A La Maison

Aout, Thomas était rentré chez ses parents pour les vacances. Le village d’Ainay-le-Château était calme et paisible, prévisible même, malgré les patients du Centre Hospitalier Spécialisé, ou pensionnaires, qui déambulaient dans les rues du village, tels les zombis de The Walking Dead. Thomas n’aimait pas y vivre, il n’y avait pas beaucoup d’actions, et en plus, si on n’avait pas de permis et un véhicule, on ne pouvait rien faire. C’était l’idéal pour les retraités, comme ses parents.
Tous les deux âgés de 65 ans, ils profitaient de leur retraite en s’occupant des quelques bêtes qu’ils possédaient (2 vaches, quelques chèvres, des poules et des lapins), ainsi qu’un champ où ils faisaient pousser le fourrage pour les animaux. Sa mère avait aussi son potager, et un verger fruitier. Thomas avait un frère de 35 ans, Frank, qui vivait à Paris et était avocat. Thomas était donc le plus jeune, et le bébé inattendu, le petit accident de parcours comme aimait à plaisanter son père, mais il faisait la fierté de ses parents. En fait, ils étaient fiers de leurs deux s, et les aimaient de la même façon. Ils avaient reçu la même éducation stricte, sans violence, sauf quelques fessées.
Thomas avait passé son été à aider ses parents en faisant des réparations et en s’occupant des bêtes, tout en travaillant à mi-temps au supermarché pour se faire de l’argent. Il avait droit à une bourse pour ses études, mais elle ne cou-vrait pas tous ses frais. Alors, pendant les vacances, il travaillait le plus pos-sible, tous les petits boulots qu’il trouvait, et économisait chaque centime. Ses parents l’aidaient également en lui versant un petit salaire pour son aide à la ferme. N’étant pas trop dépensier, Thomas possédait un petit pécule qui devait lui servir à se payer le permis et une voiture.
Alors qu’il nettoyait les stalles des vaches, et remettait de la paille fraiche et de l’eau, son téléphone sonna dans sa poche. Il faisait une chaleur infernale dans le bâtiment, et il suait à grosses gouttes.

Il s’essuya le front avec un mou-choir, retira ses gants et les jeta sur une table. Il ne portait qu’un débardeur et un vieux jean. C’était Yoann, il activa la vidéo et lui sourit tendrement, malgré son étonnement. Normalement, ils s’appelaient le soir ou tôt le matin :
-Hmm, tu es beau en sueur, dit Yoann. Ça m’excite.
-Salut, chéri. Qu’est-ce qui se passe ?
-Ah oui, te voir comme ça m’a fait oublier. D’abord, tu me manques, en-suite, je serai chez toi demain, je suis en vacances, mon patron a dit que je les méritais bien.
-Trop cool, tu me manques aussi. Tu arrives à quelle heure ?
-Vers 10h, faudra que tu m’envoies l’itinéraire.
-Je le fais tout de suite. C’est pas difficile à trouver. Ça t’excite vraiment de me voir comme ça ?
-Tu rigoles ? A chaque fois que je te vois en sueur, je bande. Regarde.
Yoann tourna la caméra vers son entrejambe gonflé par son désir et sortit son sexe raide qu’il astiqua quelques secondes. Il remonta la caméra vers son visage, il souriait une lueur coquine dans les yeux. Thomas posa son téléphone sur un muret et recula d’un pas. Il souleva son débardeur, exhibant ses abdominaux et passa le vêtement par-dessus ses épaules. L’image de Yoann tremblait légère-ment tandis qu’il se branlait. Il posa aussi son téléphone et se recula pour le plus grand plaisir de Thomas, qui put ainsi admirer son homme. Il ôta son tee-shirt et s’allongea sur son lit.
