La Maison Abandonnée

J’ai toujours été, au plus profond de moi, un garçon aimant être soumis. Aussi loin que je me souvienne, depuis mon enfance, certains flash me reviennent et me font tirer cette conclusion, moi aujourd’hui jeune homme de trente-six ans. J’ai aimé être attaché à un arbre, à peut-être cinq ou six ans…j’ai aimé faire semblant d’être fouetté, attaché à un mur par mon amie d’enfance…j’avais alors 10 ou 12 ans…ça ne se commande pas, c’est comme ça.
Encore aujourd’hui, ma carrière prometteuse, ma famille, mes amis, mon quotidien, ne m’empêchent pas d’être vicieux (?), pervers (?), en tout cas obsédé. Obsédé, dévoré par un désir de soumission, que ma vie « vanille », comme on dit, m’empêche de réaliser.
Alors je vais, je viens, sur des sites pornos, sur Histoires de sexe, je regarde, je me soumets aux ordres et instructions de jeunes femmes en vidéos préenregistrées. Je ne peux pas me permettre de perdre ma réputation en envoyant des photos ou des vidéos. Mon seul exécutoire est l’écrit.
J’aime écrire. J’espère que mes histoires plaisent et je vous remercie pour vos commentaires, que j’apprécie beaucoup. Ecrire sur le sexe et sur mon obsession est mon exutoire quand je ne peux me soulager, par manque de temps ou de moments de solitude.
Je ne me suis pas touché depuis quatre jours. C’est très long pour moi. Je souffre. Ce moment de chasteté met curieusement en branle ma créativité et titille ma plume. J’ai en tête depuis longtemps de vous raconter une histoire qui m’est arrivée à mon adolescence. C’est vrai, sans enjolivements, donc pas ment très hard. Mais j’espère que j’arriverai à faire passer mes émotions.
Tous les ans, au mois d’août, nous partions en famille passer trois semaines dans un petit village de Provence. J’y ai d’excellents souvenirs, et de nombreux amis d’enfance. Des filles, des garçons. Nous nous sommes vus grandir, nous sommes amusés, disputés, étant petits. Plus grands, nous avons vécu nos premières amours, belles et éphémères, le temps d’un été.

Mais surtout, Vanessa et Céline m’ont fait vivre une expérience, le temps d’un après-midi, qui m’a marqué à jamais, et qui encore aujourd’hui à une influence sur ma sexualité.

Tous les jours, vers 14 heures, nous nous retrouvions entre amis au café du village. Des filles, des garçons, bourrés d’hormones et d’excitation sexuelle. Parties de cartes, discussions, et plus si affinités étaient au programme…
J’entretenais depuis quelques temps un flirt avec Céline, belle jeune blonde de 16 ans, yeux bleus, et une paire de seins et un cul magnifiques. Il ne s’était encore rien passé entre nous, mais je m’apprêtais à tenter ma chance.
Alors que j’étais tranquillement assis à une table, elle se tourna vers moi et me dit :
« On va faire un tour? »
« Si tu veux… » répondis-je avec une petite hésitation due à ma surprise.
Et nous voici sur un petit chemin de terre, au milieu de la campagne. Nous marchions tranquillement, côte à côte, quand nous entendîmes :
« Attendez-moi ! ». C’était Vanessa, une petite brune aux yeux verts, qui nous rejoignait. « J’en ai marre de ne rien faire. Je peux me joindre à vous » nous dit-elle.
« Ok pour le plan à trois » répondit Céline, avec une moue malicieuse.
J’étais aux anges. A seize ans, se retrouver en tête à tête avec deux filles était une occasion rare pour moi. Je les regardais discrètement et les déshabillait dans ma tête. J’imaginais leurs peaux laiteuses, la rondeur et la fermeté de leurs seins, la tendresse de leurs chattes dans lesquelles je n’aurais pas hésité une seconde à plonger ma langue. Se doutaient-elles de mes pensées?
Nous nous retrouvâmes devant une maison, aux fenêtres fermées et semblant close depuis très longtemps. C’était une maison délabrée, dont la porte ne tenait plus que par un fil et laissait entrevoir l’intérieur. Vanessa y jeta un oeil et dit : « On rentre à l’intérieur? »
Nous échangeâmes un regard et après quelques secondes de réflexion, Vanessa poussa la porte qui céda immédiatement.

