Nouveaux Horizons

Nouveaux horizons

Nous sommes à nous « côtoyer » avec Maria depuis maintenant quelques temps, il est clair pour nous deux que notre relation est basée sur du physique.

En aparté, c’est à cette époque que j’ai compris qu’on pouvait être accro à son téléphone à force de recevoir des sextos. Une première. Les recevoir en n’importes quelles circonstances m’excitait au plus haut point.

A force d’avoir des discussions qui nous chauffaient au chalumeau, nous avons tous les deux évoqués nos fantasmes. Et il en est un qui a trouvé compromis, celle d’introduire des invité(e)s dans nos parties fines.
Elle avait toutefois cette condition, ce sera avec plusieurs hommes avant que ce soit plusieurs femmes. J’ai dit ok.

Madame me laisse la charge de « recruter » des collègues de jeu. Il est fixé une règle d’or, qu’ils sachent se taire. J’ai su à qui penser assez rapidement. Quelques semaines plus tard, une soirée se profile. Ce fut assez spontané. L’ami que j’avais contacté m’a néanmoins prévenu qu’ils seraient 02 hommes en plus de moi ce soir là.

Nous arrivons tous les deux vers 21:30, faisons la bise à nos amis, et nous installons au salon. Nous discutons de banalités, le climat, le travail, etc….
Je vais dans le jardin fumer une cigarette avec un ami, et ensuite Maria et l’autre prennent la suite.

La discussion continue, la tension monte au fur et à mesure.
Et puis arrive ce moment fatidique. Mes deux amis prétextent avoir quelque chose à aller chercher dans une autre pièce de la maison et s’éclipsent.
Je ne prononce que 3 mots « viens me sucer »
Elle est stressée, autant qu’excitee. Docile, elle se lève du canapé ou nous étions installés, vient écarter mes jambes pour se positionner entre elles. Son regard au moment de dégrafer mon pantalon est brillant, le mien doit l’être aussi.
Je suis pris en bouche, et c’est d’une rare douceur. Beaucoup de salive, des mouvements maîtrisés, des jeux de regard….

J’apprécie réellement le moment.

C’est à ce moment précis que les deux autres compères rentrent dans la pièce. Ils sont tétanisés. Ils regardent en souriant, mais ne bougent pas.
Je détends l’atmosphère en leur demandant de se rapprocher.
Je suis assis sur le coin gauche du canapé, le bras sur le gros accoudoir en cuir.
Ils s’installent à côté de cet accoudoir pour détailler ce qu’ils ont devant eux. C’est la première fois pour nous tous que l’on fait un plan à plusieurs de cette manière.
Madame continue son œuvre, et tout le monde se détend.
L’un d’entre eux va a son niveau pour lui toucher ses seins. Elle préfère enlever ses vêtements pour mieux apprécier la caresse.
Pendant ce moment, j’enfile un préservatif et elle vient s'empaler sur moi.
Les deux autres sont au niveau du canapé, et elle commence à les sucer.
Je me souviendrai toujours de son regard, demandant approbation lorsqu’elle s’est tournée vers moi avec un sexe en bouche et un autre en main, en plus du mien dans son intimité.
Nos regards voulaient tout dire, et nous nous sommes lâchés!
C’était tellement intense, sentir cette excitation qui nous parcourait, cette nouveauté qui était si profonde. Je ne suis pas sûr que chacun d’entre nous réalisait ce que nous faisions.
Mon regard n’arrivait pas à se défaire de cette bouche qui était déformée par ces deux membres. Je n’ai pas tenu plus de 5-10 minutes, et j’ai joui dans mon préservatif.
Je suis allé aux wc et mes collègues ont continué. Lorsque je suis revenu dans la pièce, l’un était en elle et l’autre dans sa bouche. Je pense que je n’ai pas été assez réactif, je réussissais à bander à nouveau, mais suis resté spectateur.
L’un d’entre eux a joui, l’autre non. Ils se sont éclipsé dans une chambre pour terminer, c’était irréel.
Nous sommes restés discuter au salon avec mon ami, pendant que les deux autres faisaient leur affaire. Nous avons rigolé de ce moment. Puis décidé d’aller voir ce qui se tramait.

Lui était en position du roi, elle entre ses jambes a le sucer, fessier relevé, sexe dans notre direction. Beau tableau.
Jeunes idiots que nous étions, nous n’avons même pas pris le temps de s’immiscer dans leurs ébats et sommes partis. Quelques minutes plus tard, ils sont venus nous rejoindre au salon. Il devait être l’heure d’aller en discothèque, puisque nos deux compères étaient fin prêts à y aller. Nous les avons salué, et avons rejoint la chambre d’hôtel que nous avions réservé pour la nuit.

Sur le trajet, elle m’a dit sans détour qu’elle avait aimé énormément le moment que nous venions de passer. 03 beaux gosses, comme elle m’a dit après, il fallait qu’elle assure. Elle m’a aussi dit qu’elle était déroutée par ma jouissance rapide, elle n’y avait jamais été habituée.

À l’hôtel nous avons enlevé nos habits en moins de temps qu’il ne faut pour le dire…
Nous nous sommes enlacés, embrassés, et nos mains ont détaillé chaque parcelle d’épiderme.
J’étais affalé sur le lit, je lui ai demandé de se mettre en face de moi
« Doigte toi »
Elle s’est assise en face de moi, a écarté les jambes, et s’est exécutée sans délai. Ses index et majeur, si fins, faisaient des aller retour, je voyais sa cyprine maculer ses phalanges…
La vue est tellement agréable, elle sourit, et se mord la lèvre. Ses yeux brillent.
« Maintenant dans le cul »
Elle me regarde étonnée, mais n’hésite pas pour autant. Sa main droite reste sur son intimité, sur le clitoris plus exactement, tandis que sa main gauche passe sous sa cuisse, effleure, puis glisse dans son œillet. Je suis tellement excité!!!!

Elle décide de s’arrêter, change de position et vient me sucer…. mon dieu!
Apparemment il n’était pas prévu qu’elle soit la seule à jouer avec ses fesses.
La salive coule de mon sexe à mes couilles, puis finit sa course sur mon périnée. Elle en récupère et frotte mon petit trou. Puis elle rentre un doigt, et mime une sodomie avec.

Elle stoppe et vient sur moi. Je sens ses petits seins très sensibles contre mon torse. Ma bouche mange la sienne, et vice versa. Mes coups de rein deviennent de plus en plus rapides, mais aussi de plus en plus intenses. Je continue jusqu’à en perdre toutes mes forces.

« Tu n’as pas été derrière aujourd’hui…. » me glisse t elle à l’oreille!

Je souris (et vous aussi, chers lecteurs), l’installe en position de cuillère. N’ayant pas de lubrifiant je ferai avec ma salive. Je viens caresser son antre et préparer. Lorsque je me sens prêt je rentre en elle, c’est tellement bon! Sa chatte est très serrée, que dire de son petit trou…. elle gémit (ah oui elle ne crie jamais, mais lorsqu’elle gémit c’est très bon signe…) de plus en plus j’adore!!!! Je sens mon plancher pelvien claquer contre ses fesses, je me lache totalement ! Je pétris ses seins, lui donne un doigt à sucer, elle ferme les yeux et s’applique!
Je la connais, alors je retourne dans sa chatte pour quelques aller retour, toujours aussi intenses, me retire, la met à genoux, et je viens jouir sur son visage et dans sa bouche!
Elle me suce à nouveau et va s’essuyer le visage. Nous nous endormons dans les bras l’un de l’autre

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