, beau temps pour courir n'est-ce pas ?
- Oui, un peu chaud mais tellement agréable me répondit-elle avec un joli sourire
J'ai pu alors détailler le devant de la dame et il n'avait rien à envier au dos, une magnifique paire de nichons, 95 C à vue de nez, des yeux noisette, une bouche pulpeuse et là encore le visage couvert de taches de rousseur qui lui donnait un charme chargé de sex appeal. Son top était lui aussi imprégné de sueur et comme je n'étais qu'à quelques centimètres près d'elle, j'ai pu sentir de suite un fort parfum fort qui se dégageait dans l'air, une délicieuse odeur de rousse, senteur enivrante que j'adore.

Je lui dis alors
- On peut courir un peu ensemble, nous avons le même rythme ?
Elle me regarde de côté, semblant réfléchir avec un air suspicieux puis finit par répondre avec un petit sourire en coin
- Pourquoi pas, nous nous motiverons l'un l'autre pour faire une performance dit-elle cette fois avec un large sourire
Nous avons couru une dizaine de minutes en échangeant quelques mots (ce que notre rythme de course permettait) et le tutoiement s'était installé naturellement. Il faut dire que nous étions dans la même tranche d'âge de la quarantaine et cela nous a permis de faire connaissance
- Moi c'est Alex
- Enchanté moi c'est Emeline
Cinq minutes passèrent encore et la demoiselle demande à faire une pause "technique" quand elle aperçoit une petite clairière isolée entourée de buissons
Je m'arrête et me retourne pour ne pas l'indisposer mais quand j'entends le doux bruit de sa miction, je ne résiste pas à l'envie de jeter un œil en tournant légèrement la tête et là qu'elle n'est pas ma surprise de l'entendre me dire
- Ça t'excites salaud de me regarder pisser
Alors, je me retourne franchement et me retrouve face à une belle chatte rousse bien poilue de laquelle gicle une pluie dorée qui me donne une gaule d'enfer.
- Tu vois bien, tu bandes espèce de vicelard. Je vais m'occuper de ta bite mais d'abord je dois finir ce que j'ai commencé
Pour m'exciter davantage, cette salope écarte ses lèvres avec ses deux mains en me disant
- Regardes bien comme elle est accueillante, j'ai envie de me faire ramoner par ta bite
J'avais sorti ma bite de mon short et commençais à me branler lentement en la regardant se soulager. Son jet commençait à se tarir et j'ai entendu de petits bruits incongrus qui indiquaient que la dame n'avait pas qu'envie de pisser et tout à coup j'ai vu sortir un petit étron brun de son cul qui descendait pour s'écraser lourdement dans l'herbe.
Quand elle a eu fini, elle se décale de 2 mètres sur le côté et me dit alors
- Je n'ai pas de papier, tu veux bien me nettoyer la chatte avec ta langue espèce de salaud ? Je suis sûre que tu en meurs d'envie
Dans ma tête mon sang ne fait qu'un tour, une belle chatte poilue, le souvenir de son abondante miction et son odeur de rousse qui m'obsède
Je me jette à terre entre ses cuisses et à peine ai-je posé le bout de ma langue sur son clito que la plantureuse rousse se met à geindre
- Oh ouiiiiiii, je savais que tu en mourais d'envie.
Lèches-moi bien la chatte, nettoies toute ma pisse, tu aimes ça hein mon salaud. Enfonces ta langue bien profond et fais-moi jouir
- Oh tu lèches bien mon salaud, oh oui, oui, oui encore, encore, oooooooooouuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiiii !!!
Elle remuait son cul et m'écrasais la tête contre sa chatte pour mieux sentir ma langue, j'avais le goût acre de la pisse au fond de ma gorge et je bandais encore davantage
J'avais passé une main sous son top à la rencontre de ses nichons que je trouvais durcis ou pointaient deux énormes tétons de 2 cm que je m'empressais de triturer ce qui fit encore plus couiner la belle
- Oui, pinces-moi-les fort, j'adore. Mon salaud, tu sais t'en occuper oh ooouuuiii. Tu vas me faire jouir encore plus fort beuglait-elle !!
Pas de doute, j'avais affaire à une sacrée chaudasse et j'étais surexcité par sa transpiration et son odeur, quel beau dimanche
Puis j'ai senti que la belle basculait son bassin vers le haut et elle me dit
- Lèches-moi partout, nettoies-moi aussi le trou du cul, j'ai trop envie de ta langue là, je suis sûre que tu vas aimer salaud
Je n'avais jamais fait cela et qui plus est, il venait de servir et ne me sentant pas l'âme d'un scato, j'hésitais. Mais pris par l'excitation ma langue est descendue doucement pour tester, d'abord le périnée, puis la commissure de son œillet parfaitement étoilé un peu bruni. Du bout de la langue, j'ai goûté sans que ce soit désagréable, goût acre et épicé. Alors je suis lancé et la symphonie a repris
- Oh oui, tu me bouffes le cul salaud, oui c'est bon. Je savais que tu allais aimer. Vas-y, vas-y nettoies le bien, c'est bon de sentir ta langue dans mon trou du cul
Son trou du cul était parsemé de poils follets, la dame était une adepte du corps à l'état naturel et j'adore.