« Allez, on y va. »
L’intérieur était étonnamment propre, plus de meubles, plus de décorations, mais aucune dégradation. Nous nous installâmes dans ce qui devait être le salon lorsque la maison était habitée.
Pendant un quart d’heure, les filles discutèrent de tout et de rien, en fumant quelques cigarettes. Je ne disais pas grand chose, j’étais assis et écoutais.
Soudain, Vanessa se tourna vers moi.
« Yann, ça te fait quoi d’être seul avec deux filles? » me demande-t-elle.
« Ahah, la vérité…je pourrais imaginer plein de choses pas très catholiques » dis-je en me passant la main dans les cheveux.
« Nous aussi tu sais… » me répondit Céline, en se levant et en s’approchant de moi.
Elle debout et moi assis, elle me surplombait et vint se planter juste devant moi. Ses longues jambes étaient juste en face de mon visage, sa chatte juste au-dessus.
« Ça vous dirait qu’on s’amuse? » nous dit-elle.
Vanessa sourit et dit : « d’accord…qu’est-ce qu’on fait ? »
Céline se tourna vers moi et me demanda : « Yann, tu veux être notre jouet? Tu fais tout ce qu’on te demande moi et Vanessa…d’accord? »
Mon sexe fit un bond. Un désir profond s’éveilla en moi, bien que du haut de mes seize ans, je ne savais pas du tout ce qui m’attendait.
« Hmmm…d’accord, vous pouvez r de moi » dis-je avec un sourire qui en disait long.
Elles se regardèrent et rirent, un peu gênées, prises à leur propre piège. Mais nous ne pouvions plus faire marche arrière.
Vanessa, la plus entreprenante, me dit :
« Mets-toi tout nu, tout de suite ! »
Céline était un petit peu en retrait, ne disait rien, mais ne perdait pas un instant de ce qui était en train de se passer.
J’hésitais, me levais, puis je commençais à enlever mon t-shirt..
« Allez, plus vite… » me dit Vanessa en me donnant une tape, pas forte mais ferme sur la tête.
Je laissais tomber mon short et mon slip. Je me trouvai nu comme un vers, ma queue et mes couilles exposées à la vue de mes deux copines.
Ma queue, fine, d’environ 14 cm, entourée de quelques poils et surplombant ma paire de noisettes.
Je bandais.
Les filles se délectaient.
« Tu es beau…ça te plaît en plus ! Mets-toi à genoux et dis-merci à tes princesses. » me dit Vanessa.
Je ployais les genoux et m’exécutai. Céline, qui n’avait rien dit jusque là, s’approcha enleva ses baskets et déclara en souriant :
« Embrasse mes pieds. Du mieux que tu peux, avec toute l’application possible. »
Elle me présenta alors son pieds droit, nu devant mon nez. Me voyant hésiter, Vanessa me prit la tête et me poussa vers le pieds de Céline.
« Vas-y, embrasse, lèche, fais tout ce que te dis Céline. Tu es son esclave! »
Ma tête allait exploser. Comment en étais-je arriver là? Je posais d’abord un baiser hésitant puis peu à peu, me laissait aller à mes envies profondes. J’aimais être dans cette situation, à la merci de mes copines. J’embrassais ce pied fin et délicat avec tendresse, délectation et passion. J’étais nu, à genoux, à la disposition d’une fille. J’étais moi. Je bandais comme jamais.
« Je pense que ça lui plaît…et à moi aussi » commenta Céline.
« C’est notre petit chien maintenant. On lui fait faire quoi après? » répondit Vanessa.
Je relevais la tête, interrogatif. Céline me mit violemment son pied sur le crâne, me forçant à poser la tête par terre.
« On t’a pas dit d’arrêter. » continua-t-elle.
« Moi, j’ai envie de jouer avec ses couilles. » dit Vanessa.
« Fais-toi plaisir ma chérie, pendant qu’il continue de me lécher les pieds » répondit Céline.
« Mets ta langue. Lèche et bien entre les orteils. » « continua-t-elle à mon intention.
Vanessa, pendant ce temps, enleva une de ses baskets et commença à dénouer le lacet. «
« Voici ta laisse mon petit Yann. Ecarte les jambes. Montre-moi tes couilles bien pendantes pour que je les attache. » me dit-elle
Tout en léchant, je m’exécutais, mettant mes couilles à disposition.
