La Petite Brune

Nous étions une bande de potes, tous du même âge, autour de 18 ans. Dans cette bande nous étions autant de filles que de garçons. J'avais lancé mon dévolu sur Laurence, une belle petite brune aux yeux bleus et au sourire magnifique. Ses Lèvres fines étaient cernées par deux fossettes, ce qui lui donnait un charme fou... Mais elle était sauvage et ne se laissait pas approcher comme ça. Il y avait longtemps que je me masturbais en pensant à elle, nos regards étaient complices mais, elle s'enfuyait dès que la situation semblait équivoque. Je ne me précipitais pas et attendais le moment venu. Personne ne pouvait imaginer le sentiment et l'envie que j'avais pour elle. Elle si, et elle en jouait.
Un jour,je la trouvais, seule assise sur un lit de mousse à même sa jupe à carreaux bleus et blancs, au bord de l'eau, la mine triste, le regard vague qui fixait les petites vaguelettes que pouvait faire la rivière. Je m'assis à côté d'elle, puis discrètement approchais ma main de la sienne. J'ai senti qu'elle venait d'avoir un petit frisson et de son côté rapprocha sa mimine de la mienne. Nos deux mains finirent par se retrouver, et j'osais caresser ses phalanges fines et longues.
Mes doigts remontèrent le long de son bras et je sentis comme une chair de poule. Je finis par me pencher et embrassais son épaule nue. Elle tourna son visage magnifique vers moi, les yeux bleus me perçant le visage, ce qui me fit tourner la tête. Je tendis mes lèvres et elle vint à ma rencontre lentement. Elle entrouvrit ses lèvres et je lui roulais une pelle délicieuse. Sa langue tournait autour de la mienne et elle gémissait tendrement. Une de mes mains passa entre deux boutons de son chemisier pour se poser sur un de ses seins, et au contact de son mamelon celui ci durcit sous la caresse. Quel magnifiques seins elle avait ; ronds et fermes. Nous nous allongeâmes sur la mousse humide, nos lèvres soudées pleines de fièvre d'excitation.
Lentement, je déboutonnais son chemiser après l'avoir tiré pour le décoincer de la taille de sa jupe.

Avec deux doigts, je passais dans son dos et pinçant la fermeture de son soutien-gorge pour le dégrafer. Les crochets sortir de leurs anneaux et l'armature se relâcha. Ses seins étaient maintenant totalement nus. Mes mains pouvaient les caresser à loisir, ce qui excita Laurence au plus haut point. A chaque fois que mes mains passaient à plat sur ses petits bouts elle haletait. On aurait dit que des ondes électriques parcouraient son corps. Je glissais légèrement et ma bouche remplaça mes mains. Je la tétais, la léchais avec délice et gourmandise, elle se laissait faire...Ses yeux étaient fermés à présent et je sentais qu'elle profitait de tous ces instants de plaisir. Mes mains libres se dirigèrent lentement entre ses genoux qui s'écartèrent sous ma caresse. La paume de ma main glissa sur le gras de la cuisse, cet endroit extraordinairement lisse et chaud. Ses cuisses s'écartèrent tendrement pour me faciliter le geste. Je remontais vers le haut de la cuisse et je constatais que sa peau se faisait plus chaude encore. Puis, le bout de mes doigts rencontra la dentelle de sa culotte. L'extrémité de mes doigts caressa sa chatte par dessus le tissu, et déjà je rencontrais une tâche humide. J'insistais un bon moment, puis remarquant les cuisses grandement écartées, je contournais l'élastique de sa culotte pour m'approcher de sa fente. Je rencontrais un pubis bien poilu, et dans ma progression j'arrivais à ses lèvres trempées débordantes de cyprine. Les doigts serrés, je caressais l'entrée de son vagin, remontant jusqu'à son petit bouton dressé. A son contact, elle tressaillit et commença à onduler des hanches en lâchant des petits gémissements. Sa mouille coulait de plus en plus et j'en étais tout excité...
L'ayant pénétré avec mes doigts, j'entrepris un petit va-et-vient, ses petits gémissements furent remplacés par des petits cris, et alors qu'elle commençais à jouir, elle lança sa main vers mon entrejambe me caressant ma tige raide prisonnière. D'un geste brusque, elle baissa le zip de mon pantalon et rapidement contourna l'élastique de mon slip et attrapa mon sexe tendu.
J'ai cru à ce moment là que j'allais éjaculer, mais je pus me contenir. Sa main, serrée sur ma queue, s'activait et me branlait.
Je quittais ma position et me mis en position tête-bêche. Ma tête enfouie entre ses cuisses, je léchais sa vulve débordante et poisseuse et ne perdais aucune goutte de sa divine chatte. Elle tarda un peu, puis dans l'excitation générale elle aspira mon gland et le suça avec délicatesse et gourmandise. Puis, elle s'arrêta de pomper et dans un cri de jouissance, son bassin s'arque bouta et par à coups violents elle lâcha plusieurs jets de mouille sur mon visage...elle arrivait à l'orgasme à son plus haut degré... Ma langue toujours dans son vagin ralentissait sa succion alors qu'elle laissait échapper encore quelques gouttes de cyprine.
Lentement, après avoir repris ses esprits, elle recommença son aspiration, avalant tout mon sexe dans sa bouche tout en le branlant, puis elle reçu soudain, à son tour tout le sperme que j'avais. Dans la bouche et avec des "humm, hummm" avalait chaque saccades de jus.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!