Je lui bouffais maintenant le cul en profondeur car habitué au goût qui me plaisait tout en lui enfonçant deux doigts dans la chatte en carressant son son clito avec mon pouce
- Oh putain que c'est bon, tu es diabolique, tu me fais du bien, ta langue dans mon trou du cul et tes doigts dans ma chatte oh oooouuuiii tu vas me faire jouir salaud, salaud
- Ah ah ah, je joooooooooouuuuuuiiiiiiiiiiisss !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Après tu vas me nettoyer l'intérieur du trou du cul avec ta bite
Ma bite me faisait mal alors elle l'a attrapée, quelques mouvements d'avant en arrière pour tester la rigidité et de suite elle s'est jetée dessus pour m'accueillir dans une bouche bien chaude.
Puis ni une ni deux, elle s'est mise à quatre pattes et sans autre forme de procès m'a dit
- Viens m'enculer maintenant !!
J'ai frotté mon gland sur sa délicieuse chatte lubrifiée par un mélange de salive et de cyprine puis je l'ai dardé sur son oeillet et là
- Encules-moi à fond mon salaud, j'ai le trou du cul graissé, ça va rentrer tout seul
- Oh oui, vas-y. Claques-moi le cul, j'adore me faire défoncer le trou de balle, oooouuuuiiiii plus fort, plus fort heeeemmmmm
Moi je faisais des efforts pour penser à autre chose, je lui défonçais le cul mais je voulais que ça dure mais au bout de cinq minutes j'ai senti son sphincter m'enserrer la bite et ai du faire un effort surhumain pour ne pas tout lâcher au fond de son rectum
- Putain salaud, tu me fais jouir du cul, oh c'est trop bon, oh oui, oh ooooouuuuiiii!!! Vas-y défonces-moi encore plus fort
Alors je lui ai mis trois doigts dans la chatte et elle est partie dans une série de spasmes incontrôlables
- Oh ce que tu m'as mis, putain que c'était bon. J'ai encore envie de jouir mais toi tu n'as pas joui. Viens je vais te finir avec ma bouche
Alors je me suis couché sur l'herbe les jambes relevées et elle s'est à nouveau jetée sur ma bite qui n'était pas tout à fait propre mais cela n'a pas eu l'air de la gêner
De suite une sensation de chaude et douce a entourré ma bite qu'elle pompait comme une dingue. Alors je lui ai dit
- Bouffes-moi les couilles aussi
Elle a de suite recraché mon gland pour promener sa langue sur ma hampe tout en me griffant doucement les couiiles puis les a pris une par une dans sa bouche, puis sa langue est descendue encore plus bas sur mon périnée et puis tout à coup je l'ai sentie sur mon trou du cul. La garce me bouffait le cul et semblait apprécier
- Ah toi aussi tu aimes te faire bouffer le trou du cul, c'est bon hein ?
Je ne pouvais nier car mes jambes s'écartaient et mes gémissements me trahissaient.
Après cinq bonnes minutes de ce traitement, elle remonta vers mon gland qu'elle goba d'un coup de langue. Je n'allais pas pouvoir résister encore logtemps à une telle voracité. Elle le sentit et accéléra la cadence. J'étais sur le point d'exploser lorsque je sentis un doigt s'enfoncer sans autre forme de procès dans mon fondement, bientôt suivi par un deuxième et qui sont venus masser ma prostate. Alors j'ai senti une jouissance me monter du trou du cul jusqu'au cerveau alors qu'un filet de sperme coulait en continu de ma bite
- Ah oui je joooooouuuuiiiis, ah salope ce que tu m'as fait !!!!
Et à moitié dans les vapes je l'ai entendue
- C'est bon mon salaud, tu jouis. Toi aussi tu aimes te faire enculer par mes doigts. Tu as joui du cul hein ?
Elle s'est jetée sur ma bite pour lécher mon foutre qui continuait à couler puis a léché celui qui se trouvait sur mon ventre pour remonter encore et la bouche pleine de jus elle est venue me rouler une pelle pour partager avec moi. C'était notre premier baiser mais il était torride te nous n'étions plus à ça près. Un mélange de sécrétions où tous les parfums se mélangeaient. Après quelques minutes de repos, Emeline m'a dit
- Tout ça m'a encore donné envie de pisser
Elles'accroupit et je lui dit
-Attends
Et je me place entre ses cuisses la bouche grande ouverte
- Vas- y
J'avalais et recrachait sa miction en lui passant la langue sur les lèvres
- Arrêtes tu vas encore me donner envie de baiser et je n'ai plus de forces. Tu es encore plus obsédé que je le pensais, je suis comme ça aussi
Après cette pause qui aura duré 1/2 heure, nous n'avions plus la force de courir et sommes revenus aux voitures en marchant et papotant
En nous séparant Emeline m'a dit
- Il faut que l'on se revoie, nous avons d'autres choses à expérimenter vu que nous sommes sur la même longueur d'onde, hein mon petit salaud ?
- D'accord, nous avons échangé nos coordonnées, à bientôt belle chaudasse rousse


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