La Petite Sophie

Un mercredi matin, en sortant de mon hall, je m’aperçus qu’une famille s’installait. Un camion de déménagement était rangé devant la cage d’escalier. Sans réfléchir, car à cette époque le poids des convenances était très fort, j’agitai ma main en signe de bien venue, en direction de la jeune fille, qui à ma grande surprise répondit à mon salut.
Comme un fait exprès cette jeune personne, Sophie de son prénom, était dans le même collège que moi, et très vite nous avions sympathisé à devenir inséparable. Surtout qu‘elle n’avait pas froid aux yeux la coquine. Je pense que cela avait donné un plus à notre complicité.
Tout avait commencé un samedi après-midi dans ma garçonnière, alors qu’elle venait de faire son apparition, belle comme le jour, dans sa petite jupette en jean et dans son T-shirt jaune pipi sans manche.
- Putain elle est grosse ! Dis-donc, s’exclama-t-elle en posant son regard sur mon entrejambe.
-Eh alors, je n’ai pas la première fois ?
-Peut-être, mais pas si grosse. Fit-elle avec un mouvement expressif du menton. Et d’ailleurs comment pourrais-je le savoir puisque tu ne me la jamais montrer.
-A ce que je sache tu ne me la jamais demandais.
-Parce que je n’ai jamais osé passer le cap.
-Bon si tu veux le savoir, elle est grosse parce que avant que je t’entende arrivé j’étais en train de me caresser.
- Et comment tu fais ça ?
- Tu te fous de moi là, tu n’as jamais vue un garçon se branler.
- Oh non ! Lâcha-t-elle, désolée. Qu’est-ce que tu crois.
Après quelques secondes de silence, elle ajouta :
- J’imagine que c’est doux ?
- Tu parles de quoi là ?
- Eh bien de ta chose qui grandit quand tu la touches.
- Oui ! Enfin je pense…
- Il faudra que tu me fasses toucher un jour…
- Et pourquoi je te laisserais toucher ma queue. Je touche ton truc, moi ?
- Tu peux…
- Tu déconnes ?
- Regarde bien ! Me dit-elle.

Cadeau.
Elle souleva sa jupette en jean et fit deux tours sur elle-même devant moi. Éberlué par son geste je n’ai pas le temps de réagir. Alors je lui demandai de recommencer, et là je pus apprécier deux fesses et un beau triangle blanc.
-A toi maintenant ! Me fit-elle.
J’allais m’exécuter quand un bruit se fit entendre du côté de la cave. Assez pour nous décourager à poursuivre notre exhibition.
Le lendemain, fidèle au rendez-vous, elle me proposa d’aller faire un tour en vélo dans la campagne avoisinante. Sophie roulait sagement devant moi, dans la même tenue que la veille. Une fois arrivé dans les sentiers désert, la coquine se souleva de sa selle, et tira l’ourlet de sa jupette vers le haut pour exhiber sa culotte de coton blanche. Je pris soin de rester derrière elle, pour gaver mon cerveau de clichés affriolants..
Elle pédalait parfois en danseuse, sans autre raison vraiment évidente que de m’offrir un gentil spectacle. Je ne savais pas exactement où elle voulait en venir avec moi, à m’allumer de la sorte. Et déjà, je ressentais une certaine émotion au fond de mon slip, à me faire très mal. À devoir m’arrêter pour la placer de sorte que cela soit moins douloureux.
- Tu vois, cette grange ? Me fit-elle, alors que je revenais à sa hauteur. C’est là qu’on va. Viens, on va planquer les vélos là-bas derrière.
Puis après nous être assuré que nous étions seul, nous sommes entré. Hormis les bottes de foin, il y avait dans un coin une échelle qui permettait à monter dans un grenier.
- On monte ? Me proposa-t-elle.
Sans attendre ma réponse, elle grimpa déjà. Je profitais sans vergogne de la contre-plongée qui m’était ainsi offerte, pour ajouter quelques clichés supplémentaire à mes rétines, dont le ruban de la culotte qui cachait le sexe. Une fois allongé sur la paille, la coquine se proposa de se déshabiller.
- Pourquoi ça ? Lui répondais-je un peu étonner.
- Je ne te plais pas ?
- Ce n’est pas la question, pourquoi ici, n’importe qui pourrait arrivée.