Thomas baissa sa braguette et sortit son sexe tendu. Il se branla avec son homme, imaginant être avec lui en train de lécher son corps, de le sucer, de le branler, de l’embrasser. Ils éjaculèrent ensemble, et burent leur sperme qui avait giclé dans leur main. Ce n’était pas la première fois qu’ils le faisaient de-puis le début de l’été, au moins deux fois par jour. A chaque fois, c’était tou-jours aussi puissant, et il espérait que cela ne cesserait jamais. Ils parlèrent encore quelques minutes, et ils raccrochèrent, Thomas exultait, son petit copain venait passer quelques jours avec lui.

Ragaillardi par cette nouvelle, Thomas termina son travail, répara une clôture, retourna la terre du potager pour de nouvelles plantations, et arracha les mau-vaises herbes. Sa mère dut le forcer à s’arrêter pour se rafraichir Il commen-çait à avoir des coups de soleils, et la tête lui tournait un peu. Il se réfugia dans la fraicheur de la cuisine, devant un verre de soda frais et des biscuits faits maison.
-Raconte-moi ce qui te tracasse, dit sa mère.
-J’ai un copain, annonça Thomas. On sort ensemble depuis quelques mois. Il arrive demain, il sait pas que je ne vous ai jamais parlés de lui. Il s’en doute, et j’ai peur qu’il pense que j’ai honte de lui.
-C’est fait, maintenant. Parle-moi de lui.
Thomas se lança alors dans le récit de leurs rencontres, le sexe en moins, tous les bons moments passés avec lui, les mauvais aussi, qui était Yoann, sa mère, leurs amis. Elle l’écoutait attentivement, souriant au moment propice, elle était heureuse que son fils soit enfin sorti de son cocon. Ses parents avaient été cho-qués d’apprendre son homosexualité, surtout son père qui était très vieux jeu. Mais ils avaient fini par l’accepter, il était toujours leur fils, une source de fier-té et de joie. Pour rien au monde, ils ne le rejetteraient, ils l’aimaient de tout leur cœur.
-Tu te protèges ?, demanda-t-elle.
-Ne t’inquiète pas, répliqua-t-il en rougissant, on est très prudent. On a fait des tests et tout, Yoann, c’est une habitude chez lui. Il prend tout ça très au sérieux.
-C’est bien, il a l’air d’un garçon très bien. Je vais en discuter avec ton père, mais tu le connais, il va le passer au crible. Je sais que c’est difficile pour toi de parler de tout ça avec nous, on ne t’a pas beaucoup aidé de ce côté-là.
-T’en fais pas maman, la rassura-t-il, jusqu’ici, il n’y avait rien à dire, je dois juste m’habi à le faire.
-En tout cas, ça explique ta bonne humeur et ton énergie.
-Oui, il me rend heureux, je pensais pas tomber sur quelqu’un comme lui dès le premier essai.
Je crois que je suis amoureux de lui et lui de moi.
-J’espère que c’est le cas.
Le lendemain, Thomas attendait l’arrivée de Yoann en faisant les 100 pas devant la maison. Il regardait l’heure sur son portable à chaque fois qu’il tournait. Les minutes passaient trop lentement, son impatience grandissait, tout comme son désir. La veille, alors qu’il était au lit, il s’était branlé en pensant à lui, inondant son ventre de son sperme chaud. Si Yoann avait été là, il l’aurait léché et en-suite, ils auraient échangé un long baiser. A y repenser, il eut un début d’érection. Il portait un bermuda en jean, et une chemisette blanche à manches courtes, et il eut peur que son excitation se remarque.
Une Opel Corsa bleue nuit finit par tourner dans l’allée et entra dans la cour ouverte. Thomas cessa ses déambulations, et sourit en reconnaissant son homme au volant. Il portait un tee-shirt noir ajusté et un bermuda avec des tongues. Il sortit de voiture en tenant un sac de voyage, et Thomas se précipita pour l’embrasser longuement. Le sac tomba au sol, les mains de Yoann se posè-rent sur ses reins, et le serrèrent contre lui. L’érection de Thomas s’accentua, et une des mains de Yoann se plaça sur son sexe et le caressa :
-Tu m’as vraiment manqué, chuchota Yoann.
