Alphabétisation

Azten.

Depuis quelques temps je vois une jeune femme d’origine chinoise à laquelle j’essaie d’apprendre notre langue.
Du moins, à l’origine, c’était le deal avec l’association qui me l’avait fait rencontrer.
Âgée de trente ans elle était arrivée à Paris sans ressources et travaillait à présent comme vendeuse à mi temps à Belleville.
C’est une jolie jeune femme au visage un peu rond, aux cheveux longs qui encadrent deux yeux rieurs cachés derrière des lunettes de premier prix. Elle est très mince et a, malgré son âge, des airs d’adolescente qui la rendent adorable. Elle a une petite poitrine mais son joli cul compense largement ce léger manque.
Mais je vais un peu vite...
Donc l’association m’avait donné son adresse: elle habitait dans une petite rue du côté de Ménilmontant... tout ce que j’avais, c’était un numéro d’appartement. J’entrais dans le bâtiment, évitant les déchets qui s’amoncelaient par terre et frappai donc à la porte du N°104.
La jeune femme méfiante avait laissée la porte entrouverte le temps que je lui fasse comprendre qui j’étais à l’aide d’un sabir franco-arabo-chinois.
Enfin, au bout de quelques minutes de négociations, elle me laissait entrer dans la pièce. Il y avait juste la place pour un lit, un petit coin cuisine et une porte entrouverte laissait entrevoir un lavabo et un toilette.
Étonnamment, tout était très propre: elle me fit asseoir sur son lit par signe et se mit face à moi, assise sur la seule chaise présente. Nous commençâmes avec un livre d’ et au bout d’une vingtaine de minutes, la confiance était née entre nous.
Elle était vêtue d’un petit short et d’un t-shirt qui ne la mettaient pas en valeur mais lorsqu’elle se leva et vint s’asseoir à mes côtés, j’eus un début d’érection en remarquant son joli cul pointu. Elle ânonnait sur les lettres de l’alphabet, les suivants du doigt sur le livre posé sur mes genoux.
Elle était si bien penchée que je voyais très bien ses deux petits seins, libres sous son vêtement.

Mon érection augmentais et je me pris à poser la main sur son cou de cygne. Elle me laissa faire, sans autre réaction que de sourire. Elle mit la main sous le livre et commença à caresser la bosse qui enflait mon pantalon.
On se regarda tous les deux et elle approcha ses lèvres des miennes. Elle me donnait des petits baisers alors que je commençais à jouer avec sa charmante poitrine. Je défis ma braguette et elle plongea sa main dans mon caleçon.
Elle en sorti ma queue et se mit à la branler. Nous nous embrassions toujours et je sentais mon membre se durcir au rythme des allers retour qu’elle imprimait doucement.
Ses lèvres étaient douces sur les miennes et enfin je réussis à les forcer et à mélanger ma langue à la sienne.
Elle sentait si bon le désir que c’en était enivrant.
Je lui retirai son t-shirt et me mit alors à sucer ses petits seins accueillants tandis qu’elle embrassait mon crâne dégarni avec tendresse. Elle gémissait doucement et enfin je me levai pour retirer mon pantalon et mon caleçon tandis qu’elle ôtait son short.
Alors que j’allais pour la prendre dans mes bras, elle me fit signe que non et assise au bord du lit, attrapa ma queue et se mit à me sucer avec entrain. Je sentais sa bouche et surtout sa langue qui faisait savamment le tour de ma queue tout en la malaxant avec une expertise inédite. Sa langue, par petites touches réussissait ainsi à me faire bander et je sentais ma queue devenir en béton.
Enfin, je retirai ma queue de sa bouche et elle s’allongea sur le dos, prête à m’accueillir. Sa chatte était juste entourée de quelques poils bien raides qui ne suffisaient pas à cacher le jus qui la faisait luire.
Je m’agenouillai et lui donnait à mon tour du plaisir, introduisant ma langue et mes doigts au plus profond d’elle. Je réussis à lui faire pousser de petits cris lorsque ma langue toucha et frôla son clitoris: ce massage lingual la fit se tordre sur son lit.
A son grand désespoir, je retirai ma langue et passai à un autre orifice qui m’attirait tout autant.

Tandis que mes doigts continuaient à travailler sa petite chatte, ma langue trouva le chemin de son petit trou et je me mis à lui lécher son anus, la faisant frémir de plaisir. Après y avoir entré ma langue, j’y fis pénétrer le majeur de ma main inoccupée bientôt rejoins par deux de mes autres doigts.
Je la regardais jouir allongée devant moi alors que je la tenais par ses deux orifices et je continua jusqu’à l’entendre crier de plaisir.
Alors je retirai les mains et la retournai.
Directement j’entrai ma queue dans son joli cul qui l’accepta avec un plaisir évident. Bien serrée, elle acceptait mes coups de boutoir avec des cris de jouissance. Je changeais d’orifice et ce fut alors l’apothéose: cette femme bougeait comme aucune autre et donnait autant de plaisir qu’elle en recevait.
À la frontière de ma jouissance, elle me repoussa et me montra sa bouche. Je compris immédiatement et lui mis ma queue dans ce nouvel orifice...
Je jouis presque immédiatement et une partie de mon jus alla sur .son joli visage...
Elle était ravissante, assise sur le lit, sa chatte pleine de sa jouissance tandis que mon jus coulait sur ses lunettes et sur sa bouche...
Ce fut une après midi d’enfer, suivie de nombreuses autres.
Malheureusement, Azten, c’est son nom, sait à présent parler aussi bien le français que moi... donc, j’ai décidé de passer à l’anglais!!!

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