Je sentis alors avec délice la main de Vanessa s’en emparer. Mon corps entier trembla sous le toucher. Je ne pus réprimer un soupir de plaisir, qui les fit sourire toutes les deux. Vanessa fit un tour autour avec le lacet, un deuxième ensuite. Mes couilles étaient compressées et attachées. Vanessa garda assez de jeu pour pouvoir faire une courte laisse, qu’elle tenait avec sa main.
« Ses petites couilles sont attachées maintenant. » rigola-t-elle en tirant sur le lacet pour les faire venir en arrière.
« Ce sont les miennes, hein Yann? » ajouta-t-elle.
Cinq bonnes minutes passèrent comme ça. Moi en train de lécher, Vanessa en train de jouer, en prenant son temps.
« J’en ai marre, on peut changer? » dit Céline.
« Ok…Yann, allonge-toi sur le dos. » m’ordonna Vanessa.
Je m’exécutais. Céline s’écarta de nous. Vanessa lâcha le lacet, qui restait attaché, et vint se placer au dessus de moi. Là, elle enleva son haut d’un mouvement rapide et nous laissa contempler son soutien-gorge retenant sa poitrine abondante. Je bandais encore plus que jamais.
« J’ai chaud.. »nous dit-elle. Elle s’assit à califourchon sur moi, sur mon torse, présentant son cul juste au dessous de mon visage. Elle faisait face à ma queue et mes couilles.
« Céline, on le punit? » lui demanda-t-elle.
« Oui, vas-y » répondit Céline, qui fixait mon entrejambe. Je pense que c’est la première fois qu’elle voyait un sexe d’homme et elle n’en perdait pas une miette.
Caché par le dos de Vanessa, je ne voyais pas ce qui se passait.
« Yann, mets les bras au dessus de ta tête. Céline tient les lui fort. » ordonna Vanessa.
J’étais bloqué, prisonnier de mes deux copines.
Soudain une douleur aux testicules. Vanessa m’avait frappé. Mon corps tenta de se plier, mais j’étais retenu par le poids de Vanessa et par l’étreinte de Céline.
« Mince, je t’ai fait mal… » me dit Vanessa en me regardant. J’avais les larmes aux yeux.
« Pardon » ajouta-t-elle. « Je vais trop loin. »
Elle se leva et Céline libéra mes bras.
« Désolé… » me dit-elle.
« Lève-toi et mets les mains derrière ton dos. » me dit Céline.
Une fois debout, les filles s’approchèrent de moi.
« Tu as déjà touché une bite? » demanda Vanessa à Céline.
« Non jamais. » répondit Céline.
« Tu veux le branler? » dit Vanessa.
« Oui, j’ai envie.» Dit Céline.
Ma queue perlait de liquide séminal, je frissonnais. Aucune fille ne m’avait jamais touché.
Céline prit mon sexe dans sa main droite, à pleine main et commença des va-et-vient, doucement et lentement.
J’en tremblais. Mains derrière le dos, obligé de subir, c’était à la fois une et une jouissance délicieuse.
Elle alla plus vite, puis ralentit. Elle jouait. Vanessa regardait mes réactions.
« Vas très vite » lui dit-elle. Et Céline me branlait à fond.
« Ralentis. » Le rythme diminuait.
« Branle-le fort » J’étais leur jouet entre leurs mains.
Et à seize ans, on ne résiste pas longtemps.
J’était resté silencieux jusque là, spectateur de ma soumission.
« Les filles, je vais jouir. » déclarai-je au bout de trois ou quatre minutes…
« Laisse-moi faire… » dit Vanessa à Céline.
Celle-ci lâcha ma queue et Vanessa prit le relais. Elle mit une main sur mes couilles, les pressa et de l’autre me branla d’une main ferme et sûre, vigoureusement.
Je lâchai un râle: « Je jouis ! » Et au moment où ma semence sortait, juste lors de mon éjaculation, Vanessa lâcha mes couilles, ma bite et me laissa me répandre par terre. Mon foutre blanc s’étala sur le plancher sous le regard amusé des deux filles.
« Alors, mon final t’a plu? Dis-moi merci…» me dit Vanessa.
« Merci Vanessa, merci les filles. C’était torride. »
Le reste, ce sont des détails, oubliés. Je me rhabillai. Les choses redevenaient normales. Nous sortîmes de la maison et sans trop parler, retournâmes chacun chez soi. Ce qui est curieux, c’est que nous n’en avons jamais plus parler. Il ne s’est plus jamais rien passé non plus.
Cela reste un souvenir d’adolescence qui m’a marqué et qui dirige encore ma vie aujourd’hui. J’aime être dominé et recevoir des ordres de la part des femmes. C’est comme ça.

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