-Toi aussi, et si tu continues, je vais jouir.
-Hmm, tentant, mais je préfère garder ça pour plus tard. Tu aimes ma voiture ?
-Elle est géniale. Tu l’as achetée quand ?
-Il y a une semaine. On va pouvoir réaliser un de tes fantasmes.
-J’ai hâte. Viens, je vais te présenter mes parents.
Ils entrèrent dans la maison, main dans la main. Les parents de Thomas étaient au salon, décoré de photos de famille et de tableaux sur les murs en pierre brute. Des poutres apparentes donnaient un cachet rustique à la pièce tout comme les meubles en bois massif, le canapé et les fauteuils avec des coussins confortables, les grandes fenêtres et le lustre. Une cheminée vide complétait ce décor.

Le père de Thomas, un homme massif au teint buriné, les cheveux blancs et épais, était assis dans son fauteuil. Il ressemblait à son fils en plus vieux. Sa mère avait de longs cheveux gris fer qui encadraient un visage chevalin. Yoann découvrit d’où Thomas tenait ses yeux gris, de sa mère, ils avaient le même re-gard sincère et doux. Elle tricotait ce qui devait être une écharpe. Thomas fit les présentations sous le regard inquisiteur de son père qui reposa son journal. Yoann se montra charmant, comme toujours. Il sortit de son sac une bouteille de vin qu’il offrit au père, et au vu de sa réaction, c’était une bonne bouteille. Il venait de marquer des points. A sa mère, il offrit un bégonia de toute beauté qu’elle s’empressa de mettre sur son balcon :
-Alors, dit le père, parlez-nous de vous. Enfin, parle-nous de toi, si ça ne te dérange pas que je te tutoie.
-Pas du tout, Monsieur. Je bosse comme employé de libre-service, et j’habite chez ma mère en attendant. Je voudrais reprendre des études ou faire une formation pour devenir chef de rayon.
-Belle ambition, apprécia la mère. C’est bien, à ton âge, d’avoir de l’ambition. Je n’arrête de dire à Thomas de revenir sur terre et de penser à son avenir.
-Maman, répliqua l’intéressé exaspéré, je veux devenir ingénieur en ré-seau électrique et électronique, y a du débouché, je ne fais pas ces études pour rien.
-Je peux vous assurer, Madame, renchérit Yoann, qu’il prend ses études très au sérieux. J’ai souvent dû le forcer à s’arrêter pour prendre du repos ou manger. Il aura son diplôme et les meilleures entreprises vont lui faire les yeux doux.
Yoann exagérait un peu, mais Thomas appréciait le geste. Avec son petit laïus, il calmait les inquiétudes de ses parents quant à son avenir, et cela lui donnait le temps de programmer sa vie. Tout n’était pas aussi parfait que le sous-entendait Yoann, les examens de Thomas s’étaient bien passés, et il avait obtenu de bons résultats, mais il avait encore des lacunes à combler. La conversation dériva ha-bilement, toujours grâce à Yoann, sur d’autres sujets moins épineux, puis le père déclara qu’il était temps de se remettre au travail.
Thomas montra sa chambre à Yoann qui apprécia le style champêtre, avec des meubles en bois anciens, un parquet grinçant, une grande fenêtre et un lit double. Yoann s’y assit, et Thomas fondit sur lui pour l’embrasser. Yoann serra ses jambes autour de sa taille, et se frotta contre sa bosse. Il bascula Thomas sur le dos, déboutonna lentement sa chemise et caressa son torse :
-Heureusement que j’ai fermé à clef, dit Thomas.
-Tâchons de ne pas faire trop de bruit, alors.
Yoann se pencha et lécha son torse, suçant ses tétons, les mordillant même. Chaque contact avec ses lèvres déclenchait des frissons dans le corps de Tho-mas. Une boule se formait dans son estomac, elle envoyait des ondes de plaisir dans tout son corps. La langue de Yoann dansait sur chaque centimètre de sa peau, il descendait lentement, massant la bosse de Thomas, gonflée de désir. Il embrassa son nombril, joua avec un moment, continua sa descente en passant bien la langue sur ses vêtements, ses cuisses, ses genoux et enfin ses pieds qu’il avait déchaussés.