-On s’en fou ! Qui veux-tu qui vienne dans cet endroit perdu ?
-On ne s’est jamais ! Nous pourrions faire dans la cave.
- Alors fais-moi plaisir, déshabille moi…
Comme elle était du genre lourde, j’attrapais son T-shirt et lui fis passer par-dessus la tête. Dessous elle portait un soutien-gorge blanc à fleurs.
-Il te plaît ? Me fit-elle.
-J’aurai préférer qu’il soit en dentelle. Lui répondais-je, en tâtonnant pour lui dégrafer.
Ceci fait, je fis glisser les bretelles sur ses épaules, dégageais les bonnets qui sentait la sueur, pour apercevoir ses seins, tout blancs, avec des aréoles gonflées, aux pointes brunes et dures. Je restais interdit de la veine qui m‘était offert, et je les fixais. Sophie était fière de l’effet produit.
Nous restâmes un long moment ainsi, puis je l’attirai à moi. Elle soupira, se laissa aller contre moi, passive. Elle attendait la suite, les joues rouges. Tout en fixant le sein le plus près, je posais ma main sur ses genoux. Elle tressaillit, se mordit les lèvres. Écartant mes doigts je les fis remonter vers le haut de ses cuisses pour après les faire descendre jusqu‘au genoux. Je surpris Sophie fermée ses yeux.
À chaque parcours, elle aspirait un peu d’air, enfonçant son visage dans mon cou. Mes doigts lui donnaient la chair de poule. Ma main était remontée très haut, cette fois, sous la jupette. Elle effleurait presque la culotte humide. Je ne respirais plus.
Quand je sentis mes doigts effleuraient sa toison, j’eus une décharge électrique qui me fit vibrer. Ils descendaient entre les fesses pour remontaient l’instant d’après jusqu’à la motte. Toujours avec la même douceur, la même assurance. Sophie s’offrait, la respiration saccadée, subissant mes attouchements. J’entendais ses gémissements assourdis contre moi.
Toujours par-dessus la culotte, j’allongeai mon doigt le long de sa fente, l’enfonçai, introduisant un peu le tissu entre les grandes lèvres, le bougeant lentement.

-Tu aimes ?
-Aaaaah… Oui…oui… répondait-elle en me tendant sa chatte ouverte et suintante.
Le sang me battait aux tempes. Ma tête me bourdonnait. Alors que Sophie devenait ma poupée, sans défense, à qui je pouvais faire tout ce que je voulais. À demi-consciente, perdue dans une sorte de brume cotonneuse. Je pris l’élastique de sa culotte pour le tirer vers le bas. Elle se laissa effeuiller. Elle se souleva même pour que la petite lingerie glisse sous ses fesses. Je fis passer la culotte sur ses cuisses, autour de ses genoux. Elle tomba à ses pieds, qu’elle agita nerveusement pour s’en débarrasser.
Avec un sanglot étouffé elle écarta ses cuisses. Je ne respirais plus, alors qu’elle attendait, avec des petits miaulements. J’écartai les poils trempés de chaque côté de la fente, glissais dessus, de bas en haut, repartit. Puis deux doigts. Puis trois doigts. Ils s’insinuèrent entre les lèvres, les grandes, les plus petites en haut, toutes mouillées. Sophie hoquetait chaque fois, sa bouche collée à mon cou.
Elle me tendit toute sa vulve. Mes doigts se mirent à aller plus vite, plus fort. Ils la triturèrent, se frottèrent contre sa chatte large et ouverte, multiplièrent les attouchements vicieux. Ses grandes lèvres gonflées s’ouvrirent sous la poussée de la chair interne. Elle avait un sexe brûlant alors que j’étais dévoré par la folie.
Je fouillais entre ses lèvres gluantes et ça faisait des bruits mous, des chuintements qui m’excitaient encore davantage, la rendant folle de plaisir. Une odeur forte et aigre montait à mes narines.
Mon doigt descendit le long de la fente, s’arrêta tout en bas, le logeais à l’entrée de son alvéole brûlant et détrempée. Je l’enfonçais prudemment à l’intérieur, mais elle se raidit avec un cri aigu car je venais de buter contre la barrière de l’hymen. Je la rassurai tout de suite.
Ma main recommençait à balayer toute sa vulve. Elle se laissait bercer par cette caresse mécanique, sa respiration se faisait plus profonde.
Elle était toute chaude, toute molle, toute béante.
Je dégageai le petit bouton durci. Y posais un doigt dessus et une onde fulgurante lui traversa tout le corps. Elle arqua le dos, souleva son ventre, se tendit, avec un râle prolongé. Je dus faire un effort pour lui maintenir le visage contre mon cou.
Mes doigts s’affairaient tous ensemble maintenant. Ils tournaient autour de son bourgeon, le faisant rouler, le titillaient, le faisaient bouger, Sophie haletait. Elle se tordait. Le plaisir gonflait, et brusquement, par longs spasmes, elle gicla en saccades brèves qui inonda ma main.
Longtemps elle resta affalée, anéantie contre moi, le visage toujours caché dans mon cou. Il fallait rentrer, il se faisait tard. Je le redressai, la repoussais loin de moi.
Le lendemain, nous attendions la fin des courts pour nous réunir de nouveau dans ma garçonnière.
Là, je m’agenouillais devant elle et fis descendre sa culotte autour de ses cuisses. Très vite je me trouvais nez à nez avec le triangle de ses poils odorant. Mélange de sueur et de pisse. Je bandais. Mon érection était à la mesure du cadeau qu‘elle m‘offrait.
- Tu permets que j’en fasse autant avec toi ? Me lança-t-elle
- Je t’en pris…
Sans aucune hésitation, elle me retira le tee-shirt, mon jean. J‘avais le cœur qui battait à tout rompre. Elle marquait à peine un temps devant mon slip bien déformé par une monstrueuse érection. Elle commençait à le descendre, en faisant bien attention de ne rien accrocher. Elle marqua un nouveau et bref temps d’arrêt devant l’objet qui se libérait du sous-vêtement.
- Cela te dit de me branler ? Lui fis-je
- Pourquoi pas. Mais comment en fait ? S’exclamait-elle.
- Tu vas pour commencer prendre ma queue dans ta main.
Elle esquissa le geste, mais à peine l’avait-elle touché, qu’elle retira sa main.
- Non, je n’ose pas.
- Arrête de déconner et prends la.
- Je ne sais pas si je pourrais.
- Prends-le, je te dis, je vais te montrer comment faire.
Rassurer elle me prit. La fraîcheur et la gracilité de sa main me surprenaient et me fouettaient. J’entourais sa main avec la mienne pour la guider, restait un long moment sans bouger, et j’entamais le va-et-vient salvateur. Brusquement, elle retira sa main à nouveau.
- Non ! je ne veux pas !
- Si, prends-là. J‘en ai besoin ! Je ne peux pas rester dans cet état.
Je repris sa main, parvenais doucement à vaincre sa résistance, et disposais à nouveau ses doigts autour de ma verge, enserrés par ma propre main. Je repris le va-et-vient. Cette fois, elle se laissa faire et, bientôt, elle n’avait plus besoin d’être guidée. Son mouvement était moins hésitant, prit de la fermeté et de l’ampleur, jusqu’à ce que de longs jets de sperme giclaient et se perdaient dans le foin.
- C’est donc ça, me dit-elle simplement.
Il avait fallu attendre le mercredi après midi pour de nouveau pouvoir nous réunir dans la garçonnière. Elle portait une petite robe d’été très craquante. Elle vint prendre place à mes côtés sur le sommier de mailles. On s’assied tous les deux sur un rocher.
- Dis donc, demanda-t-elle dans un souffle.
- Oui ?
- Heu… Tu te machines, de temps en temps ?
- Bien sûr, tu crois quoi…
- Et comment tu fais ?
- Comme je t’ai montré la dernière fois, pardi…
- Oui, mais là, j’étais avec toi. Quand tu es tout seul, tu fais comment ? Explique-moi. Ou alors, montre-moi !
- Tu ai vraiment plus cochonne que moi… D’abord je me caresse en pensant à quelque chose d’excitant. Ou en humant un sous-vêtement portée.
- Tu veux dire une culotte.
- Par exemple.
Elle se retira la sienne et me la tendis.
- Merci mademoiselle.
- Avec plaisir, monsieur.
Je la portais à mes narines et comme par magie ma queue grossit. J’enroulais alors mes doigts autour de ma hampe et fis un mouvement de va-et-vient.
- C’est agréable ?
- Putain tu ne peux pas savoir comment c’est bon…caresse toi aussi…
- Comment on fait cela ?
- Approche je vais te montrer.
Doucement je posais la main sur sa jambe. Elle ne bougeait pas. Ma main remonta alors jusqu’au genou, puis sous la robe et je caressais cette cuisse, jusqu’à rencontrer la hanche et l’élastique de sa culotte. Je redescendais un peu, passais devant, puis vers l’intérieur, butais sur ses cuisses serrées. Elle écartait un tout petit peu, juste pour laisser passer le tranchant de ma main, qui remontait. J’étais surpris par la douceur de la peau à cet endroit, et m’en imprégnais un moment. Puis, je remontais encore jusqu’à l’entrejambe. J’imprimais une légère pression sur son pubis. Sophie ne bougeait pas. Je caressais. Sophie me stoppa en resserrant les jambes. Je dégageai ma main et remontais jusqu’au ventre, que je caressai, pour redescendre ensuite, m’insinuant mes doigts rencontrent sa toison. Mon doigt découvrait le petit capuchon et, bien caché au-dessous, un petit bouton. Je le caressais du bout du doigt, le quittais, esquissais une caresse à l’entrée du vagin. Mon doigt glissa maintenant avec facilité, et je remontais vers le petit bouton que je me mis à caresser, tout doucement d’abord et bientôt nerveusement et, soudain, brutalement, Sophie me repoussa en serrant les cuisses.
-Viens sur moi, demande-t-elle dans un souffle en s‘allongeant sur le sommier.
J’essayais à nouveau d’entrouvrir ses cuisses avec mon genou.
- Arrête, tu me fais mal ! Viens sur moi.
Je m’allongeais sur elle, soulageant le poids de mon corps avec mes genoux et mes coudes pour ne pas l’. Je sentais le contact de ses seins écrasés contre mon torse, mon sexe serré entre nos deux ventres. Elle accentuait le contact en me prenant les fesses. Elle insinua sa main entre nous, prenait ma verge, elle avait mon gland dans sa paume, elle me faisait mal, alors qu’elle faisait quelques mouvements de son bassin et de sa main, et me fit exploser.
J’avais trouvé en Sophie une parfaite partenaire, et cela avait duré longtemps. Jusqu’à ce qu’elle trouve l’élu de son cœur.

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