C’était quelque chose que Yoann lui avait fait découvrir un soir, après la douche, et depuis, il le lui faisait très souvent. Thomas avait aussi essayé, et il trouvait cela très bon, surtout quand c’était Yoann qui le lui faisait, comme en cet ins-tant. Il suçotait ses orteils un à un, s’attardant sur le plus gros qu’il léchait telle une bite tendue. Sa langue descendit sur sa plante, légère et gourmande, ses lèvres caressaient sa peau et remontaient vers ses orteils. Thomas gémissait de plaisir, et en remandait encore. Il tendit son autre pied et Yoann, avec un sou-rire, s’en occupa avec la même application, et passait de l’un à l’autre pour aug-menter son plaisir.
Thomas sentait son sperme qui remontait dans sa queue. La boule de plaisir de son estomac grandissait de seconde en seconde. Yoann s’arrêta, fondit sur sa bouche pour l’embrasser. Il frottait sa bosse contre celle de Thomas, caressant son corps. Il se redressa, se débarrassa de son tee-shirt, et recommença à l’embrasser. Thomas le bascula alors sur le dos, et lui fit subir le même traite-ment. Yoann lui avait appris à le satisfaire avec sa langue et sa bouche, sauf qu’il ne lécha pas ses pieds. Il n’aimait le faire qu’après une bonne douche. A la place, il retira son bermuda, et son propre short, fit glisser sa chemise, et se frotta contre sa jambe, remontant jusqu’à ce que leurs bosses se touchent. Yoann posa les mains sur ses fesses et les malaxa :
-Bébé, calme-toi, haleta Yoann, je vais me jouir dessus.
-Moi aussi.
Thomas se mit alors en position de 69, sa bosse contre la bouche de Yoann, et lécha la sienne. Ils virèrent les sous-vêtements, et gobèrent le sexe de l’autre. Ils se sucèrent au même rythme, faisant les mêmes mouvements de langue. Yoann s’enfonça sans prévenir dans la bouche de Thomas et gicla avec force. Thomas s’étrangla en avalant de travers le premier jet, et dut recracher le reste sur sa queue qu’il nettoya. Yoann accéléra sa branle, et Thomas éjacula, dans un spasme, en grognant, tandis que la boule de son estomac explosait. Yoann aussi recracha le jus chaud et gluant, Thomas en avait dégorgé beaucoup, tant il était excité :
-Bébé, dit Yoann en léchant les dernières gouttes, ça m’avait manqué, tu jutes toujours aussi fort.
-Et toi, tu m’excites toujours autant. Je peux te demander un truc ?
-Tu me fais peur, là, dit Yoann en se redressant, tu es bien sérieux.
-Tu as des sentiments pour moi ?, s’enquit-il timidement.
-Oui, je tiens beaucoup à toi, répliqua Yoann en s’asseyant en tailleur. En fait, chaque jour qui passe, je tombe un peu plus amoureux de toi. Je le réalise maintenant, alors qu’on est ensemble, après cette séparation.
-Je suis amoureux de toi, aussi, enfin je crois, je suis comme toi, je le réalise tout juste.
-J’avoue que j’avais peur de te le dire, c’est la première fois que ça m’arrive. Les quelques mecs que j’ai pu rencontrer, je m’entendais avec eux, mais y avait pas ce truc. Toi, dès que je t’ai vu, assis sur ce banc, j’ai été ébloui par ton charme, et ensuite ton innocence. Et toi ?
-C’était ton regard doux et rêveur, brillant d’intelligence. Je te voyais comme mon idéal physique masculin, et ensuite, j’ai compris que tu es un gars bien et gentil. Et ta queue a été l’apothéose. Non, sans rire, j’ai craqué sur toi à la première seconde où j’ai posé les yeux sur toi.
Ils étaient à l’ombre d’un des pommiers du verger. Les parents de Thomas étaient sortis faire des courses à Saint-Amand-Montrond, ils avaient donc la maison pour eux seuls. Cela faisait trois jours que Yoann avait rejoint Thomas, et il s’était parfaitement intégré à la vie de famille. Il donnait un coup de main, un coup de main pour tout avec enthousiasme, et les parents de Thomas l’avait adopté. Cela soulageait Thomas d’un grand poids, il avait craint que son père ne se renfrogne. Mais non, il était ouvert et joyeux, et sa mère se comportait comme si Yoann était son fils.
-On est bien ici, dit Yoann, c’est calme, ça change de la ville.
-Tu ne vivrais pas ici, le contredit Thomas. Il ne se passe jamais rien, crois-moi, c’est l’idéal pour juste des vacances.
-Qu’est-ce qu’il y a ?, demanda Yoann inquiet. Tu réfléchis à quelque chose, tu fais cette grimace…
-Non, c’est rien. Bon d’accord, céda-t-il face au regard insistant de Yoann. Je me demandais si tu m’en voulais qu’on ait pas encore couché ensemble.
-On couche ensemble, répondit Yoann. Ah, tu veux dire faire l’amour. Non, et ça ne me gêne pas, je suis pas pressé. Pas toi ?
-J’en sais rien, je veux essayer, et en même temps, j’ai peur. Je me sens pas prêt.
-J’ai une idée, allonge-toi.
Thomas obéit, et Yoann glissa la main dans son short après avoir mouillé son doigt. Il chatouilla alors l’anus de Thomas qui sentit un courant électrique par-courir son corps. Une chaleur montait en lui, prenant naissance dans son cul et rayonnant partout. Yoann dessinait des cercles lents, son regard fixé dans celui de Thomas. Il gémissait sous cette caresse nouvelle, son corps se cambrait et se soulevait. Yoann joua ainsi avec son trou pendant un moment, puis remouilla son doigt pour recommencer. Thomas bandait bien dur, mais son plaisir était ailleurs. Yoann se contenta de le caresser, ne le pénétra pas. Un sourire coquin éclairait son visage :
-C’était comment ?, demanda-t-il en retirant sa main.
-Encore, s’il te plait, le supplia-t-il. Putain, c’était trop bon. Mon cul palpi-tait, j’ai cru que j’en finirais pas de jouir.
-Bien, à partir de maintenant, je vais te le faire en te suçant.
-Tu veux aussi que je te le fasse ?
-Bien sûr, j’aime ça. J’ai vu que tu hésitais à le faire, plusieurs fois.
-C’est vrai, j’ai voulu le faire.
-N’hésite jamais à me le dire quand tu as des envies, on en discute en-semble. Y a des trucs dont tu rêves ?
-J’ai déjà tout ce que je veux, mais oui, un petit fantasme. Je veux te branler pendant que tu conduis.
-Intéressant et réalisable. On pourra s’arrêter ensuite pour qu’on se suce. Autre chose ?
-Juste un petit plan en extérieur, je connais un coin tranquille, il nous faudra une couverture, et un pique-nique. Autant y passer la journée.
-Faisable aussi, et excitant.
-Tu as des fantasmes ?
-Un peu comme toi, des trucs simples, plan extérieur. J’avoue que j’aimerais bien aussi le faire dans ta chambre à la fac.
-C’est vrai qu’on ne se voit que rarement là-bas, on le fait toujours dans ta chambre. A la rentrée, on le fait. Autre chose ?
-A mon boulot, dans les toilettes pendant ma pause. Ça m’arrive d’y pen-ser, alors je bande, et je me régale d’images de toi en train de me sucer.
-Tu crois que c’est possible ? Tu n’auras pas d’ennuis ?
-Peut-être, si on se fait prendre. Mais y a pas de raisons, on sera dans les toilettes.
-On le fait, décida Thomas. Mais avant, recommence avec ton doigt, et suce-moi.
-Suce-moi aussi, susurra Yoann.

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